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Phobos #4
Phobos⁴
Lancement des chaînes des pionniers dans
3 secondes...
2 secondes...
1 seconde...
Ils peinent à reprendre leurs marques.
Ils sont les derniers survivants du programme Genesis. Après avoir traversé un désert de solitude, ils sont emportés par un tourbillon de célébrité.
Elle peine à reprendre son souffle.
Obsédée par des questions sans réponse, Léonor refuse les honneurs et les caméras. Le danger planant sur la planète bleue est-il vaincu pour toujours ? Les secrets hantant la planète rouge sont-ils enfouis à jamais ? Et si, d'un bout à l'autre du système solaire, tout pouvait basculer à nouveau ?
Même si l'angoisse mène au bord de l'asphyxie, il est trop tôt pour respirer.
3 secondes...
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1 seconde...
Ils peinent à reprendre leurs marques.
Ils sont les derniers survivants du programme Genesis. Après avoir traversé un désert de solitude, ils sont emportés par un tourbillon de célébrité.
Elle peine à reprendre son souffle.
Obsédée par des questions sans réponse, Léonor refuse les honneurs et les caméras. Le danger planant sur la planète bleue est-il vaincu pour toujours ? Les secrets hantant la planète rouge sont-ils enfouis à jamais ? Et si, d'un bout à l'autre du système solaire, tout pouvait basculer à nouveau ?
Même si l'angoisse mène au bord de l'asphyxie, il est trop tôt pour respirer.
656 pages, Paperback
First published November 23, 2017
70 people are currently reading
1874 people want to read
About the author
Victor Dixen
46 books1,141 followers📖 Two-time winner of the Grand Prix de l’Imaginaire, Victor Dixen stands at the forefront of French fantasy and science-fiction. His acclaimed series include Animale, Phobos, Cogito, Extincta, and Vampyria. A nomadic writer, he has lived in Paris, Dublin, Singapore, New York, and now Washington, DC, drawing inspiration from the promises of the future as much as the ghosts of the past.
Victor Dixen’s books have been translated into 10 languages.
> more on Victor Dixen website
📖 Victor Dixen, double lauréat du Grand Prix de l'Imaginaire, est l'une des figures de proue de la littérature française de l'imaginaire (Animale, Cogito, Extincta, ainsi que les sagas Phobos et Vampyria). Écrivain nomade, il a vécu à Paris, à Dublin, à Singapour, à New York et à Washington, puisant son inspiration aussi bien dans les promesses du futur que dans les fantômes du passé.
Les livres de Victor Dixen sont traduits dans 10 langues.
> plus sur le site de Victor Dixen website
Victor Dixen’s books have been translated into 10 languages.
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📖 Victor Dixen, double lauréat du Grand Prix de l'Imaginaire, est l'une des figures de proue de la littérature française de l'imaginaire (Animale, Cogito, Extincta, ainsi que les sagas Phobos et Vampyria). Écrivain nomade, il a vécu à Paris, à Dublin, à Singapour, à New York et à Washington, puisant son inspiration aussi bien dans les promesses du futur que dans les fantômes du passé.
Les livres de Victor Dixen sont traduits dans 10 langues.
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Community Reviews
Displaying 1 - 30 of 312 reviews
December 10, 2017
J'ai beaucoup ma lecture, la critique de la société que l'auteur fait est intelligente et bien trouvée. Léonor est une héroïne que j'ai apprécié sur ces 4 tomes, et son parcours personnel sur ce dernier tome est touchant.
Cependant une partie de la fin est too much pour moi, elle casse le côté si réaliste de la série, même si j'aime bien l'idée derrière.
Cependant une partie de la fin est too much pour moi, elle casse le côté si réaliste de la série, même si j'aime bien l'idée derrière.
April 27, 2018
Je n’ai aucune idée de comment noter ou parler de cet ultime tome.
J’ai été déconcertée durant tout le roman, comment étant spectatrice de quelque chose qui me dépassait totalement et ne m’intéressait absolument pas.
Il se passe un milliard de choses, et pourtant, malgré les passages dans l’espace assez surprenant dans les premiers tomes, c’est dans celui-ci que se passe le plus grand nombre d’incohérences.
Le récit perd dans son intérêt et son suspense, même si je dois dire que l’auteur reste un maître dans la maîtrise du rythme, car même si je n’ai pas pleinement apprécié ma lecture, je ne l’ai pas du tout vu passer alors que livre est une petite brique.
Donc même si j’avoue beaucoup admirer le travail d’écriture (rythme, suspense, action) de Dixen, l’histoire ne m’aura pas contenté. J’avais adoré le 1, apprécié le 2, détesté le 3 et je suis restée perplexe face à ce final.
Dommage.
J’ai été déconcertée durant tout le roman, comment étant spectatrice de quelque chose qui me dépassait totalement et ne m’intéressait absolument pas.
Il se passe un milliard de choses, et pourtant, malgré les passages dans l’espace assez surprenant dans les premiers tomes, c’est dans celui-ci que se passe le plus grand nombre d’incohérences.
Le récit perd dans son intérêt et son suspense, même si je dois dire que l’auteur reste un maître dans la maîtrise du rythme, car même si je n’ai pas pleinement apprécié ma lecture, je ne l’ai pas du tout vu passer alors que livre est une petite brique.
Donc même si j’avoue beaucoup admirer le travail d’écriture (rythme, suspense, action) de Dixen, l’histoire ne m’aura pas contenté. J’avais adoré le 1, apprécié le 2, détesté le 3 et je suis restée perplexe face à ce final.
Dommage.
January 6, 2018
Un final un peu expédié qui ne répond pas à toutes les questions, mais on est tenu en haleine tout au long de l’histoire. Triste de quitter cet univers 😔
November 28, 2017
Je nourris un amour immodéré pour cette saga, et croyez-moi, ce sera bientôt votre cas aussi.
A première vue, Phobos n'a l'air de rien, ou plutôt d'un énième roman de science-fiction et de conquête spatiale enrobé d'histoires d'amour pour faire passer la pilule.
Fausseté.
Ce n'est que ce que vous croyez.
Phobos se révèle au fil des tomes constituer une véritable fresque dramatique au sein de laquelle le lecteur sait qu'il peut en permanence - et va - être désarçonné, questionné, bouleversé. Sentiments, actions, complots, tout s'entremêle, se répond et se nourrit dans une même dynamique maîtrisée. Chaque tome gagnait en maturité, apportait de nouvelles thématiques, voyait ses personnages évoluer, jusqu'aux dernières pages si déchirantes du tome 3 qu'on peinait à s'imaginer ce que pourrait donner un nouvel opus.
Il était en effet difficile pour Dixen de livrer à ses lecteurs un final à la mesure de ce qu'avaient minutieusement et talentueusement construit les trois tomes précédents : des dizaines de personnages, des années d'attentes, de mensonges, de projets, de passions et de trahisons.
Et pourtant.
Mes aïeux.
Ce dénouement.
On pouvait redouter que Victor Dixen ne se perde entre cette multitude de tableaux narratifs, dans l'espace, sur Mars, sur les réseaux sociaux, sur Terre, du Japon à la banlieue parisienne en passant par le cap Canaveral, dans les cavernes et les recoins de chacune des deux planètes, mais il n'en est rien. Avec un sens du récit qui touche au virtuose, il emmène avec lui son lecteur pendant plus de 650 pages sans la moindre baisse de rythme - au grand contraire ! La tension ne fait que grimper, sans jamais verser dans "l'hystérie" non plus : tout est clair, limpide même, passionnant surtout.
