Juin 1939. Heinrich Himmler diligente une mission archéologique en Irak dans le but officieux de s’allier les populations locales afin de saper l’influence britannique et préparer l’avènement d’un nouvel ordre mondial… Au sein de cette expédition qu’il dirige en sous-main, l’officier SS Friedrich Saxhäuser. Héros de la Grande Guerre, agent naviguant dans les eaux troubles des divers services de renseignement du Reich, ce soldat hors normes a lié son destin à celui d’Adolf Hitler depuis le putsch manqué de Munich en 1923. Or, dans la vallée d’un affluent du Tigre, Saxhäuser met bientôt au jour l’impensable, une découverte si vertigineuse qu’elle pourrait bien changer la donne dans le conflit qui s’annonce… Mais encore faut-il pouvoir acheminer pareille trouvaille jusqu’en Allemagne. Et d’ailleurs, Saxhäuser le veut-il vraiment ? Auteur d’ouvrages militaires et historiques, dont La Campagne de 1870, distingué par le prix de l’Académie de Stanislas, Stéphane Przybylski livre ici la pièce initiale d’un puzzle romanesque monumental. Mêlant le substrat épique des Aventuriers de l’Arche perdue, un environnement conspirationniste digne des X-Files de Chris Carter, une rigueur historique pareille à celle des Puissances de l’invisible de Tim Powers, Le Château des millions d’années initie la tétralogie Origines avec une maestria époustouflante.
C'est un relativement court roman qui nous est proposé là: 336 pages.
Je suis habituée aux pavés, j'adore ça: les histoires qui prennent leur temps, les univers et les personnages développés ...
Mais le pitch de ce bouquin avait de quoi m'attirer: j'ai toujours été fascinée par la seconde guerre mondiale et ce qui l'entoure, que ce soient les mythes ou sa cruelle réalité.
J'ai aimé Captain America pour ça, Hellboy également (vous l'aurez compris, pour l'approche "mystique" du nazisme) ... mais aussi la Liste de Schindler, les témoignages de cette période trouble, les films plus manichéens comme Monsieur Batignole (cette fois-ci pour un abord plus "réaliste")...
Bref, c'est une période fascinante par sa violence, la volonté de toute une partie de la population de vivre normalement malgré les horreurs qui se déroulaient sous ses yeux, par les choix faits par nos ancêtres dans cette guerre, par le fait que justement personne n'était blanc ou noir, malgré la vision que l'on a voulu en donner pendant des années.
Je suis de ceux qui ont conscience que cela ne fait qu'une petite dizaine d'années que nous avons le recul nécessaire pour prendre conscience de l'horreur d'avoir rasé les cheveux des femmes soupçonnées de collusion avec les Allemands, prendre conscience de ce que personne n'a tenté de sauver Jean Moulin parce qu'il pouvait gêner Londres de par ses accointances communistes, de ce que les Allemands n'étaient pas tous dans le camp d'Hitler et ravis de ce qu'ils leur faisaient faire.
Je suis de ceux qui peuvent néanmoins comprendre les réactions vives des français pendant et à la sortie de la guerre, car après tout qu'aurions nous fait ?
Il faut écouter la magnifique chanson de Goldman et ses comparses pour s'en convaincre.
Bref, la seconde Guerre Mondiale m'attire encore : nous en apprenons tous les jours, et c'est la magie de l'Histoire. Rien n'est acquis, et tout dépend de la lecture de celui qui vous l'apprend et de celui qui la reçoit ... comme lorsqu'on lit un roman finalement.
La quatrième de couv' me promettait un voyage côté Hellboy et Captain America car oui les nazis ont profité de la Grande Guerre pour effectuer des expériences de tous ordres: médicales, mystiques ...
Des millions ont été dépensés pour retrouver des artefacts supposés donner aux Nazis la force suprême et le pouvoir d'établir la suprématie nazie sur Terre.
Des expériences médicales ont porté leurs fruits, de grandes avancées médicales ont été effectuées, dont on a aujourd’hui honte car après tout elles ont été effectuées grâce à la torture ...
