What do you think?
Rate this book
Les Aventures de Lucky Luke d'après Morris #3
Mies Washingtonista
Achdén ja Laurent Gerran Lucky Luken uudet seikkailut -sarjan kolmas osa.
47 pages, Paperback
First published December 5, 2008
4 people are currently reading
77 people want to read
Ratings & Reviews
Friends & Following
Create a free account to discover what your friends think of this book!
Community Reviews
Displaying 1 - 19 of 19 reviews
October 10, 2024
Lucky Luke als Leibwächter
Eben noch hat er Billy the Kid wieder einmal hinter Schloß und Riegel gebracht, da trifft schon ein neuer Auftrag für Lucky Luke ein: Er soll den republikanischen Präsidentschaftskandidaten Rutherford B. Hayes bei seiner geplanten Wahlkampfreise durch den Wilden Westen begleiten und dafür sorgen, daß Hayes‘ Widersacher Perry Camby aus Texas keinen Erfolg mit seinem Plan hat, Hayes durch einen Killer umbringen zu lassen. Schon bald wittert Luke diesen geheimnisvollen Killer unter Hayes‘ Begleitern, doch weiß er nicht, wer der gedungene Mörder ist.
Der Mann aus Washington ist der dritte der von Hervé Darmenton (Achdé) gezeichneten Comics – Achdé trat nach Morris‘ Tod dessen Nachfolge als Zeichner des Cowboys, der schneller zieht als sein Schatten, an – und meiner Meinung nach auch einer der gelungensten der Post-Morris-Ära. Achdés zeichnerischer Stil lehnt sich sehr an den von Morris an und ist gestochen klar, wobei allerdings die Darstellung der in der Geschichte auftauchenden Schwarzen – unter anderem der Ragtime-Musiker Scott Joplin – für einen 2008 erschienenen Comic unangenehm stereotyp ist. Auch wählt Achdé des öfteren dem Film abgeschaute Perspektiven – etwa, wenn wir über den gerade abgefeuerten Revolver des geheimnisvollen Attentäters blicken dürfen, der aus dem Dunkel auf sein Opfer schießt. Auch die Story zeichnet sich durch Abwechslung und großartige Komik aus: So führt sie uns beispielsweise in die Stadt Hermann auf ein deutsches Volksfest, unter die Indianer, läßt uns ein Attentat in einem Saloon erleben, uns mit dem Ku-Klux-Klan zusammenstoßen und mündet in eine denkwürdige Wahlveranstaltung in einer texanischen Stadt. Kurzum, es wird keinen Augenblick lang langweilig. Immer wieder gibt es augenzwinkernde Anspielungen, wie einen Mauerfall in Hermann oder musikalische Schmankerl in Memphis. Das Landei Jolly Jumper bekommt den Snobismus der Gäule in Washington zu spüren, und es gibt auch einen köstlichen Running Gag, wenn der Präsidentschaftskandidat Hayes immer wieder nach Möglichkeiten sucht, dem temperamentvollen Temperenzlertum seiner Gattin „Lemonade Lucy“ zu entkommen. Dabei wird auch deutlich, daß es mitunter nachgerade gesundheitsfördernd sein kann, einen kleinen Flachmann direkt bei sich zu führen. Man mag sich darüber streiten, ob Rutherford Hayes wirklich ein so perfekter Präsident war, wie es dieser Comic ausmacht, aber desungeachtet haben wir hier wirklich ein rundum gelungenes Abenteuer vor uns.
Eben noch hat er Billy the Kid wieder einmal hinter Schloß und Riegel gebracht, da trifft schon ein neuer Auftrag für Lucky Luke ein: Er soll den republikanischen Präsidentschaftskandidaten Rutherford B. Hayes bei seiner geplanten Wahlkampfreise durch den Wilden Westen begleiten und dafür sorgen, daß Hayes‘ Widersacher Perry Camby aus Texas keinen Erfolg mit seinem Plan hat, Hayes durch einen Killer umbringen zu lassen. Schon bald wittert Luke diesen geheimnisvollen Killer unter Hayes‘ Begleitern, doch weiß er nicht, wer der gedungene Mörder ist.
