" Tu fais quoi à Noël ? - Moi je me suicide, et toi ? " Bien sûr, dit comme ça, ça peut paraître sinistre, mais, à quarante-cinq ans, c'est ma meilleure option. Ce n'est pas comme si je faisais des malheureux autour de moi. Comme si j'abandonnais mari et enfants. Je n'ai ni chien ni chat. Même pas un perroquet pour me pleurer. Et puis ça me laisse deux mois pour faire connaissance avec mon vrai moi. Deux mois c'est court. Ou long, ça dépend de ce qui se passe, en fait. Célibataire, peu d'amis, plus de parents, Sylvie Chabert est persuadée que sa vie ne mène à rien et veut mettre fin à ses jours. Mais une série d'événements imprévus contrarie son plan. Tour à tour hilarant et émouvant, Joyeux suicide et bonne année ! est un antidote à la solitude, un hymne à la vie, une comédie salutaire et impertinente.
Petite lecture pour se faire du bien, même si ce n’est pas forcément évident à la lecture des premières pages. Sylvie, le personnage principal, nous prévient dès cet instant qu’elle mettra bientôt fin à ses jours deux mois plus tard à Noël… moi qui vis une période de ma vie pas très drôle en ce moment, j’avoue que j’avais espéré que le début soit plus drôle.
Le thème principal est avant tout la solitude humaine dans ce monde ultra connecté. Sylvie nous attendrit avec sa maladresse et son manque de confiance auxquels je me suis reconnue parfois. Pas besoin d’être un grand enquêteur pour savoir que cela finira forcément bien, le style est léger et correspond à nos attentes, on tourne les pages sans s’en rendre compte et on arrive à la fin assez rapidement.
Il aura un impact bien plus important sur moi, car même si l’histoire est simple et cocasse, elle aura surtout l’effet de nous mettre face à nos propres peurs et surtout nous donner envie de les surmonter. Et j’avoue j’aime bien ces lectures qui nous font voir les choses de la vie différemment, qui nous donne envie de changer.
Comme quoi il ne faut pas se fier aux apparences et aux premières impressions.
Bola to milá knižka, v mnohom mi pripomínala V podstate som celkom v poriadku (ta bola pravdupovediac lepšia :)). Aj keď sa to točilo okolo smrti, nemala som vôbec zle pocity, za mňa je to milé, rýchle a jednoduché čítanie, aj take knihy musia byť :)
the main character is extremely annoying, the ending is unbelievable, I didn't feel anything and it definitely didn't inspire me in the way I was expecting. disappointing.
Sophie de Villenoisy est journaliste, écrivain et scénariste. Elle a écrit plusieurs guides pratiques pour les Editions Leduc ainsi que huit albums humoristiques de bande dessinée. Elle a deux enfants, un mari et un chat, et vit à Paris.
Joyeux suicide et bonne année est un roman de divertissement rafraîchissant, qui oscille sans cesse entre dérision et émotion. Nul doute qu'il constitue la lecture idéale pour commencer la nouvelle année sur une note d'humour tout à fait bienvenue !
Ce joyeux mélange d'impertinence et de tendresse fait forcément penser à Bridget Jones mais le roman de Sophie de Villenoisy réserve bien d'autres surprises ! Ce conte moderne régénérant, dans lequel on rit beaucoup, se révèle bien plus émouvant qu'on l'imagine !
Pour se sortir de ses idées noires, Sylvie accepte de relever le défi que son psy lui propose : elle a deux mois pour bousculer ses habitudes et faire connaissance avec elle-même.
«Deux mois c'est court. Ou long, ça dépend de ce qui se passe, en fait.»
Durant ce laps de temps, Sylvie va se surprendre à faire des choses nouvelles. Des choses anodines, des choses un peu folles mais aussi parfois des choses répréhensibles qui vont bouleverser son quotidien et faire voler ses certitudes en éclats.... Et si de ce saut dans l'inconnu surgissait finalement une vie qui valait la peine d'être vécue ?
«Lorsque vous êtes arrivée il y a quelques semaines de cela, vous étiez en grande souffrance psychique. Mais cette Sylvie-là n'existe plus. Je ne vois plus une femme en souffrance, mais une femme en devenir. Vous avez changé en profondeur et plus que vous ne croyez. On peut mourir symboliquement et vous en êtes la preuve vivante. La Sylvie que vous avez été pendant quarante-cinq ans n'existe plus. Vous êtes morte pour mieux renaître.»
