Derrière les grilles du centre psychiatrique Falret, s'épanouissent les hellébores, ces fleurs dont on pensait qu'elles soignaient la folie. Est-ce le secret de Serge, le jardinier taciturne qui veille sur les lieux, pour calmer les crises de Gilles ? Toujours est-il que le petit garçon, autiste de onze ans, s'ouvre au monde en sa présence. Deux jeunes filles observent leur étrange et tendre manège, loin des grandes leçons des médecins du centre.
Anne a dix-huit ans, c'est la nièce du directeur. Fuyant un passé compromettant, elle a coupé tout lien avec ses proches, si ce n'est sa meilleure amie, avec qui elle correspond en cachette. Elle se lie d'amitié avec Béatrice, malicieuse jeune fille de treize ans, qui toise son anorexie d'un oeil moqueur, pensant garder le contrôle des choses. Mais rien ne va se passer comme prévu. Dans ce roman lumineux et plein d'espérance, les destins de chacun vont se croiser, entre légèreté et mélancolie. La vie réserve heureusement bien des surprises.
CATHY BONIDAN works as a teacher in Vannes and has been writing since the age of 14. Her debut novel, The Perfume of Hellebore Rose, won 11 literary awards in France.
La première partie m'a, de loin, plu davantage. C'était vraiment intéressant d'être transportée dans les années 50 pour y découvrir la vie (pas toujours rose!) dans un petit centre psychiatrique parisien. Malheureusement, la seconde partie a brisé le rythme que j'étais venue à apprécier.
Toutefois, Cathy Bonidan a une belle plume et j'ai très hâte de lire Chambre 128, que je me suis procuré récemment.
Dit boek bestaat uit twee delen. Het eerste deel speelt zich af rond de jaren 50 en wordt vertelt door Anne, een jonge vrouw die tijdens de vakantie in de psychiatrische inrichting van haar oom aan het werk gaat. Daar krijgt zij een bijzondere band met het jonge meisje Beatrice, die aan anorexia lijdt.
Het tweede deel wordt vertelt vanuit Sophie, een jonge studente die haar proefschrift over de psychiatrie van de jaren 50 wilt schrijven. Tijdens haar onderzoek stuit zij op documenten uit de inrichting waar Anne heeft gewerkt. Dit wordt een zoektocht naar haar leven en naar dat van de patiënten die Anne gekend heeft.
Ondanks dat dit boek goed geschreven is, pakte het verhaal mij niet echt. Ik weet niet precies waarom. Ik denk dat ik betere boeken over dit onderwerp gelezen heb.
Joli surprise même si le départ m'a un peu laissé mitigé. Un centre psychiatrique fin des années 50', Anne, 18 ans, nièce du directeur sympathise avec Béatrice, anorexique de 13 ans. Au cours de leurs rencontres dans le jardin, elles finissent par être intriguées par ce qui relie Gilles jeune autiste de 11 ans et le jardinier du centre. La première partie est un récit épistolaire entre les lettres que s'échangent Anne et sa meilleure amie, Lizzie et le carnet tenu par Béatrice. Le récit bascule quand Gilles est transféré dans un hôpital psychiatrique belge. Il reprend 60 ans plus tard avec Sophie, 28 ans qui prépare sa thèse sur " les hôpitaux psychiatriques des années 50 à nos jours". C'est en faisant ses recherches qu'elle va croiser le chemin de Matthieu qui va lui permettre de remonter l'histoire de ces trois femmes et par la même, bouleverser sa vie à jamais. C'est d'abord et avant tout le parcours de femmes dans les années 50' qui se battent pour trouver leurs places dans une société patriarcale réglée par l'église, le tout écrit avec un langage qui colle à l'époque. Ce féminisme sous jacent écrit sur ce ton, c'est probablement le truc qui m'a chiffonné au début du roman mais l'auteur prouve par la suite,avec une plume plus "moderne", que vouloir plus de droit en tant que femme ne veut pas dire pour autant renier la place de l'homme et ça, on le découvrira dans la seconde partie du récit et du coup, je me suis laissée embarquer au point de finir le livre en un après-midi. Si la première partie m'a intéressé pour sa vision sur la pédo-psychiatrie, j'ai adoré la deuxième pour le parcours de Sophie et ce regard sur ce passé et son impact sur celui qu'elle a sur sa propre vie. Ça se lit vite et ça touche juste. C'est surtout tout ce que j'aime. Des tranches de vie et des mains tendues. Encore une fois, il faut lire les remerciements où la dernière phrase de l'auteur en dit long sur le point de départ de cette histoire.