Der Mann aus Washington ist der dritte der von Hervé Darmenton (Achdé) gezeichneten Comics – Achdé trat nach Morris‘ Tod dessen Nachfolge als Zeichner des Cowboys, der schneller zieht als sein Schatten, an – und meiner Meinung nach auch einer der gelungensten der Post-Morris-Ära. Achdés zeichnerischer Stil lehnt sich sehr an den von Morris an und ist gestochen klar, wobei allerdings die Darstellung der in der Geschichte auftauchenden Schwarzen – unter anderem der Ragtime-Musiker Scott Joplin – für einen 2008 erschienenen Comic unangenehm stereotyp ist. Auch wählt Achdé des öfteren dem Film abgeschaute Perspektiven – etwa, wenn wir über den gerade abgefeuerten Revolver des geheimnisvollen Attentäters blicken dürfen, der aus dem Dunkel auf sein Opfer schießt. Auch die Story zeichnet sich durch Abwechslung und großartige Komik aus: So führt sie uns beispielsweise in die Stadt Hermann auf ein deutsches Volksfest, unter die Indianer, läßt uns ein Attentat in einem Saloon erleben, uns mit dem Ku-Klux-Klan zusammenstoßen und mündet in eine denkwürdige Wahlveranstaltung in einer texanischen Stadt. Kurzum, es wird keinen Augenblick lang langweilig. Immer wieder gibt es augenzwinkernde Anspielungen, wie einen Mauerfall in Hermann oder musikalische Schmankerl in Memphis. Das Landei Jolly Jumper bekommt den Snobismus der Gäule in Washington zu spüren, und es gibt auch einen köstlichen Running Gag, wenn der Präsidentschaftskandidat Hayes immer wieder nach Möglichkeiten sucht, dem temperamentvollen Temperenzlertum seiner Gattin „Lemonade Lucy“ zu entkommen. Dabei wird auch deutlich, daß es mitunter nachgerade gesundheitsfördernd sein kann, einen kleinen Flachmann direkt bei sich zu führen. Man mag sich darüber streiten, ob Rutherford Hayes wirklich ein so perfekter Präsident war, wie es dieser Comic ausmacht, aber desungeachtet haben wir hier wirklich ein rundum gelungenes Abenteuer vor uns.
June 29, 2019
A cowboy acts as a bodyguard.
The story and graphics were reasonable.
Reading time around thirty minutes.
The story and graphics were reasonable.
Reading time around thirty minutes.
September 26, 2019
Après une guerre civile dévastatrice et 8 ans de bordel avec le président Ulysse Grant qui fit de la corruption un état d'esprit, les États-Unis ont envie d'un président moins corruptible et plus sérieux pour se relever et aller de l'avant.
Il y en a deux, un pour les Démocrates et deux pour les Républicains : un honnête homme et un candidat autoproclamé qui a fait fortune dans le pétrole, vient du Texas et a une sale tronche de DoubleYouBouche…
Le pays n'étant pas sûr, on charge Lucky Luke de protéger le candidat à la présidence, Rutheford Hayes, qui voudrait aller à la rencontre de ces concitoyens, surtout ceux de l'Amérique sauvage.
Les auteurs ont fait un choix assumé (je suppose) avec un candidat Républicain, mais tout comme Lucky Luke, si ce candidat est élu et que son programme est respecté, cet homme me réconciliera avec la politique !
Mais entre nous, il y a peu de chance que les américains soient d'accord avec son programme qui a tendance à donner des droits à ceux qui n'en ont pas et ça fait grincer les dents des électeurs, et de la NRA aussi car il veut restreindre les armes.
Une fois de plus, on part en voyage en train dans l'Amérique, partant à la rencontre d'une partie de sa faune humaine, qu'elle soit des plus sympathiques ou des plus affreuses, comme ces types avec des taies d'oreillers en coton 100% blanc qui s'amuse à faire danser un pauvre Noir.
Les auteurs tirent à boulets rouges sur certaines mentalités, les plus sombres, jouent avec les mots, font des références politiques ou humoristiques à notre monde avec une chanteuse nommée Britney Schpires ou un fou des armes nommé Sam Pallin.
Alternant les piques tout en les enrobant d'humour et l'action, les auteurs ne s'en tirent pas si mal et nous offrent un album correct, agréable à lire, où l'on sourit, mais sans éclats de rire non plus.
Qu'à cela ne tienne, leurs calembours passent comme une lettre à la poste (un jour où il n'y a pas grève) et on a l'impression de se trouver face à un Lucky Luke de l'ancienne génération, celle de Morris chez Dupuis, mais avec plus de références bien ciblées à notre monde qu'il ne le faisait lui, restant plus dans le général, ce qui donne des gags intemporels.
Je ne sais pas comment passeront les références à notre société d'aujourd'hui lorsque ces albums seront lus dans 20 ou 30 ans, comme c'est le cas avec les Lucky Luke de l'époque Dupuis.
Mon seul bémol sera pour le traître dans leur train (comme on avait dans l'album "La caravane") car c'est à se demande quand à eu lieu la substitution… Parce qu'elle a dû avoir lieu après la présentation, une personne ne pouvant se trouver à deux endroits à la fois.
Bon, je me doute de quand à eu lieu la substitution, mais j'aurais aimé savoir ce qu'était devenu le véritable personnage remplacé par le salopard ! Tout de même, là, il restait un point à éclaircir.
En tout cas, je n'ai pas de regrets de lecture pour cet album, il est agréable, possède de l'humour et un scénario bien mieux réussi que certains albums de ma connaissance et datant de l'ère où Morris passa chez Dargaud (à l'instigation de Goscinny) et où certains albums de ce duo manquaient de sel, de sauce, de liant (Dalton City, Jesse James, Fingers, le Bandit manchot, La Fiancée de Lucky Luke, Chasseur de primes, Sarah Bernhardt, le Pony Express, Chasse aux fantômes, le Klondike, O.K. Corral).
Et que dire de ceux qui tentèrent de remplacer Goscinny après son décès !
Il y en a deux, un pour les Démocrates et deux pour les Républicains : un honnête homme et un candidat autoproclamé qui a fait fortune dans le pétrole, vient du Texas et a une sale tronche de DoubleYouBouche…
Le pays n'étant pas sûr, on charge Lucky Luke de protéger le candidat à la présidence, Rutheford Hayes, qui voudrait aller à la rencontre de ces concitoyens, surtout ceux de l'Amérique sauvage.
Les auteurs ont fait un choix assumé (je suppose) avec un candidat Républicain, mais tout comme Lucky Luke, si ce candidat est élu et que son programme est respecté, cet homme me réconciliera avec la politique !
Mais entre nous, il y a peu de chance que les américains soient d'accord avec son programme qui a tendance à donner des droits à ceux qui n'en ont pas et ça fait grincer les dents des électeurs, et de la NRA aussi car il veut restreindre les armes.
Une fois de plus, on part en voyage en train dans l'Amérique, partant à la rencontre d'une partie de sa faune humaine, qu'elle soit des plus sympathiques ou des plus affreuses, comme ces types avec des taies d'oreillers en coton 100% blanc qui s'amuse à faire danser un pauvre Noir.
Les auteurs tirent à boulets rouges sur certaines mentalités, les plus sombres, jouent avec les mots, font des références politiques ou humoristiques à notre monde avec une chanteuse nommée Britney Schpires ou un fou des armes nommé Sam Pallin.
Alternant les piques tout en les enrobant d'humour et l'action, les auteurs ne s'en tirent pas si mal et nous offrent un album correct, agréable à lire, où l'on sourit, mais sans éclats de rire non plus.
Qu'à cela ne tienne, leurs calembours passent comme une lettre à la poste (un jour où il n'y a pas grève) et on a l'impression de se trouver face à un Lucky Luke de l'ancienne génération, celle de Morris chez Dupuis, mais avec plus de références bien ciblées à notre monde qu'il ne le faisait lui, restant plus dans le général, ce qui donne des gags intemporels.
Je ne sais pas comment passeront les références à notre société d'aujourd'hui lorsque ces albums seront lus dans 20 ou 30 ans, comme c'est le cas avec les Lucky Luke de l'époque Dupuis.
Mon seul bémol sera pour le traître dans leur train (comme on avait dans l'album "La caravane") car c'est à se demande quand à eu lieu la substitution… Parce qu'elle a dû avoir lieu après la présentation, une personne ne pouvant se trouver à deux endroits à la fois.
Bon, je me doute de quand à eu lieu la substitution, mais j'aurais aimé savoir ce qu'était devenu le véritable personnage remplacé par le salopard ! Tout de même, là, il restait un point à éclaircir.