Le roman déroule tous ses enjeux jusqu'au bout, n'hésitant pas à toucher à des problématiques actuelles ni à décrire des événements durs, qui s'intègrent parfaitement à la fiction, la nourrissent même, sans sentiment de "superposition narrative", sans ton didactique indigeste. Phobos est à mes yeux ce que la science-fiction jeunes adultes a à offrir de meilleur, en ce sens qu'elle est à la fois parfaitement accessible, et dans le même temps exigeante, riche, profonde, et ne se satisfait pas d'une lecture superficielle.
L'auteur combine la simplicité, dans le sens où cette saga sera plaisante et compréhensible pour tous, à une véritable complexité. Le lecteur est bel et bien seul face aux dilemmes que suscite l'intrigue à laquelle il est confronté, mais jamais perdu. Il s'investit personnellement, s'attache, s'interroge. Phobos est une expérience en elle-même, à mettre entre toutes les mains.
Ainsi, la saga atteint des sommets d'intensité dans ce final à couper le souffle, aussi bien sur le plan émotionnel que quant à son action pure. L'action est décrite de façon saisissante, les personnages se transforment sans jamais trahir leur personnalité originale. Les deux cents dernières pages sont un marathon littéraire, une folle course contre-la-montre à laquelle on est incapable de s'arracher, jusqu'à une conclusion aussi déchirante que surprenante, qui ne peut que convaincre tant elle semble juste. Phobos s'achève dans le fracas, mais en réalité de la seule façon satisfaisante. L'auteur signe une conclusion sans compromis, offrant à ses héros les absolus dont ils ont rêvé quatre romans durant, et laissant le lecteur chamboulé - voire en état d'hébétude profonde - et inspiré par ce qu'il vient de vivre.
Alors foncez, que diable. Allez investir dans cette saga, qui musclera vos petits bras frêles et malingres par ses tomes de plus de 600 pages et votre cerveau.
Sur ce, je vais soigner mon cerveau qui se trouve en état de crise assez avancée, ce qui est bien entendu dû au fait que j'ai fini Phobos. A jamais. Pour toujours.
Et petit conseil d'amie : lisez cette saga avec en fond la Symphonie du nouveau monde de Dvorak. Vos canaux auditifs et votre cerveau, celui-là même que vous allez traumatiser en découvrant cette tétralogie, vous remercieront.
A première vue, Phobos n'a l'air de rien, ou plutôt d'un énième roman de science-fiction et de conquête spatiale enrobé d'histoires d'amour pour faire passer la pilule.
Fausseté.
Ce n'est que ce que vous croyez.
Phobos se révèle au fil des tomes constituer une véritable fresque dramatique au sein de laquelle le lecteur sait qu'il peut en permanence - et va - être désarçonné, questionné, bouleversé. Sentiments, actions, complots, tout s'entremêle, se répond et se nourrit dans une même dynamique maîtrisée. Chaque tome gagnait en maturité, apportait de nouvelles thématiques, voyait ses personnages évoluer, jusqu'aux dernières pages si déchirantes du tome 3 qu'on peinait à s'imaginer ce que pourrait donner un nouvel opus.
Il était en effet difficile pour Dixen de livrer à ses lecteurs un final à la mesure de ce qu'avaient minutieusement et talentueusement construit les trois tomes précédents : des dizaines de personnages, des années d'attentes, de mensonges, de projets, de passions et de trahisons.
Et pourtant.
Mes aïeux.
Ce dénouement.
On pouvait redouter que Victor Dixen ne se perde entre cette multitude de tableaux narratifs, dans l'espace, sur Mars, sur les réseaux sociaux, sur Terre, du Japon à la banlieue parisienne en passant par le cap Canaveral, dans les cavernes et les recoins de chacune des deux planètes, mais il n'en est rien. Avec un sens du récit qui touche au virtuose, il emmène avec lui son lecteur pendant plus de 650 pages sans la moindre baisse de rythme - au grand contraire ! La tension ne fait que grimper, sans jamais verser dans "l'hystérie" non plus : tout est clair, limpide même, passionnant surtout.
Le roman déroule tous ses enjeux jusqu'au bout, n'hésitant pas à toucher à des problématiques actuelles ni à décrire des événements durs, qui s'intègrent parfaitement à la fiction, la nourrissent même, sans sentiment de "superposition narrative", sans ton didactique indigeste. Phobos est à mes yeux ce que la science-fiction jeunes adultes a à offrir de meilleur, en ce sens qu'elle est à la fois parfaitement accessible, et dans le même temps exigeante, riche, profonde, et ne se satisfait pas d'une lecture superficielle.
L'auteur combine la simplicité, dans le sens où cette saga sera plaisante et compréhensible pour tous, à une véritable complexité. Le lecteur est bel et bien seul face aux dilemmes que suscite l'intrigue à laquelle il est confronté, mais jamais perdu. Il s'investit personnellement, s'attache, s'interroge. Phobos est une expérience en elle-même, à mettre entre toutes les mains.
Ainsi, la saga atteint des sommets d'intensité dans ce final à couper le souffle, aussi bien sur le plan émotionnel que quant à son action pure. L'action est décrite de façon saisissante, les personnages se transforment sans jamais trahir leur personnalité originale. Les deux cents dernières pages sont un marathon littéraire, une folle course contre-la-montre à laquelle on est incapable de s'arracher, jusqu'à une conclusion aussi déchirante que surprenante, qui ne peut que convaincre tant elle semble juste. Phobos s'achève dans le fracas, mais en réalité de la seule façon satisfaisante. L'auteur signe une conclusion sans compromis, offrant à ses héros les absolus dont ils ont rêvé quatre romans durant, et laissant le lecteur chamboulé - voire en état d'hébétude profonde - et inspiré par ce qu'il vient de vivre.
Alors foncez, que diable. Allez investir dans cette saga, qui musclera vos petits bras frêles et malingres par ses tomes de plus de 600 pages et votre cerveau.
Sur ce, je vais soigner mon cerveau qui se trouve en état de crise assez avancée, ce qui est bien entendu dû au fait que j'ai fini Phobos. A jamais. Pour toujours.
Et petit conseil d'amie : lisez cette saga avec en fond la Symphonie du nouveau monde de Dvorak. Vos canaux auditifs et votre cerveau, celui-là même que vous allez traumatiser en découvrant cette tétralogie, vous remercieront.
July 6, 2021
In 2017 verscheen in Nederland het derde deel in de populaire young adult science fiction serie “Phobos” van de Franse auteur Victor Dixen. Aan het eind van dat deel bleek het verhaal nog niet af, maar de toenmalige uitgeverij zou het laatste deel niet gaan vertalen. Jammer, want Frans is geen gemakkelijke taal om zomaar even een boek in te lezen. Gelukkig heeft Dutch Venture Publishing het vierde en tevens laatste deel toch nog naar het Nederlands vertaald. Dit boek is gisteren officieel verschenen en is vertaald door Jamy Simons. Hoe zal het de Pioniers nu vergaan? Let op! Deze recensie bevat spoilers van de eerdere drie delen van Phobos.
