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Ce qu'on respire sur Tatouine

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La route est longue d’un sous-sol de Repentigny jusqu’à la planète Tatouine. Surtout si l’on passe par le Super C, Central Park et le seizième étage du CHUM. Mais, pour l’esprit obsessif, rêveur et décalé du narrateur, ces détours sont autant d’aventures salutaires.

Après des recueils remarqués, dont Les volcans sentent la coconut, finaliste au Prix des libraires en 2016, et La fatigue des fruits, Jean-­Christophe Réhel explore dans ce roman hors norme, touchant et drôle, les thèmes qui lui sont chers : la solitude, la fatigue et la maladie.

285 pages, Paperback

First published September 10, 2018

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About the author

Jean-Christophe Réhel

14 books206 followers

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5 stars
878 (25%)
4 stars
1,395 (40%)
3 stars
865 (25%)
2 stars
232 (6%)
1 star
78 (2%)
Displaying 1 - 30 of 429 reviews
Profile Image for Anne-Frédérique Venne.
3 reviews9 followers
September 4, 2018
Vouloir lui donner plus que 5 étoiles. Genre toutes les étoiles du ciel. Pis mon coeur aussi. 🖤
7,002 reviews83 followers
December 6, 2019
1,5/5. Et oui un autre roman populaire et même apprécié de plusieurs autres lecteurs que je suis et dont je respecte l’opinion qui m’a pourtant profondément ennuyé. La plume peut être vu comme poétique, mais une poésie un peu facile je trouve, presque adolescente. Le personnage principal est tout simplement horrible. Un jeune homme pathétique qui se plaint de son sort alors qu’il en est le seul responsable par sa paresse, sa passivité, et son laisser-aller. Une histoire qui n’en est plus ou moins une. Plutôt une errance dans la vie de cet homme, un style «histoire» qui peut me plaire, mais avec un personnage auquel je m’attache ou dans lequel je me reconnais d’une certaine façon, ce qui n’était pas du tout le cas ici.

Ce livre me fait penser, bien que très différent, à Tu aimeras ce que tu as tué de Kevin Lambert, roman ayant également connu un succès commerciale/critique/populaire, mais que j’ai personnellement détesté. Semblable sur le fond. Des jeunes hommes (je parle de personnages et non des auteurs) qui «chialent» se «lamentent» sur la vie et leur sort, sans se rendre compte qu’ils ont une très sérieuse part de responsabilité dans cette supposée fatalité qu’est leur vie.

Une grande déception. Un auteur que je ne pense pas relire…

Profile Image for Pierre-Alexandre Buisson.
247 reviews150 followers
January 7, 2019
Réhel passe haut la main le test du roman, et ses digressions délirantes se digèrent aisément sur plusieurs centaines de pages. C'est son humanité toute simple, son absence d'artifices, son langage et sa poésie qui se combinent pour offrir une expérience de lecture unique, inimitable et d'une tendresse à faire pleurer d'admiration.
Profile Image for Vanessa Coutu.
96 reviews34 followers
February 3, 2019
3.5 ⭐️ Je ne sais pas quoi en penser. Une écriture poétique, intéressante, mais j’ai eu de la misère avec le personnage principal. Sa vie m’a laissée indifférente.
Profile Image for Alexa.
67 reviews1 follower
July 31, 2024
si j’avais lu la version papier, ça aurait probablement été plus un 3 ou 3.5, mais la version audio était excellente 👌 merci OHdio!!!!!
Profile Image for Maude Nepveu-Villeneuve.
Author 15 books71 followers
Read
February 2, 2019
Pendant le premier tiers, je n’ai pas trop su quoi penser de ce livre, et finalement je suis complètement tombée sous le charme. La forme sert particulièrement bien le fond, les répétitions de mots et de structures et les paragraphes sans chapitres créent une ambiance qui reflètent la vie répétitive et le souffle court du personnage, auquel on s’attache malgré (à cause de?) sa tendance à s’auto-saboter et à se perdre dans des métaphores de culture pop. L’humour de Réhel vient désamorcer les innombrables malaises dans lesquels le personnage semble se précipiter comme une mouche sur une ampoule.
Profile Image for Stéphanie S. (stephsimlibrarian).
281 reviews7 followers
June 21, 2025
23 octobre 2020
Je suis plutôt partagée et malheureusement un peu déçue par ce livre, pour lequel j’avais beaucoup d’attentes, étant donné les critiques et le sujet du livre.

