Istres-Marseille. Pour Jeanne, la vie est ponctuée par cet aller-retour ferroviaire quotidien entre son travail de gratte-papier au commissariat et la maison de sa mère. Elle attend néanmoins qu'un événement vienne secouer le fil de son existence: un regard, enfin, du capitaine Esposito? La résolution, peut-être, de cette ffaire de serial killer qui défraie la chronique phocéenne? "Vous êtes si belle, Jeanne Si touchante et si belle." Ce soir-là, une lettre, glissée entre deux banquettes, semble combler toutes ses espérances. Un peu trop, même. Car derrière le mystérieux soupirant se cache le meurtrier tant recherché par la police. Commence alors une correspondance amoureuse qui, pour Jeanne, n'aura de terminus qu'au bout de l'enfer...
من نه به زبان های خارجی واقفم و نه از مهارت های ترجمه اطلاع دارم،مثل دیگر عزیزانی هم که در این باره سخن میگن و نسخه اصلی هر کتابی رو با هر زبانی ( از ژاپنی و چینی بگیر تا فرانسوی و اسپانیایی و انگلیسی و آمریکای جنوبی ) رو مطالعه میکنن و از ترجمه اش ایراد میگیرن و مترجم رو نصیحت میکنن نیستم.اما یک نکته در مورد جناب آقای " آریا نوری " مترجم محترم کتاب بگم ، هم این کتاب و هم کتاب " پرونده بالتیمور" رو نابود کردی با این لحن بچه گانه ای که به کاراکترها دادی.خواننده از توی کتاب پرت میشه بیرون،وحشتناک لوس و آبکیه.چیزیه که هر کسی با هر سطح از سوادی متوجه میشه و خواندن کتاب رو طاقت فرسا میکنه براش.
بعدا نوشت: اگه یه روزی خواستین این کتابو صوتی گوش بدید به خودتون رحم کمین😅 لحن گوینده ش اصلا مناسب خوندن کتاب نبود.. انگار زده بودم شبکه اخبار داشتم گوش میدادم همون لحن خانما که اخبار میگن🫠 اما با این وجود خب بخاطر پی بردن به داستانش تا اخر گوش دادم
دو روز پیش این کتاب رو تموم کردم و بهش 3 امتیاز دادم ولی امروز که دارم کتابهای خوانده م رو ریویو میکنم میبینم واقعن 3 امتیاز زیاده ، این کتاب حرفی برای گفتن نداشت و با توجه به جنایی و معمایی بودنش از نیمه ی کتاب به بعد نتونست هیجانش رو حفظ کنه و همه چیز قابل حدس بود این 2 امتیاز هم به احترام ژانرش :D
Je n'ai pas aimé les personnages ni l'ineptie du dénouement, mais je reconnais que c'est essentiel pour rendre l'ambiance hystérique et paranoïaque. Sensation inconfortable, comme souvent avec K. Giébel.
داستان درباره یه دختری هست که خیلی اتفاقی با قاتلی آشنا میشه که به صورت سریالی در حال ارتکاب به قتل هست و این قاتل پیشتر و مخفیانه به دخترک عشق میورزیده و حالا سعی داره اون رو هم عاشق خودش بکنه... داستان روندی خیلی آروم و خنثی رو طی میکنه شما رو کمتر درگیر هیجانی میکنه... تنها قسمتی که کتاب تونست غافلگیرم کنه درست در انتهای پایانیترین قسمت وقتی فکر میکردم خب همه چی تموم شد. داستان رو باز کرد و پایان باز گذاشتش
J'ai maintenant lu tous les livres de Karine Giebel. Il ne me manquait que Terminus Elicius. Je peux affirmer que Karine Giebel est de loin mon autrice/écrivaine française favorite! Lorsque je débute l'un de ses romans, je sais que je vais vivre une panoplie de différentes émotions. Ces romans sont tellement imprévisibles et remplis d'agitation qu'il est impossible de lire sans traverser l'équivalent d'une vie de puissantes sensations. Il faut parfois avec les tripes solides avant d'entamer ces inimaginables histoires. C'est, en particulier ce que j'apprécie de l'auteure.