Si les remises en question de Sylvie et son chemin vers l'épanouissement inspirent au renouveau, ce roman entame également une jolie réflexion sur le sens de la vie et la valeur de celle-ci. Ode à la vie, à l'amour, c'est histoire touchante, pleine de belles valeurs, qui célèbre la chaleur humaine et laisse le lecteur ému et réparé. En refermant ce livre, on n'a qu'une envie : se délecter des petits bonheurs qu'offre la vie !
Un humour décapant, des personnages attachants, une profonde humanité, Joyeux suicide et bonne année est un excellent moyen de chasser la morosité et le spleen d'après les fêtes ! Un véritable concentré de bonne humeur !
This is not a debut, this is a complete failure. The only word which comes into my mind is disgusting. Summary is promising a funny, dark-to-light story about a woman overcoming her life crisis. In reality? this is story about a woman who has bad sexual obsession — all she thinks is sex, everything she sees is somehow relates to sex. Dont get me wrong, I dont mind reading erotic scenes in books but this particular book is an outstanding example! Here its not funny, nor erotic, nor ironic. Its vulgar and disgusting. Moreover, the whole “life crisis” part written so poorly that you dont care about the main character at all. All her troubles seems stupid, far-fetched, especially for 45 years old woman. Psychological help in deed needed. The main question who needs it the most — the main character, the author or the publisher. POV writing makes the situation even worse because reading it makes you feel like theres someone having a big fit of hysteria next to you. Besides sex obsession, author write a lot of detailed physiological situation like for example pooping, describing the process, smell, emotions. Did we really need this in the book? Because its not funny or inspirational at all. All I feel after reading this book is a need to air my room, wash hands, sanitize my brain and throw away the book.
Яркий, смешной и импульсивный роман, который повествует о неудачнице Сильвии, которой 45 лет. ⠀ Пошло и иронично - Сильвия исповедуется читателю о своей судьбе и жизни. Она думает, что ее ничего не держит в этом мире и перед тем как совершить самоубийство, она решается сходить к психотерапевту. ⠀ Затяжная депрессия сподвигнула ее на ужасные мысли, которые она хотела перед смертью рассказать своему новому другу. Но сможет ли он ее спасти? ⠀ Это было забавно наблюдать за тем, как Сильвия перерождается. Из гадкого и робкого утёнка, в прекрасного и самоуверенного лебедя. ⠀ Из-за того, что у Сильвии высоко развита социализация, она не допускает любого промаха или не выполнений поручений. Если бы у неё она была менее развита, возможно, у истории был бы другой конец. ⠀ История очень маленькая, написана безумно простым языком. Но в ней очень много доброты, тепла и любви. Рекомендую к прочтению!
Coup de ❤️. J'ai adoré suivre les aventures de Sylvie, c'est un personnage en qui j'ai pu m'identifier et m'attacher. C'est une lecture sans prise de tête, dramatiquement drôle et touchante. Autre version 224pages.
Un livre très niais, à l’eau de rose, avec quelques toutes petites touches humoristiques (vraiment drôles pour le coup). Je ne suis pas fan du tout des romans « feel good » et celui-ci comporte tous les clichés du genre. Heureusement le roman est court, rapide à lire. Certains passages m’ont vraiment fait lever les yeux au ciel, certaines références à l’actualité (telles que Je Suis Charlie, Facebook ou l’homosexualité) n’ont strictement rien à y faire et semblent être tombées de nulle part pour « dire de ». Je dois cependant reconnaître m’être attachée au personnage de Sylvie et avoir eu envie d’aller jusqu’au bout de l’histoire (même si la fin est franchement prévisible).
La fille triste et ennuyeuse est juriste. Son assistante est blonde et sulfureuse. Son psy est sexy. L'homme chauve est un amant merveilleux. Etc etc etc etc etc.. #clichés
Pour résumer, on suit une femme célibataire et sans enfants de 45 ans (sans presque aucun doute : blanche, de droite, et bourgeoise) qui, suite à la mort de son père dont elle s'occupait, se rend compte de la vacuité de sa vie. Elle prends donc la décision de mettre fin à sa vie le jour de Noël (dans 2 mois). Mais avant ça, elle va voir un psy. Pourquoi? Sûrement à cause de ses traumas familiaux (dont elle n'a pas conscience) qui lui imposent encore de faire les choses "comme il faut".