J’ai ri par moments et je ne dirais pas que j’ai complètement détesté, mais plusieurs choses m’ont dérangée. Cela reste bien sûr mon opinion personnel.

J’aime lorsque je peux m’identifier un peu au personnage principal ou ressentir de l’empathie pour lui. Toutefois, le personnage ici m’a semblé nonchalant et égoïste. Je n’ai pas vraiment réussi à m’y identifier ou à m’y attacher. Il est en partie responsable de son malheur, ne fait rien pour s’aider. Il ne fait que se plaindre et nous manifester sa frustration. Il semble en vouloir au monde entier. Cela se voit par exemple lorsqu’il souhaite étrangler des gens par la pensée comme Darth Vader. Il est tout-à-fait normal qu’il éprouve de la frustration avec ce qu’il vit, mais cela se ressent tellement qu’il en est devevu antipathique pour moi. La sœur et le propriétaire sont toutefois très attachants.

Le récit est plutôt déprimant aussi. J’espérais voir une certaine évolution du personnage principal, mais ce n’est pas le cas. On sent toutefois vers la fin qu’il cheminera peut-être, une petite lueur d’espoir.

Dès le début, j’ai été déçue aussi de voir certaines incohérences médicales en lien avec la Fibrose kystique, sachant que l’auteur a lui-même la maladie. Lors d’un rendez-vous de suivi, ce n’est pas un infirmier qui fait faire les tests respiratoires, mais plutôt un inhalothérapeute. Ce n’est pas le médecin qui prend la pression artérielle, mais un infirmier clinicien. Ce ne sont que des détails pour certains, mais cela m’a dérangée un peu, étant donné que tout le récit se veut réaliste et que je baigne aussi dans le milieu. J’ai conscience toutefois que c’était peut-être un choix délibéré, pour rendre le récit accessible à tous, même ceux qui connaissent moins le monde hospitalier.

Les passages sur son hospitalisation à l’hôpital et à domicile sont toutefois réalistes et bien amenés. L’auteur véhicule bien à ce moment-là aussi les émotions du personnage principal.

Cela était peut-être voulu, mais j’ai aussi été dégoûtée par le grand manque de respect du personnage principal, qui passe son temps à cracher partout, puis qui met ensuite la santé d’autres patients en péril en ne respectant pas l’isolement. Je sais que ça arrive réellement (pour le respect de l’isolement, pour les crachats j’espère bien que non), mais j’espère que les lecteurs qui liront ce livre ne garderont pas en tête cette image au sujet des patients atteints de Fibrose kystique. Je ne peux tout simplement pas croire cela possible et j’espère que cela n’est pas autobiographique.

Après, je ne connais pas l’intention de l’auteur et je comprends qu’il n’était pas tenu de donner une image positive des malades.

Enfin, comme d’autres l’ont commenté, j’ai été agacée aussi par l’usage excessif de la personnification d’objets, si je peux appeler ça ainsi. L’auteur passe son temps à se comparer à des objets (Je suis ci, je suis ça). Je comprends que c’est un style littéraire, mais ça devient redondant.

J’ai toutefois bien aimé la comparaison de sa vie à Star Wars. J’ai trouvé cela original. On comprend aussi pourquoi le personnage principal ressent le besoin de faire cela et s’identifie fortement aux personnages, vivant lui-même un combat.

24 avril 2021
Grâce à une rencontre d’auteur, j’ai pu comprendre un peu mieux les intentions de l’auteur et me réconcilier en quelque sorte avec la façon dont la maladie (Fibrose kystique) est abordée.

J’ai compris que ce récit ne se veut pas autobiographique et qu’il représente une minorité silencieuse de la communauté FK, ceux qui sont plus solitaires, isolés et qui vivent difficilement la maladie.

