À huit heures vingt-quatre, ce vendredi 12 août 2016, Carl Mongeau émerge du sommeil sans se douter qu’aujourd’hui, sa vie basculera dans un cauchemar paranoïaque. Même si, comme tout le monde, il connaît son lot de petits problèmes et d’irritations diverses, il mène une existence somme toute frappée par les sceaux de la quiétude et de la sérénité, mais dans moins de neuf heures, ceux-ci disparaîtront, et ce, de façon définitive.
Pourtant, la journée de Carl, propriétaire du bar Le Lindsayà Drummondville, s’annonce normale. Le seul événement vraiment étrange est la visite de cette inconnue qui lui annonce quelque chose de troublant. Mais comme il s’agit sans doute d’une blague de mauvais goût, Carl se concentre plutôt sur les festivités du 20e anniversaire de son établissement qu’il prépare avec minutie. Car l’homme de cinquante et un ans, malgré quelques déceptions (comme sa séparation après vingt-huit ans de vie en couple) a toujours contrôlé son existence et aujourd’hui, il considère qu’il mène la vie presque parfaite qu’il mérite.
… sauf qu’à partir de 17:05, l’anniversaire de son bistrot sera le dernier de ses soucis. Comme tout ce qui concerne l’organisation de son quotidien, d’ailleurs.
... est né à Drummondville en 1967. Bachelier en études françaises de l'Université de Montréal, il enseigne depuis quelques années la littérature, le cinéma et le théâtre au cégep de Drummondville. Passionné par toutes les formes artistiques mettant en oeuvre le suspense, le fantastique et la terreur, il publie en 1994 un premier roman d'horreur, 5150, rue des Ormes, où tension et émotions fortes sont à l'honneur. Il sera suivi, un an plus tard, par Le Passager, autre roman au suspense insoutenable. Son troisième roman, Sur le seuil, un suspense fantastique publié en 1998, a été acclamé de façon unanime par la critique. Après Aliss (2000), une relecture extrêmement originale et grinçante du chef-d'uvre de Lewis Carroll, Les Sept Jours du talion (2002), Oniria (2004) et Le Vide (2007) ont conquis le grand public dès leur sortie des presses. Outre Sur le seuil, porté au grand écran par Éric Tessier, des adaptations de tous ses romans, y compris Le Vide, sont présentement en développement, tant au Québec qu'à l'étranger.
Le dernier quart du livre sauve la donne! Cette partie mériterait plus de 3 étoiles, mais je dois prendre en compte le reste, très répétitif et moins attrayant.
C'était parfait d'avoir plusieurs heures devant moi (quarantaine oblige!), car je ne pourrais imaginer me plonger dans ce livre plusieurs jours de file pour tomber dans une énième poursuite trop détaillée à travers les rues de Drummondville. La première fois, ça va, mais la deuxième et la troisième... J'ai dû lire plusieurs pages en diagonale. Si on avait coupé à travers tout ça, le résultat m'aurait plu davantage. Je peux sembler dure, mais Senécal a déjà prouvé qu'il pouvait faire mieux. Heureusement, le dénouement m'a satisfaite. Péripéties et rebondissements étaient au rendez-vous!
Ce que j'apprécie des livres de Senécal, c'est cette certitude... qu'on ne peut être sûrs de rien. Personne n'est à 100% digne de confiance et nul n'est assuré de s'en sortir vivant. Et dans ce cas-ci, en effet, il y aura des morts!
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4,5/5. Pas le meilleur de cet auteur que j'adore, mais tout de même un solide retour après son dernier qui m'a laissé plus froid. Dans ce roman tout en action, il manque d'ailleurs un peu de psychologie et d'histoire dans la première moitié, la course poursuite prends beaucoup, trop?, de place et cela devient un peu long malheuresement. La deuxième moitié est plus réussi. On entre plus dans la tête de Carl et on sent bien la paranoïa qui s'installe. Quelques rebondissements nous gardes attentifs et en suspense pour finalement aboutir à une fin bien mené qui est très ouverte. Si on n'en attent plus jamais parlé, c'était peut-être trop ouvert, mais je coris sincèrement que nous reverons un ou plusieurs des personnages de ce livre, attention je ne parle pas nécessairement du personnage principal, dans des prochains livres de Senécal. J'ai aussi beaucop aimé le clin d'oeil avec un ancien roman, que je ne dévoillerai pas ici. Finalement, la critique sociale est moins présente dans ce livre, c'était une caractéristique des romans de cet auteur que j'adorais et dans ce dernier, c'est beaucoup moins présent, ceci étant dit, cela n'affecte en rien la qualité du livre. Malgré quelques chanement, je crois que les fans de Patrick Senécal s'y plairont bien!
