Keynesian Economics, Free Market Capitalism, Monetarism, Game Theory and the Invisible Hand. Sure, you know what they mean. That is, you've certainly heard of them. But do you know enough about these economic theories to join a dinner party debate or dazzle the bar with your financial knowledge? 30 Second Economics takes the top 50 economic theories, and explains them to the general reader in half a minute, using nothing more than two pages, 300 words and one picture. Economics will suddenly seem a lot more fun than the economy, and make a lot more sense, and along the way you'll meet founding fathers of modern economics such as Adam Smith, David Ricardo and Alfred Marshall. From Marxism to Mercantilism, plus everything in between, this is the ultimate 'crash' course in economic theory.
اقیانوسی به عمق ۱ سانت! به جای همه شیمی و عربی که تو مدرسه به من یاد دادند برای زندگیم بهتر بود فقط کمی نحوه عملکرد بانک و سیستم های پولی رو یاد گرفته بودم این کتاب تو این زمینه کمک میکنه ولی خب همونجوری که گفتم کاملا سطحی و شاید بیشتر از اونم نیاز نباشه.
I''m sure the 'high intellects' will probably ding this book for glossing over a topic with so much depth and breadth. And, initially, even I was a bit of a skeptic. But after reading this, I love the book. What I like about the book is that it keeps the topic of Economics at a 'thousand foot level', and this is the level it needs to be at for people to get the true gist of the theories, without losing the gist by getting down into the mathematics and complexities used in these theories. I wanted to see if it covered my personal favorite Economist - Schumpeter, who is the father of the theory of Creative Destruction. It does! So the book is doing its job, allowing someone to peruse it, get a very high level dose of Economics, which in turn often leads to questions and more creative thinking. The book says what it is, and is what it says. It's true to its name. And for that reason, I'll give it a good review.
Ce livre qui m'a été offert à Noël remplit le cahier des charges : une introduction claire et synthétique des concepts économiques essentiels, en un minimum de pages et de temps, et dans une appréciation critique des tenants et des aboutissants de chaque théorie. De là à ne passer que 30 secondes par concept, il ne faut pas exagérer, mais on peut vraiment le dévaler.
Concepts économiques, biographies d'économistes éminents, et définition rigoureuse des termes clefs au début de chaque partie. Je recommande.
Petit plus : les illustrations rétro qui évoquent un peu l'univers des années 50 sur un mode amusant :)
Table des matières :
- Économie classique
Ses limites : le marché seul peut-il assurer la stabilité sans intervention du gouvernement ?
- Marxisme
Valorise la valeur d'usage, et non la seule valeur d'échange ; met l'accent sur le profit généré par le travail et son inégale répartition. Limites : Discrédit jeté sur le courant d'idées par les expériences communistes au 20e siècle.
- Économie keynésienne (positive)
Postulat : Le gouvernement doit influencer le cycle des affaires pour réduire les périodes de chômage et de ralentissement économique.
Limites : l'État-providence pérennisé en dehors des périodes de dépression peut être dommageable à la croissance.
- Notice sur Friedrich von Hayek et son approche libérale de l'économie.
- La synthèse néoclassique
Postulat : Validité du keynésianisme sur le court terme en période de crise, validité du marché autorégulateur classique sur le long terme.
Critique : pour les néokeynésiens, les marchés ne se régulent pas eux-mêmes.
- Capitalisme libéral
Milton Friedman (un des architectes du Consensus de Washington, cf. FMI et Bretton Woods (1944), qui impose l'ouverture des frontières à la libre concurrence et la baisse ou suppression des droits de douane), David Ricardo...
Postulat : on peut concilier propriété publique de larges secteurs de l'économie et économie de marché.
Critique : Si les entreprises pratiquent la libre concurrence et si les investissements sont laissés à leur décision, qu'elles appartiennent à l'État ou non ne change rien : elles sont toujours motivées par l'appât du gain.
- La planification centralisée
Critique : Marx considère que ce sont les travailleurs qui devraient décider du prix et des objectifs de production, pas l'État.
- Le mercantilisme Postulat : Il faut chercher à vendre plus que vous n'achetez, empêcher les étrangers d'entrer, et l'argent de sortir. À court terme, par l'intervention de l'État, cette politique permet de protéger l'industrie et les entreprises locales le temps pour elles de se développer et de répondre aux besoins du marché.
