Brev om de blinda som publicerades 1749 och som resulterade i att Diderot fängslades och satt inspärrad på slottet Vincennes under fyra månader, är inte en skrift som primärt ägnas blindhet. Diderot söker istället svar på sådana allmängiltiga frågor som inbegrips i termerna filosofi och estetik, bl. a. genom att iaktta och intervjua blinda. Begreppet filosofi var då mera liktydigt med vårt oprecisa »vetenskap« än filosofi som den definieras idag. För Diderot hade fysik och metafysik samma aktualitet. Skriftens huvudteman är dels kritik mot den aktade akademiledamoten Réaumur och dennes vetenskapliga metoder inom medicinen, dels utläggningen av en ateistisk världsåskådning. Inledning och översättning av Tore Wretö.
Work on the Encyclopédie (1751-1772), supreme accomplishment of French philosopher and writer Denis Diderot, epitomized the spirit of thought of Enlightenment; he also wrote novels, plays, critical essays, and brilliant letters to a wide circle of friends and colleagues.
This artistic prominent persona served as best known co-founder, chief editor, and contributor.
He also contributed notably to literature with Jacques le fataliste et son maître (Jacques the Fatalist and his Master), which emulated Laurence Sterne in challenging conventions regarding structure and content, while also examining ideas about free will. Diderot also authored of the known dialogue, Le Neveu de Rameau (Rameau's Nephew), basis of many articles and sermons about consumer desire. His articles included many topics.
Diderot speculated on free will, held a completely materialistic view of the universe, and suggested that heredity determines all human behavior. He therefore warned his fellows against an overemphasis on mathematics and against the blind optimism that sees in the growth of physical knowledge an automatic social and human progress. He rejected the idea of progress. His opinion doomed the aim of progressing through technology to fail. He founded on experiment and the study of probabilities. He wrote several articles and supplements concerning gambling, mortality rates, and inoculation against smallpox. He discreetly but firmly refuted technical errors and personal positions of d'Alembert on probability.
" No sé porque el mundo no se cansa de leer tanto y de aprender tan poco,a no ser que sea por la misma razón por la que,desde hace dos horas,tengo el honor de conversar con usted , sin cansarme y sin decirle nada."
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Bien Beau livre qui d'écrit bien comment un aveugle perçoit les choses. Mais il est un peu long et ennuyeux surtout vers la fin beaucoup de pages pour expliquer des choses que l'on comprend trés vite surtout lorsqu'on connait le handicap
Quelques passages que je retiens : "nous allâmes interroger l’aveugle-né du Puisaux : c’est un homme qui ne manque pas de bon sens ; que beaucoup de personnes connaissent ; qui sait un peu de chimie" p5
"La beauté, pour un aveugle, n’est qu’un mot, quand elle est séparée de l’utilité ; et avec un organe de moins, combien de choses dont l’utilité lui échappe ! Les aveugles ne sont-ils pas bien à plaindre de n’estimer beau que ce qui est bon ? combien de choses admirables perdues pour eux ! Le seul bien qui les dédommage de cette perte, c’est d’avoir des idées du beau, à la vérité moins étendues, mais plus nettes que des philosophes clairvoyants qui en ont traité fort au long". p6
" «C’est, lui répondit l’aveugle, un organe, sur lequel l’air fait l’effet de mon bâton sur ma main. » Cette réponse nous fit tomber des nues ; et tandis que nous nous entreregardions avec admiration." p7
"« Si la curiosité ne me dominait pas, dit-il, j’aimerais bien autant avoir de longs bras ; il me semble que mes mains m’instruiraient mieux de ce qui se passe dans la lune que vos yeux où vos télescopes ; et puis les yeux cessent plutôt de voir que les mains de toucher. Il vaudrait donc bien autant qu’on perfectionnât en moi l’organe que j’ai, que de m’accorder celui qui me manque." p9
" Bien ne m’a tant étonné que son aptitude singulière à un grand nombre de choses ; et lorsque nous lui en témoignâmes notre surprise : « Je m’aperçois bien, messieurs, nous dit il, que vous n’êtes pas aveugles : vous êtes surpris de ce que je fais ; et pourquoi ne vous étonnez-vous pas aussi de ce que je parle ? » Il y a, je crois, plus de philosophie dans cette réponse qu’il ne prétendait y en mettre lui-même. C’est une chose assez surprenante que la facilité avec laquelle on apprend à parler. Nous ne parvenons à attacher une idée à quantité de termes qui ne peuvent être représentés par des objets sensibles, et qui, pour ainsi dire, n’ont point de corps, que par une suite de combinaisons fines et profondes des analogies que nous remarquons entre ces objets non sensibles et les idées qu’ils excitent ; et il faut avouer conséquemment qu’un aveugle-né doit apprendre à parler plus difficilement qu’un autre, puisque le nombre des objets non sensibles étant beaucoup plus grand pour lui, il a bien moins de champ que nous pour comparer et pour combiner. Comment veut-on, par exemple, que le mot physionomie se fixe dans sa mémoire ?" p9
