Au matin de Pessah, la Pâque juive, un vieil homme se remémore cette nuit si particulière que sa famille rejoue à huis clos et à guichet fermé chaque année – une comédie extravagante et drolatique dont elle a le secret. Il y a Michelle, la cadette qui enrage pour un rien et terrorise tout son monde, à commencer par Patrick, le très émotif père de ses enfants. Il y a Denise, l’aînée trop discrète, et son mari Pinhas, qui bâtit des châteaux en Espagne et des palais au Maroc. Et bien sûr Salomon, le patriarche rescapé des camps, et son humour d’un genre très personnel qui lui vaut quelques revers et pas mal d’incompréhension. Mais en ce matin de Pessah, pour la première fois, Salomon s’apprête à vivre cette nuit sans sa femme, sa douce et merveilleuse Sarah… Un roman au charme irrésistible, émouvant, drôle – et magnifiquement enlevé.
Un peu déçue (probablement parce que le quatrième de couverture survend un peu le livre), je me suis parfois perdue entre le rêve et le flashback, et j'ai trouvé la thématique de l'absence de l'être aimé vraiment trop présente (ça en devient lourdingue à la fin). Ça reste cependant un bon roman.
Das erste Pessachfest ohne Sarah steht an. Sie war es, die die Familie zusammengehalten, Konflikte geglättet hat. Nun ist sie verstorben und ihr Mann Salomon muss das Fest alleine vorbereiten. Kurz bevor der Sederabend beginnt, erinnert er sich. An vergangene Feste, an seine Töchter, die Enkel, die Verfolgung durch die Nazis und immer wieder an Sarah. Als Leser folgt man seinem Gedankenstrom, der mal hierhin und mal dorthin springt. Der mal zum Brüllen komisch ist, dann nachdenklich, dann wieder tief traurig. Joachim Schnerf schreibt das alles mit einer knappen Blumigkeit, die ich sehr mochte. Überhaupt mochte ich dieses Buch, das genau die richtige Länge für diese Art des Gedankenstroms hat, das Einblicke gibt in eine jüdische Familie, über den Umgang mit der furchtbaren Vergangenheit und über die nächsten Generationen.
J’ai l’impression que ce livre commence très bien et finit moins bien. Les derniers 30 pages sont une sécession de répétition et de maquettes des caractères, une attente infinie du dernier souper. Il se conclut avec un final prévisible. Dommage
Libro fácil de leer y bien escrito. Dudo un poco de si el humor negro con respecto a la Shoah si pueda ser atribuido a un sobreviviente pero de resto un libro entretenido, bonito que se disfruta.