Critique : Il est irréaliste de croire qu'on peut vendre continuellement à l'étranger sans acheter suffisamment en retour.
Un beau livre du Musée de la Compagnie des Indes sur la contrefaçon des savoirs-faire d'Asie en Europe (indiennes, porcelaine...) : Le goût de l'Inde
- Thérapie de choc
Postulat : On gagne à passer d'une économie étatique à une économie libérale d'un seul coup. Exemples de réussites : Allemagne 1947-8, Bolivie 1985, Pologne après 1990.
Critique : Cette méthode a connu des échecs retentissants comme la Russie postsoviétique où la corruption et la gabegie règnent.
Références : De l'aveu de plusieurs russes de ma connaissance, le film Le frère (Брат), sorti en 1997, rend justice au contexte et au milieu dans lequel il se déroule : la pègre pétersbourgeoise et la Russie des années 1990.
- L'emprunteur Ponzi : Emprunteur qui compte sur l'augmentation en valeur d'un bien immobilier pour rembourser ses dettes vs emprunteur qui se base sur l'investissement pour rembourser ses dettes.
Voir le film Sleepers qui illustre avec bonheur ce qu'est un schéma de Ponzi (1996).
- Politique expansionniste
Quand une économie est en récession, le gouvernement peut adopter une politique expansionniste pour tenter de la redresser. L'État peut mettre en place en place une politique monétaire consistant à réduire les taux d'intérêt et à acheter des obligations afin d'augmenter la quantité d'argent en circulation. Il peut également également prendre des mesures fiscales en investissant lourdement dans les services publics et les projets de construction, et en diminuant les impôts.
- Stagflation : inflation et stagnation. Une combinaison qui relativise la portée des théories de Keynes (qui la jugeait impossible).
Voir Les Temps modernes (1936) de Charlie Chaplin, ou Voyage au bout de la nuit, en particulier quand Bardamu visite les États-Unis.
- Monétarisme
Postulat : Il faut diminuer la masse monétaire pour réduire l'inflation. Coût : affecte la croissance, augmente le chômage.
- Courbe de Phillips
Postulat : Faible inflation ou plein emploi, il faut choisir. Critique : ce rapport existerait seulement à court terme (cf stagflation).
- Hypothèse du revenu permanent
Postulat : Les gens dépenseraient non en fonction de ce qu'ils gagnent au moment T, mais en fonction de ce qu'ils prévoient de gagner au cours de sa vie. Un corollaire est que les aides gouvernementales sont plus susceptibles d'être mises en épargne et non dépensées.
Critique : ça vaut pour les grands salaires, pas pour les petits, qui vivent au jour le jour.
Pour une illustration éloquente de cette critique, je vous conseille : À la ligne
- Attentes rationnelles
Postulat : Les cours du marché dépendent d'attentes construites rationnellement par les producteurs et les consommateurs sur l'information dont ils disposent.
Critique : Lors de la stagflation des années 1970, chacun aurait progressivement pris conscience de ce qui se passait au cours de la décennie, ils se seraient basés sur des attentes adaptatives (issues de l'information passée), et non attentes rationnelles (issues de l'information en cours).
- Croissance néoclassique (exogène), nouvelle croissance (endogène)
Critique : Ce modèle de croissance par la haute valeur ajoutée du travail et le développement d'une économie soutenable reste largement inatteignable pour les pays en voie de développement (faible admin, faibles infrastructures, revenus d'impôts insuffisants, corruption).
- Destruction créative
Postulat : Les commerces, les produits, les techniques deviennent obsolètes et sont remplacées, c'est comme ça que fonctionne l'économie.
Critique : Comment se reconvertissent les employés des secteurs "obsolètes" sans aide ?
Postulat : Ce sont les gouvernements qui font que le même hamburger n'est pas au même prix partout.
Critique : un tel monde n'existe pas, les habitudes de consommation n'étant pas les mêmes, la demande non plus, donc le prix non plus.
- Avantage comparatif et coût d'opportunité (David Ricardo)
Postulat : chaque pays a des avantages dans certains productions ou dans leur coût de production relatif, c'est ainsi que le libre-échange permet à tous d'y gagner. Critique : Ce modèle tait les coûts de transport, de délocalisation du travail et du capital, des tarifs douaniers.