En tout cas, je n'ai pas de regrets de lecture pour cet album, il est agréable, possède de l'humour et un scénario bien mieux réussi que certains albums de ma connaissance et datant de l'ère où Morris passa chez Dargaud (à l'instigation de Goscinny) et où certains albums de ce duo manquaient de sel, de sauce, de liant (Dalton City, Jesse James, Fingers, le Bandit manchot, La Fiancée de Lucky Luke, Chasseur de primes, Sarah Bernhardt, le Pony Express, Chasse aux fantômes, le Klondike, O.K. Corral).
Et que dire de ceux qui tentèrent de remplacer Goscinny après son décès !
March 25, 2023
A decent enough Comic, what is overshadowed by its weird Motive.
The Story makes it look like Hayes was a incredible Pressident who accomplished so much.
In reality his biggest Accomplishments where stabilizing the Economy, and reviving the Trust in the Institution of the Presidency.
The Comic Implies he was the one President who endet Slavery for good, but the Country worked towards that Goal for a while now, and not only did American Slavery never truely ended, just Cattle Slavery, he was willing to let Jim Crow Laws pass.
Some of the most inhumane Laws in American History.
And to top it all of, the timeframe in where he had Influence was after the Civil war, that means the Story played out after the Civil war. While im no Expert on American History, but I just dont feel confortanle whit Lucky Luke existing in that Time Periode.
The Artstyle reminds me of Asterix, its very clean, and pretty, but doesnt stand out.
I do like how the Woman are drawn, the tiny little Lipstick, and Headform is very unique, and pretty.
Not so much the Black Guys. This Corne Headform whit big Lips is not exactly sensitive.
The actual Mystery Man, despite some red herings was pretty obviouse as well, and the true Identity of the Antagonist felt very irrelevant. Its more another Desperado, his actual Motivation doesnt stand out, despite beeing framed as a big Deal.
I was super exited rereading the Story for this short Review, but after doing my Research and looking at the story more critically, it doesnt hold up nearly as well as I hoped for.
The Locations are quiet varried, not unlike "le Ballada de Dalton" whit a whide Number of different Western Personalitys, and Settings. Black Singers, the NRA, the KKK, Showgirls, Fox News, little Bavaria, Chinese Trainrail Workers, and on top of that, we even have Guest Apperances of Billy the Kid, and Elliot Belt, recuring Villians.
The Comedy is absolute spot on, and something very redeaming. There are so many funny Jokes, and while a bit bloaded whit Reference Humor, (The Kohl has brocken my Wall) it still managed to hit.
The love of Hayes for Alcohol, and Lemonade Lucys hate for the said Drink is a fun Dynamic, and while beeing a overly glorified Version of the true Man, the Comic Version of Hayes is quiet a charismatic, and fun Person.
The Story makes it look like Hayes was a incredible Pressident who accomplished so much.
In reality his biggest Accomplishments where stabilizing the Economy, and reviving the Trust in the Institution of the Presidency.
The Comic Implies he was the one President who endet Slavery for good, but the Country worked towards that Goal for a while now, and not only did American Slavery never truely ended, just Cattle Slavery, he was willing to let Jim Crow Laws pass.
Some of the most inhumane Laws in American History.
And to top it all of, the timeframe in where he had Influence was after the Civil war, that means the Story played out after the Civil war. While im no Expert on American History, but I just dont feel confortanle whit Lucky Luke existing in that Time Periode.
The Artstyle reminds me of Asterix, its very clean, and pretty, but doesnt stand out.
I do like how the Woman are drawn, the tiny little Lipstick, and Headform is very unique, and pretty.
Not so much the Black Guys. This Corne Headform whit big Lips is not exactly sensitive.
The actual Mystery Man, despite some red herings was pretty obviouse as well, and the true Identity of the Antagonist felt very irrelevant. Its more another Desperado, his actual Motivation doesnt stand out, despite beeing framed as a big Deal.
I was super exited rereading the Story for this short Review, but after doing my Research and looking at the story more critically, it doesnt hold up nearly as well as I hoped for.
The Locations are quiet varried, not unlike "le Ballada de Dalton" whit a whide Number of different Western Personalitys, and Settings. Black Singers, the NRA, the KKK, Showgirls, Fox News, little Bavaria, Chinese Trainrail Workers, and on top of that, we even have Guest Apperances of Billy the Kid, and Elliot Belt, recuring Villians.
The Comedy is absolute spot on, and something very redeaming. There are so many funny Jokes, and while a bit bloaded whit Reference Humor, (The Kohl has brocken my Wall) it still managed to hit.