Chaque année voit débarquer son Sénécal, et son offrande de 2017 peut paraître au premier abord difficile à apprivoiser. Mais une fois passé la première partie, qui s’avère très répétitive et qui ressemble beaucoup à une leçon de géographie de Drummondville, on se retrouve happé par le récit tortueux et surprenant, sans toutefois être surpris par la finale. L’idée de départ est fascinante : un propriétaire de bar très honnête et un peu déprimé se fait attaquer à répétition par des individus louches qui semblent tous essayer de le tuer. Une prémisse très WTF qui s’éclaircira finalement de façon assez ingénieuse.
On y fait aussi un clin d'oeil bien senti à une autre oeuvre-culte de Sénécal, ce qui constitue une excellente surprise vers la moitié du récit.
J’ai vraiment aimé ! J’ai été très contente de voir le retour de Hell.com qui est un de mes livres préférés de Senécal. Le développement du personnage principal était effrayant et j’avais les mains moites dans les 100 dernières pages. Ce qui m’a fait enlever une étoile est la partie « chasse »/combat entre la proie et les chasseurs qui était parfois trop longue. Toutefois, je recommande à 100%
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Ouf oui, il y avait quand même pas mal de longueur! Les scènes de poursuite sont écrites avec beauuuucoup de détails (qui auraient pu être diminués à mon avis). C’était bien, mais sans plus.🏴☠️
L’idée globale du livre est bonne un style à la Hunger Games. Par contre, le livre est vraiment long … ça l’aurait pu être short and sweet … beaucoup de longueur … beaucoup trop de détails inutiles …
J’ai trouvé que ce roman avait beaucoup de longueurs. Trop de longues scènes de poursuites répétitives à mon goût. Malgré tout, j’ai eu de la difficulté à arrêter ma lecture, trop curieuse d’en connaître le dénouement !
Chaque livre de Senécal que j'ai lu après l'adolescence m'a déçue, et celui-ci ne fait pas exception. C'est long et répétitif, beaucoup trop d'interventions entre parenthèses à la Stephen King, rempli de sacres inutiles et de répétitions, un personnage principal idiot et antipathique qui prend PLEIN de mauvaises décisions et entouré de personnages complètement clichés... Les tueurs étaient les pires. Tellement, mais tellement ridicules, surtout l'Italien et ses répliques en anglais-français-italien. Pauvres Italiens :( . SPOILER . . . . . . . . Pis on veut me faire croire que, dans les années 1980, un ado de classe moyenne avait une caméra assez puissante pour zoomer sur le micropénis d'un gars qui se crossait sous la douche, dans un vestiaire, et de capturer son éjaculation? Non.