Pour une certaine conception des avantages comparatifs : Plateforme
- Modèle commercial de Heckscher-Ohlin
Postulat : pour bénéficier du libre-échange, chaque pays doit se concentrer sur les types de production qui utilisent leurs éléments les moins chers comparativement (schématiquement : haute technologie ou main-d'œuvre bon marché)
Critique : quel est le rôle joué par les gouvernements dans ces modèles ? Ont-ils laissé faire passivement l'avantage comparatif ou l'ont-ils créé intentionnellement ?
- Dans le commerce international, si ce sont les très grosses entreprises qui priment, l'intervention gouvernementale peut "créer" un avantage compétitif qui n'existait pas auparavant.
- Trilemme : deux choix possibles sur trois : taux de change fixe, mobilité des capitaux, contrôle de la politique monétaire.
- Économie comportementale
Calcul de l'intérêt (utilité) et choix rationnel Critique : explication partielle, complétée par d'autres motivations d'ordre psychologique, le cadre de référence, l'asymétrie d'information...
Postulat : Les gens prennent leurs décisions en comparant leur situation actuelle et celle attendue.
Critique : idem supra, nécessaire approche multidimensionnelle pour comprendre le réel (psycho, socio, économie...).
- Incidence fiscale
Le poids fiscal est répercuté sur tous les acteurs économiques (augmentation de prix etc), et plus particulièrement sur les p° non élastiques (= pour lesquels les gens sont prêts à payer plus cher).
- Charge fiscale excédentaire
= Les achats/la conso sont rendus moindres par le surcoût
Cependant, les taxes permettent de redistribuer utilement les revenus des plus riches aux plus pauvres, favorisant la croissance.
- Alfred Marshall
- Économie de l'offre = Diminuer les taxes pour motiver le travail et la consommation Critique : pas prouvé (cf déficits pdt présidence Reagan). Favorise les gros salaires et patrimoines.
- Effet d'éviction = Quand les gouvernements dépensent, ils s'approvisionnent sur les impôts, émettent des obligations. La dépense relancerait la consommation par un cycle de croissance vertueux mais en dépensant, les gouvernements tarissent l'argent des investissements.
- La main invisible
Postulat : Les 'vices' privés font les vertus publiques.
Limites : Où trouver le marché qui offre une information symétrique et une concurrence parfaite ? Adam Smith lui-même reconnaissait la nécessité de l'intervention étatique (p° biens publics, protection de la propriété privée par droits de propriété, codes légaux, codes moraux, bonne circulation de l'information.
- Marginalisme
Il est rare que l'équilibre soit atteint ou maintenu entre l'offre et la demande. Dès lors, comment définir la valeur ? Par le temps de travail et le coût de ce travail ? (définition reprise par les marxistes) Par l'utilité marginale du p° considéré (théorie de la valeur d'échange).
- La tragédie des biens communs - Garett Hardin Sa thèse : les droits de propriété établis en contrôlés sont la meilleure garantie pour la bonne gestion des ressources communes
Les actions rationnelles pour l'individu peuvent s'avérer irrationnelles pour l'espèce. Critique : contre-exemples d'Elinor Ostrom : communautés pratiquant la bonne gestion des communs.
Je vous renvoie à l'excellente critique de la privatisation à outrance faite par Verhoeven dans Robocop ;)
-> 'quotas de pêche et de permis commerciaux couvrant la pollution aérienne, tous négociables'.
À mon avis, tout est dans le 'tous négociables' :
Autrement dit, le risque est de n'inciter les entreprises qu'à faire plus de gains pour absorber le manque à gagner causé par ces menues taxes et permis. Je vous propose l'exemple connu de la "taxe carbone" répercutée sur le prix des billets d'avion par exemple. Par ailleurs, certaines entreprises "rachètent" les quotas d'autres.
Ce qui revient à l'appropriation de ce qui est commun par quelques-uns assez nantis pour pouvoir se le permettre. Une sorte de droit de dégât sur la propriété, à défaut d'un droit de propriété direct sur la propriété jusque-là commune.