D'autres n'ont rien données car après tout le surnaturel n'existe pas... En sommes-nous si sûrs que cela ?
C'est de ce postulat que nous partons.
L'aventure de Saxhäuser débute pour le lecteur en 1937. Saxhäuser est un des plus zélés serviteurs du ReichsFührer, un homme froid, calculateur, qui ne pense qu'à son bien-être, et qui a vite appris à ne rien ressentir en faisant son boulot de tueur.
Le récit est émaillé d'ellipses temporelles, et de retour dans le passé pour comprendre un peu le chemin de cet autrichien qui n'a rien imaginé d'autre que l'armée pour s'extraire de sa condition de fils de miséreux, et qui en a beaucoup voulu à la France lorsque celle-ci a privé l'Allemagne de la plus grande partie de son armée, et donc Saxhäuser de ses possibilités d'évolution.
Ces ellipses comme ces flashbacks sont très bien amenés; et nous ne sommes jamais perdus.
Cela rend les personnages plus humains, ce qui est nécessaire car après tout, l'auteur prend le parti de nous faire suivre les nazis, donc pas les protagonistes les plus glorieux d'un point de vue moral, ou idéologique tout simplement ...
Le début du roman est typique d'un roman historique, avec cette différence que l'on remonte aux origines du mouvement nazi, quand Hitler n'était qu'un obscur orateur dans une brasserie d'un quartier pauvre.
Nous rencontrons, en même temps que lui et Saxhäuser, ceux qui l'accompagneront jusqu'à la fin. (Himmler, etc...)
Saxhäuser est donc mêlé à la Grande Histoire, et développe la sienne propre ... la sienne propre, vraiment ? Saura t'il s'extraire de l'ombre du führer, homme superstitieux entre tous qui fait de lui sa bonne étoile ? Saura t'il trouver sa voie, et le veut-il seulement ?
Saxhäuser est-il heureux de son rôle de tueur froid, d'exécuteur des basses œuvres ?
De la tentative de putsch à la nuit des longs couteaux, Saxhäuser suit donc Hitler, suit ses ordres et son idéologie jusqu'à cette mission dans le désert Irakien.
C'est un pan de l'histoire nazie que l'on connaît peu, mais eux qui prônaient la supériorité de la race aryenne n'ont pas manqué de tenter de trouver des soutiens auprès du Moyen et Proche Orient.
Saxhäuser est envoyé dans le désert avec un archéologue aveuglé par l'idéologie nazie ...
Tout ne sera pas si simple, et je dois dès lors vous renvoyer à la quatrième de couverture pour ne pas spoiler plus avant.
Sachez en tout cas que c'est cette arrivée dans le désert qui va petit à petit amener les éléments fantastiques du récit.
Ces éléments sont distillés par petites touches et par des incursions dans l'esprit des entités qui ont placé, volontairement ou non, la trouvaille qui sera faite par Saxhäuser et son nouvel ami, découverte destinée à changer le court de l'Histoire.
Qui sont ces entités ? Que veulent-elles ? Ont-elles guidé Saxhäuser, ou est-ce Hitler qui a raison et notre destin est-il tout tracé ?
Ces entités accepteront-elles que l'objet mystérieux leur soit soustrait ?
C'est un tome d'installation, clairement : on n'a aucune idée de ce que l'auteur veut faire de toutes ses pièces une fois posées sur l'échiquier.
Et c'est très excitant.
On ouvre ce livre en partant sur un roman historique, avec une admiration chevillée au corps et à l'esprit devant l'érudition de l'auteur. Cette érudition est certaine, mais n'alourdit jamais le récit.
Nous apprenons ou nous réapprenons l'Histoire, et nous nous attachons en parallèle à des personnages forts et bien plus profonds qu'il n'y paraît.
Ces personnages ne sont pas forcément aimables, ils sont durs, ou trop mous, tous partis dans une idéologie trop grandes pour eux, mielleux pour la plupart, perdus par la personnalité d'Hitler ...
Mais en réalité, ils sauront tous nous surprendre à leur façon.