Sans être aussi abracadabrant et perturbant que la plupart de ces romans, Terminus Elicius était néanmoins très bon et très vif d'intensité. Je me suis imaginé toutes sortes d'idées sur le fameux criminel (tueur). La réponse ne faisait pas partie de mes hypothèse! Terminus Elicius se mérite un 4 étoiles.
Un vrai chef d'oeuvre. Un roman qui tient en haleine jusqu'au....terminus ;) Ce n'est peut être pas pour rien que je l'ai lui en environ ....36 heures Et quand il s'agit d'un exemplaire dédicacé, comment ne pas être conquis ! A lire absolument.
Un récit très court, assez haletant qui se lis tout seul. Un plaisir de découvrir le premier roman de Karine Giebel, on sent bien sa patte, même à ses débuts. La fin m'a pas mal remuée. Toujours dans le doux-amer.
Un scénario à la fois original et prenant au travers duquel des questions autour de l'amour, de la confiance et de la contrainte se posent. Un polar très très noir à lire d'un trait !
3,5⭐️ premier livre que je lis de cette autrice et je ne sais pas quoi en penser. la lecture est fluide est rapide car j'ai réussi à le lire en moins de 24h mais je sais pas. l'histoire en elle même est top, mais la fin je ne sais pas quoi en dire.
Jeanne est secrétaire au commissariat de Marseille. Chaque jour, elle prend le train d'Istres en direction de la grande ville, une vie monotone qui ne l'enchante guère alors le jour où elle découvre qu'un inconnu lui laisse des lettres dans le train, elle retrouve le sourire. Le problème, c'est que cet inconnu semble est un tueur en série actuellement recherché par le capitaine Esposito... Grosse déception avec ce livre qui était pourtant relativement bien noté sur Goodreads. Je n'ai absolument pas accroché, ni à l'histoire (un peu trop courue d'avance) ni aux personnages (trop prévisibles). Je me suis franchement ennuyée et j'ai attendu jusqu'au bout un rebondissement qui 'est pas venu. Limite, la nouvelle à la fin est presque mieux (elle est surtout très perturbante de réalisme). En bref : passez votre chemin.
Ce roman est juste magnifique, on ne peut pas ne pas aimer le mystère d'Elicius, se sympathiser avec la pauvre Jeanne et admirer la bravoure d'Esposito, ce n'est plus facile de tramer une telle histoire avec une telle vivacité intense... C'est l'un des plus rares romans dont je me plonge facilement jusqu'aux détails infimes des évenements, chaque sentiment de Jeanne que ce soit peur, tristesse ou excitation, je le sens au plus haut degré, la cause défendue par Elicius m'a beaucoup touché... La machine humaine est vraiment cruelle, ça ne serait certainement pas ma seule rencontre avec la plume charmante de Karine Giebel.
Il s'agit de missives envoyées régulièrement à Jeanne une jeune femme travailleuse au commissariat et qui prend le train quotidiennement pour se rendre chez elle, ce sont des lettres écrites par un inconnu ou alors un assassin qui se venge en tuant ses ennemis. Tout au long de l'histoire on ne cesse de vouloir déceler ce personnage mystérieux,son profil,ses motifs,sa liaison a Jeanne. Histoire qui ne manque pas de suspens, d'attente, d'estimation,à lire sans relâche jusqu'à découvrir son secret
به طور کلی میتونم بگم هیجان داستان کاملا در نیمه دوم داستان از بین میره. اوایل کتاب فکر میکردم با داستان بهتری طرفم اما نیمه دوم ناامیدم کرد بدتر از ناامیدی ترجمه آریا نوری بود اونقدر دیالوگ ها بد ترجمه شده و اونقدر کلمه (وی) تکرار شده که دلت نمیخواد ادامه بدی قبلا از آریا نوری کتاب پرونده هری کبر رو خونده بودم که به خاطر استفاده از کلمات عامیانه و نامتعادل بودن ترجمه بین متن رسمی و عامیانه گذاشتمش کنار و یه ترجمه دیگه از کتاب رو دست گرفتم!
Que ce soient les amateurs de romans policiers ou les habitués de Karine Giebel, ce roman va les déstabiliser.