- La sélection adverse = Assymétrie d'information pose des problèmes de confiance et d'efficacité économiques (coûts d'assurances des accidentés répercutés sur tous, méfiance vav voitures d'occasion, l'incertitude des assurances avec leurs polices d'assurance vav conducteur. Banques et grandes sociétés too big to fail pour qui le gouvernement se porte caution, encourageant les actions risquées...)
Imaginons un monde où existent transparence et information parfaites entre acteurs économiques : Nous autres
- Alea moral
- Hypothèse du marché efficient
Postulat : Personne ne peut savoir dans quel sens va évoluer un actif, à moins de disposer d'informations inconnues du marché. La finance est orientée par la chance, l'instinct grégaire.
- La recherche de rente
Postulat : Il existe un risque que la politique mise en œuvre pour satisfaire un lobbying favorise des intérêts particuliers au détriment de la notion d'intérêt public.
Antithèse : les aides gouvernementales et la recherche de rente qu'elles motivent sont la contrepartie d'actions favorisant l'innovation et la croissance durable comme la protection des droits d'auteur.
Some books exist merely to serve as conversation starters. That in itself is fine. If you want to be able to talk to some random person about the thrilling world of Milton Friedman or John Maynard Keynes that is entirely within your rights as a person.
With 30-Second Economics edited by Donald Marron, the main issue is that the book doesn’t go into depth in any of the subjects it talks about. However, that is the main idea of this series, to cover a wide swath of a field without going too far down the rabbit hole.
This book is meant to serve as an appetizer, whetting your palate or getting you primed for a more substantial dish. On the other hand, the book does a great job at being an appetizer. It can turn the entire subject of Marxism into a short essay that can be read in half a minute. While the minutes do add up, it doesn’t take a massive investment of time or energy to read.
Як для людини, яка ознайомлена з економікою поверхнево, це була досить цікава і детальна книга. Автор намагався пояснити деякі речі на пальцях. Зрозумів, що мої погляди співпадають з економікою орієнтованою на пропозицію. Мабуть для економістів не буде цікавою, але для загального розуміння - чудова книга. Звісно, якщо сприймати цю книгу як «зрозуміти економіку» вона не заслуговує високої оцінки, але як для розуміння азів, які можна покращити за умови подальшої цікавості - вона чудова.
3.5 ⭐️ it’s a great reference book. Though I’m unsure if it’s for beginners or those with more knowledge. The summaries were done well, yet not. They were too vague about some things and a beginner would still have no idea what’s being said. And in other ways it was too detailed and confusing - perhaps it was the writing style, not sure. I did think it was great to hear the back story of the various economic theories and the social psychology behind why they were developed.
Экономика за 30 секунд. Идея тезисной подачи материала всегда удачная, а если еще и подкрепленная забавными картинками, то и подавно. Конечно, изучить и понять всё об экономике не получится, но азы (процессы, происходящие в обществе, и суть экономических теорий) с этой книгой понять получится.
К слову сказать, редактор Дональд Маррон преподает государственные финансы и микроэкономику в Институте общественной политики в Вашингтоне, потому легко как по нотам разместил всех от Адама Смита и Альфреда Маршалла до авторов гипотезы эффективного рынка.
Insightful and broad - a good manual for anybody interested in understanding the basic concepts, theories, and schools of thought in economics. By using real-life examples of economic principles from the USA to China to Germany this easy-to-read volume veers away from trapping itself into a review of a singular country's economy.
"Економіка прагне бути фізикою серед соціальних наук"
"У довготерміновій перспективі ефективна монетарна політика лише стабілізує ціни, не впливаючи на рівен�� виробництва і споживачів"
"контрольоване і поступове збільшення грошової маси підтримуватиме інфляцію на низькому рівні й сприятиме розширенню економічної активності та зайнятості"
"Це дало змогу Філліпсу стверджувати, що між інфляцією і рівнем безробіття є певний взаємозв'язок: що вище інфляція, то нижче рівень безробіття, і навпаки " ("Крива Філліпса")
"Тимчасовий приріст національного доходу не сприятиме збільшенню попиту. Тому немає ніякого сенсу для держави у короткотерміновій перспективі застосовувати політику стим��лювання попиту, оскільки у такий спосіб сукупний попит не збільшиться. Люди лише зекономлять зайві гроші, які вони отримають від держави."