Je pressentais que ce serait une super lecture et je ne me suis pas trompée ! J'ai adoré découvrir cet univers qui pourtant aurait pu être difficile et dur : la vie d’un centre psychiatrique en plein dans les années 1950, mais aussi l’autisme à travers un petit garçon. Mais l'auteur a su tourner l'intrigue d'une manière à rendre le thème intéressant, simple avec beaucoup de justesse et de délicatesse.
J'ai adoré ces destins qui se croisent à des périodes différentes, chacun ayant sa personnalité. Même si ce sont les personnages féminins qui sont omniprésents, une ambiance de sérénité en ressort immédiatement. Mais l’apparition de l’enfant, le jardinier puis les deux frères enrichissent leur rapport et crée le lien entre elles. Et je me suis très vite attachée à chacun d’entre eux.
À la moitié du livre, l’auteur prend le parti de changer complètement de cap et je ne m’y attendais vraiment pas. Et pourtant ça apporte une originalité et une bouffée d’air supplémentaire à l’histoire. Car la suite nous est apportée de ce fait par un autre point de vue et le suspense en est décuplé.
J’ai pris énormément de plaisir à lire cette histoire, je me plongeais dès que je le pouvais dans ses pages et il laissera dans ma mémoire un doux parfum !
En 1956 le traitement de l'autisme, celui de l'anorexie ou des autres troubles chez les adolescents n'en est qu'à des balbutiements. Ceci est le contexte de départ de cette histoire, celle d'Anne qui deviendra une psychiatre spécialiste de l'anorexie, parce qu'elle aura été confrontée au monde de ceux qui, quand elle n'avait encore que 18 ans , étaient considérés comme fous. C'est le récit poignant d'une toute jeune fille qui découvre qu'un autiste peu apprendre si quelqu'un parvient à trouver une faille dans son enfermement, que l'anorexie peut toucher même les adolescentes les plus intelligentes, que l'intelligence n'est pas toujours exprimée par des mots et la réussite scolaire mais que des actes et une ouverture à la différence sont une autre forme d'intelligence... Ce premier roman , dont la construction est particulièrement prenante, est poignant et d'une humanité qui me donne envie de suivre cette autrice.
Voilà un superbe roman qui se lit rapidement. J’ai été prise par cette histoire, surprise par la construction du roman. Le sujet me touche et m’intéresse particulièrement et malgré quelques facilités j’ai vraiment beaucoup apprécié la lecture de ce roman.
J'ai trouvé la première partie très intéressante mais ensuite le parallèle avec la vie de Sophie m'a complètement barbé. Et puis c'était cousu de fil blanc!
Buiten snelt het landschap achteruit, maar daar maak ik me geen zorgen meer over.
Een gevoelige roman waarin al draaiend als aan een caleidoscoop het verhaal zich ontvouwt. Het boek opent met een brief. Via de brieven en de aantekeningen van een meisje in haar dagboek leer je als lezer de karakters kennen. En al lezende draaide het perspectief, wat is het verhaal van de twee individuele meisjes, wat bindt hen en wat gebeurde er?
Ondertussen weeft de auteur een nieuwe draad door het verhaal. Een verhaal in het heden waarin een onderzoeker op zoek gaat naar de ervaringen in een psychiatrische kliniek in de vorige eeuw. Mondjesmaat schetst ze ontwikkelingen in psychiatrische inzichten en de verhoudingen in klinische teams. Subtiel noemt ze een aantal aanzetten voor inzichten die ook op dit moment nog volop in ontwikkeling en van belang zijn bij het bij het bieden van ondersteuning van werken aan herstel. Maar voorop staat haar zoektocht naar de geschiedenis van enkele cliënten in de voormalige kliniek. Tijdens deze zoektocht leer je ook haar kennen en de persoonlijke ontwikkeling die ook zij doormaakt.
In het tweede en tevens laatste deel komen de de verhalen samen en brengt de auteur samenhang tussen de personen en gebeurtenissen aan. Een boek om rustig te lezen. Om soms een bladzijde of een zin te herlezen. Herlezen om rustig de tijd te nemen om te ontdekken wat er staat
Ons zwijgen en ons spreken is het debuut van Cathy Bonidan en zij heeft hiermee vijftien prijzen gewonnen. Hierna publiceerde zij nog twee romans.
Deel 1 van Ons zwijgen en ons spreken speelt zich vooral af rond 1950 – 1955 en we leren Anne en Béatrice kennen. Anne komt uit Bordeaux en is door haar ouders naar familie in Parijs gestuurd. Haar oom is directeur in een psychiatrische inrichting voor adolescenten en Anne krijgt daar een baantje. In die inrichting leert zij de dertienjarige Béatrice kennen die daar is opgenomen met anorexia. De twee sluiten een bijzondere vriendschap. Je leert Anne kennen door de brieven die zij schrijft aan haar beste vriendin in Bordeaux, Lizzie. Uit de brieven blijkt dat Anne iets meegemaakt heeft, maar niet precies wat dat is. Daarnaast vertelt ze over Béatrice en andere patiënten in de kliniek omdat Lizzie psychologie studeert en daardoor toelichting kan geven op de ziektes die de patiënten hebben. Béatrice geeft ons een inkijkje in haar leven door middel van dagboekpassages. Volgens de psychiaters heeft zij anorexia, al vindt Béatrice dat zij alles nog goed onder controle heeft. Samen observeren Anne en Béatrice de jonge Émile, die de idioot wordt genoemd. Émile is een autistische jongen van elf, de jongste in de kliniek. De behandeling van autisme staat nog in de kinderschoenen en niemand weet goed hoe om te gaan met deze jongen. Tot het de tuinman lukt om contact te maken. Maar is dat op tijd om te voorkomen dat Émile naar een gesticht wordt gestuurd?
De brieven en dagboekpassages wisselen elkaar af waardoor ze elkaar goed aanvullen. Je krijgt een goed beeld van het leven in de inrichting en hoe de behandelingen worden uitgevoerd. Het wordt duidelijk dat de inrichting van Anne haar oom vooruitstrevend is, en Anne raakt in de ban van de patiënten. Dit zorgt ervoor dat zij zich hard inzet om op de universiteit psychologie te gaan studeren en zij wordt uiteindelijk een zeer bekende psychologe die zich richt op de behandeling van anorexia.
Deel 2 maakt een sprong naar het heden. Sophie is psychologiestudent en moet haar proefschrift schrijven. Dit doet zij over psychiatrische instellingen in Parijs rond 1950. De inrichting waar Béatrice heeft verbleven is afgebrand maar via via weet zij een aantal dozen met documenten in bezit te krijgen. Hier blijkt het dagboek van Béatrice in te zitten en Sophie raakt geobsedeerd door Béatrice en Anne. Wat volgt is een zoektocht naar deze, inmiddels bejaarde, vrouwen. Tegen het advies van haar professor in neemt het proefschrift een andere wending en duikt Sophie in het verleden van Anne. Dit brengt haar uiteindelijk naar Bordeaux.
Opvallend aan deel 1 is de ouderwetse schrijfstijl. Anne komt uit een vooraanstaande familie en dat is te merken aan haar woordgebruik. Dit zorgt dat het niet altijd even vlot leest maar past wel goed bij de tijd waarin het zich afspeelt. Anne is slim en schrijft veel over haar overpeinzingen rondom het wel en wee in de inrichting. Hoewel er wordt aangegeven dat Béatrice zeer slim is voor haar leeftijd voelt haar dagboek wat te volwassen aan. Eerder alsof er een zeer volwassen vrouw aan het woord is in plaats van een tiener. Ook in deel 2 blijft de schrijfstijl wat ouderwets aanvoelen. Wellicht komt dit door de vertaling, naar mijn mening is dat de Franse taal sowieso een chiquere taal is en dat heeft zich voor mijn gevoel doorgezet in de vertaling. Maar ondanks de zinsopbouw en het woordgebruik leest het boek heel prettig.
Cathy Bonidan heeft op een bijzondere manier dit verhaal opgebouwd. In deel 1 krijg je als lezer veel vragen en deze worden in deel 2 grotendeels beantwoord. Maar er blijven ook een hoop gaten zitten, en later wordt duidelijk dat dit bewust is gedaan zodat de lezer zelf zijn of haar verhaal kan creëren. Hoewel de flaptekst en deel 1 doen vermoeden dat dit een heel zwaar verhaal is, valt dat in deel 2 heel erg mee. Het ontwikkelt zich naar een heel interessant verhaal over de psychiatrie in de vorige eeuw en over vriendschap en liefde. Omdat ook Sophie een wat geheimzinnig karakter blijft, wil je constant blijven doorlezen. Je raakt verbonden met alle personages en hoe zij hun leven hebben geleid.
Ons zwijgen en ons spreken heeft mij zeer positief verrast. Waar ik me had schrap gezet voor een zwaar en beladen verhaal, las ik een mooie roman met veel diepgang. De personages ontwikkelen zich goed en door de opbouw van de verhaallijn kon ik dit boek niet wegleggen. Cathy Bonidan geeft een prachtige inkijk in wat liefde en aandacht met een mens kunnen doen. Ontroerend, grappig en soms pijnlijk, dat is hoe ik deze roman zou omschrijven. Daarom van mij 4 sterren.
Le changement de narration en milieu de roman m'a surprise !
J'ai aimé qu'on découvre l'histoire sur plusieurs couches, de plusieurs manières différentes (lettres, narration, dialogue). On apprend à connaître une première fois les personnages par nous-mêmes à travers le chapitre épistolaire, puis on apprend à connaître d'autres personnages, qui elleux découvrent les premier-es, et par la même occasion nous les redécouvrons sous un autre angle.
L'histoire en tant que telle ne m'a pas particulièrement touchée. J'ai même eu quelques appréhension quant à la volonté de l'autrice d'avoir placé son histoire dans un contexte historique qui lui permettait de parler d'autisme sans avoir à se mettre aucune barrière de bienveillance. A priori pas, vu le reste du roman, mais cela m'a tout de même refroidie quelque peu.
This entire review has been hidden because of spoilers.
3.5☆ A quick and easy read. It's an interesting story to analyze from my modern-day psychology perspective. To me, it only offered some small surprises (not as many or grand ones as I anticipated based on the blurb), but this gave the story something of a simple beauty. It was a good book in the sense that it touched me. My heart went out to all little Émiles, Béatrices and others that have lived and maybe died under these circumstances.
Some quotes that stood out to me: (Dutch)
'Het is vreemd: ik schrijf "prachtig" omdat ik weet dat dat het juiste woord is, maar in werkelijkheid voel ik het niet zo.'
'Zonder enige gêne antwoordde Serge ... dat als ze een kind wilde horen praten, ze er wel naar moest willen luisteren.'
'... leek het ons belangrijk om zo snel mogelijk thuis te raken in het psychologisch jargon, om zo het recht te krijgen te worden gehoord'
Wat een prachtige roman over een psychiatrische inrichting in de jaren 60. Fascinerend hoe anders er toen met mensen werd omgegaan. Hoe patiënten met autisme simpelweg idioten werden genoemd. Erg blij dat er op dit vlak sindsdien grote stappen zijn gezet.
Het is zeker van toegevoegde waarde dat dit boek zich in twee verschillende tijdsperiodes afspeelt; dit vult elkaar mooi aan en geeft het verhaal meer diepgang.