On s'en doute, c'est un roman sur la crise de la cinquantaine (même si elle n'a que 45 ans), où notre chère Sylvie va peu à peu redécouvrir la beauté de la vie, grâce à son assistante super sexy et pleine de vie, son psy ultra canon (les clichés sont omniprésents, préparez vous) et quelques parties de jambes en l'air ultra chaudes pour notre Sylvie coincée (le cul sera aussi omniprésent). Rien de bien nouveau sous le soleil, et honnêtement, ça aurait pu être un bon petit roman feel-good. SAUF QUE.
Le dit roman feel-good est ponctué, par ci par là, de petites remarques racistes, grossophobes, discriminantes, à la limite de l'homophobie et j'en passe. Traitez moi de woke, mais je VOMIS le personnage de Sylvie (et d'autres perso). Mais comme on est en narration interne, je ne cesse de me demander si l'autrice n'est pas aussi fautive (car qui voudrait consciemment nous faire aimer un personnage pareil?)
Voici donc, quelques moments "phares" qui m'ont fait lever les yeux au ciel, à la limite de la cataracte : P.9: "Tu pourrais adopter? Un petit africain? Avec le sida ils sont moins regardants sur les familles." (Sans commentaire...) P.19: " la beurette, la pétasse et la mamie" (Personnages assis dans une salle d'attente. Paye ta description) P.28: "Un agent de sécurité smicard de surcroit" (bien évidemment suivi de...) "et son accent africain" (Evidemment.) P.36 : "Je ne comprends pas tout ce ramdam sur l'art africain, c'est d'un laid" (Etonnant venant de toi, Sylvie...)
P.39: (à propos de sa seule AMIE) "Elle n'a toujours pas digéré qu'il la plaque pour une jeune prof de yoga [...] Depuis, c'est comme si elle avais pris le parti de virer "dondon" [...] Je la vois engloutir des calories sans même s'en rendre compte. [...] Elle s'est transformée en petit rongeur qui grignote à longueur d e journée. Autant un petit écureuil ou un lapin joufflu c'est mignon, autant une quinquagénaire, moins." (SYMPA L'AMIE.) P.92: ses collègues "Nelly la fausse blonde, et Corinne l'éternelle boulotte au régime." Corinne n'a pas fini de s'en prendre plein la gueule, comme à la 115 où "ses bajoues tremblotent" (sympa, n'est-ce pas?) P. 97-98 : "(Le chauffeur de taxi) est étalé de toute sa masse sur son siège conducteur, de la chair molle déborde un peu sur les côtés [...] Etant donné sa corpulence hors-norme, son obésité morbide devrais-je dire, une visite de contrôle chez le médecin ne serait pas du luxe. Il ne respire pas la santé, mais plutôt le cholestérol [...] Qui a dit que les gros étaient jovials?" (note à l'éditeur : au pluriel c'est "joviaux". Je dis ça je dis rien)
Et pour le psy : P.109: "Faut pas qu'il me regarde comme ça, parce que, homo ou pas, je vais me jeter sur lui" (heu on se calme Sylvie) P.112 : "Il est canon et étonnement viril pour un homosexuel" (aaaah j'aime grincer des dents comme ça)
Et je ne vais pas parler de la relation avec le psy, qui est plus de ne pas être déontologique, est d'une stupidité sans fin.
Bref, vous l'aurez compris, j'ai détesté ce roman. L'histoire aurait pu me plaire, elle avait du potentiel, et quelques passages étaient chouettes, mais vu le personnage, j'aurais préféré qu'elle se jette sous le métro à la fin.
Táto krátka knižka s úžasným a pútavým názvom je o 45-ročnej žene, ktorej zomrel otec a ona ostala úplne sama. Nemala rodinu, nemala nikoho okrem jednej kamarátky, nemala život. Bola osamelá a túžila zomrieť. A potom začala chodiť k psychológovi, ktorý ju začal učiť žiť.