"Стабільність затьмарює розумів і спонукає людей до легковажних вчинків"
"Кредиток останньої інстанції - інститут, який здійснює фінансове забезпечення інших фінансових інститутів (банків) під час фінансового стресу або кризи. Зазвичай, цю роль відіграє національний центральний банк, який видає так звані "рятівні" кредити, щоб зберегти від обвалу найважливіші фінансові інститути... Міжнародний валютний фонд (МВФ), який видає кредити країнам із серйозними фінансовими труднощами, також можна розглядати як кредитора останньої інстанції."
"Валовий внутрішній продукт (ВВП) - сума всіх товарів і послуг, проданих у країні впродовж певного року. Найпоширеніша формула розрахунку цього показника: споживання + інвестиції + державні витрати + (експорт - імпорт)"
"Капіталізм - економічна система, згідно з якою засоби виробництва (заводи, обладнання тощо) і дистрибуція товарів і послуг належить приватним особам і корпораціям. Ціни на працю і товари встановлюються на вільному ринку, а не державою. Весь прибуток належить особисто власникам компаній або, у випадку корпорацій, розподіляється між акціонерами."
"Неокласична теорія економічного зростання спрямована на передбачення економічного розвитку країни у довготерміновій перспективі. Відома як модель Солоу-Свона (1956). Ця теорія фокусується на тому, як три чинники (розвиток технологій, накопичення капіталоу і обсяг робочої сили) сприяють економічному зростанню"
"інвестиції в іновації є ключовим чинником, який пояснює, чому темпи економічного зростання відрізняються у різних країнах. Інновації часто приносять вигоду, яка виходить за межі однієї компанії чи підприємця"
"Капітал і робоча сила - це, звісно добре, однак економічне зростання здебільшого залежить від інновацій"
"Згоідно з новою теорією економічного зростання уряди мають інвестувати у програми розвитку інновацій"
"Йозеф Шумпетер назвав цей процес "креативним руйнуванням" - коли компанія створює новий продукт, удосконалює технологію, знаходить ліпше дежрело постачання, розробляє ефективніший спосіб виробництва, або розробляє ліпший метод організації виробництва, вона здатна знащити конкуренцію"
"щорічний приріст доходу складає від 5% до 10% за кожен рік додатковго навчання"
"Здорові, освічені й професійні працівники продуктивніші, ефективні й прогресивні, що змушує економіку рухатися вперед. Людський капітал (на відміну землі чи обладнання) самодостатній, транспортабельний і придатний для спільного використання"
"Ніхто не може бути вищий за закон, навіть уряд, а суди мають бути повністю незалежні."
"Верховенство права допомагає гарантувати, що у разі підписання договору, всіх умов убде дотримано."
"Вільна торгівля - необмежений обмін товарами між країнами, який відбувається без державного втручання"
"Зазвичай, макроекономіка намагається пояснити взаємозв'язок між ВВП, безробіттям, інфляцією, відсотковими ставками, торгівлею та іншими економічними чинниками. Мікроекономіка розглядає взаємодію компаній та індивідів і те, як вони впливають на ринки."
"Вартість товару формує не його "важливість", а поєднання його бажаності та кількості"
Accessibility is a word that must be addressed into the context of the equity axis. What makes this work a 5 star, briefly justifying , is the ability that the editor encountered to cover complicated economics terms and converting them into a flow-reading stylish publication.
Economics are often labeled as "The Dismal Science", mostly due to its correlation to an objective and mathematical approach into personal issues. In other words, economics are used by governments and companies to predict or influence your approach on private decisions. Despite the classic view that small entrepreneurs can move in and speculate into the market or inside economics itself, there are tons of evidence that your decisions could be influenced by overwhelming opinions and policy making. When analyzed through the neuroscience lens, decisions about consumption could be labeled as unpredictable (to some extent), or easily predictable in a short-mid term analysis. This is a debate that humanity might still be confronted for centuries (as it was for centuries ago).
Following this reasoning, the book delivers exactly what is intended to: accessibility to any reader into the surface of Economics, while provoking thoughts about a science that seems to be open only for a few. Thus, the reader of any age, class, or occupation can partake into the short lessons of this science; one that is not so shadowy, as its own linguistic formation depicts οικονομία (oiko - nomos ) , from the Greek: the administration of ones house.