Et enfin, petit à petit, l'intrigue s'épaissit pour s'éloigner des standards historiques, et nous voilà partis dans un récit d'espionnage, mêlant courses-poursuites, courses contre la montre, trahisons, et révélations à l'échelle planétaire ...
J'ai fait appel à toute ma volonté pour me convaincre d'attendre les Imaginales pour acheter la suite ... allez, plus que deux semaines et demi !!!
Historical novel cum spy story cum fantasy. The result is not very impressive. The fantasy is only a side plot (and not a very good one). The historical novel sounds OK but, as I am not an expert in that field I cannot really say anything interesting about it -- in fact, I do not particularly like historical novels. The spy story is good but only just. Interesting protagonist, you can see the author spent a lot of time on him. Complex narrative structure -- a little too complex for my taste -- whose main objective is, apparently, to hide the paucity of the plot.
J’ai eu un historique un peu compliqué avec Le château des millions d’années. Le roman de Stéphane Przybylski (là t’es content de chroniquer à l’écrit et pas à l’oral) est paru à la base au format épisodique dont je n’avais lu que la première partie. Je n’ai jamais continué, trouvant le tout pas très engageant.
Devant les critiques enthousiastes de mes collègues blogueurs, je me suis dit que j’allais retenter le coup avec le roman entier, après tout la première partie ne donnait peut-être pas une bonne image de l’ensemble (c’est pas exactement ça, j’y reviendrai). J’ai donc opté pour la version audio avec mon abonnement Audible, et là c’est la catastrophe. Pas à cause du roman en lui-même, mais le narrateur choisi pour cette lecture est aussi enthousiaste qu’une voix de synthèse sous morphine, j’ai tenu encore moins longtemps que la version feuilleton du bélial’. Et après tout ça, j’y retourne, oui, je suis un peu têtu… Et Pocket m’a envoyé la version popoche, alors bon, on va pas faire la fine bouche…
Après cette longue introduction il serait peut-être temps de parler un peu du roman, non ? Le château des millions d’années est le premier tome de la Tétralogie des origines, nous suivons Friedrich Saxhäuser, héros des tranchées, espion pour le IIIe Reich et vieux pote d’un certain Adolf Hitler. Ouais, le héros est un bon vieux nazi, on a pas forcément l’habitude. Mais son rôle n’est pas de cavaler après les juifs ou d’envoyer des communistes dans des camps, non, le Friedrich il fait plutôt dans les affaires étrangères, espionnages d’alliés potentiels et renseignements en vu de deals politiques. Il est un peu l’électron libre du parti qui voyage aux quatre coins du globe. C’est dans le cadre d’une de ces missions qu’il va se faire passer pour l’assistant d’un archéologue dans les vallées du Nahr al-Zab-al-Saghir en Irak, sur la piste d’une mystérieuse peuplade. C’est là qu’il va tomber sur le fameux château des millions d’années, avoir une conversation musclée avec des créatures bizarres et trouver des artefacts mystérieux qui pourraient devenir un atout pour l’Allemagne du Führer.
Difficile de définir précisément le genre auquel appartient le livre de Przybylski, on a toute l’érudition d’un roman historique très calé sur son sujet, un bon coup de paranoïa complotiste et d’histoire secrète, et de la SF/ du fantastique pour assaisonner le tout. On arrive donc sur un X-Files chez les nazis avec un côté historique très détaillé. A la fin de ce premier tome on ne sait pas encore tout à fait à quoi on a affaire mais c’est quand même très chouette. L’écrivain arrive à ancrer son histoire dans l’Europe de la fin des années 30 en décrivant à la perfection le climat social qui a permis la montée du p’tit moustachu vénère. Chaque personnage nous est présenté avec son histoire, ses motivations et sa place dans l’échiquier social malade de cette période.