Le sujet abordé me touche personnellement, il m’était donc difficile d’être impartiale. Je suis toujours partagée quant à mon appréciation de cette œuvre, mais avec un peu de recul, je comprends qu’elle ait été appréciée et qu’elle puisse même faire du bien à certains FK.
Profile Image for Élise Massé.
545 reviews25 followers
August 14, 2023
Fortement influencée par un de mes collègues, j'ai décidé de donner une deuxième chance à ce roman qui, à ma première tentative, ne m'avait pas accrochée. Non pas à cause du style d'écriture, mais plus concernant le rythme qui est assez lent et aux pensées plutôt déprimantes du personnage. Je l'ai écouté en audio la deuxième fois et Marc-André Grondin (narrateur pour le protagoniste) arrive vraiment à donner une couleur et un sentiment d'empathie à la situation du personnage. Ne vous attendez pas au gros roman d'action, mais plutôt à une histoire qui aborde la maladie (fibrose kystique), la solitude et la douceur des contacts humains, le tout parsemé de références sur Star Wars. J'ai bien aimé. Le personnage principal m'a beaucoup fait penser à celui de la Bête de David Goudreault. Bien contente de l'avoir lu finalement !
Profile Image for Mathieu Fortin.
Author 97 books104 followers
July 7, 2022
Si je l'avais lu, je sais pas. En audio, c'était excellent.
Profile Image for Patrick Martel.
374 reviews47 followers
November 24, 2019
L’auteur Jean-Christophe Réhel est un poète. CE QU’ON RESPITE SUR TATOUINE est un roman, un roman écrit par un poète. Par définition, la prose, style de discours usuellement lié au roman, s’oppose à la poésie, autant par la liberté de la première que par la structure imposée de la seconde. Malgré ceci, le style de Réhel est un habile alliage de mots où les idées sont regroupées, puis présentées comme un cohérent collage de poèmes, non-assujettis aux règles établies par le style. Le mi-chemin littéraire ici soumis aux lecteurs est original, souvent très drôle et … délicieux.

La narration proposée est loin d’être maniérée et prétentieuse. Au contraire. Les phrases se succèdent, proposant, avec une naïveté, à la fois déconcertante et rassurante, une ouverture sur soi, rarement rencontrée dans notre littérature. La vision qu’a de lui-même le narrateur effleure le défaitisme, sans y sombrer inconfortablement. Le lecteur côtoie notre gars dans son banal quotidien, le prenant fréquemment en pitié et agissant à titre de confident du personnage solitaire, cadenasser dans un isolement autant volontaire que complaisant.

« J’avais acheté un lit et des tables de chevet chez Structube. Je n’avais pas assez de fonds. Pendant deux mois, je n’ai qu’une seule table de chevet. J’étais en crisse. Puis, entre temps, je me suis demandé pourquoi j’avais besoin de deux tables de chevet. Je suis seul, je n’ai pas de blonde. »

Accablé d’une condition médicale pulmonaire chronique, la fibrose-kystique, le narrateur silionne le temps en occupant de petits emplois non valorisants et en nourrissant les jours de repas congelés, de vin ou de bière bon marché, de poésie et de crachats. Les observations qu’il fait des gens et des environnements qui l’entourent sont souvent empreintes d’ironie complexées, tout en étant généralement dépourvues d’émotion. Le narrateur navigue, flotte presque en parallèle, dans la cité où coure le reste de l’univers. Comme le narrateur le fait à son propre égard, le lecteur a tendance à excuser les mauvais choix et l’omniprésente paresse par le poids lié à cette maladie qui l’habite et qui gère ses limites. Cette fatigue qui l’accable et qui circonscrit ses gestes et activités est-elle uniquement liée à la déficience pulmonaire? Pourrait-il être fatigué de tout? Il est tellement au neutre que sa vitesse de croisière le place davantage dans le décor que dans l’action. C’est ce qu’il est à Repentigny, un élément du décor.

