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Les Lettres Chinoises

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A Shanghai, deux jeunes gens, Yuan et Sassa, sont amoureux. Mais parce qu’il se sent étranger dans son propre pays, Yuan choisit un jour de venir s’établir à Montréal. Sassa, qui se refuse à voir dans l’exil un remède au mal de vivre, décide de ne pas le suivre. Leur amour supportera-t-il cet éloignement ?
S’inscrivant dans la plus belle tradition du roman épistolaire, Les Lettres chinoises racontent le déracinement, les départs, le choc des cultures et les amours impossibles. Ces lettres, où tous les mots sont permis, sauf ceux de la vérité, sont traversées par une inquiétude fondamentale, celle qui s’empare de l’âme lorsqu’elle prend la mesure de sa profondeur.

140 pages, Paperback

First published January 1, 1993

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About the author

Ying Chen

62 books33 followers
Ying Chen (en chinois, 应晨) est une écrivaine sino-canadienne née à Shanghai en 1961. Ying Chen y poursuit ses études universitaires jusqu'à l'obtention de sa licence-ès-lettres françaises. Outre le dialecte de sa région et le mandarin, elle a appris le russe, l'italien, l'anglais et le français. En 1989, elle vient étudier au département de langue française de l'Université McGill. Elle a habité Magog et depuis 2003 réside à Vancouver. Elle est mère de deux enfants.
Puis pour tromper la nostalgie de sa Chine natale, elle se met à l'écriture jusqu'à y consacrer douze heures par jour. Lorsqu'elle commence ses journées, elle se laisse bercer par la musicalité des textes de Marcel Proust qu'elle lit à haute voix. Son premier roman La mémoire de l'eau relate l'histoire de la Chine contemporaine à travers les yeux de femmes de plusieurs générations. Son second, Lettres chinoises, a pour sujet la correspondance d'un jeune immigrant à sa fiancée restée en Chine, et témoigne du choc des cultures, du déracinement et de l'impossibilité de l'amour. Son roman L'ingratitude lui vaut le prix Québec-Paris décerné en février 1996 ainsi que le prix des lectrices de la revue Elle-Québec. Le roman Immobile a la saveur d'un conte de fées. Le temps est le principal sujet de ce roman et il porte sur la mémoire.

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306 (38%)
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90 (11%)
1 star
15 (1%)
Displaying 1 - 30 of 59 reviews
Profile Image for Stela.
1,073 reviews438 followers
June 21, 2021
Je me suis posé la question, après la lecture de ce petit roman, si je devrais considérer Ying Chen une écrivaine chinoise de langue française ou plutôt une écrivaine canadienne d’origine chinoise. Tout comme je m’étais interrogée sur l’héritage russe d’Irène Némirovsky. Vivre dans un autre pays et dans une autre langue signifie-t-il s’identifier avec cet autre pays et cette autre langue en oubliant ou en niant ses origines? Et je pense à Eugène Ionesco, entre autres, qui a rejeté véhémentement son héritage roumain en se considérant entièrement Français…

Pourtant, quitter un pays et une culture ne s’avère guère suffisant pour enlever les mémoires, les influences, les habitudes, la façon de penser, toute une matrice stylistique (pour emprunter le terme du philosophe roumain Lucian Blaga) qui se profile discrètement derrière l’écriture. On sent l’appel des immenses steppes russes dans les romans de Némirovsky, on a envie de rire-pleurer à la roumaine en regardant la dramaturgie de Ionesco et on s’émerveille de la délicatesse des images comme incrustées sur des grains de riz de l’écriture de Chen.

Aussi se rend-on compte que peut-être la définition de l’originalité n’est pas être différent en soi, mais être différent parmi les autres. Tout cela pouvant expliquer pourquoi Les lettres chinoises ont été écrites en français et n’ont pas été traduites en « shanghaïen » où images, symboles et métaphores n’auraient pas eu le même impact et la même profondeur. Une autre explication étant, bien sûr, qu’elles ont été destinées en premier lieu aux errants de ce monde, à ceux qui sont partout et nulle part chez eux, bien qu’ils traînent le bagage, parfois assez incommode, de leurs souvenirs :

On vit dans une époque d’exil. Le mal du pays est devenu le mal du siècle.