Novembre, c'est l'arrivée des mauvais jours, du froid. C'est pas folichon et je n'aime pas particulièrement cette période. Mais novembre c'est aussi l'arrivée du nouveau Senécal et ça, ça a de quoi me remettre le moral au beau fixe et me faire attendre ce mois-ci avec impatience ! Autant dire que j'ai tout posé, me suis enfermée et ai attaqué de suite. On se demandait si ? On se demandait quand ? On se demandait comment ? Et bien c'est là mais je ne vous en dirai pas plus 😜 Il y aura des morts, c'est une course poursuite à travers Drummondville à t'en donner le tournis. A en perdre le souffle. Enfile ton jog et mets tes baskets si tu veux arriver à suivre ! C'est des chapitres où les minutes s'égrènent une à une, où le temps semble court ou long selon de quel côté l'on est. C'est bien difficile à chroniquer sans révéler quoi que ce soit, sans spoiler à tour de bras cette histoire complexe où chaque élément, chaque découverte apporte une pierre à l'édifice et nous fait entrer plus profondément encore dans un monde parallèle, dans une dimension où tout devient possible...même le pire... C'est des personnages sans nom ni prénom. Juste l'italien, le black, queue de cheval et j'en passe... C'est difficile de dire qui est victime ou bourreau puisque chacun a ses raisons très valables de faire ce qu'il fait. Comme dans la vraie vie, rien n'est tout noir ou tout blanc. C'est pousser un personnage dans une situation tellement foldingue qu'il ne peut plus faire confiance à personne. Où même les êtres chers deviennent potentiellement suspects. Quand les gens autour de toi tombent comme des mouches. Quand à chaque fois que tu ouvres la bouche en sort un cadavre. Et si tu ne pouvais pas fuir ? Et si où que tu ailles, un tueur était là, prêt à te tomber dessus ? Un livre tout en poursuite. Une sorte de 24 heures chrono et j'avoue ....ça m'a lassée... Ouais...c'est une grande première et après ça, vous ne pourrez jamais dire que je ne suis pas objective ☹️ Me voilà pour la première fois vraiment mitigée après avoir lu un livre de mon dieu littéraire. Je l'ai lu d'une traite. Avidement. J'ai passé un très bon moment mais pas eu LE truc. Cette sensation inégalable au moment où tu fermes le livre. Ce "wow la vache ! Putain le truc ! Il a osé ! " Ou je ne sais quoi encore. Ce truc qui te barbouille le bide. Qui te laisse une trace. Qui te fait réfléchir. Qui te percute... La magie n'a pas opéré mais rassurez-vous, Patrick garde sa first place de choix dans mon cœur et je continuerai à vous rabacher les oreilles quand à son talent 🙂 Ce n'est bien sûr que mon humble avis et votre propre lecture restera votre meilleure opinion mais j'avoue être très curieuse de ce que vous en penserez ???
Pas le meilleur de Senecal J'ai beaucoup aimé les liens avec ces autres livres. Le dernier tiers du livre est très bien écrit. Le problème est que le premier deux tiers est vraiment lent et pas intéressant. Il y a des vraiment longues descriptions et des scènes d'actions répétitives. Je pense que l'auteur aurait beneficé de raccourcir le roman de 100 pages. Pour beaucoup, la fin ne suffira pas pour faire oublier le début lent. 3.6/5
Bon divertissement, mais j'ai trouvé le livre un peu long et redondant, pas mon pref de Sénécal. J'ai aimé par contre le petit parallèle avec The Hunger Games, la référence à un autre livre de Sénécal (je dis pas lequel, spoilers) et les réflexions sur le chaos et le fait qu'on ne contrôle rien dans la vie. J'ai aussi aimé que toute l'intrigue se passe dans 2 journées.
Très bon suspense, directement relié à Hells.com qui est mon livre préféré. J'aime que l'histoire ce passe en 2 jours seulement. Je recommande si voud aimez de Gore/suspense.
Pas mon préféré de Sénécal, mais c'était bon! J'ai aimé les twist, j'ai aimé la fin, je n'ai vraiment pas aimé cependant les descriptions aussi détaillées de la ville. Nom de rue par-ci, nom de rue par là, durant un paragraphe d'une demie-page, à mon avis ce n'est pas nécessaire, ça n'ajoute rien d'intéressant à l'histoire et honnêtement, je les skippais tous. Pas de temps de niaiser hahaha.
Ce n'est pas dans mon habitude de ne pas aimer les livres de Senecal, mais là... Je n'ai malheureusrment pas été capable d'embarquer vraiment avant la moitié du livre. Longues descriptions de parcours et longues énumérations de noms de rue et de lieux. Si on connaît Drummondville, ça peut être intéressant de s'imaginer les actions du livre dans les lieux... Mais sinon, c'est un peu long. De plus, je suis restée sur ma faim en refermant le livre. Je n'ai pas trouvé la fin satisfaisante. J'ai trouvé qu'il nous manquait certains éléments, que certains questionnements suscités durant l'histoire n'ont pas été répondus et, parfois, il y avait tellement de pages entre la première mention d'un personnage avant qu'il ne réapparaisse que j'avais le temps d'en oublier l'existence. En gros, je n'ai été captivée que par quelques scènes qui m'aparaissaient presque comme un film à la lecture.