In Phobos 4 wordt het verhaal opgepakt waar het in deel 3 was geëindigd: de pioniers gingen weer aan boord van de Cupido om terug te keren naar de aarde en er was zojuist iets onthuld. Doordat het verhaal begint waar we drieënhalf jaar geleden zijn geëindigd, was het wel even inkomen. Dit was echter van korte duur, want de schrijfstijl leest vlot en dat zorgt er weer voor dat je makkelijk in het verhaal wordt gezogen. In Phobos 4 keren de pioniers dus terug naar de aarde, maar door ontwikkelingen uit de eerdere delen gaat dat niet zonder slag of stoot. Je komt in dit deel hier meer over te weten, evenals over de gevolgen. Daarnaast kom je ook meer te weten over het verleden van Léonor, iets waar in de eerdere delen van deze serie veelvuldig over wordt gesproken. Eindelijk wordt ook deze puzzel gelegd.
Naast de al bekende pioniers uit het eerste seizoen krijgen de pioniers uit het tweede seizoen van het Genisis programma ook een rol in Phobos 4. Weleenswaar een kleinere rol, maar ze komen wel voor. Hen leer je daardoor ook niet echt kennen, op één van de pioniers na. Dit heeft iets te maken met Léonor, vanuit wiens perspectief je het grootste deel van de tijd leest. Net zoals in de voorgaande delen lezen we vanuit meerdere perspectieven, wat in dit verhaal ook niet anders kan. Er gebeurt zoveel tegelijk en dat dan ook nog eens op verschillende plaatsen tegelijk. Dit kan soms wat verwarrend zijn, maar als je hier eenmaal aan gewend bent kun je de cliffhangers die deze perspectiefwisselingen met zich meebrengen alleen maar waarderen.
Een leuke nieuwe toevoeging aan Phobos 4 zijn de comments op social media. Dit heeft alles te maken met het verloop van het verhaal, waar ik omwille van spoilers weinig over kan zeggen. Die irritante reclameblokken die in de vorige delen zaten zijn gelukkig verdwenen en vervangen door deze comments.
Het verhaal van Phobos 4 is afgerond, al voelt het niet zo. Het einde laat ruimte om ooit nog eens naar deze wereld terug te kunnen keren, want nog niet alles is opgelost. Deze cliffhanger is alleen niet zo heftig als de vorige, waardoor het verhaal op dit punt ook mooi kan eindigen. Phobos 4 zit weer goed in elkaar en gelukkig weten we nu hoe het eindigt.Review to come on July 6.
In Phobos 4 wordt het verhaal opgepakt waar het in deel 3 was geëindigd: de pioniers gingen weer aan boord van de Cupido om terug te keren naar de aarde en er was zojuist iets onthuld. Doordat het verhaal begint waar we drieënhalf jaar geleden zijn geëindigd, was het wel even inkomen. Dit was echter van korte duur, want de schrijfstijl leest vlot en dat zorgt er weer voor dat je makkelijk in het verhaal wordt gezogen. In Phobos 4 keren de pioniers dus terug naar de aarde, maar door ontwikkelingen uit de eerdere delen gaat dat niet zonder slag of stoot. Je komt in dit deel hier meer over te weten, evenals over de gevolgen. Daarnaast kom je ook meer te weten over het verleden van Léonor, iets waar in de eerdere delen van deze serie veelvuldig over wordt gesproken. Eindelijk wordt ook deze puzzel gelegd.
Naast de al bekende pioniers uit het eerste seizoen krijgen de pioniers uit het tweede seizoen van het Genisis programma ook een rol in Phobos 4. Weleenswaar een kleinere rol, maar ze komen wel voor. Hen leer je daardoor ook niet echt kennen, op één van de pioniers na. Dit heeft iets te maken met Léonor, vanuit wiens perspectief je het grootste deel van de tijd leest. Net zoals in de voorgaande delen lezen we vanuit meerdere perspectieven, wat in dit verhaal ook niet anders kan. Er gebeurt zoveel tegelijk en dat dan ook nog eens op verschillende plaatsen tegelijk. Dit kan soms wat verwarrend zijn, maar als je hier eenmaal aan gewend bent kun je de cliffhangers die deze perspectiefwisselingen met zich meebrengen alleen maar waarderen.
Een leuke nieuwe toevoeging aan Phobos 4 zijn de comments op social media. Dit heeft alles te maken met het verloop van het verhaal, waar ik omwille van spoilers weinig over kan zeggen. Die irritante reclameblokken die in de vorige delen zaten zijn gelukkig verdwenen en vervangen door deze comments.
Het verhaal van Phobos 4 is afgerond, al voelt het niet zo. Het einde laat ruimte om ooit nog eens naar deze wereld terug te kunnen keren, want nog niet alles is opgelost. Deze cliffhanger is alleen niet zo heftig als de vorige, waardoor het verhaal op dit punt ook mooi kan eindigen. Phobos 4 zit weer goed in elkaar en gelukkig weten we nu hoe het eindigt.Review to come on July 6.
January 5, 2018
Ça y est! J'ai fini la saga Phobos avec le quatrième tome qui clos cette histoire a en couper le souffle! Des les premiers chapitres on sent l'action arriver, je ne m'attendais pas a une fin comme celle ci! Tout le long du livre quelque chose nous pousse à continuer à lire toujours plus vite pour savoir comment les évènements ce déroule et vers les derniers chapitres j'ai eu carrément le souffle couper en espérant que tout ce passe pour le mieux pour les pionniers!
Cette saga est vraiment magnifique et restera l'une de mes préférés !
Un grand merci à Victor Dixen pour ce chef d'œuvre !!!
Cette saga est vraiment magnifique et restera l'une de mes préférés !
Un grand merci à Victor Dixen pour ce chef d'œuvre !!!
March 24, 2018
Un tome juste extraordinaire ! On a enfin les réponses à toutes nos questions, et aussi des révélations de folie ! Mais je suis tellement triste d’avoir fini cette saga, cette fin est juste magnifique et bouleversante à la fois. Merci infiniment à Victor Dixen d’avoir créé Phobos, un univers fantastique avec des personnages géniaux. Ça restera toujours une de mes sagas préférées ! ✨
February 4, 2018
Ah seigneur !!! J’aurais encore pris 200 pages de plus. J’ai essayé de prolonger ma lecture, mais c’était pratiquement impossible. Trop de choses se passent durant ce tome 4. On nous offre une fin grandiose, majestueuse… Mais j’ai trouvé qu’il manquait une petite touche pour la fin… Mais malheureusement je ne peux pas vous en parler beaucoup… Sauf que je vous dis : SI VOUS N’AVEZ PAS ENCORE LU CETTE SAGA… « DÉGUÉDINER » vous !!!!! . je la recommande chaudement et vraiment vraiment fortement. Parce que cette saga littéraire est trop parfaite de A à Z. oui oui ! C’était un peu différent cette fois-ci, car beaucoup de choses ont changé durant l’aventure. Mais sérieusement c’était juste parfait pour conclure la saga.J'adore, j'adore, j'adooooooore.
Phobos est un énorme coup de cœur pour ma part et j’en voudrais encore tellement plus ! J’espère que l’auteur nous réserve une surprise pour une dernière fois avec cet univers… J’ai encore bien des questions que je me pose par rapport à l’histoire et sur quelques personnages… Mais en général, cette fin répond pratiquement à tout mes intérregotations qui m’avaient laissé perplexe dans le précédent. Je suis content, mais en même temps, je suis tellement vide, triste d’avoir terminé mon aventure avec les pionniers. Victor, chapeau. Vraiment cela a dû être très dur pour toi de conclure une saga aussi éclatante que celle-ci ! Je suis autant en amour qu’avant avec Phobos.
