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La storia dei Romanov
L'extraordinaire destin de la famille Romanov, des origines de la dynastie jusqu'au récit édifiant de sa réhabilitation dans la Russie actuelle. La Russie ne cesse de retrouver son passé impérial. Cette spectaculaire réconciliation a débuté le 17 juillet 1998 : lors de l'inhumation des restes de la famille du dernier tsar, assassinée à Ekaterinbourg en 1918, Boris Eltsine, président de la Russie post-soviétique, demanda publiquement pardon pour " les crimes du bolchevisme, du stalinisme et de leurs successeurs ".
Jean des Cars, témoin privilégié de cette étonnante cérémonie, raconte comment la dynastie des Romanov, qui régna de 1613 à 1917, est à nouveau entrée dans l'histoire officielle.
Si les hautes figures de Pierre Ier le Grand, bâtisseur en un temps record de Saint-Pétersbourg, et de Catherine II, correspondante de Voltaire et élève des curieuses leçons de philosophie de Diderot, ont toujours été estimées, on assiste au retour dans la mémoire collective des épopées de Paul Ier, qui fit tirer le canon sous tous les prétextes, d'Alexandre Ier, qui embrassa Napoléon à Tilsit en 1807 et entra dans Paris en 1814, sans parler de cet Alexandre III, soutien de l'Alliance franco-russe, qui consentit, lui l'autocrate, à se découvrir pendant La Marseillaise, montrant une fois de plus ce lien surprenant entre les destins russes et français.
Sans haine ni à priori, le temps des tsars sort de l'oubli organisé, pour être reconsidéré après les mensonges et la désinformation imposés par la Révolution puis la guerre civile et la dictature. De Pierre le Grand à Nicolas II, la Russie d'aujourd'hui redécouvre les souverains de l' ancienne Russie , ceux qui ont bâti le plus vaste pays du monde.
Jean des Cars, témoin privilégié de cette étonnante cérémonie, raconte comment la dynastie des Romanov, qui régna de 1613 à 1917, est à nouveau entrée dans l'histoire officielle.
Si les hautes figures de Pierre Ier le Grand, bâtisseur en un temps record de Saint-Pétersbourg, et de Catherine II, correspondante de Voltaire et élève des curieuses leçons de philosophie de Diderot, ont toujours été estimées, on assiste au retour dans la mémoire collective des épopées de Paul Ier, qui fit tirer le canon sous tous les prétextes, d'Alexandre Ier, qui embrassa Napoléon à Tilsit en 1807 et entra dans Paris en 1814, sans parler de cet Alexandre III, soutien de l'Alliance franco-russe, qui consentit, lui l'autocrate, à se découvrir pendant La Marseillaise, montrant une fois de plus ce lien surprenant entre les destins russes et français.
Sans haine ni à priori, le temps des tsars sort de l'oubli organisé, pour être reconsidéré après les mensonges et la désinformation imposés par la Révolution puis la guerre civile et la dictature. De Pierre le Grand à Nicolas II, la Russie d'aujourd'hui redécouvre les souverains de l' ancienne Russie , ceux qui ont bâti le plus vaste pays du monde.
- GenresHistoryNonfictionRussia
359 pages, Paperback
First published May 6, 2008
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Community Reviews
Displaying 1 - 21 of 21 reviews
December 20, 2021
Când se evocă Rusia imperială și pentru a-i desemna pe suveranii săi nu se menționează, în general, decât numele Romanovilor. Or, precedând venirea la putere a acestei ilustre familii, adică înainte de 1613, o altă dinastie se impune, inclusiv prin violență, pentru a controla acel teritoriu imens. Înaintea Romanovilor, vreme de șapte veacuri, în Rusia întâlnim elementele caracteristice viitorului imperiu, cum ar fi religia ortodoxă sau alfabetul chirilic, dar și rolul preeminent al unor
femei și importanța acordată unor evenimente stranii sau supranaturale.
Rusia este, mai întâi, o sfidare aruncată spațiului. Dacă, așa cum va susține Napoleon, „în istorie, geografia este cea care comandă”, Rusia constituie un exemplu perfect. Trebuie să ne reprezentăm o câmpie fără sfârșit, divizată de Munții Ural, la mai puțin de 2 000 km de Moscova. Cucerirea acestor spații și dragostea pentru glia natală vor fi o formă de libertate și punctul de ancorare al unui viitor patriotism. O civilizație a frigului, dar și a lemnului, deoarece pădurile acoperă
două treimi din teritoriu. Pentru a ne face o idee despre distanțele din Rusia, trebuie să știm că aceasta are o suprafață de aproape 40 de ori mai mare decât a Franței, din care o întindere de 25 de ori mai mare decât Franța este doar Siberia.
