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La chambre de lactation

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AVERTISSEMENT : Cette novella est destinée à un public très averti et à des adultes consentants.

Luigi Rémaux et Martial Zantiva sont deux jeunes hommes qui arrondissent leurs fins de mois en commettant des cambriolages dans leur région. Quand Luigi, technicien en hydrocurage, intervient chez une riche notable qui vit seule dans un manoir isolé, au milieu d'un domaine de plusieurs hectares, il croit avoir trouvé la victime idéale. Mais la rapine ne va pas se dérouler comme prévu.

128 pages, Kindle Edition

Published March 16, 2018

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About the author

Frédéric Soulier

53 books7 followers

Ratings & Reviews

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Community Reviews

5 stars
191 (34%)
4 stars
156 (28%)
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129 (23%)
2 stars
51 (9%)
1 star
24 (4%)
Displaying 1 - 30 of 56 reviews
Profile Image for Isabelle Rancourt.
227 reviews69 followers
December 28, 2020
Voilà, j'ai terminé....
je suis plutôt ambiguë...
oui, c'est saignant et dur.....
Dégueu par bout mais pas autant que j'aurais pensé/souhaité..
Je dois avouer avoir eu énormément d'attente..
je sais pas trop a vrai dire si j'ai aimé ou pas
... c'est.. étrange, bizarre...
me ton que il se classe pas parmi mon top 2020..
Énormément de fautes (pour ceux que ça tanne) autant de frappe que d'orthographe..
(ps moi ça me dérange pas)
voilà, c'est mon avis..
Contente de l'avoir lu malgré tout.
25 reviews1 follower
February 6, 2022
Déjà terminé! Il est addictif ce roman. C'est très cru et très imager. Il y a juste les expressions françaises qui m'ont un peu ralenti, mais ça ne m'a pas empêcher de rentrer dans l'univers de l'auteur.
Profile Image for San Vaillancourt.
Author 7 books25 followers
June 19, 2021
Une déception, ce roman. Beaucoup de personnes sur un groupe Facebook avaient suggéré ce roman, disaient que c’était gore, que j’aurais des hauts-le-coeur… tellement que je repoussais toujours le moment où j’allais débuter ma lecture. Et je me suis enfin décidée. Bon, c’est pas mauvais et oui, certains passages sont très visuels et j’ai affiché une moue de dégoût. Sans plus. Pas de wouah, de ohhhhh, etc. L’histoire est bien ficelée et on comprend la dynamique des personnages. Ceci dit, le style d’écriture ne m’a pas rejoint. L’auteur français a utilisé des expressions et des mots que je ne saisissais pas bien, c’était difficile de me plonger dans son univers. Sans oublier les fautes d’orthographe et les coquilles tout le long du livre. Un peu agaçant. Mais je ne regrette pas de l’avoir enfin lu.
Profile Image for Chantal1.
113 reviews13 followers
January 2, 2022
Ouf, quel roman, si petit et si intense. Je l'ai lu en une seule traite! Je ne sais pas trop quoi en penser en fait, mais en tout cas, je n'arrivais pas à le lâcher. Hyper dégueu, je n'avais jamais lu un roman de ce genre, mais je ne le regrette pas.
Profile Image for paysdumatincalme.
197 reviews6 followers
February 13, 2021
WARNING WARNING! Âmes sensibles s'abstenir!

Des détails impressionnants et gênants qui nous permettent une immersion totale dans la chambre de lactation.

Des scènes de maltraitance tellement réelles qu'il en vient gênant d'aimer ce livre....