Bolo to veľmi pekné čítanie. Okej, slovo pekné, je diskutabilné, ale je to dôležitá knižka hlavne pre ľudí, ktorí potrebujú trocha postrčiť správnym smerom. Je to o tom, že sa netreba vzdávať a život poskytuje kopec pekných zážitkov, aj keď ste presvedčený, že vás sa to netýka. A okrem toho to bolo miestami aj dosť vtipné.
Za mňa veľmi fajn knižka, ktorú som si užila, zabavila som sa a prinútila ma k rozmýšľaniu. Odporúčam.
2,5/5. L’écriture était plus fluide et plus maitrisée que je ne l’aurais cru. L’humour passait relativement bien également. Le ton est léger, mais avec un tel livre, il faut savoir à quoi s’attendre. Néanmoins, même si j’avais une idée dans quoi je m’embarquais, j’aurais aimé un ton un peu plus mordant, un humour un peu plus noir, le tout est plutôt fleur bleue et vraiment trop léger pour mes goûts personnels, sans être pour autant un mauvais livre pour ceux et celles qui aiment ce genre de littérature. Pas mauvais, mais pas pour moi!
Даже отзыв не хочется писать. "Мымра" на новый лад. И как по мгновению ока полное перевоплощение , переосознание жизненных ценностей и хэппи-энд.. Очень слабо.
Это не рецензия, а просто пара строчек-впечатлений: писать целую рецензию на эту книгу смысла просто нету.
Я склонна к меланхолии и мрачным мыслям, так что я могу понять главную героиню — Сильви Шабер, унылую женщину за 40. По сюжету она в отчаянии обращается к психотерапевту, потому что хочет покончить жизнь самоубийством. У Сильви куча детских травм, всю свою жизнь бедная женщина жила чужой жизнью — такой, какую ей с детства привили родители, но не своей.
Психотерапевт берется за этот вызов — как-то помочь Сильви. Стоит ли говорить, что она не пила никаких препаратов, что она в качестве домашних заданий воровала, занималась сексом и ходила на шопинг. Ничего я не осуждаю, но почему-то мне такой метод терапии кажется сомнительным. Сама Сильви говорит в предпоследней главе, что это было просто развлечение, а сознание её изменилось после личного приключения. Посыл ясен — ничего ты человеку не затолкнешь в голову, если он этого не хочет. Но согласитесь, странный Сильви попался доктор.
Книжка мелюсенькая и неинтересная, на один вечер. Максимум — на день. Правда, в голове она задержится точно на такой же срок.
Une lecture très touchante. L'auteure dose bien les moments tristes et joyeux. C'est le genre de livre qu'il faut lire quand on a besoin d'une bouffée d'optimisme. C'est globalement un livre qui s'engloutit vite.
Un roman qui fait du bien au moral malgré le titre ;) c’est léger, bien écrit, seul bémol pour moi, le manque de crédibilité avec le psy dans la seconde partie. Mais parfait pour passer un bon moment :)
Un peu soûlée des "faites un truc de fou, couchez avec quelqu'un et quittez votre travail pour sortir de votre dépression !" Ca m'a tenu compagnie cette après-midi au boulot puisque je n'avais personne, et il y a 1 ou 2 passages un peu plus profond mais sans plus
Странная книга, но очень хорошая. Она смешная и немного грустная, короткая и в то же время очень глубокая. Смешно о смерти и жизнеутверждающе. Однозначно стоит прочтения.
Il n’y a pas longtemps, en rangeant ma bibliothèque, j’ai mis la main sur l’une des pépites de ma PAL. Et comme il me permettait de valider une consigne pour un challenge c’est avec plaisir que je l’ai lu, lui évitant ainsi de tomber en décrépitude.
Bienvenue dans la vie de Sylvie Chabert, une quadra pas comme les autres !
Depuis l’enterrement de son père, Sylvie est perdue. Sa vie, jusque là rythmée par le combat qu’ils menaient contre la maladie, n’a plus de sens. Elle se sent seule, inutile et vide. Elle envisage donc de mettre fin à ses jours puisque rien ne la retient sur Terre. Consciente que ses envies suicidaires ne sont pas normales elle se rend chez un psy. Mais au lieu de l’en dissuader, Franck l’aide à fixer une date pour mettre à exécution son funeste projet. Et c’est bien entendu la date de Noël qui est retenue. En attendant, elle se rendra fréquemment chez son psy qui lui donnera des exercices à réaliser. Et si, grâce à ses exercices, Franck réussissait à lui redonner goût à la vie ?
