Hoogtevrees of niet – als Ludovic Escande zijn vriend en schrijver Sylvain Tesson deelgenoot maakt van zijn – om het zo maar te zeggen – midlifecrisis, zijn er snel een paar knopen doorgehakt. ‘Weet je wat wij gaan doen? Wij gaan de Mont Blanc beklimmen!’ En zo sleuren Tesson, Jean-Christophe Rufin (een andere Franse schrijver) en Daniel Du Lac (een gevierd klimmer) Escande, aanvankelijk met knikkende knieën, naar een hoogte van 4800 meter in een verkwikkend avontuur dat in het teken staat van literatuur en vriendschap. Waar ze het al doende en na het opslaan van de kampementen over hebben? Over het leven en de liefde, over goede boeken en goed eten. En daar wordt dan weer royaal bij gedronken.
'De beklimming van de Mont Blanc' is verhalende non-fictie en reisliteratuur van de bovenste plank.
Un quarantenne in grave crisi personale viene convinto da un amico a salire sulla cima del Monte Bianco.
Potrebbe sembrare incredibile, ma è una storia vera. Il protagonista è un editor di Gallimard, in procinto di divorziare dalla moglie, che dorme solo coi sonniferi, beve e fuma oltre il consigliato. L'amico è uno dei "suoi" scrittori, Sylvain Tesson, alpinista e esploratore (una specie di Walter Bonatti francese, ma molto più pop, almeno a occhio). In un paio di settimane, Ludovic Escande viene portato dai sobborghi di Parigi al Rifugio Gouter e poi alla cima del Bianco, grazie al non trascurabile aiuto di un amico di Tesson, il più volte campione del mondo di arrampicata sportiva Daniel Du Lac.
Da comune appassionato di montagna, ho trovato il meglio del libro nella sua concisione ed efficacia. Una storia piuttosto ovvia di miglioramento individuale attraverso il superamento di una prova, resa gradevole da una scrittura piuttosto divertente e scorrevole. Il clima di festa perenne con baraonde gigantesche e bevute omeriche la sera prima della scalata mi suonano già un po' meno interessanti e credibili. Però è una storia vera, quindi saranno vere anche quelle.
Dal punto di vista tecnico, la normale al Bianco non è una salita di particolare difficoltà, soprattutto dal versante francese, ma l'ambiente e la quota lo sono. Certo, quei compagni di salita potevano mettere in conto abbastanza serenamente di portarsi in vetta il buon Ludovic come un sacco di patate, anche se mi resta più di una riserva sulla correttezza professionale della cosa, essendo Du Lac anche una guida alpina.
Alla fin fine, la morale che si può trarre è che nella vita a volte bisogna provare, anche se si ha paura, soprattutto paura che qualcuno ti guardi mentre provi (ed eventualmente fallisci). Meglio se provi in compagnia di buoni amici.
Per quatto orette scarse di impegno di lettura, può bastare.
This lightning storm, this tidal wave This avalanche, I'm not afraid Come on, come on No-one can see me cry That sugar cane that tasted good That's who you are, that's what you could Come on, come on No-one can see you cry
A boring, silly booklet that contains the full list of the “dont’s” about mountaineering. No respect for the mountain, for the challenge it offers, no real physical or mental preparation for such a challenge. No passion at all for what the mountains stand for and for the people who respect them. Just a person with no emotional connection with this environment that gets drunk, smokes like a chimney and take pills right before climbing the Mont Blanc. And it seems he feels cool about it. A very bad example for readers. And even a very poor writing, too. Flat, obvious, nothing than a list of few tho fa going on in 4-5 days. So, if this guy was not in the industry, would this book have ever been published? Easy answer...
Excellent récit d’avanture qui raconte l’histoire vécue par l’auteur, qui est éditeur chez Gallimard, et qui pour se sortir d’une période difficile, est entraîné à escalader le plus haut sommet de l’Europe, le Mont Blanc. Trois problèmes: il n’a jamais fait de montagne; il n’a pas la grande forme; il a un vertige terrible, qu’il contrôle à coup d’antidépresseurs. Mais sous l’impulsion de ses compagnons de cordée - rien de moins que l’Académicien Jean-Christophe Rufin, l’aventurier (et sérieux fêtard) Sylvain Tesson et le champion alpininiste Daniel Du Lac, il surmontea ses peurs, son anxiété, un peu sa déprime, beaucoup son découragement face aux épreuves que la vie lui envoie. Lu d’un trait, ce récit est vraiment captivant!