Wel erg slordig dat op de achterflap wordt gesproken over kleine Chris, terwijl deze jongen toch echt Émile heette.
2,5/5 Plutôt très mitigée par ce roman. La première partie m'a séduite mais je suis profondément déçue de la 2e, je comprends l'idée, l'initiative et la volonté, mais le roman est trop court pour se permettre une double narration si on veut avoir le temps de s'attacher aux personnages. J'adorai Anne, Serge et Béatrice et les quitter avant de les suivre vraiment m'a embêté. Le roman se lit toutefois bien
J ai adoré ce roman. Il illustre que malgré nos faiblesses et failles, elles sont source de force et de potentielle réussite. J ai découvert ce monde des centres psychiatriques et leur travail vital au côté des patients. J ai été émue, touchée par ces histoires d amours qui portent, en douceur, sans changer l être aimé. Merci pour cette écriture, Madame Cathy Bonidan
Le parfum de l'Hellébore est comme une boite de chocolats à déguster.
Je découvre le synopsis et sais d'avance que je vais passer un merveilleux moment avec tous les personnages qui attendent à l’intérieur. Une plume magnifique, tellement sincère, profonde et émouvante, qu'il m'était presque impossible de m’arrêter, ne serait-ce que pour me prendre un petit en-cas. Tout au long de ma lecture, j'ai ressenti énormément d'émotions. Je me suis sentie si petite, si timide et proche en même temps de tous ces pensionnaires, avec cette sensation d'entrer, malgré moi, dans leur intimité ; mais, ce besoin d'en découvrir plus était là. Faut dire que le sujet principal qui n'est pas anodin du tout était traité et vu différemment dans une époque, les années 60, où les méthodes et pratiques étaient quelques peu différentes d'aujourd'hui. Et c'est donc avec un regard extérieur que je découvre la psychiatrie infantile ; sous l’œil avisé et d'une volonté exceptionnelle de nos deux héroïnes du roman, Anna et Béatrice, que nous allons suivre à travers un journal intime et sous forme d'échange épistolaire, Gilles, un jeune garçon, autiste, âgé de onze ans, impossible à gérer et Serge, un taciturne jardinier qui préfère rester dans son coin à prendre soin de ses plantes.
Cathy Bonidan a divisé le roman en deux parties. Dans la première partie, nous sommes dans les années 60. On fait la connaissance d'Anne, 18 ans, fille de bonne famille, qui vient de se faire hospitaliser dans le centre psychiatrique où travaille son oncle, directeur. Grosso modo, elle n'est pas malade mais la relation avec ses parents devenait trop conflictuelle, il était donc nécessaire, pour elle, de s'éloigner d'eux. C'est ainsi que la jeune femme, décide de perdre du poids, faisant croire par là, que son problème était anorexique. Le subterfuge fonctionne puisqu'elle se fait interner. Sur place, elle fait la connaissance de Béatrice,13 ans, réellement anorexique mais qui n'a pas trop l'air de s'en soucier plus que ça. Toutes les deux vont se lier d'amitié et chacune dans son côté sera dans la phase observation et écriture. Pis dans l'autre moitié du livre, nous nous retrouvons 60 ans après où nous faisons connaissance de Sophie, une étudiante qui doit terminer sa thèse sur ce centre psychiatrique, avec l'espoir de retrouver des archives, ou peut-être mieux encore.
Pour ma part, je suis réellement admirative de la manière dont l'auteure apporte tout cela : finesse et intelligence. Sophie fera connaissance d'un passé où les destins vont se croiser et faire impact sur sa vie actuelle avec une pointe d'espoir qui viendra, peut-être, sublimer son présent. Pour moi, en tant que lectrice, c'est une véritable claque que je vous recommande !
exceptionnellement beau et doux. je n’aurais pas pu rêver mieux pour commencer 2022. adolescence, psychiatrie, santé mentale, relations, combats, années 60… bref quelques thèmes qui forment un très beau récit.
L’histoire est absorbante, sublime et tellement bien écrite. C’est le genre de livre que l’on a envie de relire et relire. Je ne peux que le recommander.