On découvre en Friedrich un héros complexe, militaire de carrière qui jongle entre sa morale, ses engagements et sa fidélité. L’auteur arrive très bien à nous faire suivre un héros nazi et à nous faire ressentir de l’empathie pour lui sans nous faire le coup du « ha bon, Hitler il est méchant ? Ah ben non alors, je savais trop pas, c’est horrible ». Arrivé à la fin du roman on a pu reconstituer toutes les pièces du puzzle tout pété qu’est son passé, grâce à une série de flashbacks disséminés un peu dans tous les sens. C’est peut-être le seul défaut de ce bouquin (si ça en est un), il a une structure vraiment déstabilisante, y’a des flashbacks (et parfois des flashforwards) toutes les 5 pages, on passe de 1939 à 1920 puis à 1938 puis à 1950, faut suivre ! Et du coup l’histoire du présent (enfin, 1939) avance très lentement puisqu’on est coupé à chaque chapitre par de l’exposition et des souvenirs. C’est pour cette raison que je comprend pas trop le découpage « feuilleton » qu’a tenté le bélial’ à sa sortie, le tout premier épisode avait à peine effleuré l’intrigue et ne suffisait pas à accrocher le lecteur, on était juste un peu perdu dans tout ça. C’est vraiment en le lisant en entier, d’une traite, que j’ai pu plonger dedans.
Parce que malgré sa structure explosée, le roman est très divertissant. L’intrigue n’a pas encore livré tous ses secrets mais ce premier tome pose le contexte merveilleusement bien. L’auteur mélange histoire, politique, espionnage et fantastique avec justesse même si le côté historique prend beaucoup de place. Toute la couche surnaturelle part sur des trucs assez « classiques » mais qui collent bien avec les obsessions des nazis (occulte, surhommes, race supérieure, pouvoirs cachés, etc…). On fait référence à de grandes civilisations mystérieusement disparues, à des technologies anachroniques, des êtres supérieurs qui nous regardent d’en haut (ou d’en bas, ça dépend…). Un gros mélange de beaucoup de choses déjà vues mais assemblées avec cohérence et finesse.
Stéphane Przybylski démarre une saga ambitieuse avec Le château des millions d’années. La suite gagnerait à être un poil plus linéaire dans sa narration mais à part ça, on a une aventure riche dans un contexte original, un mélange de genres et de sujets qui marche au poil. Maintenant va falloir attendre la sortie poche de la suite… Ou pas…
Bouquin reçu en Service Presse de la part de Pocket, merci à eux
Le château des millions d'années est un livre que j'ai trouvé extrêmement original et qui m'a appris beaucoup en ce qui concerne l'histoire de l'Allemagne juste avant la déclaration de la seconde guerre mondiale.
En rédigeant cette chronique, j'éprouve beaucoup de difficultés à exprimer ce que j'ai ressenti à la lecture de ce roman, qui est cependant très positif. Cela est peut-être du à la complexité des personnages, de l'histoire. Tellement de genres sont concentrés dans ce roman. La science-fiction est présente par touches continues à travers d'extraterrestres cachés sur Terre. L'aventure est de mise avec une traque dans les plaines Irakiennes, on a l'impression d'être au côté d'Indiana Jones ou plus exactement du côté de l'ennemi dans le troisième volet : La dernière croisade. L'historique a une place dominante dans ce roman. D'ailleurs à la fin du livre de nombreuses dates ont été mises en référence pour ne pas se perdre. L'auteur a choisi l'utilisation de nombreux flashbacks et flashforwards pour nous relater la vie de Friedrich Saxhäuser, médaillé de Verdun, SS, espion. Chacun est utilisé à bon escient pour étayer les choix de ce personnage. Ce dernier est très complexe, avec une volonté de toujours prouver sa valeur dans un contexte délicat. Il connait la nature d'Hitler, n'adhère pas complétement à son idéologie, mais il suit les ordres sans mauvaise conscience et l'auteur est arrivé à rendre son personnage principal ni attachant ni antipathique. C'est grâce à sa nature rigoureuse, froide et déterminée que Friedrich va aller de l'avant et découvrir l'inimaginable. La quête est haletante, les rebondissements nombreux, on se surprend de vouloir une pause, mais quand elle arrive en particulier à Santorin ou Naples, j'avoue m'être un peu ennuyée dans ma lecture comme notre personnage charismatique qui passe ses journées à se dorer la pilule. Heureusement que cette étape ne dure pas longtemps et que le rythme reprend pour nous mener au cœur de la tempête.