The love of Hayes for Alcohol, and Lemonade Lucys hate for the said Drink is a fun Dynamic, and while beeing a overly glorified Version of the true Man, the Comic Version of Hayes is quiet a charismatic, and fun Person.
September 6, 2025
Ismét egy kötet a jobbik fajtából! A 19. századi amerikai választási rendszer visszásságairól, amik legyünk őszinték azóta sem enyhültek a magukat demokratikusnak nevező országokban, hazánkat is beleértve. Mi is kell ahhoz, hogy valakit megválasszanak bármilyen közhivatalra? Noshát kampánykörútra kell indulni és ott minél több embert meggyőzni a ránk való szavazásra. Az eszközök persze változnak, de már Cicero korából is maradt ránk könyv a híres orátor testvérétől, ami eloszlatja minden illúziónkat arról, hogy mi a megengedett ezen a téren. Noshát egy jó adag poén, egy antialkoholista feleség, egy körút, egy áruló és Lucky Luke mint megmentő ismét. Hayes későbbi elnökről pedig egy korabeli valódi fotó. A legviccesebb persze Hermann, a legnyugatibb német város és az ottani látogatás... "Hogyan, Amerikában nem császár van? - Nem, mi elnököt választunk. - Tényleg, ach micsoda ötlet..." :)
June 16, 2024
Trouvé et lu à la bibliothèque directement. Est-ce un bon Lucky Luke de la période moderne ? Oui. Est ce que j'ai pris plaisir à le lire ? Oui, certainement. Est ce que ma vie s'en trouve changée ? Non. c'est une bédé comme il en sort j'imagine des dizaines par an.
j'ai passé un bon moment et c'est tout. Pas mal de gag qui réflète le moment politique ou ca a été écrit, comme avec les autres Lucky Luke d'Achdé.
j'ai passé un bon moment et c'est tout. Pas mal de gag qui réflète le moment politique ou ca a été écrit, comme avec les autres Lucky Luke d'Achdé.
November 7, 2023
Visually engaging but narratively lacklustre. While Achdé has captured Morris’s drawing style (down to Luke’s enormous, cyborg-gunslinger hands), Gerra’s story is a plodding tour of American heartland stereotypes circa 1876. Without any sparkle to the script, Luke’s inherent blandness makes itself felt.
February 20, 2021
Celkem povedený příběh s Lucky Lukem coby bodyguardem budoucího prezidenta. Příběh byl trochu rozkouskovaný, ale zase nebylo až do konce jasné, kdo je tajemným škodícím cizincem (na rozdíl od jiných příběhů).
March 26, 2023
Yllättävän hyvä. Aika kevyt kuka-sen-teki -juoni ja aika heppoisia populaarikulttuuriviittauksia. Onnistui kuitenkin viihdyttämään sunnuntai-iltapäivää. Täytyy ottaa lukulistalle myös muita näitä uudempia "Morrisin jälkeen" tehtyjä seikkailuja.
April 10, 2023
I was mostly interested in the historical figures appearing in this one than in the story itself, although it's interesting enough how the creators of contemporary Lucky Luke stories are trying to stay relevant.
February 17, 2021
Een echt Lucky Luke verhaal. Actie, avontuur en een bespiegeling van de samenleving.
February 18, 2024
Excellent
April 3, 2025
The caricature of George W Bush as Perry Camby, the villain, is spot on!
February 24, 2017
Adoro gli albi di Lucky Luke dedicati ai viaggi di scorta da un capo all'altro degli Stati Uniti - adoro i "road movie" e le storie di viaggio in genere, potremmo forse definire questi albi una sorta di "coach books" o, meglio, "train books" visto il mezzo di locomozione che i nostri usano per spostarsi per la gran parte del tempo.
C'è anche tanta storia in questo albo di Lucky Luke, circostanziata e con tanto di date - una cosa che Morris e Goscinny avevano sempre evitato - e riferimenti multipli alla politica (spicca la caricatura di George W. Bush nella persona di un avido petroliere che si auto-candida a candidato del partito repubblicano e convince il popolo americano a votarlo a botte di corruzioni multiple e promesse populiste, come mantenere lo schiavismo e il possesso delle armi) (avete pensato a un certo, altro presidente degli USA eletto più recentemente? Anche io e quest'albo è del 2008). Ho ripensato ai bei vecchi tempi di Goscinny, leggendolo, soprattutto per la presenza di un sabotatore all'interno del gruppo di fedelissimi che circondano il futuro presidente Hayes e a Luke costretto a investigare, mentre deve anche aiutare Hayes a fare campagna elettorale nel Far West. Eppure il futuro presidente degli USA non è esattamente un piedidolci sprovveduto...