En effet, le départ est le thème majeur d’un livre qui, sous une apparence épistolaire, est construit dans le fond comme un dialogue intérieur où l’espoir et le désespoir, la renonciation au passé et la confiance dans l’avenir, la comparaison culturelle, linguistique, psychologique et sociale s’entrelacent et prennent des noms différents, tels Sassa, Yuan et Da Li, mais s’expriment dans une seule tonalité, une seule voix.

C’est la voix de l’(auto)exilé, parfois douteuse, parfois confiante, parfois émerveillée, parfois regrettante, qui a peur de vérifier la vérité du dire : « … si un rêve est une réalité, le récit de ce rêve devient un mensonge. »

Mais surtout, surtout, qui a peur du changement du monde, d’un monde où les valeurs si chères à son âme se dégradent peu à peu :

Ma tête raisonnable me dit que toutes les amours finissent par ennuyer dans un monde où les droits sont plus importants que les devoirs, les cravates ou les bijoux plus importants que les poèmes et les os et les chairs plus importants que les sourires.


Et ce monde n’étant pas géographique, la grande décision n’est pas, en fin de compte, de rester ou de partir, de préserver fidèlement les traditions ou d’accepter le changement, mais de garder sa liberté intérieure, de voler à la rencontre de ses rêves avec, ou en dépit de, son passé :

Un cerf-volant incapable de voler sans sa corde ressemble à cet idiot qui, ayant trouvé un moyen de faire un trou dans un mur pour s’évader de la prison, se croit perdu le jour où ce même mur est enlevé.


Que ce chemin est douloureux et parsemé de sacrifices et renonciations est sans doute vrai et cette vérité imprègne la voix narrative d’une certaine tristesse et d’une calme résignation. Car, comme dans le rondel d’Edmond Haraucourt qui m’ a accompagnée tout au long de ma lecture:

« Partir, c'est mourir un peu,
C'est mourir à ce qu'on aime :
On laisse un peu de soi-même
En toute heure et dans tout lieu. »
Profile Image for Kelvino.
177 reviews5 followers
January 27, 2024
Read this book back in highschool french and it's such a fun read still. I don't often see epistolary novels so it's always such a sweet treat to read one. Though no way anyone writes letters like this irl LOL, I WISH my prose was half as beautiful as any of this. To me, Yuan and Sassa are two sides of the same coin really, when leaving where you've come from, stuck between the plenty opportunities provided by this new place and your motherland with which you will forever be tied with.

I think their relationship was doomed to fail from the start. Yuan is daring and adventurous, dissatisfied with what his life in China under the CCP. He thinks forward about life in Montreal and attempts to seek a better more free life. Sassa is conservative and traditional. She herself is also unsatisfied with her life in China but believing that life everywhere is the same, resigns herself to her "fate" in China. I feel like they were attracted to one another as they seemingly completed one another. Yuan is unable to cut ties completely with China and sees connection to his motherland through Sassa who always brings up the past and Sassa lacking the guts to leave, who's resigned hersellf to her life in China, completes herself by seeing Yuan be so adventurous.

Having read the book before, I recognize a lot of the events as foreshadowing for her final decision. Most notably, when she leaves the passport centre after getting an approval, nobody congregates to her as they would with other people that get their passports approved. Something about Sassa, it was obvious from the start that she wasn't the type to leave the country in the end.

By the end of the book, the kite metaphors sums it up well. Sassa had been mourning their relationship from the start, stating on multiple conclusions that Yuan was like dimensions away while Yuan reminds her that "um actually, it's just a 24 hour plane ride" LMFAO. From the start of their letters, Sassa and Yuan seemed to never be on the same page with one another despite addressing these letters directly. Yuan was like a kite held down by Sassa, who had let go already as they said farewell at the airport. Yuan held on thinking that a kite held on by nobody was just a soulless vagabond, he feared that his journey witnissed by no one would be meaningless. But Sassa pays no mind to his question of a meaningful journey, she'd idealized in him his ability to fly away and realized that the only reason he hasn't already is because of her : she'd been holding onto that string and holding him back in sorts. If she kept on holding on, he'd have fallen from the sky to stay with her and then, their relationship would have fallen apart anyways.

Yuan : "Je suis comme un cerf-volant qui vole très loin, vraiment très loin, et dont la corde est entre tes mains. Si tu lâches la corde, où ira-t-il, ce cerf volant?"