Cea mai mare parte se află mai aproape de cercul polar Arctic decât de ecuator. Încă din vremuri îndepărtate, întâlnim ceea ce geografii numesc „antiresurse”, adică un acces dificil la mări, distanțe enorme (11 fusuri orare!), o repartiție disproporționată a populației: 46% din locuitorii actuali sunt grupați în doar 15% din su- prafață.
femei și importanța acordată unor evenimente stranii sau supranaturale.
Rusia este, mai întâi, o sfidare aruncată spațiului. Dacă, așa cum va susține Napoleon, „în istorie, geografia este cea care comandă”, Rusia constituie un exemplu perfect. Trebuie să ne reprezentăm o câmpie fără sfârșit, divizată de Munții Ural, la mai puțin de 2 000 km de Moscova. Cucerirea acestor spații și dragostea pentru glia natală vor fi o formă de libertate și punctul de ancorare al unui viitor patriotism. O civilizație a frigului, dar și a lemnului, deoarece pădurile acoperă
două treimi din teritoriu. Pentru a ne face o idee despre distanțele din Rusia, trebuie să știm că aceasta are o suprafață de aproape 40 de ori mai mare decât a Franței, din care o întindere de 25 de ori mai mare decât Franța este doar Siberia.
Cea mai mare parte se află mai aproape de cercul polar Arctic decât de ecuator. Încă din vremuri îndepărtate, întâlnim ceea ce geografii numesc „antiresurse”, adică un acces dificil la mări, distanțe enorme (11 fusuri orare!), o repartiție disproporționată a populației: 46% din locuitorii actuali sunt grupați în doar 15% din su- prafață.
September 5, 2013
Wonderful. A trip down the Russian history lane which explains so much of the culture, choices and actions of this country.
April 13, 2017
O carte de excepție, o incursiune fascinantă în istoria Rusiei țariste... Nu mai pot să zic decât că Jean des Cars este genial :D
September 15, 2024
Jean des Cars este un povestitor fain. Cartea detaliază istoria familiei Romanov - de la primul la ultimul țar al Rusiei.
September 3, 2015
Mai mult se aseamana cu o colectie de articole decat cu o carte de istorie. Autorul, un jurnalist care a lucrat si la "Le Figaro" nu expune evenimentele insirate, ca pe o cronologie, ci aduce naratiunea in relatarea istorica. Petru cel Mare este denumit Petru cel Incapatanat, Petru cel Grabit in functie de actiunile lui.
February 4, 2017
one of the best books i read laitly . it kept my interest up from beging till end
May 13, 2023
alright for the most part but i could have done without the author's often misogynistic takes on female historical figures 🥴
December 5, 2021
Si vous me dites Russie, je vous réponds sans hésiter Anastasia qui me fascine depuis la sortie du célèbre et merveilleux film d’animation de la Fox. Bien que très largement libre, j’adore me plonger dans cette adaptation et ce en cette période de l’année. D’autant plus que récemment j’ai découvert la série-documentaire Les Derniers Tsars disponible sur Netflix que j’ai trouvé vraiment passionnante et parfaitement réalisée. Ainsi et afin de continuer ma découverte de cette famille au funeste destin, j’ai réalisé quelques recherches avant de m’orienter vers l’œuvre de Jean des Cars qui semblait être l’une des mieux écrites et des plus fidèles. Lecture faite, il est indéniable que ces affirmations sont plus que méritées.
En effet, j’ai adoré me plonger dans la découverte de cette incroyable et importante dynastie grâce à un travail de recherche drastique, méticuleux et rondement mené. Effectivement, ce dernier ne se contente pas seulement de retracer les pas du dernier Tsar en lice mais remonte toute la lignée de ces puissants et vaillants dirigeants. J’ai adoré remonter le temps afin d’en apprendre davantage sur la Russie impériale dont je ne possédais que très peu – disons aucune – de notions. Il faut dire que découvrir un mode de vie à des années lumières du notre a été étonnant, par moments déroutants mais finalement totalement passionnant. C’est un monde cruel et hostile qui m’a été dévoilé et j’ai trouvé cela aussi déstabilisant qu’intéressant. