L’histoire se déroule à Paris le 12 novembre 1918, jour de la première de la comédie musicale Phi Phi. Deux jeunes artistes, accompagnés d’une modèle et d'un vieux dandy, déambulent à la recherche d'idées pour en finir avec l'horreur de la guerre et les langueurs de la Belle Époque. Ils découvrent les rythmes américains, la comédie des apparences, le plaisir d'aimer et de tromper. Leurs expériences de cette journée esquissent un style de vie qu’on associera plus tard aux Années Folles.
Benoît Duteurtre (20 March 1960 – 16 July 2024) was a French novelist and essayist. He was also a musical critic, musician, producer and host of a radio show about music. He spent his time between Paris, New York and Normandy.
Benoît Duteurtre was born in Sainte-Adresse, Seine-Maritime, Upper Normandy, where he spent his first years. He was the son of Jean-Claude Duteurtre and Marie-Claire Georges. He was also the great-grandson of the French president René Coty. He attended Saint-Joseph, a Catholic educational institution in Le Havre. Duteurtre began to write at an early age. At fifteen, he presented his first texts to Armand Salacrou, a French dramatist established in Le Havre, who encouraged him to pursue his efforts. Le Havre, a heavily destroyed city during World War II and rebuilt in the structural classicism style will often reappear in Duteurtre's later works.
At the age of sixteen, Benoît Duteurtre was fascinated with modern music, especially the work of Pierre Boulez. In 1977, Benoît began musicology studies at the University of Rouen, France. That same year, he met Karlheinz Stockhausen and, a year later, Iannis Xenakis. In 1979, Benoît Duteurtre studied for a month with György Ligeti, whose musical theory later had a strong influence in his life. He graduated with a license in Musicology.
C'est le lendemain de l'armistice ou le premier jour des années folles ! Une histoire assez bizarre mais c'est ça qui la rend amusante. D'ailleurs, malgre son sujet assez serieux (la première guerre mondiale), ce roman est complètement dénué du chagrin (typiquement) français - parfait !
Bouquin sans aucun intérêt. Trop court pour raconter une vraie histoire, il se contente de montrer l'érudition de l'auteur qui s'amuse à mentionner les noms de certain figures importantes du Paris des années folles. Bof