J’ai pleuré toutes les larmes de mon corps quand j’ai tourné la dernière page du livre. Et plusieurs fois, j'avais les larmes aux yeux tellement j'étais touché. J’ai beaucoup aimé en apprendre plus sur Léonor. Je l’adore et l’admire encore plus que jamais. J’avais le cœur qui battait à 100 milles à l’heure tellement il y a des rebondissements ainsi que de l’action à couper le souffle. Ahhhhh… Je n’ai pas assez de mots pour pouvoir décrire à quel point j’ai aimé ce livre. Je ne vous dirai rien sur l’histoire, car je ne voudrais pas vous gâcher quoi que ce soit sur la finale époustouflante de Phobos.
Merci du fond du cœur #Collection R Canada ainsi qu’a Victor Dixen, pour cette saga excitante, exquise, un bijou littéraire. Est-ce que c’est un au revoir ?… J’espère de tout cœur que c’est négatif lol : P âpres 4 ans de méga stress et d’amour porté a cette saga, je suis encore plus en amour avec cette série qui m’a fait voyager dans l’espace et dans un monde lugubre, lumineux et parfaitement cordé. Hihi. Je vous le jure, plongez-vous dans cette série ! Vous allez peut-être m’en vouloir sur une chose. Un coup embarqué dans l’histoire, vous ne voudrez pas décrocher.
Il est trop tard pour regretter, il est trop tard pour oublier, il est trop tard pour renoncer, il est trop tard pour respirer. PHOBOS 4 EVER. #Mathy xx
Phobos est un énorme coup de cœur pour ma part et j’en voudrais encore tellement plus ! J’espère que l’auteur nous réserve une surprise pour une dernière fois avec cet univers… J’ai encore bien des questions que je me pose par rapport à l’histoire et sur quelques personnages… Mais en général, cette fin répond pratiquement à tout mes intérregotations qui m’avaient laissé perplexe dans le précédent. Je suis content, mais en même temps, je suis tellement vide, triste d’avoir terminé mon aventure avec les pionniers. Victor, chapeau. Vraiment cela a dû être très dur pour toi de conclure une saga aussi éclatante que celle-ci ! Je suis autant en amour qu’avant avec Phobos.
J’ai pleuré toutes les larmes de mon corps quand j’ai tourné la dernière page du livre. Et plusieurs fois, j'avais les larmes aux yeux tellement j'étais touché. J’ai beaucoup aimé en apprendre plus sur Léonor. Je l’adore et l’admire encore plus que jamais. J’avais le cœur qui battait à 100 milles à l’heure tellement il y a des rebondissements ainsi que de l’action à couper le souffle. Ahhhhh… Je n’ai pas assez de mots pour pouvoir décrire à quel point j’ai aimé ce livre. Je ne vous dirai rien sur l’histoire, car je ne voudrais pas vous gâcher quoi que ce soit sur la finale époustouflante de Phobos.
Merci du fond du cœur #Collection R Canada ainsi qu’a Victor Dixen, pour cette saga excitante, exquise, un bijou littéraire. Est-ce que c’est un au revoir ?… J’espère de tout cœur que c’est négatif lol : P âpres 4 ans de méga stress et d’amour porté a cette saga, je suis encore plus en amour avec cette série qui m’a fait voyager dans l’espace et dans un monde lugubre, lumineux et parfaitement cordé. Hihi. Je vous le jure, plongez-vous dans cette série ! Vous allez peut-être m’en vouloir sur une chose. Un coup embarqué dans l’histoire, vous ne voudrez pas décrocher.
Il est trop tard pour regretter, il est trop tard pour oublier, il est trop tard pour renoncer, il est trop tard pour respirer. PHOBOS 4 EVER. #Mathy xx
March 1, 2019
Tellement triste de quitter Phobos... j’ai pris mon temps pour lire ce dernier tome pour ne pas quitter cet univers trop vite !
Résultat ? Léonor va me manquer !
Ce 4ème tome s’achève comme il faut (même si j’avoue une partie de moi espérait que Marcus était en vie lui aussi.. 😜) malgré ce point négatif (🙄), j’ai littéralement adoré ce dernier tome !
Je ne voulais pas lire Origines et finalement... je vais probablement revenir sur ma position pour retrouver un peu des personnages le temps d’une petite lecture. ☺️
Résultat ? Léonor va me manquer !
Ce 4ème tome s’achève comme il faut (même si j’avoue une partie de moi espérait que Marcus était en vie lui aussi.. 😜) malgré ce point négatif (🙄), j’ai littéralement adoré ce dernier tome !
Je ne voulais pas lire Origines et finalement... je vais probablement revenir sur ma position pour retrouver un peu des personnages le temps d’une petite lecture. ☺️
This entire review has been hidden because of spoilers.
February 23, 2018
AAAAAAAAAAAAAA = mon état après avoir fini de lire ce dernier tome génial!! Une très belle conclusion pour cette série que j'ai littéralement adoré (et dévoré)!
May 27, 2018
Moi qui croyait que Phobos était une trilogie et lorsque j’ai entendu parler de ce quatrième tome. Je suis devenue incroyablement énervée. Ma lecture de la trilogie était il y a plus d’un an, donc mon excitation aujourd’hui était beaucoup moindre qu’elle aurait pu être un an plus tôt. J’ai commencé le 4e tome en me demandant et en me disant que la sauce du concept était peut-être un peu trop étirée malgré mes vœux d’en lire plus à la fin du 3e.
J’ai commencé ce livre en trouvant Leonor vraiment énervante puisqu’elle commence le lire en voulant tout prendre sur ses épaules et c’est comme too much. Le fait que mon personnage préfère (no spoiler) ni est plus à rendu ma lecture nostalgique mais un peu triste. La grande force de cette série a toujours été la facilité de tourner les pages et le nombre phénoménal de revirements. Si j’ai complètement dévoré ce 4e tome, j’ai deviné la majorité des twists et ça m’a déçu.
Donc, j’ai bien aimé ce dernier tome (qui laisse la porte ouverte à plus). J’ai l’impression que le concept est un peu trop étiré, mais ça se lit incroyablement rapidement et ça fait du bien.
J’ai commencé ce livre en trouvant Leonor vraiment énervante puisqu’elle commence le lire en voulant tout prendre sur ses épaules et c’est comme too much. Le fait que mon personnage préfère (no spoiler) ni est plus à rendu ma lecture nostalgique mais un peu triste. La grande force de cette série a toujours été la facilité de tourner les pages et le nombre phénoménal de revirements. Si j’ai complètement dévoré ce 4e tome, j’ai deviné la majorité des twists et ça m’a déçu.
Donc, j’ai bien aimé ce dernier tome (qui laisse la porte ouverte à plus). J’ai l’impression que le concept est un peu trop étiré, mais ça se lit incroyablement rapidement et ça fait du bien.
February 21, 2018
J'ai jamais été autant triste de quitter un univers, des personnages, une histoire fantastique..!
Ce dernier tome de Phobos conclue en beauté et en larme cette merveilleuse saga aux voyages inter-planétaire.
Si vous commencez cette saga et je vous le conseil, vos émotions risquent de faire les montagnes russes mais à votre plus grand bonheur. Pas un instant j'ai trouvé le récit plat, ennuyant. Non tout au contraire il est attractif, bourré de cliffhanger, de retournement de situations, de révélations... BREF!