Efficace et terrible à la fois!
Profile Image for Lisa Valentino .
23 reviews2 followers
February 14, 2021
J'ai bien aimé, se lit rapidement, bien détaillé et bien dégueu lol
Par contre ce qui est dommage, c'est qu'il y a beaucoup de grosses fautes je trouve, comme "Guillette" au lieu de "Guillemette", "nous instiguons" au lieu de "nous investiguons" ou encore un e majuscule au lieu de "Et"..
156 reviews2 followers
July 3, 2021
Ces deux hommes se sont mis dans un joli pétrin avec ce cambriolage. J’ai adoré le début. De la description en masse. La chambre de lactation est vraiment le bon titre!
Profile Image for Marie-Hélène Soucy.
9 reviews3 followers
August 1, 2021
Un roman au vocabulaire complexe et aux descriptions qui retourneront l'estomac de n'importe quel lecteur avide d'horreur et de sensations fortes.
Profile Image for Manon Paquette.
2 reviews1 follower
August 14, 2021
Très bon. Le suspense nous tiens tout le long. J'ai dû demander l'aide au petit larousse à quelques reprises mais bon, je suis satisfaite de ma lecture et un peu plus éduquée en français hihi
Profile Image for Vanessa Bleau.
9 reviews2 followers
December 30, 2022
J’ai vraiment aimé! Attention cœur sensible ce n’est peut-être pas le livre pour vous. Drôlement moi le lire ça ne me dérange aucunement 😅
Profile Image for Lullaby.
127 reviews4 followers
March 29, 2024
What in the actual fuck did I just read seriously
1 review
September 17, 2025
La Chambre de Lactation n’est pas trash, encore moins extrême : c’est une imposture. Derrière un titre somptueux, Soulier livre un texte creux où son ego prend toute la place, multipliant les apartés et l’auto-satisfaction. Les personnages sont des caricatures sans âme, l’antagoniste une marionnette criarde, et l’horreur véritable toujours évitée au profit d’une scatologie complaisante. Le seul malaise que ce livre provoque n’est pas celui de l’abject, mais celui de la médiocrité.




VERSION LONGUE: CONTIENT DES SPOILERS
Lire La Chambre de Lactation, c’est faire l’expérience d’une déception glaciale. Non pas parce que le livre va “trop loin” – mais parce qu’il ne va nulle part.

Des personnages creux, des clichés recyclés

- Luigi Rémaux, videur de fosses septiques aux « Suceuses Normandes » rêvant de percer dans le rap hardcore, et Martial Zantiva, boulanger-délinquant de supérette. Caricatures incapables de générer la moindre empathie. Pour décrire la pauvreté de Martial, l’auteur le compare à un Jésus sale doté d’une femme de 84kg, honte à lui ! Pour Luigi, il peint un consommateur de femmes, détestable, orgeuilleux, qui malgré tout aurait droit et raison d’avoir un tel comportement du fait de son vécu.
-> Tous changent de personnalité, non pas en fonction de la gravité des tortures, mais uniquement par décision de l’auteur. Les évolutions sont forcées, brutales, dictées par l’intrigue. Martial, torturé, affamé, condamné, reste capable de converser posément avec son complice. Luigi, après six ans de captivité, n’a subi aucune altération psychologique: ni Stockholm, ni dérive amoureuse, ni désespoir. Pantin du début à la fin, sauvé par le Deus Ex Machina et la chance du main character. Le potentiel délicieux de la confrontation mentale avec son propre animal dément appartient au néant.

- Guillemette Dorléans, pourtant promesse d’un antagoniste fascinant, n’est qu’un cliché mal dégrossi. Elle cumule tous les vices comme l’on crache tout ce qui peut être « dérangant » pour forger une suprême maline sans direction, sans passion, justifiée par un refrain usé: le mal comme pureté pervertie. On nous répète qu’elle est monstrueuse, qu’elle renifle les selles de ses captifs et dévore ses fœtus par deuil inachevé… Mais rien ne la rend crédible, malgré les monologues de sa gratuite et plaquée enfance. Là où il fallait une reine obscure, on trouve une marionnette criarde, râbachant sa folie comme une liste d’épicerie.

Les « traumas d’enfance » servent d’explications paresseuses : une mère morte et un père renâclant pour Luigi, un mari violent et une famille perverse pour Guillemette. Comme si la déviance devait forcément venir de l’extérieur et vivre, inconsciente.
Réduction insultante, terriblement cliché.
Rien de personnel ne vient de ces déviances.
L’auteur n’y met de lui-même que ses passages scatophiles.