Terminus Elicius n’est pas un roman policier à proprement parler. Certes il y a des meurtres, une enquête pour découvrir l’auteur de ces faits tragiques, mais ce n’est pas le point central du roman. Donc que les habitués de Karine Giebel ne s’attendent pas à une profusion de détails sanguinolents,de tensions dans l’investigation.
Non, ici, l’auteure cherche à exploiter la petite histoire parallèle à l’affaire : le criminel installe un échange épistolaire avec une policière réservée et proche de l’enquête, lui confessant ses crimes, mais la charmant par la même occasion. S’engage alors une guerre psychologique pour la policière : que faire face un homme qui lui témoigne sa confiance, son amour, mais qui en même temps enlève des vies.
Pour ce premier roman, Karine Giebel fait appel à ses connaissances : Marseille, la côte méditerranéenne, le train jusqu’à Miramas. Sans aucun problème le lecteur est rapidement projeté dans l’univers du roman, et se laisse embarquer dans cette correspondance ben loin de ses habitudes littéraires.
Mais si le tueur charme la policière; Karine Giebel n’a pas eu le même effet sur moi. Si le style et le rythme sont plutôt maîtrisés pour un premier roman ce n’est pas au niveau des derniers romans comme dans Meurtres pour rédemption. De plus, les personnages et le mobile du crime sont un peu trop caricaturaux, ce qui gâche quelque peu le plaisir de la lecture.
Si vous décidiez de le lire, je vous conseille de trouver la dernière édition qui inclut une nouvelle où les personnages croisent ceux de Terminus Elicius. Ce « crossover » est particulièrement savoureux. https://quoilire.wordpress.com/2018/0...
Je peux déjà dire que je n’ai pas été déçue ! Je me suis totalement laissée emporter par cette histoire que j’ai lu d’une traite.
D’abord parce qu’elle est originale, ensuite parce que les personnages sont peu nombreux mais marquants. Jeanne est touchante, le tueur est-il réellement un monstre ? Il y a plusieurs zones d’ombres et l’autrice a parfaitement su en jouer et m’y plonger. Et ce, jusqu’à la dernière phrase qui ne m’a pas laissée de marbre.
J’ai vraiment aimé l’histoire et l’aspect épistolaire. Il y avait un côté romantique qui dénotait avec l’horreur des meurtres. Je me suis demandée comment j’aurai réagit à la place de Jeanne, qui est quand même bien fragile. Impossible de répondre facilement. L’auteure sait jouer avec la morale et l’empathie de ses lecteurs, ce qui rend le roman captivant et, d’une certaine façon, plus complexe.
Je lirai d’autres roman de Karine Giebel avec plaisir. Niveau thriller, un genre pas assez représenté par les femmes, je sens qu’elle va devenir une de mes préférées !
C’est certain, atteindre le niveau d’émotion que m’avait procuré Meurtres pour rédemption allait être difficile (voir impossible parce qu’après un mois il me hante encore!). Pourtant loin du niveau du second roman de Karine Giebel, qui paraîtra deux ans plus tard, Terminus Elicius reste malgré tout un bon petit thriller sympathique et prometteur qui se dévore en un rien de temps. Et cela n’est pas seulement dû au fait qu’il ne fait pas 300 pages! Le style de l’auteur, encore à ses prémisses, est déjà terriblement addictif et on plonge aisément dans ses mots pour nous embarquer dans la vie un peu chaotique de Jeanne. Ce n’est certainement pas un thriller ultra abouti et inévitable mais il vous fera passer un très bon moment de lecture avec des petits moments de tension comme il faut et un twist final surprenant que mon esprit un peu malade [...]
Pour lire la suite de cette critique, rendez-vous sur yuyine.be !
Terminus Elicius est le tout premier roman de Karine Giébel. Je n’ai malheureusement pas découvert l’auteure avec ce roman. Je le regrette presque car si les intrigues sont bien menées, que l’auteure joue avec nos nerfs et notre impatience jusqu’à la fin, cette fin justement n’est pas aussi concluante que le reste, elle va trop vite, nous donnant le sentiment de rester sur notre faim. Mais c’était son premier roman, et en remettant le tout dans ce contexte, si j’avais commencé par ce premier roman de Karine Giébel j’aurais sans doute eu un vrai coup de cœur et non pas un presque coup de cœur. Si je l’avais lu en 2004 à sa sortie je vous aurai sans doute dit qu’un grand auteure policier psychologique était née, et j’aurai eu raison suffit de lire « Purgatoire des innocents » pour en être convaincu.
