Criminaliste réputé, Eliot Hudson carbure au succès, autant dans la salle d'audience que dans la chambre à coucher. Quant à Cloé Soulard, directrice des services sociaux pour les Centres jeunesse, elle est reconnue pour préserver farouchement le bien-être des adolescents sous sa tutelle. C'est pourquoi elle confie à l'homme de loi la défense d'un de ses protégés, récemment mis en état d'arrestation.
La rencontre entre les deux professionnels est percutante. L'envoûtante jeune femme ne ménage pas l'orgueil de l'avocat, lequel s'amuse à repousser les limites qu'elle lui impose. A mesure que le processus judiciaire avance, Eliot se bute à l'obstination de Cloé, qui lui dissimule jalousement certains secrets.
Enchaînée à un passé obscur, cette fascinante beauté saura-t-elle se soumettre aux règles d'Eliot, qui exige une transparence complète ? Et le séduisant Me Hudson poursuivra-t-il sa série de succès avec cette affaire et… avec Cloé ?
J'ai mis du temps à embarquer dans l'histoire, je trouvais qu'il y avait trop de discussions redondantes autant dans le groupe d'amies au bureau de la DPJ que dans le groupe de gars au cabinet. Plusieurs chapitres plus tard, je me suis mise à dévorer ce roman ! La fin m'a toutefois vraiment fait lire à reculons... peut-être est-ce parce que je travaille dans le domaine, mais tout me paraissait vraiment très exagéré et peu probable. Je suis moins enchantée de lire la suite malgré les bons mots que j'ai eu sur cette trilogie.
3,5 étoiles, disons. C’était un bon divertissement, j’avais hâte de connaître le dénouement. Par contre, je dirais que c’est le roman que j’ai le moins aimé de cette autrice jusqu’à présent. Je ne sais pas si c’est nouveau ou si c’est juste moi qui n’avait pas remarqué avant, mais il y a une certaine lourdeur dans sa plume. Cette façon d’utiliser 28 mots au lieu d’un seul pour désigner des choses simples… dire « dit celle dont les boucles sont aujourd’hui retenues par une grosse pince brune » (transcription approximative de ma mémoire) au lieu de dire « dit Sasha », c’est juste weird. La grosse majorité du temps, les informations données de la sorte sont inutiles ET elles alourdissent la lecture, la rendent moins… fluide. Bref. Dans le même ordre d’idées, quand j’ai lu « s’introduire dans mon chemin soyeux » I just lost it. Déjà c’est malaisant comme appellation venant de Cloé, mais quand c’est Elliot le narrateur……. Disons que le vocabulaire aurait pu être adapté lorsque c’est le narrateur masculin qui décrit la scène de sexe. Et l’utilisation du mot vagin aurait été encore mieux, à mon humble avis. Dernière chose… la scène avec les sushis???????? La fellation par-dessus le condom avec la mayo épicée (Arke???) suivie d’une pénétration avec ce même condom (Re-arke?????) Ça m’a fait rire, c’est bien beau vouloir éviter les MTS, mais si tu te colles une infection vaginale à la place… Bref, my two cents seulement haha, overall une lecture divertissante et je vais m’attaquer au deuxième tome de la trilogie pour voir si je vais l’apprécier davantage!
J’ai bien aimé la fin avec le rebondissement inattendue mais j’ai trouvé les 300 premières pages avec beaucoup trop de longueurs. L’histoire d’amour est du déjà vu à la Fifty Shades of Grey. Je doute que je vais lire la suite malheureusement.
3.5 arrondi à la hausse Eliot est un criminaliste réputé. Cloé, directrice des services sociaux pour les Centres jeunesse, a besoin de ses services pour défendre Ben, un de ses protégés, récemment mis en état d'arrestation. Cette romance juridique est le premier tome de la série Présumée. Je l'ai lu en une séance, et j'en suis un peu surprise parce que je n'ai pas aimé tant que ça... mais j'étais incapable de le déposer, je voulais connaître le dénouement. Est-ce que ce dernier était prévisible? Je l'aurais sûrement vu venir si je m'étais investie un peu plus dans l'histoire, mais j'ai eu du mal à vraimentby mordre, et je crois que c'est en raison du style d'écriture. Le livre physique a presque 500 pages, et honnêtement, j'en aurais coupé 200. L'écriture était circonvolutée, l'auteure utilisait souvent beaucoup trop de mots pour dire des choses toutes simples. Aussi, j'ai souvent eu du mal à sentir la chimie entre les deux personnages principaux, j'aurais aimé "voir" plus que "me faire dire". Et une des scènes plus épicée a soulevé plein de questionnements... la mayo? Je crois que j'ai une infection juste d'avoir lu la scène. Mais au final, c'était une lecture divertissante, et je vais certainement lire le reste de la série!
Je n'ai vraiment pas aimé. Premièrement, le 3/4 des chapitres sont remplis d'allusions sexuel ou de scène de cul. Ok c'est beau, on a compris. Deuxièmement, le 3/4 des phrases finissent par des points d'exclamation! J'ai l'impression que les personnages sont toujours en train de se parler sur le nerf. Ça criait dans ma tête tout le long du livre. Très lourd. Troisièmement, le "punch surprise". Oui, je ne m'en attendais vraiment pas....parce que c'est juste too much à mon envie et invraisemblable. C'était poussé à mon avis. Je vais laisser les prochains tomes dans ma liseuse, mais....oufff je ne vais pas commencer le deux tout de suite. Aucunement le goût
J’aime tellement les intrigues de Judith Bannon. Elle réussie toujours a détourner le lecteur pour qu’à la fin de se lecture, il soit surpris. Par contre, je trouvais que le sujet du sexe revenait trop souvent. Je sais que c’est le genre de livre, j’aime beaucoup quand on lit des scènes avec les protagonistes, mais je trouvais que la majorité des personnages abordaient ce sujet.. Bref, c’est peut-être juste le mood dans lequel j’étais aussi!
Une autre lecture de Judith Bannon qui m'a tenue en haleine jusqu'à la toute fin. Des personnages qu'on aime et un dénouement qu'on ne voit pas venir du tout. A lire sans la moindre hésitation.
Ce premier opus de la nouvelle trilogie (Ouiiii!) est délectable. Une des grandes qualités de Judith Bannon est d’écrire une histoire à saveur policière qui nous tiens en haleine de la première page jusqu’à la toute fin et d’y inclure une histoire d’amour et d’érotisme au travers sans que nous ayons un malaise ou que vous voyions un décalage dans l’histoire.