C'était cool
ÉNORME COUP DE CŒUR DE LA MORT QUI TUE POUR TOUS LES TOMES GENRE DU TOME 1 AU TOME 4 EN PASSANT PAR LE HORS SÉRIE ! ♥♥♥♥
Ce dernier tome de Phobos conclue en beauté et en larme cette merveilleuse saga aux voyages inter-planétaire.
Si vous commencez cette saga et je vous le conseil, vos émotions risquent de faire les montagnes russes mais à votre plus grand bonheur. Pas un instant j'ai trouvé le récit plat, ennuyant. Non tout au contraire il est attractif, bourré de cliffhanger, de retournement de situations, de révélations... BREF!
C'était cool
ÉNORME COUP DE CŒUR DE LA MORT QUI TUE POUR TOUS LES TOMES GENRE DU TOME 1 AU TOME 4 EN PASSANT PAR LE HORS SÉRIE ! ♥♥♥♥
April 9, 2023
Dit is één van mijn favorite series en ik ben best verdrietig dat het over is. Toch zijn er nog veel onopgeloste zaken. Hier baal ik best van aangezien dit zijn laatste boek in de series is.
Victor Dixen had een 5e boek kunnen schrijven en dan had hij alles mooi en netjes samen kunnen laten komen zodat er een goed einde kwam. Nu voelt het heel erg alsof het nog niet klaar is en er nog een boek aankomt. Unfortunately, dat gaat niet gebeuren. (Zover ik weet.)
Ik ben heel erg gehecht aan de karakters en ik hou echt van het verhaal en hoeveel spanning er in de boeken zitten.
I just need one more book. 😢
Victor Dixen had een 5e boek kunnen schrijven en dan had hij alles mooi en netjes samen kunnen laten komen zodat er een goed einde kwam. Nu voelt het heel erg alsof het nog niet klaar is en er nog een boek aankomt. Unfortunately, dat gaat niet gebeuren. (Zover ik weet.)
Ik ben heel erg gehecht aan de karakters en ik hou echt van het verhaal en hoeveel spanning er in de boeken zitten.
I just need one more book. 😢
December 31, 2017
J'ai été tellement déçue par ce dernier tome! Entre l'ennuie que j'ai ressenti pendant une bonne partie de ma lecture et l'impression qu'il manquait encore beaucoup de choses, je n'ai juste pas réussi à accrocher au livre comme je l'espérais..
J'ai l'impression de refermer le livre avec toujours des questions sans réponses, et ça m'agace.
J'étais un peu déçue par la fin du tome précédent, mais là c'est le pompon!
J'ai l'impression de refermer le livre avec toujours des questions sans réponses, et ça m'agace.
J'étais un peu déçue par la fin du tome précédent, mais là c'est le pompon!
January 18, 2020
5/5 stars 🌟
I need a minute to breath, I need a second to think and to realise that I juste closed the last book of this series...
I can’t believed it , my reading was so fast I want to go back to the beginning..
When everything was easy when Leo didn’t know anything
I love this book it was amazing, the story, the characters, the plot
Marcus ! I love him so much and can’t believed what happened to him 😭💗
I love this story so much 💗
I need a minute to breath, I need a second to think and to realise that I juste closed the last book of this series...
I can’t believed it , my reading was so fast I want to go back to the beginning..
When everything was easy when Leo didn’t know anything
I love this book it was amazing, the story, the characters, the plot
Marcus ! I love him so much and can’t believed what happened to him 😭💗
I love this story so much 💗
February 24, 2019
La fin épique de l'exceptionnelle aventure martienne ! un coup de maître de l'auteur!
July 8, 2021
Lancering van onze recensie van Phobos4 over
3 seconden…
2 seconden…
1 seconde…
https://diamondpages.wordpress.com/20...
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January 28, 2023
J’ai terminé cette saga pour des raisons de rigidité mentale, d’escalade d’engagement et par la seule force de ma volonté. C’était si maladroit que ç’en devenait drôle par moment… 😑
April 30, 2023
C’est la fin 🥲 mais c’était quand même incroyable 🫶
December 28, 2017
Après avoir lu le quatrième tome d'une série, il n'est jamais facile d'écrire une rubrique intéressante originale, car on connait les personnages, on veut éviter un maximum de spoiler le futur lecteur, bref, je m'interroge ce matin. J'ai donc réfléchi pendant plusieurs jours avant de vous présenter ma chronique, mais rien néant, pas d'originalité : je ne vais pas me satisfaire que le tome 4 est étonnant de part sa structure, l'angoisse qui monte dès que les pages noires arrivent et la peur de connaitre enfin la vérité. Et voilà la peur !! Voilà j'ai enfin trouver mon fil conducteur de cette chronique, ne lisons-nous pas Phobos : la peur en grec, alors accrochez-vous, vous allez découvrir via cette chronique des mots relatifs à la peur, mais ne vous inquiétez pas, le vocabulaire est traduit en fin d'article ...
Tout d'abord, j'ai l'impression que Victor Dixen est loin de ressentir de la leucosélophobie (1) ? Je ne crois pas que se soit le syndrome qui le caractérise le plus, car avez-vous fait attention au titre de ce roman, en dehors du fait que tout le monde et moi y comprise, nous pensions qu'il s'agissait d'une trilogie. Les trois premiers tomes s'intitulaient : "il est trop tard pour ..." et ici l'opposition est de taille : "il est trop tôt pour...", Est-ce que j'ai le droit de croire que cela annonce sans doute deux autres tomes ? L'avenir nous le dira, mais une chose est sûre en refermant le livre, c'est impossible que se soit le dernier. Trop de questions sont encore en attente.
C'est étonnant, comme mon point de vue a totalement changé entre le tome 2 et à présent le tome 4. J'ai aimé la cohésion des pionniers de la saison 1 du programme Genesis, même s'ils sont de retour sur Terre encore plus isolé qu'ils ne l'ont été sur Mars, un rien autophobique (2), j'ai appris à apprécier chacun d'eux, leur courage, leur détermination, leur envie de vivre encore plus forte que quand ils étaient condamnés. Ils sont tout simplement attachants et Victor Dixen a su distiller au fur et à mesure de ses tomes, une complicité qui se crée entre lecteur et protagonistes, c'est assez surprenant.
Ce tome est de nouveau beaucoup plus centré sur Léonor, erythophobiques (3) éloignez-vous de ce roman, elle brille, elle fédère les pionniers, elle prend de la hauteur, elle est loin d'être athazagoraphobe (4) comme peut l'être certains de ses camarades qui vont tout faire pour créer leur propre chaine. Le programme Genesis, les cameras, ils ont été scrutés, dans leur quotidien, leur intimité, et bien ce n'est pas suffisant. Je suis profondément choquée de ce besoin de reconnaissance que peuvent éprouver presque tous les pionniers, ce besoin d'exister à travers les autres et non pour eux-mêmes. Je sais que nous sommes tentés à l'heure actuelle à raconter nos vies sur les réseaux sociaux, que les youbtubers sont regardés et surtout pour certains, pour les plus performants sponsorisés et payés, mais je suis peut être trop pudique, ou trop naïve de croire qu'il n'est pas nécessaire d'exister à travers les autres, à travers des centaines ou de milliers d'inconnus, la reconnaissance n'est-elle pas ailleurs. Je sais que je suis un peu hypocrite moi même car je rédige, ce blog, j'attends vos commentaires, suis mes statistiques, mais je ne m'expose pas plus que ça, je reste raisonnable, suis-je tout simplement trop blemmophobique (5) pour aller plus loin ? En tout cas une chose est sure pour nos chers pionniers, eux ne sont pas glossophobes (6), et heureusement, ils n'auraient pas pu traverser les épreuves qui les attendent sur Terre s'ils l'avaient été : entre adaptation, projet d'avenir, jugement, harcèlement, chacun va faire de son mieux pour traverser ces moments difficiles, car ils pensaient être sauvés, ils sont maintenant de nouveau menacés et leurs actes passés à des millions de km les rattrapent. Aucunement ils seront hypégiaphobiques (7) et assumeront leur actes.