Voilà un roman qui aura su me faire passer du rire aux larmes, et vice-versa.
"Joyeux suicide et bonne année !" est un très bon roman de chick-lit. Au fil des pages, les situations comiques, dignes de vaudevilles, s’enchainent. L’auteure n’a aucune limite ni tabou. Au point qu’en lisant certains passages je me disais : « non, elle ne va pas oser ! ». Et bien si ! Cette lecture m’a donc permis d’avoir de nombreux fou rire. Mais ce roman, c’est tellement plus que ça ! C’est un roman feel-good qui nous amène à réfléchir sur le sens de la vie et de notre propre existence. C’est un roman rempli de mélancolie et de regret. Un roman qui nous fait monter les larmes aux yeux. Mais ne croyez pas que l’auteure nous fait faire les montagnes russes ou qu’elle est tombée dans le mélodramatique. Loin s’en faut. Sophie de Villenoisy a su parfaitement doser les moments tristes et les moments drôles donnant à son roman plus de profondeurs. En bref, c’est une véritable ode à la vie !
Je dois aussi reconnaitre que la plume de l’auteure est très fluide et addictive. On enchaine les pages sans s’en rendre compte ce qui est toujours agréable.
Quant au personnage de Sylvie, il ne peut que nous émouvoir. C’est un personnage très basique, à la vie simple. Il est donc facile pour le lecteur de se projeter, de s’attacher. Son histoire, sa vie, c’est un peu la notre et on rêve de savoir si elle va trouver la force de continuer à vivre ou si elle va baisser les bras. Pour le savoir, une seule solution : le lire. Alors, préparer la boite de mouchoirs car les larmes, que ce soit de rire ou de peine, seront de la partie.
Vous l’aurez compris, j’ai adoré ce roman. Pour moi, celui-ci est bien plus qu’un roman de chick-lit. C’est un roman dont la lecture ne peut laisser indifférent, un roman dont on ressort transformer.
Sylvie Chabert a 45 ans, elle est célibataire, elle a peu d'amis, elle n'a pas d'enfants et elle n'a pas d'homme dans sa vie. Elle vient d'enterrer son Papa (malade) dont les dernières semaines n'étaient que souffrance. Il ne lui reste que son boulot pour combler ses journées et la solitude.
Sylvie n'attend plus rien de la vie. Le suicide semble être l'option la plus alléchante. Elle décide de se suicider afin de pouvoir choisir le jour et le lieu de sa mort.
Elle souhaite cependant en parler à quelqu'un et décide de se rendre chez un psychothérapeute. Elle est donc suivie par Franck, qui ne va pas tenter de la raisonner mais qui va la pousser à choisir une date (le jour de Noël) et une heure (entre 14h30 et 16h30). Ce psy, plutôt charmant, instaure de cette façon un délai de deux mois avant le passage à l'acte : un délai pour se laisser la chance de découvrir qui elle est !
Franck lui propose plusieurs exercices, des épreuves plutôt farfelues à réaliser d'une séance à l'autre qui vont changer sa routine. Sylvie a toujours été une bonne élève, consciencieuse et docile, elle accepte donc ces petites missions et se retrouve dans des situations qui ne lui ressemble pas (humiliation dans un salon d'esthétique, vol dans un magasin, rencontre avec un homme pour un coup d'un soir Éric) .
Cependant, elle n'en démord pas : le 25 décembre sera le jour de son suicide. Tout bascule lorsqu'elle rencontre une SDF à la station de métro. Cette jeune femme SDF dont elle tient la main en attendant les pompiers, meurt à ce moment là. Elle est morte presque dans ses bras. Cet événement va bouleverser toutes les certitudes de Sylvie. Le décès de la cette jeune femme est un électrochoc. Elle s'est reconnue en elle, une femme seule et abandonnée. Elle va prendre en charge enterrement de cette femme qui symbolisera alors le décès de l'ancienne "version" de Sylvie, l'enterrement de sa solitude.