In this sense , the author provides the spotlight necessary to reassure basic concepts on the economical pillars of society. Thus, transforming complicated ideas, thesis or concepts into shorter versions.
Even it might give the impression of dimming the scope of the subject that many scientists devoted their lives studying deeply; yet, this ability ( of resuming theories) is highly necessary in a world that is constantly dropping a cascade of information and fast passed reading .
Still, if one would say economics is a by-product of capitalism, and must be changed or adapted within subjects, such as: sociology, anthropology or any other science, this work came to show to any person that Economics makes sense, and might never be separated from the neural processes that involves basic human necessities. Therefore, as this concept (studied to an enormous extent) depicts: Homo oeconomicus [ˈhɔmoː ɔe̯kɔˈnɔmɪkʊs] (Latin hŏmō oeconomicus 'economic man'), also known as the rational agent behind personal economical needs. Accordingly, in this line of reasoning: the rational being that is responsible for the household administration; considering household on any of its forms.
Whereas, some theorists advocates that human beings cannot be canned inside any utilitarian formula or equation, due to the brain capability of assuming contrasting variabilities, this book illustrates how far any transhumanist ideology is from adjusting to this ever changing science called ''Economics''.
Summarizing, it is a fun ride into basic concepts for some, or an entertaining review for experts.
Liked the philosophy book I used as a daily reading and am interested in Economics so picked this up on sale. Maybe I shouldn't have. Not that the info is bad or missing. But might be too brief. And having a full page psychedelic image that relates seems like a waste of space to fill the book out. Some historical context would have been nice as well as maby tying the progression of ideas together more so then the little related: section. I’m a big picture and I assume that as much as a 50 ideas about philosophy book relates to a first-year intro to philosophy class this is the same with economics (minus the math and stats part). So I feel like I understand conversations related to money/economics more clearly will require a lot more study to be able to see it in everyday life. Also, capitalism Hates people.
Too little information on too many topics, and even then they manage to get things not totally right. Yes, I know, subscribing to the Austrians and Mises, I don't like his theories to be dismissed as disproven(on one point in the book - a wrong point), but that is what happens when the sources they use are, amongst others, Krugman.
It is a good overview of a wide specter of economic points. When read, I found that I do have a good grasp of the basics, but this is a good refresher.
There is some repetition as the ideas pop up in several different concepts, so one may not be totally on par with what major branch of economics these different things belong to or which persons are more or less aligned with others. But yes, it's such a small issue when everything is so short, and if you need more information you can look up these people separately.
This book simply and succinctly explains a range of economic concepts and ideas, some of which weren’t even covered in Econ class. Thoroughly enjoyed, had suggestions for extra reading, had short biographies for economists, and plenty of useful and fun anecdotes. Well written and reignited my interest in econ. It’s good!
To he honest, the title of the book is a little misleading. Personally, I spent much more time to really understand some theories and ideas in the book. In spite of this, the book gives good glance on many subjects and really. Overall, good book to be more educated! :)
approachable way to get into the basics of a large amount of economics ideas and the some of the people behind them. will be serving as a table of contents as reference material for future reading material.
Great little introduction! Easy to understand but has a lot of good info.
Seems a bit obsessed with the housing crisis, and I wonder if the field of economics has advanced quite a bit since this was published, but it felt like a good introduction.
I liked how he divided each concept into 3-second, 30-second, and 3-minute reads. I thought the chapters were digestible and easy to get into! Some you'd know even if you didn't study economics just from reading the news. But it was interesting ~
I read this as an attempt to gain more understanding about a potential future course (PPE), and this book did its job. Is it the most entertaining book I've ever read? No. But is it my first, true, academic (particularly economic) read and thus I have no backing for my subjective opinion? Yes.
j'ai adoré, toutes les explications sont hyper limpides, les courants, les théories, les marchés et le commerce international : tout y est c'est vraiment une base hyper solide pour mieux comprendre le monde économique & ses secrets
Economics in Junior Year shouldnt have been like Ms. Jacob’s way, it should been taught this way where in students would crave for more info instead of observing how her hair bobs to avoid sleeping.
An extremely efficient intro to many essential economic principles. Punchy essays, sharp and short bios on key players and thinkers from history. Oh, and attractive to look at. This is worth picking up.