" J’ai lu, avec toute l’attention dont je suis capable, ce que Saunderson a dit de l’infini ; je puis vous assurer qu’il avait sur ce sujet des idées très justes et très nettes, et que la plupart de nos infinitaires n’auraient été pour lui que des aveugles." p23
" Saunderson voyait donc par la peau ; cette enveloppe était donc en lui d’une sensibilité si exquise, qu’on peut assurer qu’avec un peu d’habitude il serait parvenu à reconnaître un de ses amis dont un dessinateur lui aurait tracé le portrait sur la main, et qu’il aurait prononcé, sur la succession des sensations excitées par le crayon : C’est monsieur un tel." p24
" nous rencontrerions une multitude d’êtres informes pour quelques êtres bien organisés. Si je n’ai rien à vous objecter sur la condition présente des choses, je puis du moins vous interroger sur leur condition passée. Je puis vous demander, par exemple, qui vous a dit à vous, à Leibnitz, à Clarke et à Newton, que dans les premiers instants de la formation des animaux, les uns n’étaient pas sans tête et les autres sans pieds ? Je puis vous soutenir que ceux-ci n’avaient point d’estomac, et ceux-là point d’intestins ; que tels à qui un estomac, un palais et des dents semblaient promettre de la durée, ont cessé par quelque vice du cœur ou des poumons ; que les monstres se sont anéantis successivement ; que toutes les combinaisons vicieuses de la matière ont disparu, et qu’il n’est resté que celles où le mécanisme n’impliquait aucune contradiction importante, et qui pouvaient subsister par elles-mêmes et se perpétuer." p26
"« S’il n’y avait jamais eu d’êtres informes, vous ne manqueriez pas de prétendre qu’il n’y en aura jamais, et que je me jette dans des hypothèses chimériques ; mais l’ordre n’est pas si parfait, continua Saunderson, qu’il ne paraisse encore de temps en temps des productions monstrueuses. » Puis, se tournant en face du ministre, il ajouta : « Voyez-moi bien, monsieur Holmes, je n’ai point d’yeux. Qu’avions-nous fait à Dieu, vous et moi, l’un pour avoir cet organe, l’autre pour en être privé ? »" p27
Interesante entender parte del comportamiento de los sentidos, y de cómo estos son tan trascendentales, incluso hasta llegar al punto de tener influencia en lo que conocemos como la moral, los valores, el comportamiento, la empatia y la sensibilidad emocional. Ser ciego, ser sordo, o padecer cualquier otra limitación de los sentidos, transforman por completo la percepción del mundo, de la capacidad de entender el dolor (ya que el dolor en en gran medida se entiende a través de lo visual y lo auditivo), de entender términos como belleza, entendiendo que la belleza solo existe y tiene sentido para quien la ve.
La belleza no existe para el ciego, tampoco la noción de cielo o infierno ya que su mente no tiene la capacidad, ni los conocimientos visuales para imaginar qué es eso que nunca ha visto. Así, la religión no tiene sentido para el ciego, ni Dios, ni lo bello, ni lo feo. Diderot lo escribió: un sacerdote no puede pretender convencer o manipular a un ciego a través de las no opciones tradicionales del paraíso, porque el ciego nunca se ha hecho una idea de lo que puede ser. Incluso, es más cercano al "infierno" ya que solo conoce oscuridad y tinieblas.
Un relato corto, biográfico en parte, y muy analítico e interesante para entender otras formas del mundo, del cuerpo y de los sentidos.
"A diferencia de nosotros, a quienes nos afectan todas las demostraciones externas de conmiseración e ideas de dolor, los ciegos sólo se ven afectados por los quejidos, por lo que sospecho que generalmente les falta humanidad.¿Cuál es la diferencia para un ciego entre un hombre que orina y un hombre que, sin lamentarse, derrama su sangre? ¿Acaso no dejamos nosotros de sentir compasión cuando la distancia o la pequeñez de los objetos produce en nuestro ser el mismo efecto que la privación de la vista en los ciegos? ¡Cuánto dependen nuestras virtudes de nuestra forma de sentir y del grado en el que las cosas externas nos afectan! Asimismo, no me cabe la menor duda de que, sin el temor al castigo, a mucha gente le sería más fácil matar a un hombre desde una distancia en la que este se viera del tamaño de una golondrina que degollar a un buey con sus propias manos. Si sentimos compasión por un caballo que sufre pero pisamos a una hormiga sin ningún escrúpulo, ¿no nos determina el mismo principio? ¡Ah, señora, cuán diferente es la moral de los ciegos a la nuestra y cuán diferente debe ser también la de un sordo a la de un ciego! ¡Por no decir a qué punto un ser que tuviera un sentido de más que nosotros encontraría imperfecta nuestra moral, por no decir nada peor!"
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1749 yılında yazılmış. Körlerin dünyayı dokunarak ve seslerle algılayışları, nasıl yaşadıkları ve daha sonra gözleri ameliyatla açılmış olanların yaşadıkları üzerine o dönemin bilim, teoloji, felsefe çalışmalarıyla karşılaştırmalı düşüncelerden oluşuyor.