Le ton du roman est juste, sans prise de position, le voyage et péripéties de Friedrich éclipsent le sentiment d'appartenance au nazisme. J'ai pu découvrir le rôle des britanniques et des allemands en Irak avant la seconde guerre mondiale et l'indépendance de ce pays. De découvrir un pays somptueux et non en pleine guerre cette fois-ci civile qui ravage actuellement ce pays comme nous le montrent les images diffusées aux informations. C'est grand, c'est beau, sauvage.
Premier tome d'une quadrilogie dont le dernier tome est prévu l'année prochaine, les bases sont posées, le contexte historique clair, j'attends maintenant de voir où va me conduire Stéphane Przybylski , car une chose est sure, je me suis laissée portée durant tout le roman, j'ai maintenant envie de savoir ce que va devenir Friedrich.
Premier tome d'une tétralogie, j'ai eu du mal à rentrer dans cette lecture, peut-être parce qu'il mélangeait allégrement plusieurs genres (uchronie, science-fiction, histoire). Et que je n'ai pas été très convaincue.
Peut-être parce que l'auteur, historien, s'est laissé aller et a abondamment donné des détails sur l'époque. Il maîtrise le sujet, clairement, mais n'est pas parvenu à rendre son récit palpitant. La psychologie des personnages ne laisse pas à désirer, le personnage de Saxhaüser est complexe et profond, très crédible. Mais parfois énervant dans sa perfection aussi. On aimerait bien lui trouver un défaut (un vrai) en-dehors de son appartenance au mauvais camp des Nazis. Encore qu'il doute de plus en plus du bien-fondé des idées d'Hitler…
L'histoire n'est pas linéaire non plus; on saute constamment entre le présent et le passé et, bien que l'époque soit clairement mentionnée en tête de chapitre, l'intrigue principale s'en trouve ralentie et on perd le fil. Surtout quand les personnages secondaires interviennent et ont, eux aussi, leurs propres regards sur le passé.
Au final, on a donc un livre qui pourrait être une aventure d'Indiana Jones (les personnages voyagent beaucoup tout au long du livre et, comme Indiana, en quête de quelque chose) mais qui offre des ressorts dignes d'un James Bond. Et on s'y perd, à force. Décevant.
Ce livre est un mélange de science-fiction et d’histoire au temps des nazis, une association qui semble atypique et très prometteuse. Ajouté à tout cela un synopsis attrayant, ce livre a réussi à égailler ma curiosité ! J’ai d’abord était envoûté par cette sublime couverture qui n’a faits que reformer mon envie de lire ce livre, et puis le titre « Le château des millions d’années » m’a faits penser inlassablement à l’Égypte qui me donnait déjà l’impression de voyager entre les années. Et malgré tous les éléments positifs qui entouraient ce livre j’ai finalement été déçu. Cet ouvrage qui est composé comme un roman-feuilleton dépeint la montée au pouvoir d’Hitler aux abords de la Seconde Guerre mondiale. Mais c’est surtout l’histoire de l’officier SS Friedrich Saxhäuser que l’on va suivre. J’ai d’abord était captivé par le début du roman, on nous offrait une belle intrigue et un protagoniste principal des plus originaux. Mais au bout des cent pages je me suis retrouvés complètement perdu au fil de ma lecture. L’auteur nous donne un nombre incalculable de détails qui ne font qu’alourdir la lecture et qui certaines fois sont non inutiles mais ne nécessite pas d’autant d’informations. Mais l’on peu excusé l’auteur car étant historien, c’est dans sa nature de donner tant de détails sur l’histoire mais que cela dure sur plus de deux cents pages …
Mouais... Pas trop mal, mais cela reste quand même de la série Z : une sorte d'Indiana Jones mâtiné de SF. Un peu comme le quatrième épisode de ce même Indiana Jones en fait.