Plusieurs changements apparaissent, Sylvie découvre qui elle est réellement et ce qui lui convient : - elle prend la décision de démissionner vu que son travail n'est plus épanouissant - elle choisit de revoir Éric et va entamer une relation plus sérieuse - elle noue une belle amitié avec Franck qui est d'ailleurs homosexuel - elle veut profiter des plaisirs de la vie, le sucide n'est plus d'actualité - elle partage sa prise de conscience avec son amie Véronique et l'encourage à tourner la page de son divorce et être heureuse
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Cartea asta e vinovata ( sau mai zis autoarea acestei carti) de fostul ca ma dor coastele 🙈 Am ras atat de mult pe infundate ca intradevar ma dor coastele. Am citit aseara in pat si azi la munca, deci se înțelege ca nu am putut sa ma dezlantui 🤣🤣🤣
Sylvie Chabert are 45 de ani cand ii moare si tatal si se simte atat de singura ca inceoe sa isi doreasca sa moara. Are Putini prieteni, nacasatorita, fara copii. Pe masura ce se gandeste mai mult la sinucidere, se hotaraste sa o planuiasca, dar prima data vrea sa vorbească cu un psihoterapeut si sa ii souna ce are de gand. Vorbind cu el, se hotaraste la data de 25 decembrie intre orele 14.30 si 16.30 🤣 Cand dr o ajuta sa isi stabileasca acesta data si ora am crezut ca e nebun 🤣 Dar ii propune ca pana atunci sa se vada la o ședință pe săptămână si intre timp ii da săptămânal care o provocare de facut. Sa fac lucruri pe care nu a avut niciodata curaj sa le faca. Asa ajunge sa se epilezi inhinal, sa fure ceva dintrun magazin ( aici am murit de ras la ce i s-a intamplat de frica) si sa isi dea intalnire cu un barbat pe care il gaseste asisrenta ei pe Facebook, iar aceasta o sfatuiste sa mearga fara chiloti la intalnire ( cu fofoloanca goala in bataia vantului cum zice Sylvie)
Intro seara la metrou are parte de o traire care ii va schimba planul de sinucidere.
Recomand cartea asta daca vrei sa razi si sa re destinzi putin. Cel putin mie mi s-a parut foarte amuzanta, de aceea ii dau 🤣🤣🤣🤣🤣 in loc de stelute.
"Din oglindă mă priveşte o brunetă cu părul uscat ca o coamă de cal. Am o claie atât de mare că nici un cancer nu i-ar putea veni de hac"
"Încerc să îmi amintesc ce chiloţi mi-am pus azi dimineaţă. Dă, Doamne, să nu fie murdari sau, mai rău, găuriţi" 🙈🤣
"Numai să nu se mai uite aşa la mine că, homo sau nu, mai am puţin şi sar pe el."
A 45 ans, Sylvie est tellement déprimée qu'elle voudrait en finir. Comme elle vient de perdre son père, dont elle s'occupait en fin de vie, elle n'a plus de raison de rester vivante. Vivante, l'est-elle vraiment, elle qui est passée à côté de sa vie ? Ses questionnements l'entraînent à voir un psychothérapeute qui va l'inciter à réaliser quelques défis pour se dépasser avant de se suicider. Il leur reste quelques semaines avant Noël, date fatidique choisie par Sylvie pour mettre fin à la monotonie et la tristesse de ses jours...
Sylvie se trouve moche, sans attrait, insipide et il faut avouer qu'au début du roman, elle manque cruellement de saveur et, surtout, d'affection. Je ne me suis pas franchement attachée à ce personnage trop caricatural à mon goût et pétri de mauvais clichés (grossophobie, jalousie, amertume, stéréotypes à l'encontre des gays, "pauvrophobie"), qui la rendent parfois carrément idiote... Son ignorance des sentiments et des us et coutumes sociaux de la séduction auraient pu être touchante si le trait n'avait pas été aussi grossier... Je connais des personnes célibataires sans enfants absolument merveilleuses, bien loin de tous les défauts de caractère dont est affublée cette pauvre Sylvie. Cependant, certaines anecdotes restent crédibles (plateau-repas, métro-boulot-dodo, crise de la quarantaine), tandis que d'autres m'ont fait sourire (épilation, vol, culotte...) sans jamais m'émouvoir vraiment.
Voici un très court feel-good qui se lit très rapidement. L'écriture de Sophie de Villenoisy n'a rien de franchement notable, si ce n'est sa fluidité et les quelques éclats d'humour noir et de grossièreté bien nourrie (et fort à propos).