Un style qui confond vulgarité et littérature

Soulier écrit comme un équilibriste ivre : un mot savant par-ci, une vulgarité par-là : « Ses sphincters menaçaient d’abdiquer » suivi d’un « un peu plus et il se chierait dessus ». Voilà toute la dissonance stylistique : une pseudo-recherche littéraire fracassée par la vulgarité gratuite.
S’y ajoutent des apartés ridicules : « Vous verrez plus tard », « Cela lui coûtera cher ». Ces interventions d’auteur rappellent qu’au-delà du texte se cache un homme persuadé d’écrire du trash, mais incapable d’écrire sa bonne idée.
Pour un homme dont l’ego transperce sans cesse dans le livre, c’est bien dommage.

L’épilogue achève l’illusion: Guillemette se voit presque excusée par une ultime justification. Et Soulier, dans ses remerciements, réclame des commentaires, des retours, de l’attention. On ne sort pas d’un livre : on sort d’un autoportrait mal digéré.

Et le pire, est qu’il aurait pu nous offrir du délice. Une ligne comme: « La deuxième (balle) lui fit éclore une fleur de chair écarlate au milieu de visage. » - Voilà de la beauté gore. Pareillement, une seule fois, Guillemette devient crédible, lorsqu’elle expose ses techniques d’acupuncture intime à sa proie. Ce passage est délicieux parce qu’enfin, il est sensé. Plus de clichés gratuits, mais une volonté dominante, une déviance que le personnage se surpend d’apprécier, et lutte pour n’en succomber sous son corps incontrôlable. Pourquoi se contenter des misères scatologiques toutes les deux lignes ?

Résultat : aucune tension, seulement la sensation d’être pris pour un lecteur naïf.


Le trash bâclé, la scatologie magnifiée, substitue à l’écriture

Le pire n’est pas ce qui est écrit, mais ce qui ne l’est pas. Soulier consacre des pages entières à détailler la diarrhée, les odeurs, les anus reniflés. Mais lorsqu’il s’agit de gore véritable, il s’efface : un canon introduit dans un rectum, une balle tirée, et seulement quelques mots sur l’explosions. Ni comment le canon s’impose, ni l’impact de la chair sur l’environnement. L’accouchement de l’infirmière ? Expédié en quelques lignes, crachant sur le potentiel du tableau le plus horrible de la reproduction humaine. Puis on passe à autre chose.

Quand il s’agit de merde, il s’étale. Quand il s’agit d’horreur, il bâcle.

Il ne suffit pas d’empiler les tabous pour faire de la littérature extrême. Le véritable trash naît d’un raffinement cruel, d’un choix méticuleux du détail qui glace le sang ou noue le ventre. Ici, nous n’avons qu’une succession mécanique d’images censées choquer mais qui, faute d’âme, lassent.


Incohérences et paresse narrative

La narration regorge de maladresses :

- Un procès onirique qui n’a ni poids ni pertinence, saturé de clichés jusqu’à la parodie, alignant culture geek et méprise d’une racaille. Témoignage d’un mépris de classe transparent.

- Une femme nettoyant au « bicarbonate de soude », énième preuve de « voyez, j’ai fait des recherches » - sans une âme déviante amoureuse du sang, de la violence, du sadisme.

- Des rebondissements prévisibles annoncés si lourdement qu’ils en deviennent risibles. Je tends à croire que les commentaires hilares naissent de ces saturations. Ça ne peut pas être sérieux.

- Des clichés religieux mal digérés pour parler d’espoir: comparaisons christiques, visions mystiques grotesques, martyrs de pacotille.

- Une enquête policière digne d’une mauvaise série, où les indices tombent comme par magie, ponctuée par un inspecteur caricatural qui “sent” la pourriture d’un personnage d’un simple regard. « la vie ne se goupille pas aussi bien que dans un roman policier ». Auto-louange mal placée dans un texte si impersonnel, facile.