Bon ok... Terminus Elicius n'est pas un gros pavé à lire. Mais 5 jours pour le terminer, c'est un record chez moi !
C'est dire si sa lecture m'a passionné !
J'ai apprécié pratiquement tout dans ce premier roman de Karine Giébel. Jeanne, le personnage principal, qui m'a beaucoup touché au fil des pages, perdue dans ses dilemmes.
L'histoire en elle même, angoissante dès les premières pages (qui peut bien connaître Jeanne au point de glisser une lettre à son attention contre la banquette de ce train de 17h32, là où elle s’assoit tous les soirs ?).
Le suspens qui va grandissant à mesure qu'on tourne les pages, jusqu'à l'ultime dénouement, bouleversant à plus d'un titre.
Truffé de dialogues qui rendent le récit encore plus immersif, Terminus Elicius m'a procuré un plaisir fou à le lire et ne me donne envie que d'une chose, l'ayant terminé :
موضوع داستان کمی غیر واقعی است . ژان حالت عادی ندارد، الیسیوس یک روانی به تمام معناست و با این حال بعید میدانم اگر کتاب را شروع کنید آن را تمام نکنید. تا جایی که میدانم کمتر کسی همیشه حالت عادی دارد. کمتر کسی همیشه راست می گوید و کمتر کسی به دیگران اهمیت می دهد، پس شاید داشتن فردی مثل الیسیوس برای خیلی ها تنها امید به زندگی باشد. شیوه نگارش کارین ژیه بل منحصر به فرد و جذاب است ، او به خوبی با مشکلات درونی و کشمکش های روزمره انسان ها آشنایی دارد و همین باعث می شود کتاب ها مزه واقعیت به خود بگیرند. با این حال در مقایسه با کتاب سایه نمیتونستم امتیاز بیشتری به کتاب بدم . همیشه یک بخش از امتیاز کتاب را برای نویسنده در نظر میگیرم و از کارین ژیه بل انتظار بیشتری داشتم با این حال اگر زیاد جنایی نمی خوانید و به دنبال کتاب متوسط رو به بالایی هستنید اثر خوبی است.
Vu qu'il n'y a pas de personnages récurrents chez Karine Giebel (pour l'instant) je lis un peu dans le désordre. C'est ainsi que je viens de lire son premier opus publié. Comme pour ceux que j'ai déjà lu j'avoue être sous la "charme". Sans être des polars sanglants, il y a toujours beaucoup de suspens dans les Giebel. On s'attache vite aux personnages car elle leur donne une réelle présence. Karine Giebel est devenue pour moi un auteur incontournable du polar français. Je vous la conseille fortement si vous aimez les polars.
از اونجایی که کارهای صوتلازمم زیاد شده دارم گزینههای متنوعتری رو امتحان میکنم 😄 مثل کتابهای جنایی!
این کتاب خوب شروع شد و قلاب خوبی انداخت. ولی...
اول اینکه، خیلی بیش از حد کشش داد، طوری که به نظرم ۱۰۰ صفحه هم برای این داستان زیاد بود. یعنی اینقدر به زور اطلاعات رو نگه میداشت تا کتاب طولانیتر بشه که جدا حرصم گرفته بود.
دوم اینکه، به نظرم تهش اونقدر نقطه غافلگیری خاصی نداشت، یا طوری نبود که بگی وای نه 😱 😅
و در نهایت اینکه، شخصیتپردازیش طوری نبود که یه سری نکات پایانش (و یا در خلال خود داستان) برام باورپذیر باشه...
je ne suis pas habituée à de courts récits de la part de giebel, j'ai bcp plus l'habitude de ses longues œuvres qui nous tiennent en haleine pendant des centaines et centaines de pages, en tout cas le bon point dans terminus elicius est que la tension et le mystère reste palpable mais malheureusement pas assez longtemps en vue de la longueur du livre.
cependant, très bonne intrigue comme toujours, jamais déçue de cette autrice :)