Sassa : "Ne me confie pas tes cordes, sinon tu risques de tomber par terre. Tu voleras très bien sans moi. Un cerf-volant incapable de voler sans sa corde ressemble à cet idiot qui, ayant trouvé un moyen de faire un trou dans un mur pour s'évader de la prison, se croit perdu le jour où ce même mur est enlevé"

Yuan : "Et si le cerf-volant n'avait pas peur de chuter? Et si je tenais à être cet idiot qui ne s'enfuit pas?"

Sassa : "Un cerf-volant par terre ne vaut plus rien. Et puis, je n'aime pas beaucoup les idiots. Adieu, Yuan"

This last exchange of letters gave me chills reading it. I didn't talk about Da Li but I loved her character as well. I thought she was in love with Yuan for the whole time but like??? No other sources talk about her a lot. I believe in her finding a place where she belongs.
Profile Image for arcobaleno.
649 reviews163 followers
June 15, 2017
Molto delicato questo scambio di lettere che si legge in un baleno. Non solo un dialogo tra due innamorati, cui si aggiunge la voce di una comune amica, ma l'occasione per mettere a confronto due culture e due modi di affrontare la vita. Allo spirito libero ed entusiasta di Yuan, che decide di andare a cercar "fortuna" in Canada (in me è rinata quella curiosità che sembrava scomparsa a poco a poco insieme alla giovinezza. Ho l'impressione di essere ringiovanito... Per questo consiglierei a tutti di emigrare), si contrappone quello dubbioso e ancorato alle tradizioni di Sassa, che rimane a Shanghai in attesa di raggiungere il fidanzato (Lasciare il proprio paese non è più facile che rimanerci... Mi piace questa sensazione di annegare in mezzo a teste che mi somigliano un po').
Ben organizzate e scorrevoli, le lettere sembrano alternarsi armonicamente anche nel ritmo: veloci, impulsive quelle da Montréal; pacate, riflessive quelle da Shanghai. Esse vanno ad esplorare vari ambiti: tradizioni, famiglia, amore, nostalgia e, soprattutto, la libertà, motore del romanzo (comincio ad avere paura di questa libertà che mi attira come un buco nero. La sua profondità sbalordisce). Ciò che più spaventa Sassa è la dicotomia della vita dell'emigrato che alla fine vive in due mondi e ama in due modi diversi, e dice: io ti amo in un modo che è all'antica persino nel nostro paese.

Un pensiero speciale all'amica Stela che ringrazio per il suo consiglio di lettura.
Profile Image for Anne-Claire.
294 reviews4 followers
October 28, 2020
J'ai accueilli la lecture de ce petit opus de Ying Chen comme un bel intermède poétique entre deux lectures plus intenses.
Grâce à cet échange épistolaire tri-partite, nous suivons les traces de Yuan, fiancé de Sassa, parti s'établir à Montréal, officiellement pour étudier, officieusement pour s'échapper de son monde qu'il trouve trop étriqué.
La jeune Da Li, meilleure amie de Sassa, suivra le même chemin que Yuan, officiellement pour les mêmes raisons.
Sassa, quant à elle, reste accrochée à son pays d'enfance, malgré l'insistance sans faille de son fiancée pour la faire venir auprès de lui.
Ces courtes lettres sont empreintes de poésie et de tendresse. Chaque personnage livre avec beaucoup d'humilité ses propres sentiments qui sont tous autant légitimes l'un que l'autre.
L'histoire en tant que telle ne représente pas grand intérêt. La complexité des relations entre ces trois personnes étant l'essence-même de ce petit livre.
En résumé, j'ai passé un agréable moment, sans pour autant que ce roman ne me laisse un souvenir impérissable.
Profile Image for Abby.
72 reviews
June 14, 2025
It was easy to get invested in a relationship that takes place over two worlds I know nothing about. Highlights the intimacy that can be found letters, but also the way we can hide behind them. Finished feeling unsettled. Good to read in French again!
Profile Image for Zoé Larocque.
52 reviews3 followers
December 6, 2020
Un roman épistolaire sur le déracinement, l'exil et l'amour impossible. La prose de Ying Chen se lit facilement et offre de belles images pour comprendre la réalité de deux exilés.
Profile Image for Sarah Packard.
17 reviews
June 7, 2010
Le style d'auteur était facile à suivre, mais son roman était assez profond. Ying Chen a remarqué beaucoup de points qui touchent à la réalité d'une personne qui s'installe dans un nouveau pays et une nouvelle culture et veut s'adapter. En tant qu'une personne qui s'est allée vivre dans une culture chinoise il y a un an ou deux, c'était interessant de lire le point de vue chinois sur la même sorte d'expérience.
344 reviews1 follower
February 13, 2024
C'est un peu vrai, ce qu'elle a dit. On n'a pas besoin d'aller à l'étranger pour devenir étranger. On peut très bien l'être chez soi. Quand on ne se sent pas bien ailleurs, on blâme l'exil et on se console avec les souvenirs de sa mère patrie, purifiés et embellis par l'imagination grâce à la distance et au temps écoulé. Mais quand on est étranger chez soi, on n'a aucun espace de retraite. On a l'impression de s'exiler dans des abîmes pourtant familiers, sans issue ni consolation. Depuis que tu es parti, mon amour, dans un pays dont l'existence m'échappe complètement, je me sens précipitée vers ces abîmes. Je suis partie moi aussi en exil.