Durant tout le roman notre cœur balance entre la Terre et les étoiles, Léonor passe de l'un à l'autre est n'est pas phobophobe (8). Quand elle est en haut, elle va être proche de sa meilleure amie, et fera le nécessaire pour donner la vie, et là je vous le dis, dans de pareilles circonstances j'aurai été totalement tokophobe (9). D'une manière plus générale, j'aurai été dans la navette je serai devenu psychopathophobique (10). Mais pour Léonor, ça ne la dérange pas , elle n'est ni apéirophobe (11), ni - attention spoil si vous lisez la prochaine définition, mais j'ai trouvé ça tellement dôle que je n'ai pu le pas le placer dans ma chronique - ithyphallophobe (12), et quand enfin elle décide de retourner sur terre, sa pyrophobie (13) l'a complétement abandonnée ainsi que sa pistanthrophobie (14)
Quand à Serena, vous me demanderez car on ne sait pas ce qu'elle devient à la fin du tome 3, une chose est sur, elle n'a jamais été apiphobe (15), reste très discrète mais une fois de plus le danger vient toujours de l'où on ne le voir pas venir, et à ce jeu Serena a toujours été la meilleure.
Quand à la fin, le devenir de nos courageux pionniers, ceux qui ont souffert sur Terre, puis sur Mars, puis sur Terre, je vous laisse découvrir la suite des aventures incroyables des premiers êtres humains qui ont perdu ce qui les rendait humain, à suivre ...
Vous l'aurez peut être compris, je me suis fais plaisir avec cette chronique, j'espère vous avoir appris plein de choses et surtout vous donner envie de continuer l'aventure.
Les définitions des phobies sont à découvrir sur mon blog : http://exulire.blogspot.fr/2017/12/ph...
Tout d'abord, j'ai l'impression que Victor Dixen est loin de ressentir de la leucosélophobie (1) ? Je ne crois pas que se soit le syndrome qui le caractérise le plus, car avez-vous fait attention au titre de ce roman, en dehors du fait que tout le monde et moi y comprise, nous pensions qu'il s'agissait d'une trilogie. Les trois premiers tomes s'intitulaient : "il est trop tard pour ..." et ici l'opposition est de taille : "il est trop tôt pour...", Est-ce que j'ai le droit de croire que cela annonce sans doute deux autres tomes ? L'avenir nous le dira, mais une chose est sûre en refermant le livre, c'est impossible que se soit le dernier. Trop de questions sont encore en attente.
C'est étonnant, comme mon point de vue a totalement changé entre le tome 2 et à présent le tome 4. J'ai aimé la cohésion des pionniers de la saison 1 du programme Genesis, même s'ils sont de retour sur Terre encore plus isolé qu'ils ne l'ont été sur Mars, un rien autophobique (2), j'ai appris à apprécier chacun d'eux, leur courage, leur détermination, leur envie de vivre encore plus forte que quand ils étaient condamnés. Ils sont tout simplement attachants et Victor Dixen a su distiller au fur et à mesure de ses tomes, une complicité qui se crée entre lecteur et protagonistes, c'est assez surprenant.
Ce tome est de nouveau beaucoup plus centré sur Léonor, erythophobiques (3) éloignez-vous de ce roman, elle brille, elle fédère les pionniers, elle prend de la hauteur, elle est loin d'être athazagoraphobe (4) comme peut l'être certains de ses camarades qui vont tout faire pour créer leur propre chaine. Le programme Genesis, les cameras, ils ont été scrutés, dans leur quotidien, leur intimité, et bien ce n'est pas suffisant. Je suis profondément choquée de ce besoin de reconnaissance que peuvent éprouver presque tous les pionniers, ce besoin d'exister à travers les autres et non pour eux-mêmes. Je sais que nous sommes tentés à l'heure actuelle à raconter nos vies sur les réseaux sociaux, que les youbtubers sont regardés et surtout pour certains, pour les plus performants sponsorisés et payés, mais je suis peut être trop pudique, ou trop naïve de croire qu'il n'est pas nécessaire d'exister à travers les autres, à travers des centaines ou de milliers d'inconnus, la reconnaissance n'est-elle pas ailleurs. Je sais que je suis un peu hypocrite moi même car je rédige, ce blog, j'attends vos commentaires, suis mes statistiques, mais je ne m'expose pas plus que ça, je reste raisonnable, suis-je tout simplement trop blemmophobique (5) pour aller plus loin ? En tout cas une chose est sure pour nos chers pionniers, eux ne sont pas glossophobes (6), et heureusement, ils n'auraient pas pu traverser les épreuves qui les attendent sur Terre s'ils l'avaient été : entre adaptation, projet d'avenir, jugement, harcèlement, chacun va faire de son mieux pour traverser ces moments difficiles, car ils pensaient être sauvés, ils sont maintenant de nouveau menacés et leurs actes passés à des millions de km les rattrapent. Aucunement ils seront hypégiaphobiques (7) et assumeront leur actes.
Durant tout le roman notre cœur balance entre la Terre et les étoiles, Léonor passe de l'un à l'autre est n'est pas phobophobe (8). Quand elle est en haut, elle va être proche de sa meilleure amie, et fera le nécessaire pour donner la vie, et là je vous le dis, dans de pareilles circonstances j'aurai été totalement tokophobe (9). D'une manière plus générale, j'aurai été dans la navette je serai devenu psychopathophobique (10). Mais pour Léonor, ça ne la dérange pas , elle n'est ni apéirophobe (11), ni - attention spoil si vous lisez la prochaine définition, mais j'ai trouvé ça tellement dôle que je n'ai pu le pas le placer dans ma chronique - ithyphallophobe (12), et quand enfin elle décide de retourner sur terre, sa pyrophobie (13) l'a complétement abandonnée ainsi que sa pistanthrophobie (14)
Quand à Serena, vous me demanderez car on ne sait pas ce qu'elle devient à la fin du tome 3, une chose est sur, elle n'a jamais été apiphobe (15), reste très discrète mais une fois de plus le danger vient toujours de l'où on ne le voir pas venir, et à ce jeu Serena a toujours été la meilleure.
Quand à la fin, le devenir de nos courageux pionniers, ceux qui ont souffert sur Terre, puis sur Mars, puis sur Terre, je vous laisse découvrir la suite des aventures incroyables des premiers êtres humains qui ont perdu ce qui les rendait humain, à suivre ...
Vous l'aurez peut être compris, je me suis fais plaisir avec cette chronique, j'espère vous avoir appris plein de choses et surtout vous donner envie de continuer l'aventure.