Le livre n est pas bien écrit, les discours n ont ni queue ni tête, on saute d une situation a une autre sans vraiment comprendre les liens... de plus escande nous fait croire qu Avec trois xanax par jour et une cuite tous les deux jours, on peut se faire le mont blanc. Je trouve que la morale manque de profondeur et de respect du monde de la montagne. Il ne décrit pas ses émotions puisqu à chaque fois qu il a peur il prend un anxiolytique. Je m attendais à plus de descriptions aussi, on ne voit rien du mont blanc par ce livre.
Un chouette petit récit d’aventures moderne. Ludovic, éditeur peu sportif et à l’hygiène de vie désastreuse se laisse embarquer par Sylvain Tesson pour l’ascension du Mont Blanc, remède inégalable selon ce dernier pour se relever de la dépression dans laquelle il s’enfonce. De la hauteur pour surmonter sa noirceur. Ou comment l’appel de la montagne vous permet de dépasser presque tous les obstacles; le vertige, l’inexpérience, les limites du corps… Une bouffée d’air qui vous donnera la bougeotte !
Troppo divertente! Mi sembrava di leggere di me stessa quando vado ad arrampicare con alpinisti veri! Bello, bellissimo. Storia vera dell’editor di Gallimard che in crisi post divorzio decide di scalare il Bianco con suoi amici scrittori/alpinisti.
Het boek bij uitstek voor wie van trektochten houdt. Een combinatie van een persoonlijk, echt gebeurd verhaal (vanuit de ‘zwakste’ trekker verteld) over de beklimming van de Mont Blanc. In interessant gezelschap’, want de verteller (en auteur dus) is redacteur bij Editions Gallimard en zijn vrienden zijn de auteurs Sylvain Tesson en Jean-Christophe Rufin. Er is ook een vierde persoon, Daniel Du Lac, een bekend klimmer die ik nog niet kende. Het gaat vooral over Ludovics inspanningen, angsten en klimmen, aangevuld met het relaas van vriendschap en broederschap tijdens, voor én na de tochten, en je leest hoe klimmen er eigenlijk aan toe gaat. Zelfs een beetje eng omdat je de tocht echt van nabij volgt, dus sommige delen best niet lezen voor het slapengaan, is mijn advies!
3,5 stelle. L’ascensione del Monte Bianco è un breve memoir scritto dall’autore sulla sua salita al tetto delle Alpi e le strane circostanze in cui è avvenuta. Trascinato nell’impresa da un amico alpinista per distrarlo dai pensieri legati all’imminente divorzio, Ludovic si improvvisa anche lui alpinista con l’aiuto di tre amici tra cui una guida alpina. La narrazione autobiografica e spesso autoironica è piacevole e veloce da leggere, un testo molto gradevole se amate la montagna e non avete aspettative che vadano oltre il trascorrere un paio d’ore di divertito relax.
Lorsque Ludovic Escande, éditeur chez Gallimard, confie à Sylvain Tesson qu’il traverse une mauvaise période, son ami écrivain voyageur lui propose de but en blanc de l’emmener à la conquête du Mont Blanc. Un véritable challenge pour l’éditeur qui outre le fait de n’avoir jamais fait d’alpinisme, souffre de vertige. Avec l’aide de Jean-Christophe Rufin, et de Daniel Du Lac, guide de haute montagne mais également champion d’escalade, cette joyeuse équipée va entreprendre un voyage initiatique de haute voltige. Difficile d’imaginer pareille escapade sans un minimum de préparation… mais rien de semble impossible à notre équipée malgré le manque de sommeil et les soirées quelques peu arrosées… Entre angoisse, vertige, découragement et douleurs physiques, « L’Ascension du Mont Blanc » retrace cette expérience éprouvante mais ô combien enrichissante. Loin de nous offrir un roman, Ludovic Escande nous fait, en toute simplicité, le récit intimiste de cette aventure personnelle mais aussi le récit d’une amitié indéfectible. Je remercie les éditions Allary pour cette lecture.