Da segnalarsi, perché l'ho adorato tantissimo, lo sprecarsi di citazionismi bellissimi su Memphis (dove, fra gli altri, appare persino un riferimento a Michael Jackson) e il fatto che ogni città che i nostri attraversino sia un micro-mondo fortemente caratterizzato da usi e costumi molto peculiari.
Godibilissimo.
C'è anche tanta storia in questo albo di Lucky Luke, circostanziata e con tanto di date - una cosa che Morris e Goscinny avevano sempre evitato - e riferimenti multipli alla politica (spicca la caricatura di George W. Bush nella persona di un avido petroliere che si auto-candida a candidato del partito repubblicano e convince il popolo americano a votarlo a botte di corruzioni multiple e promesse populiste, come mantenere lo schiavismo e il possesso delle armi) (avete pensato a un certo, altro presidente degli USA eletto più recentemente? Anche io e quest'albo è del 2008). Ho ripensato ai bei vecchi tempi di Goscinny, leggendolo, soprattutto per la presenza di un sabotatore all'interno del gruppo di fedelissimi che circondano il futuro presidente Hayes e a Luke costretto a investigare, mentre deve anche aiutare Hayes a fare campagna elettorale nel Far West. Eppure il futuro presidente degli USA non è esattamente un piedidolci sprovveduto...
Da segnalarsi, perché l'ho adorato tantissimo, lo sprecarsi di citazionismi bellissimi su Memphis (dove, fra gli altri, appare persino un riferimento a Michael Jackson) e il fatto che ogni città che i nostri attraversino sia un micro-mondo fortemente caratterizzato da usi e costumi molto peculiari.
Godibilissimo.
February 6, 2011
Politik ada dimana-mana bahkan sejak jaman manusia purba mungkin sudah ada!
Kali ini Lucky Luke harus mengamal perjalanan kampanye seorang calon presiden.
Sang calon, Senator Hayes malah sudah meramalkan kelak bakalan ada kandidat berkulit hitam di pemelihan presiden Amerika. Tepatnya ia menyebutkan, " Suatu saat kau akan lihat. Bakalan ada kandidat negro di pemilihan presiden Amerika, Scott!" saat berbincang dengan Scott salah satu pemusiuk yang ditemuinya.
Kali ini Lucky Luke harus mengamal perjalanan kampanye seorang calon presiden.
Sang calon, Senator Hayes malah sudah meramalkan kelak bakalan ada kandidat berkulit hitam di pemelihan presiden Amerika. Tepatnya ia menyebutkan, " Suatu saat kau akan lihat. Bakalan ada kandidat negro di pemilihan presiden Amerika, Scott!" saat berbincang dengan Scott salah satu pemusiuk yang ditemuinya.
June 24, 2017
J’aime bien les bds de Lucky Luke où l’intrigue s’appuie sur un fait historique. Dans le cas présent la course à la présidence de Rutherford B. Hayes. Plusieurs caricatures ou clin d’oeil se glissent ou se font chanter dans les cases au cours de l’album comme George W. Bush, Elvis, Micheal Jackson, Eddy Mitchell, Johnny Hollyday, les Beatles et le Mur de Berlin.
October 23, 2014
Nisu Goscinny&Morris, ali su next best thing (more-less). Prilično zabavan albumčić, upoznali smo vedriju i zabavniju stranu Divljeg zapada i lik Rutherforda Hayesa, budućeg američkog predsjednika tijekom njegove izborne kampanje (nekih 10 godina nakon Građanskog rata). To je i lik iz naslova, čovjek iz Washingtona. Album je 75. po originalnoj kronologiji...
April 2, 2021
Boa história com excelente desenho e bom humor. Gostei de ler.
É um humor ao momento que se viveu em 2020 ou 2016 com as eleicoes de Trump.
Parece que pode sobreviver mais tempo.
É um humor ao momento que se viveu em 2020 ou 2016 com as eleicoes de Trump.
Parece que pode sobreviver mais tempo.
May 31, 2022
its a great book and very funny, truly recommend.
Displaying 1 - 19 of 19 reviews