Les définitions des phobies sont à découvrir sur mon blog : http://exulire.blogspot.fr/2017/12/ph...
December 7, 2017
WHAT AN ENDING TO AN AMAZING SERIES!
Review to come.
Review to come.
April 6, 2023
Het einde maakte veel goed, maar hoe dan ook was dit boek wat mij betreft overbodig en een beetje saai.
March 12, 2018
Les 5 étoiles correspondent plutôt à mon rapport à cette saga qu'à ce tome en particulier, de même que cette review où je vais un peu mélanger les deux.
Soyons clairs, beaucoup d'éléments dans cette saga m'ont posé problèmes, MAIS soyons toujours aussi clairs : je ne lis quasiment jamais des livres de plus de 500 pages, et encore moins de sagas, si je me suis accrochée à celle-ci, il y a bien une raison (ou plusieurs). J'ai lu ces livres à une vitesse folle, m'offrant des sessions lectures de plusieurs heures et de plusieurs centaines de pages car une fois ouverts, ces romans sont impossibles à lacher, et une fois fermés, il est difficile d'avoir autre chose en tête.
Je suis de manière assez inexplicable devenue accro à cet univers et surtout à ces personnages comme je ne l'avais pas été depuis très longtemps (sans doute depuis Hunger Games, c'est dire). Victor Dixen a une écriture très visuelle, cette histoire s'offre au lecteur comme un spectacle (notamment grâce à la narration à plusieurs points de vue construite à bas de champs/hors champs/contrechamps) il est très facile d'imaginer les scènes que nous sommes en train de lire.
Comme les spectateurs de la chaine Genesis, je me suis sentie intimement liée aux personnages et concernée par leur destin ; grand coup de coeur pour les personnages de Safia et Samson que j'ai trouvés vraiment exceptionnels.
Je ne suis pas une grande fan de SFF, c'est donc les passages "réalistes" de ce roman que j'ai le plus appréciés (les relations entre les personnages, la médiatisation, la politique...) et c'est également pourquoi j'ai . Ce dernier tome aborde des problématiques très actuelles notamment au sujet de l'environnement, et j'ai trouvé ça vraiment pertinent de faire passer ce message dans un roman de YA, surtout dans un genre de l'imaginaire.
La fin n'était pas celle à laquelle je m'attendais, je ne peux pas dire que je n'en suis pas satisfaite, "mais".
Je dois avouer que j'ai eu un peu de mal avec l' "héroïfication" de Léonor, je n'aime pas trop les tropes où tout le mérite est centré sur un seul et même personnage qui plus est qui est très modeste et n'a rien demandé, j'aurais peut être préféré si il y avait eu encore plus de coopération parmi les pionniers.
De plus, je trouve que Serena n'est pas une excellente méchante elle est "trop" : trop méchante, sans coeur, asoiffée de pouvoir... ça enlève un peu de réalisme et d'authenticité à ce personnage, tandis que les autres sont très humains. C'est pourquoi je trouve que cette saga se trouve plutôt du côté plus jeune du Young Adult, il y avait certaines choses très enfantines voire dérangeantes à mes yeux (certaines question autour de la sexualité notamment) malgré les personnages qui grandissent et qui ont désormais une vingtaine d'année dans ce dernier tome. Ils ont tout de même tous gagné en maturité, cependant j'aurais aimé qu'on s'attarde plus dans ce final sur l'aspect psychologique des personnages, ce qu'ils ont vécu laisse indéniablement des séquelles importantes, et pourtant ils ont tous l'air de se porter pour le mieux sur ce plan.
En bref, je pourrais parler pendant des heures de cette saga, qui contre toute attente a obtenu une place d'honneur dans ma bibliothèque. Je vais surement la relire un jour.
Soyons clairs, beaucoup d'éléments dans cette saga m'ont posé problèmes, MAIS soyons toujours aussi clairs : je ne lis quasiment jamais des livres de plus de 500 pages, et encore moins de sagas, si je me suis accrochée à celle-ci, il y a bien une raison (ou plusieurs). J'ai lu ces livres à une vitesse folle, m'offrant des sessions lectures de plusieurs heures et de plusieurs centaines de pages car une fois ouverts, ces romans sont impossibles à lacher, et une fois fermés, il est difficile d'avoir autre chose en tête.
Je suis de manière assez inexplicable devenue accro à cet univers et surtout à ces personnages comme je ne l'avais pas été depuis très longtemps (sans doute depuis Hunger Games, c'est dire). Victor Dixen a une écriture très visuelle, cette histoire s'offre au lecteur comme un spectacle (notamment grâce à la narration à plusieurs points de vue construite à bas de champs/hors champs/contrechamps) il est très facile d'imaginer les scènes que nous sommes en train de lire.
Comme les spectateurs de la chaine Genesis, je me suis sentie intimement liée aux personnages et concernée par leur destin ; grand coup de coeur pour les personnages de Safia et Samson que j'ai trouvés vraiment exceptionnels.
Je ne suis pas une grande fan de SFF, c'est donc les passages "réalistes" de ce roman que j'ai le plus appréciés (les relations entre les personnages, la médiatisation, la politique...) et c'est également pourquoi j'ai . Ce dernier tome aborde des problématiques très actuelles notamment au sujet de l'environnement, et j'ai trouvé ça vraiment pertinent de faire passer ce message dans un roman de YA, surtout dans un genre de l'imaginaire.
La fin n'était pas celle à laquelle je m'attendais, je ne peux pas dire que je n'en suis pas satisfaite, "mais".
Je dois avouer que j'ai eu un peu de mal avec l' "héroïfication" de Léonor, je n'aime pas trop les tropes où tout le mérite est centré sur un seul et même personnage qui plus est qui est très modeste et n'a rien demandé, j'aurais peut être préféré si il y avait eu encore plus de coopération parmi les pionniers.
De plus, je trouve que Serena n'est pas une excellente méchante elle est "trop" : trop méchante, sans coeur, asoiffée de pouvoir... ça enlève un peu de réalisme et d'authenticité à ce personnage, tandis que les autres sont très humains. C'est pourquoi je trouve que cette saga se trouve plutôt du côté plus jeune du Young Adult, il y avait certaines choses très enfantines voire dérangeantes à mes yeux (certaines question autour de la sexualité notamment) malgré les personnages qui grandissent et qui ont désormais une vingtaine d'année dans ce dernier tome. Ils ont tout de même tous gagné en maturité, cependant j'aurais aimé qu'on s'attarde plus dans ce final sur l'aspect psychologique des personnages, ce qu'ils ont vécu laisse indéniablement des séquelles importantes, et pourtant ils ont tous l'air de se porter pour le mieux sur ce plan.
En bref, je pourrais parler pendant des heures de cette saga, qui contre toute attente a obtenu une place d'honneur dans ma bibliothèque. Je vais surement la relire un jour.
August 27, 2024
La série Phobos est à présent terminée puisqu'il s'agit du dernier tome.
Nous retrouvons les personnages là où nous les avions laissés à la fin du précédent tome, et s'il n'est pas forcément évident de raccrocher les wagons dans les premières pages, la mémoire revient vite grâce aux indices dispensés par l'auteur.