Ce roman épistolaire chronique l'exil physique de Yuan et l'exil psychologique de Sassa, la fiancée qu'il a laissé derrière lui.

C'est un échange troublant et touchant qu'ont les deux personnages principaux, qui s'accrochent au futur qui doit les réunir alors qu'ils vivent chacun des grandes épreuves. J'ai trouvé la conversation très émouvante. Le seul facteur qui me fait déduire une étoile est que les échanges manquent, à mes yeux, d'authenticité. Les personnages (une troisième interlocutrice intervient aussi dans le récit) ont tous la même façon de s'exprimer, une grande propension aux métaphores et un langage trop riche pour des échanges informels.
97 reviews
August 31, 2023
Il s’agit d’une correspondance lourde de non-dits et de sous entendus.

Restée seule pays dans son fiancé et son amie qui vivent maintenant à Montréal, Sassa ressasse des souvenirs et se flétrit lentement. Elle devient plus sage (bien que sa jeune sœur le soit encore plus qu’elle), un peu poète et philosophe.

« Je me demande pourquoi nous, qui vivons dans une époque bien meilleure que d’autres, sommes perpétuellement malheureux. Peut-être sommes-nous trop exigeants à l’endroit de la vie? Désirons-nous trop le merveilleux sans être capables de vivre les banalités? Le merveilleux étant une perle, le banal est son sable. Aurions-nous toujours besoin de nous éloigner du sable pour connaître la beauté de la perle? » p. 89

« Une fleur qui ne meurt pas n’est pas une vraie fleur. Inutile d’espérer qu’elle vive aussi longtemps que toi. Et pour elle, la longévité n’est peut-être pas si souhaitable. » p. 105, en parlant de vouloir dénaturer les choses, lorsqu’on les veut sérieuses par exemple.
Profile Image for Joan Damiens.
301 reviews16 followers
December 29, 2018
Très belle lecture, avec des métaphores sublimes et des thèmes très bien traités, parmi lesquels : la migration, la relation longue distance, le mal-être permanent de la jeunesse et l'angoisse existentielle liée à la difficulté de s'insérer dans le vie, surtout dans les "pays moins développés".

Cependant, certains éléments m'ont un peu refroidie.

Cela dit, un très beau traitement de la relation longue distance, et des longues lettres échangées, que l'on finit presque par préférer à la personne qui les écrit.
Profile Image for Odélia.
98 reviews2 followers
November 26, 2025
Un des premiers livres d’école que j’ai pas détester…that is definitely a win :)

J’ai adoré le format du livre, le fait que les chapitres soient des lettres, love that!

L’histoire est plutôt intéressante. D’un côté il y a Yuan qui vient d’immigrer au Canada il est donc un étranger, mais de l’autre il y a également Sassa, sa fiancé, qui se sent étrangère en chine dans son propre pays. On voit les impacts de la distance et de la différence de culture sur leur relation. Bien sûr il y un deeper meaning sur les rêves, les métaphores, etc, mais I ain’t got time to think about all that 😭

DaLi est aussi un personnage très intéressant et j’aurais aimée apprendre plus sur elle. Même si elle n’était qui personnage secondaire, elle a quand même jouer un très grand rôle dans l’histoire…IT WAS SO TEA i loved it hehehe 😛

Profile Image for renée.
29 reviews
January 24, 2025
en vrai 3.5, roman épistolaire court avec style léger et simple menant à une lecture facile et agréable. histoire remplie de thèmes d’éxile, de perte, d’amour, de morale, d’altérité, d’immigration, de l’inconnu et la peur de cette dernière. cependant, l’auteur ne fais que passer brièvement sur la majorité. le travail de réflection et d’analyse revient alors au lecteur. j’ai apprécié le format épistolaire et le parcours individuel de chaque personnages, mais ce n’est pas un roman postcolonial incontournable à mon avis
746 reviews
July 4, 2021
3/5 étoiles

Une exploration nuancée de l'exil, de son effet sur les relations entre les individus et sur l'identité...