Un auteur qui côtoie et narre son quotidien alpin avec Ruffin et surtout Tesson, bien sur, je suis intéressé. Croisé sur un salon ou j'ai la chance de le trouver seul derrière sa pile de livre , les quelques phrases échangées laissent voir la proximité de son monde. Bien sur son style n'atteint pas la fluidité et la poésie du voyage de Tesson mais l'histoire est amusante, vraiment distrayante et me fait découvrir (multiples beuverie la veille des ascensions) un nouvel espace de préparation !
Attratta dalla copertina e dalla scoperta, anche solo attraverso le pagine di un libro, del Monte Bianco ho iniziato a leggere questo breve racconto. Un libro piacevole, scorrevole e soprattuto surreale, perché il protagonista appare la persona meno adatta a conquistare la cima del Bianco ma nonostante ciò riuscirà a riuscirci. Mancava quel senso di trepidazione, di pericolo che la montagna trasmette e le descrizioni dei paesaggi potevano essere più accurate e numerose.
Je ne recommanderais pas ce livre à quelqu'un voulant faire l’ascension du Mont Blanc (mais bien à quelqu'un l'ayant déjà fait). Dans ce livre, l'auteur cumule toutes les mauvais idées, se faisant des beuveries la veille de montée et se gavant de médicaments. À se demander comment cela ne se passe pas plus mal. Livre assez distrayant à lire.
Égoïsme Pouah ! Quel ramassis d’élucubrations d’un petit pseudo-intellectuel de salon parisien. Mais mon vieux, ton « exploit » tu ne l’aurais jamais réalisé si tu n’avais pas été porté, littéralement, par des pros; rares sont ceux qui en ont le privilège. Tu dénatures la montagne et la réelle valeur de l’effort de ceux qui la respectent. En ne te remerciant pas.
3 Sterne obwohl das Buch kurzweilig war und ich auch wirklich Spaß am lesen hatte - ich habe nur leider wirklich wenig der Geschichte mitgenommen. Zieht sehr schnell an einem vorbei, vor allem auch weil man im lesen sehr über die Dialoge fliegt, die wenig Inhalt haben - und bis auf wenige tiefgründigere Gedanken zur Menschlichkeit leider etwas generisch.
Le carnet de voyage d'un éditeur accro aux anxiolytiques, aux clopes et à l'alcool qui décide sur un coup de tête de gravir le Mont Blanc en compagnie de Sylvain Tesson et Jean-Christophe Ruffin. Sans grand intérêt sauf peut-être pour les fans de récits de haute-montagne.
Beau livre sur l’amitié et l’effort. L’auteur se lance dans l’ascension du Mont Blanc avec deux fêlés : Sylvain Tesson et Jean-Christophe Ruffin. Drôle et parfois émouvant. Et quand il y a Tesson dans le coin, ça ne peut qu’être savoureux. La fin du livre est très belle.
Un incroyable livre sur le dépassement de soi et le pouvoir curatif de la nature et des montagnes. Un livre qui donne également très envie de rencontrer Sylvain Tesson et de partager sa compagnie le temps d'une soirée (certainement arrosée).
Un editor parigino attraversa un periodo della sua vita difficile. Come affrontare la propria separazione senza andare in depressione. Confidandosi con un suo amico, Sylvain Tesson; viaggiatore e scrittore; gli dà la soluzione: “Ti porto a fare il Monte Bianco”. Si aggregano alla spedizione Jean-Christophe Ruffin, membro de l’accademia francese (F28) e Daniel Du Lac (campione del mondo di arrampicata 2004) per l’esperienza e la sicurezza. Nonostante soffra di vertigini e abbia bisogno di ansiolitici il nostro andrà fino in punta. Scoprirà poi di avere vinto le vertigini dopo la vietatissima scalata della freccia di Notre Dame in Parigi. Simpatico, stampato forse più per i personaggi che per merito letterario. Una giornata di spiaggia e via!
Un divorce. Un verre avec Sylvain Tesson. Un coup de téléphone à Jean-Christophe Rufin. Quelques paroles échangées et voilà qu’est programmée une ascension du Mont Blanc. Si j’ouvre le livre, c’est parce qu’il m’a été plusieurs fois recommandé. Et peut-être, également, parce que Sylvain Tesson s'immisce dans le récit.