Partout, la même impression : l’auteur n’écrit pas par passion, mais par nécessité d’avancer son intrigue. Il coche des cases, aligne des “moments chocs”, mais n’habite jamais son récit. Le lecteur n’est pas happé : il est infantilisé. Tout est dit, surligné, répété, jusqu’à l’épuisement.


Au final, le crime est le texte

Ce roman est une trahison. Trahison de son titre, sublime, qui promettait une descente raffinée dans l’abject. Trahison du genre trash, qui exige de la précision, de la cruauté et du vertige psychologique. Trahison du lecteur averti, qui attendait d’être bousculé et qui n’a trouvé que de la paresse.
Il y a, ici ou là, des éclairs – une image sanglante, une scène presque tenue. Mais ce sont des accidents. Le reste n’est qu’une succession de dialogues creux, de clichés dramatiques et de scatologie gratuite.

La Chambre de Lactation n’est ni choquant, ni terrifiant, ni fascinant. Ce n’est pas une plongée dans l’ombre : c’est un simulacre, une farce scatologique qui se prend au sérieux. Le seul malaise qu’il provoque n’est pas celui de l’abject, mais celui de la médiocrité. Un livre qui s’imagine transgressif et qui n’est que stérile. Une “œuvre” qui aime s’aimer, et qui n’offre au lecteur qu’un goût fade : celui de la merde sans la moindre subtilité.


C’est avec plaisir que je lierais toute contre-critique de ceux appréciant l’oeuvre. Je veux comprendre les intérêts, les louanges, les rires. Tant d’autres oeuvres à conseiller pour augmenter les standards des amoureux du trash.
J’espère que l’auteur désirait écrire d’une qualité à la hauteur de son obsession.
Avec un titre aussi somptueux, quelle déception de ne pas trouver le goût de la subtilité annoncée. N’a d’intérêt que les personnages secondaires et le potentiel de l’antagoniste.
Profile Image for Sarah.
35 reviews8 followers
August 11, 2021
Une chose est sûr c'est pas pour tout le monde. Pour ma part j'ai aimé, j'ai eu des WTF moments à toutes les 15 pages. C'est étrange, c'est weird, c'est bizarre, c'est horrible, c'est drôle... ça te places hors de ta zone de confort, mais des fois ça fait du bien d'être un peu déstabilisé.
14 reviews
June 3, 2022
Captivant!

J'ai adoré! Même si j'ai eu besoin du dictionnaire a plusieurs reprises (je suis québécoise et plusieurs mots utilisés ne sont pas commun ici ;) ) les descriptions mises dans le livre nous donne l'impression de le vivre! Je dois admettre qu'au début j'ai eu de la misère à embarquer (mais sûrment à cause des "mots compliqués" ) mais dès qu'on entre vraiment dans la chambre de lactation, c'est très dur de lâcher le livre !
Profile Image for Keewa.
8 reviews
January 17, 2022
Mais où est-ce que l’auteur prends son inspiration! Au debut je n’était pas certaine du fait que c’était la première fois que je lisais un écrivain français (lire ici français mais pas québécois!) et que j’avais du mal à embarquer dans l’histoire, mais ça n’a pas été long que ça n’a plus fait de différence! C’est un très bon livre que je recommande…mais pas en mangeant😂😂(et pourtant, je ne suis pas dédaigneuse!!)
Profile Image for Chrichrilecture.
691 reviews
April 1, 2019
Trop morbide et glauque
Un roman d’horreur plus qu’un thriller je n’ai pas du tous accroché. Très mal écrit beaucoup trop de narrations avec des fautes de ponctuations. Dans ce roman seul le langage assez cru est supportable et quelques pointes d’humour noir. Une histoire beaucoup trop violente a la limite du supportable que je déconseille surtout au moins de 18 ans
Profile Image for David Lajeunesse.
Author 9 books44 followers
February 23, 2020
Bon...je m'attendais à tant de cette petite nouvelle. Bref, je ne passerai pas par quatre chemins...dégueu, mais j'ai lu ben pire. Petite histoire de torture/séquestration weird. Je ne peux pas affirmer que j'ai aimé ce petit minus de livre, simplement indifférent je dirais.
Profile Image for Maude.
8 reviews
January 26, 2020
Trop de n'importe quoi. Histoire sans structure.
6 reviews1 follower
September 20, 2020
La chambre de lactation