Sylvie est orpheline depuis peu. Après des mois au chevet de son père, elle fait le point sur sa vie : Elle n'a plus de parents, pas d'enfants (et il est trop tard pour en avoir), peu d'amis et pas de mec. Sa vie est lisse, trop lisse. Un boulot qu'elle aime "mais pas trop", un appart qu'elle aime "mais pas trop", bref, rien qui ne lui prédise des années à venir particulièrement excitantes. Et puis il y a cette solitude. La mort lui semblant plus alléchante que la vie, elle décide de se suicider et en convient avec son nouveau psy : le passage à l'acte se fera le 25 Décembre !
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Ca fait des années que je lorgne sur ce livre, et pour être franche, il faisait partie de mes prochains achats... Mais ma meilleure amie en a décidé autrement, et le voilà au pied du sapin ! Période de fêtes oblige, je l'attaque direct, pour coller au thème ! Sylvie est un peu une Bridget Jones, très seule, très maladroite, très stressée... Et elle gère si mal le stress que s'en est souvent très drôle ! De scènes hilarantes en scènes plus poignantes, "Joyeux suicide et bonne année" est l'un de ces romans "feel-good" qu'on lit vite et qui nous touche.
Gros bémol : La taille du livre ! 170 pages c'est beaucoup trop court pour autant de contenu. Le livre aurait été beaucoup plus puissant et marquant s'il avait atteint, au minimum, les 500 pages. En 170 pages on a pas le temps de s'attacher réellement, et même si j'ai beaucoup ri avec certaines scènes, je reste vraiment sur ma faim !
Comme indiqué dans la description ce livre est émouvant et drôle. Parfait pour vous remonter le moral. l est facile de s'identifier à Sylvie ,une femme célibataire d quarante cinq ans qui s'est un peu oubliée au fil des années. Après avoir pris soin de son père et ayant perdu sa mère, à quarante cinq ans elle fait le point sur sa vie et se rend compte que à part son travail qui l'ennuie et un héritage qui ne lui sert à rien sans personne avec qui le partager sa vie ne rime à rien. Elle décide donc de mettre fin à ses jours.
Mais avant elle veut en parler à quelqu'un, pas à Véronique sa seule amie aussi dépressive qu'elle se sera donc un psy choisi au hasard pour sa proximité.
Celui- ci n'essaie pas de la décourager , mais lui donne un exercice par semaine à faire avant la date fatidique choisie : le 25 décembre.
Bien que cela puisse sembler glauque ou triste ce livre est un concentré de bonne humeur et de bons sentiments, mais pas dans le mauvais sens du terme. Les personnages sont hauts en couleurs et les dialogues parfois très imagés sont truculents.
Si vous trouvez que votre vie est terne ou ennuyante ou simplement pour vous vider la tête jetez vous sur ce livre. Vous passerez un bon moment et le fermerais avec le sourire aux lèvres et peut-être la larme à l'oeil et l'envie furieuse de vivre.
Sophie de Villenoisy, par sa plume légère et moderne, parvient à aborder des sujets tragiques avec beaucoup d'humour. Un humour assez cru et souvent facile. L'intrigue du roman est assez prévisible mais le cocasse des situations permet d'éviter l'ennui. Les sujets abordés par le roman; la solitude et la misère affective, le manque de confiance en soi; sont intéressants et me parlent tout particulièrement. Ce qui m'a parfois agacé, c'est l'humour un peu trop facile de l'auteure, qui se moque à plusieurs reprises des personnes jugées "moches" ou "grosses" entre autres. Même s'il s'agit d'humour noir, j'ai trouvé cela un peu limite parfois. D'un autre côté, cet humour est aussi la grande force du roman. Autre bémol, tous les clichés présents dans le récit, en commençant par la description de Sylvie, la parisienne typique, riche et maniérée, ou la leçon sous-jacente selon laquelle pour être épanouie il faut surtout prendre soin de son physique et de son apparence. Enfin, j'ai trouvé la morale finale de l'histoire un peu maladroite, très individualiste, bien que l'idée ne soit pas mauvaise et certainement pleine de bonnes intentions. Un livre pétillant, drôle et léger, qui ne me laissera pas un souvenir impérissable mais qui donne le sourire, c'est l'essentiel!