Evidemment, je me demandais comment l'histoire allait se terminer, et, surtout, quelle direction allait prendre Victor Dixen. Force est de constater, une fois encore, que ce dernier possède une imagination illimitée et que son écriture est toujours aussi efficace. Un style incisif, visuel, digne d'un scénario de film. Le texte est enlevé, rythmé, hautement addictif. La fin, totalement improbable, m'a plu. Je suis donc très heureuse de ce dernier tome et de la façon dont la boucle est bouclée.
Malgré cette impression largement positive, pas de coup de cœur cette fois, comme ce fut le cas pour les tomes précédents. J'ai trouvé dans ce dernier opus que l'auteur s'éparpillait un peu par moments, et que cela gâchait un tantinet l'intrigue. Certains développements étaient, me semble-t-il, superflus, et s'éloignaient à mon sens de l'histoire principale sans y apporter une valeur ajoutée. J'ai eu le sentiment, parfois, que l'auteur avait encore matière à raconter, et que, faute de pouvoir rallonger la série, il rallongeait ce tome pour se faire plaisir. Ceci est un léger bémol, mais suffisant pour que je sois passée à côté du coup de cœur. Cela dit, c'est un excellent final dont il ne faut absolument pas bouder la lecture.
Voilà qui clôt avec brio une série incroyable.
Nous retrouvons les personnages là où nous les avions laissés à la fin du précédent tome, et s'il n'est pas forcément évident de raccrocher les wagons dans les premières pages, la mémoire revient vite grâce aux indices dispensés par l'auteur.
Evidemment, je me demandais comment l'histoire allait se terminer, et, surtout, quelle direction allait prendre Victor Dixen. Force est de constater, une fois encore, que ce dernier possède une imagination illimitée et que son écriture est toujours aussi efficace. Un style incisif, visuel, digne d'un scénario de film. Le texte est enlevé, rythmé, hautement addictif. La fin, totalement improbable, m'a plu. Je suis donc très heureuse de ce dernier tome et de la façon dont la boucle est bouclée.
Malgré cette impression largement positive, pas de coup de cœur cette fois, comme ce fut le cas pour les tomes précédents. J'ai trouvé dans ce dernier opus que l'auteur s'éparpillait un peu par moments, et que cela gâchait un tantinet l'intrigue. Certains développements étaient, me semble-t-il, superflus, et s'éloignaient à mon sens de l'histoire principale sans y apporter une valeur ajoutée. J'ai eu le sentiment, parfois, que l'auteur avait encore matière à raconter, et que, faute de pouvoir rallonger la série, il rallongeait ce tome pour se faire plaisir. Ceci est un léger bémol, mais suffisant pour que je sois passée à côté du coup de cœur. Cela dit, c'est un excellent final dont il ne faut absolument pas bouder la lecture.
Voilà qui clôt avec brio une série incroyable.
December 7, 2017
4,5 mais je ne pouvais pas me résoudre à mettre un 5.
La fin bien que parfaite à mon sens, m’a laissé un goût de trop peu malgré tout. Peut-être parce que Serena est toujours en liberté ou qu’on ne sait pas ce qui se cache au fond de Mars
Je ne m’attendais pas à ce que Kenji soit toujours en vie. Bien sûr étant pro Marcus, j’ai longtemps espéré qu’il soit toujours vivant, un air de mars miraculeux qui l’aurait soigné et l’Aranha qui aurait tué Mozart. Oui je préférais vraiment Marcus à Mozart. Mais pour le reste tout est parfait, pas de moments plats ou lents, une belle écriture. Pas de tome 5, mais un petit hors série serait le bienvenu. :D
La fin bien que parfaite à mon sens, m’a laissé un goût de trop peu malgré tout. Peut-être parce que Serena est toujours en liberté ou qu’on ne sait pas ce qui se cache au fond de Mars
Je ne m’attendais pas à ce que Kenji soit toujours en vie. Bien sûr étant pro Marcus, j’ai longtemps espéré qu’il soit toujours vivant, un air de mars miraculeux qui l’aurait soigné et l’Aranha qui aurait tué Mozart. Oui je préférais vraiment Marcus à Mozart. Mais pour le reste tout est parfait, pas de moments plats ou lents, une belle écriture. Pas de tome 5, mais un petit hors série serait le bienvenu. :D
This entire review has been hidden because of spoilers.
December 13, 2017
J’avoue avoir été bluffée par cet opus. Si le deuxième et le troisième m’avaient semblé parfois un peu longuet, j’avoue que celui-ci m’a tenu en haleine du début à la fin.
Je n’ai pas mis cinq étoiles car je trouve la fin un peu trop hâtive mais cela reste une très belle lecture.
Tous les défauts que j’ai pu reprocher à Léonore sont au final devenus ses points forts: enfin une héroïne qui a un côté sombre, ses faiblesses et j’en passe! Elle en devient plus réaliste à mes yeux!
Et j’aime beaucoup ce côté écolo où la fiction peut servir à aider la réalité.
Je n’ai pas mis cinq étoiles car je trouve la fin un peu trop hâtive mais cela reste une très belle lecture.
Tous les défauts que j’ai pu reprocher à Léonore sont au final devenus ses points forts: enfin une héroïne qui a un côté sombre, ses faiblesses et j’en passe! Elle en devient plus réaliste à mes yeux!
Et j’aime beaucoup ce côté écolo où la fiction peut servir à aider la réalité.
October 26, 2019
It was a good thing that they went out in space again. Honestly, they didn't fit on earth at all. I didn't like the second generation of candidates. In my opinion, there was no use for it to be included in the novel, except perhaps show how influencial the first generation is.
Still not shipping Mozart and Leonor. I really think they don't look great together. Tao and Elizabeth are worthier of being shipped together, and it's still weird how they got together (since Tao still loved his previous girlfriend).
Still not shipping Mozart and Leonor. I really think they don't look great together. Tao and Elizabeth are worthier of being shipped together, and it's still weird how they got together (since Tao still loved his previous girlfriend).
This entire review has been hidden because of spoilers.
February 22, 2023
Super ! le p’tit hic c’est juste que y a plus de chapitre sur mes bebew Harmony et Andrew mais bon Victor je te pardonne !
Kelly ma gâté vraiment la fin ma fait verser quelques larmes
Euh Kirsten toujours aussi utile et appréciable (ironie bien sur ) vraiment cette meuf insupportable elle vie que pour les caméras a par accouché à r fait, juste la pour faire chier, et ma vie ton passé on s’en fou
Lenore en v de v jtm
Bref j’ai aimé 🤟
Kelly ma gâté vraiment la fin ma fait verser quelques larmes
Euh Kirsten toujours aussi utile et appréciable (ironie bien sur ) vraiment cette meuf insupportable elle vie que pour les caméras a par accouché à r fait, juste la pour faire chier, et ma vie ton passé on s’en fou
Lenore en v de v jtm
Bref j’ai aimé 🤟
December 20, 2017
Un final parfait pour une saga parfaite !
Cette saga est une merveille, du tome 1 au tome 4 l’auteur nous tient en haleine !
Ce dernier tome est d’autant plus génial que l’auteur aborde des problèmes de la société qui sont réel !
« Il est trop tôt pour respirer » cette phrase résume bien le livre je trouve, lisez cette saga merveilleuse !!🧡
Cette saga est une merveille, du tome 1 au tome 4 l’auteur nous tient en haleine !
Ce dernier tome est d’autant plus génial que l’auteur aborde des problèmes de la société qui sont réel !
« Il est trop tôt pour respirer » cette phrase résume bien le livre je trouve, lisez cette saga merveilleuse !!🧡
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