Malheureusement, toutes les voix se ressemblent: on ne peut distinguer qui écrit chaque lettre qu'au contenu de celle-ci. De même, le format épistolaire force l'autrice à avoir recours à une forme d'exposition peut naturelle (les personnages ont-il besoin de s'expliquer entre eux des souvenirs qu'ils ont vécus ensembles).
Profile Image for Verito Gomez.
42 reviews2 followers
December 2, 2024
Madame, my teacher gave us this book as a assignment for our last exam, I have to thank her for this amazing book, so many topics that made me think about migration and other people lives and the importance of the communications skills.
(I’m studying modern languages) as a student this book made learn so many words and to comprehend more the French language. If at the beginning of the year someone had told me that i would be capable of reading a book like this in French I would be so shocked.
Profile Image for Annie L.
634 reviews2 followers
April 10, 2020
Une belle découverte pour moi. Une histoire d'amour, de chemins qui se séparent quand les rêves de chacun nous mènent dans des directions opposées, d'immigration, d'amour et de haine envers son pays d'origine et celui d'accueil.
Je sors de cette lecture avec encore plus de respect pour ces gens qui quittent tout pour s'exiler à l'autre bout de la planète.
1 review
March 5, 2021
Šią knygą labiausiai rekomenduoju visiems, kurie nesenai pradėjo mokytis prancūzų kalbos. Siužetas labai paprastas, nesudėtinga sekti veiksmą. Kadangi autorė pati yra imigrantė, jai prancūzų kalba nėra gimtoji. Ji ją išmoko, todėl ir rašo nenaudodama sudėtingo žodyno ar posakių, nesuprantamų pradedantiesiems.
Profile Image for Jessica Harvey.
16 reviews
May 27, 2023
Un peu comme tout le monde, j'ai aimé le contraste des cultures entre Shangaï et Montréal. Toutefois, l'histoire d'amour est tellement déprimante. J'ai de la difficulté à croire que Sassa ne réalise pas qu'elle encourage une infidélité entre son fiancé et sa meilleure amie. La fin est décevante et un peu abrupte. Une plume magnifique, mais qui ne suffit pas à sauver le récit qui tombe à plat.
This entire review has been hidden because of spoilers.
Profile Image for Daniel Beltrán.
64 reviews28 followers
September 12, 2019
Con el final quedé un poco pensativo. El libro me ha gustado bastante, no sé si darle cuatro o cinco estrellas, pero la verdad sí que me ha cautivado. Es muy bella la prosa de Ying Chen y este libro ya se queda como el primero que leí en francés.
3 reviews
October 8, 2021
SO much better than I was expecting. A pretty short read, good for the subway ride with short chapters which is one of my favourite book things. I did hate the ending, but that’s just because I’m too optimistic.
Profile Image for Khetsia.
71 reviews
May 29, 2022
2,5/5: J’ai bien aimé les réflexions sur l’exil (vs la migration), l’identité et les ressemblances entre l’Occident et l’Orient. Ce qui m’a déplu c’est l’histoire d’amour qui m’a semblé irréel, les personnages unidimensionnels, l’histoire décousue et la fin abrupte.
Profile Image for Khetsia.
38 reviews
June 25, 2022
2,5/5: J’ai bien aimé les réflexions sur l’exil (vs la migration), l’identité et les ressemblances entre l’Occident et l’Orient. Ce qui m’a déplu c’est l’histoire d’amour qui m’a semblé irréel, les personnages unidimensionnels, l’histoire décousue et la fin abrupte.
Profile Image for Catheriine.
327 reviews
May 12, 2025
J'ai bien aimé le début de ce roman épistolaire mais je crois que mon intérêt s'est essoufflé rapidement. De plus, j'ai peu aimé l'usage du "tu" qui revient très souvent, presque accusateur dans le discours des protagonistes. C'est peut-être juste une perception...
Profile Image for Wajed Kassas.
6 reviews2 followers
April 16, 2018
Je ne sais pas pourquoi,quand j’ai fini la roman je me suis sentie très triste.
Displaying 1 - 30 of 59 reviews

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