J’adore tous les romans de Patrick Sénécal! Je le trouve absolument brillant! J’ai eu plus de difficultés avec la première moitié du livre où je trouvais que les intrigues étaient quelque peu répétitives et que les fuites un peu trop détaillés dans les rues de Drummondville… je n’ai pas trop compris ce que tous ces noms de rues pouvaient ajouter à l’histoire ou à l’intrigue et ça m’a sembler être beaucoup trop de détail pour rien. Heureusement, la 2e moitié du livre en vaut la peine, où l’intrigue atteint son summum et où l’on peut ressentir la paranoïa du personnage principal. Si la première partie du livre met en place l’intrigue et le suspense, la 2e partie vous en donne pour votre argent !!! On y fait également un clin d’œil à l’une de ses œuvres, personnellement j’adore quand certains personnages/entité refont surface dans le univers de Patrick Sénécal!!
Le titre du livre annonce parfaitement l'histoire, mais ne nous protège en rien de la vague d'émotions qui submerge abruptement le lecteur. Péripéties par dessus péripéties, Patrick Senécal laisse peu de place au rationnel et provoque, comme à son habitude, le chaos. Le fait que l'action se déroule principalement dans une ville réelle que je connais m'interpelle particulièrement. Cela laisse place à l'imaginaire et soulève les questions suivantes : est-ce qu'un site tel que Hell.com existe? Qui connait vraiment les autres? Si Patrick Senécal peut imaginer ce genre de pratiques extrêmes, pourquoi ne pourraient-elles pas exister?
Encore une fois un livre très bien écrit de Patrick. Pour ma part il est dans mon top 3 après Le passager et Hell.com. J'ai trouvé certain chapitre très long et lourd à lire en format de poche, mais j'ai toujours embarqué dans l'histoire et ressenti l'envie d'en savoir plus à la fin de chaque chapitre. Pour moi la fin n'était pas prévisible du tout, j'ai eu de la difficulté à comprendre pourquoi ''Stephane'' revenait toujours dans les pensées de Carl, mais j'imagine que ce n'était qu'une métaphore pour nous faire comprendre que Carl devenait de plus en plus dérangé mentalement à cause de tous ces événements. Bref, ce fut une longue, mais intéressante lecture que je recommanderai.
Excellent thriller psychologique. Lien intéressant avec de précédents romans du même auteur. Quelques scènes inutiles mais de façon générale divertissant et on veut toujours lire un chapitre de plus.
Complètement troublant. Vraiment pas le meilleur de Patrick Sénécal à mon avis. Il y a beaucoup de descriptions géographique que j’ai moins aimé. De plus, le 3/4 du livre est assez redondant:/
2.5 ⭐️ C’est la première fois que j’aime moyen un livre de Sénécal, mais les longueurs m’ont fait décrocher plusieurs fois.. Une fois au 3/4 du livre, ça déboule et devient intéressant, mais ça ne rattrape pas tout 🤷🏼♀️
Plus ou moins 200 pages d'intéressantes dans un livre de 550 pages, c'est assez pénible à lire. Les 300 premières pages sont tout simplement douloureuses tellement c'est ennuyeux et que chaque phrase doit être ponctuée d'un sacre inutile ( je n'ai rien contre les sacres dans un livre, mais là c'est juste too much pour rien ). Quand j'y pense, la seule raison pour laquelle je n'ai pas abandonné, c'est à cause de l'auteur, que j'imaginais qui me surprendrait à la fin. Ça effectivement prit une tournure plus intéressante, mais loin d'être suffisante. Assez pour que je me questionne savoir si je vais acheter le prochain alors que je lis religieusement tout ce qu'il sort en quelques jours depuis le début.