Alors, comment, comme lecteur, être touché par ce personnage si désamorcé, à qui les plus grandes variantes du quotidien sont mesurées selon les spécificités de ses déjections pulmonaires? La réponse réside vraiment dans la qualité de l’écriture, son originalité, sa spontanéité, sa candeur et un certain humanisme. Malgré qu’il se complaise dans le pathos, le personnage demeure attachant.

Quand bien même que le narrateur et l’auteur ne sont pas la même personne, le lecteur prendrait le premier par les bras, le regarderait dans les yeux et lui ferait un fougueux pep-talk. Il lui dirait, «prends le temps et écris-le ton roman. Écris-le ton CE QU’ON RESPIRE SUR TATOUINE. Je sais que ça sera un bon roman. Je le sais!»

"Je regarde autour de moi, je vois une belle fille assise devant un laptop. Je regarde ses lèvres, son menton, sa nuque, la façon dont ses cheveux sont placés. Elle a une petite montre noire au poignet et je suis un peu bandé."
Profile Image for Marie-Julie Gagnon.
Author 21 books30 followers
January 11, 2020
Aussi banal qu’extraordinaire. Il ne se passe rien et il se passe tout. Essoufflant et soufflant.

J’adore ses lettres à l’émission Plus on est de fous, plus on lit, maintenant, je veux tout lire de lui. Je me retrouve étonnamment dans son univers, même si je n’ai rien en commun avec ses personnages.

Seul bémol de Ce qu’on respire sur Tatouine: le narrateur fait constamment référence aux « faux » premiers films de Star Wars, ceux avec le jeune Anakin. Pfff! Les autres sont bien meilleurs.
Profile Image for Fe.
54 reviews
April 18, 2020
Ça parle de fibrose kystique pis de Repen pis de Star Wars pis de Horizon Uni-Vert pis du Super C. Je sais pas si c'est à cause de la nostalgie de mon adolescence de marginal à Repentigny, ou si c'est à cause du narrateur absolument attachant, mi-poète maudit mi-ado attardé, mais cette histoire-là me touche d'une façon trop profonde pour être décrite avec justesse.
Profile Image for Geneviève.
Author 1 book8 followers
January 23, 2019
Dans ce roman, à travers une superbe narration ponctuée de ces images poétiques qu'on lui connaît bien, Jean-Christophe Rehel nous amène à ressentir, à avoir la boule dans le ventre, la tête ailleurs, le coeur à l'envers, l'envie de crier au bord des lèvres... Mais plus encore: à vouloir s'exiler, nous aussi, sur Tatouine pour y vivre de poésie.
Profile Image for Anne.
266 reviews14 followers
March 22, 2021

cw: chronic illness

Tatouine is a stream-of-conciousness novel set inside the mind of an unnamed twentyish man with cystic fibrosis who goes about his life. He gets jobs, leaves jobs, sees his sister, has a romantic interest, changes rentals, takes his drugs, struggles with writer’s block, and makes more than one trip to the hospital. The author himself is a poet and has CF, and this was his first novel.

The moment-to-moment thoughts were sometimes hard to sit with. He is just so lonely, and some of his thoughts so dark. But, he also has a certain amount of levity, a humorously perverse way of seeing the world, and the way people interact with him, that I didn't often find myself putting the book down. I actually found his consciousness fairly easy to fall into, and I would just go with it through its eddies and falls, and as a result read the book much faster than I expected to. I think this book would have brought some AMAZING discussion to Canada Reads had it made the short list. The narrator is constantly escaping, and in so many different ways. With imagination, with alcohol, and just sometimes physically moving himself out of a situation.

The narrator also shows what life with chronic illness is like: literally everybody else’s, but with a bunch of other crap tossed in. How do you hold down a job when you might have to unexpectedly take 3 weeks off? Then how do you pay rent? Even through tender moments, like a new girlfriend waking him up, alarmed by his breathing.

Overall, I enjoyed this novel. I couldn’t help but hope for the narrator’s life to change. For something to work out for him. For him to get the help he needs. For him to not push away people who cared for him. I also knew none of that would happen, but to witness and to hope kept me going through.
Profile Image for Kim Raymond.
172 reviews37 followers
March 20, 2020
Je salue l'honnêteté de l'auteur et l'exercice de vérité qui est au cœur de ce livre, mais je ne peux pas dire que j'ai apprécié ce compte rendu d'une existence vaine, où le personnage semble résigné à la vacuité et entièrement dénué d'agentivité sur les événements qui jalonnent son existence. Oui, la réalité de la maladie chronique implique nécessairement une perception différente de l'essentiel, du temps qui passe, mais je me suis sentie épuisée et vide après avoir refermé le livre - un sentiment que je ne souhaitais pas nécessairement cultiver en ces temps difficile.

Aussi, la spécialiste des récits de soi en moi est irritée par l'utilisation du terme "roman" pour désigner ce qui s'apparente plus probablement à une autofiction. J'aimerais tellement que les auteurs qui utilisent leur vécu comme matériau littéraire ait le courage d'assumer le jeu avec le pacte de lecture au lieu de simplement déclarer que leur vie est un roman.
Profile Image for lapetitelyanne .
192 reviews5 followers
December 27, 2022
Je viens de le terminer en version audio sur la plateforme de Radio-Canada et honnêtement, j'avais presque l'impression de lire un autre livre tellement l'expérience de lecture était différente. En tout cas, je pense que ce livre est définitivement un de mes coups de cœur de 2022, le style de l'auteur est vraiment intéressant, j'ai été autant captivée par le roman que par la version audio.

Je n'en dirai pas plus, en partie parce que je suis fatiguée, donc je ne suis plus capable de penser, mais je vous recommande grandement ce roman👀
Profile Image for Mélanie.
143 reviews2 followers
March 18, 2021
J’ai presque le goût de manger des Sidekicks, ceux à la crème sure et ciboulette, comme en 1995.
Profile Image for Isabelle Parent.
118 reviews3 followers
May 18, 2023
J’ai écouté la version audio et c’était très bon. Je ne connaissais pas l’auteur. J’avais beaucoup entendu parler de ce livre. Ça fait beaucoup référence à Star Wars que j’adore en passant.
62 reviews2 followers
February 13, 2025
C'est pas le livre le plus jovial au monde et le personnage est tellement misérable, MAIS c'est étonnament quand même un livre feel good (???). Malgré les défis du quotidiens apportés par la maladie chronique, on perçoit la force de l'imaginaire qui permet de garder la tête du personnage hors de l'eau. La fin était inattendue et satisfaisante. Y'a rien de palpitant dans ce livre, mais c'est une jolie prose avec des métaphores colorées et qui présente un personnage qui fait du mieux qu'il peut (comme nous tous).
Je lirais le deuxième tome s'il existait.
Profile Image for Soriya You.
57 reviews33 followers
February 13, 2021
J’ai eu de la difficulté à entrer dans l’histoire et à suivre le personnage. J’ai trouvé ses pensées réellement trop étranges. Je ne comprends pas comment autant de gens ont trippé sur le roman ...
Profile Image for Roxanne Bedard-Saucier.
169 reviews2 followers
March 23, 2019
DNF après 3 pages. Je n’aime pas du tout le style d’écriture, il me fait penser à celui d’un enfant au primaire. Ça part dans tous les sens, il n’y a aucun chapitre, aucune structure. J’ai commencé à lire en diagonales après ces 3 pages, mais j’ai fini par ne plus lire du tout... Je suis déçue, je DNF presque jamais, mais là, c’est le cas.
Profile Image for Catherine Pelletier.
36 reviews1 follower
March 3, 2024
Un sujet important, une belle éciture comme toujours par JCR. Beaucoup d'allusion qui sont parfois difficile à comprendre pour une non fan de Star Wars.
Profile Image for Gustave Richard.
19 reviews3 followers
September 10, 2024
Excellente interprétation sur OhDio, mais les passages manquants se font sentir. Une histoire qui fait penser au bercail, en gris.
Displaying 1 - 30 of 429 reviews

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