Excellente intrigue. Difficile d’arrêter de lire. Glauque à souhait. J’ai beaucoup aimé. Je le recommande sans hésiter. Pour lecteurs avertis.
Profile Image for Anthony Girard.
259 reviews3 followers
January 13, 2021
Très mitigé sur ce roman! Autant j'ai adoré certains passages, autant j'en ai trouvé d'autres insignifiants. Cet auteur utilise un vocabulaire très enrichi, mais il a de la difficulté à retenir certaines règles de base du français. Je suis enseignant de français et j'avais les yeux qui saignaient à certains moments. Bref, je ne recommande pas ce roman.
Profile Image for Marie-Anne F.
9 reviews3 followers
February 20, 2024
L'histoire est bien ! Ce qui m'agace et qui a agacé ma lecture s'est la mise en page du livre, pas assez de marge à l'intérieur où la reliure donc on doit presque ouvrir le livre à 180° pour être capable voir toutes les phrases, aucune pagination. Encore une fois des détails, mais ca rend la lecture plus difficile et moins agréable. Mais dans l'ensemble, j'ai bien aimé l'histoire er l'intrigue !
Profile Image for Jessica Côté Acteau.
65 reviews1 follower
September 8, 2024
L'histoire est intéressante, mais j'ai failli arrêter ma lecture, au début. J'ai un peu de difficulté avec les expressions françaises. Je trouve qu'elles n'allaient pas avec le niveau de la langue utilisée. D'ailleurs, je me considère comme étant plutôt bonne en français. Cela dit, j'ai dû chercher quelques mots trop recherchés durant ma lecture. Ce qui coupait un peu mon rythme, malheureusement.
Profile Image for Camille de Lanauze.
12 reviews
January 14, 2021
J’ai trouvé que ce roman avait été écrit pour choquer, rien de plus. Il n’y a pas vraiment d’histoire, que des trucs degueulasses! Je n’ai pas vraiment aimé la plume de l’auteur non plus mais ça c’est une question de goût.
13 reviews1 follower
March 30, 2021
Bon livre mais j’avais énormément d’attente alors j’ai trouver que oui c’était cru et degueu mais je m’attendais à pire! L’histoire est bonne et bien écrite , beaucoup de mots inconnus , il faut avoir un dictionnaire à côté de soi en lisant le livre . J’aime le côté format court . Se lit très bien
Profile Image for Angie MC.
7 reviews
January 3, 2022
J'ai adoré 👌🏻
Honnêtement un des livres des plus dégueulasses que j'ai lue et que je ne pouvais lire en mangeant ... Je n'ai généralement pas le coeur sensible sur ce genre de chose 😅 je vais mettre le tout sur la faute de mes hormones de grossesse 🤣👌🏻

Pour futurs lecteurs c'est un A LIRE !
Profile Image for Jennah-Ève.
12 reviews
January 28, 2022
Oh mon dieu, l'histoire est difficile à encaisser. L'écriture est difficile à lire pour moi avec toutes ces expressions françaises que je ne comprenais pas souvent. Assez dégeulasse à lire. Coeur sensible s'abstenir.
Profile Image for Antigone.
37 reviews1 follower
October 30, 2023
Lecture sans grand intérêt.
L' auteur utilise un langage très familier, on assist à des scènes de torture mais pas justifier pour la plupart. Des connotations raciste, mysogine bref de la "grande littérature".
Bref la vérité est ailleurs.
1 review
October 8, 2025
Catastrophique. La psychologie des personnes est mal développée. L’auteur ne sait pas ce qu’est l’inceste et décrit des actes odieux en précisant que ce n’est pas de l’inceste. C’en est. J’ai arrêté avant la moitié
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