Gravir un sommet quand le vertige secoue les tripes, empêche tout mouvement. Arpenter une montagne quand la ville est seule compagne.
Un pari. Stupide. Risqué. Mais surtout, une ode à l’amitié.
Une préparation est-elle nécessaire ? Quelques exercices, des petits footings, et rien de plus clame Tesson. Concernant l’alcool et la clope ? Pourquoi s’en priver si on chute du sommet ? Autant en profiter juste avant. Ludovic Escande s’embarque dans l’impossible, l’improbable expédition. Lui qui n’a rien du sportif aguerri, encore moins l’allure du montagnard capable de gravir les éperons glacés. Pourtant, il y va, fanfaronne un peu, au début, puis connaît des émotions zigzag. La peur se joint à la partie, secoue le corps qu’Escande tente de calmer de divers médicaments. Une solution douteuse mais qui l’empêche de réaliser dans quel bourbier il vient de s’immerger.
Redécouvrir une nature glorieuse mais dangereuse. N’être qu’une ridicule présence sur ces sommets immenses.
On craint pour lui. On festoie avec eux. On s'imbibe de ce récit qui au delà de la performance témoigne d’une amitié, de la capacité de deux lurons à porter L. Escande jusqu’au sommet.
Un livre réjouissant sur le dépassement de soi-même et la vertu curative de l’effort.
Alors qu’il partage un repas au restaurant avec son ami Sylvain Tesson et qu’il lui apprend que son couple bat de l’aile, celui-ci décide de l’emmener au sommet du mont Blanc. Cela ne s’annonce pas facile car Ludovic n’est pas alpiniste et surtout a une peur bleue du vide. Mais Sylvain a réponse à tout et lui prépare un programme d’exercices pour qu’il soit prêt le jour J.
Écrivain, aventurier, alpiniste, stégophile, grand voyageur, rien ne fait peur à Sylvain Tesson et surtout pas d’emmener avec lui conquérir le mont Blanc un néophyte ayant peur du vide, Ludovic Escande. Nous sommes en juillet 2014. Complètement déprimé par la séparation d’avec sa femme et bien que s’étant entraîné, Ludovic qui est d’abord un éditeur plus habitué des bureaux que des murs d’escalade, carbure à la cigarette, l’alcool, les somnifères et les anxiolytiques. Avec Sylvain et Daniel Du Lac, champion du monde d’escalade et guide de haute montagne, Ludovic attaque sa première montée qui culmine à 2 752 mètres et doit durer environ 8 heures : le but, parvenir en haut de la pointe Percée. Froid, appel du vide, angoisse, panique, avec l’aide de ses amis, Ludovic parviendra à l’Aiguille percée. Après une journée d’entraînement aux parois de Contamines censée lui avoir appris toutes les techniques de grimpe, nos trois lascars auxquels s’est ajouté Jean-Christophe Ruffin, médecin, écrivain académicien, alpiniste, et une autre journée d’escalade des glaciers dans le massif des Cosmiques, se lancent dans la conquête du mont Blanc.
Avec une préparation pour le moins farfelue fortement teintée de nuits courtes, tabac, alcool, « L’ascension du mont Blanc » est un hommage à « l’amitié mais plus encore [au] goût du risque et [aux] joies du débordement. Durant toute ma lecture j’ai été partagée entre l’amusement et l’inquiétude pour Ludovic : quelle inconscience ou quelle témérité ! Mais aussi quel courage ! Il parvient à dominer ses crises de panique et de découragement, son vertige, la douleur causée par une blessure au pied. Cela dit, je pense que l’auteur a écrit avec beaucoup d’humilité et que sa forme physique, sa force étaient quand même bien meilleures que ce qu’il laisse entendre. Les descriptions sont superbes et l’écriture précise et pleine d’humour. J’ai énormément apprécié les aventures de nos quatre héros, des hommes simples et passionnés qui ont su nous faire partager leur amour de la montagne et leur goût du dépassement.
Un livre qui vous met la joie au cœur, qui vous rend léger, un magnifique témoignage d’amitié, de courage et de bonne humeur et une thérapie contre le mal-être.
Un grand merci à NetGalley et aux Éditions Allary pour cette belle lecture.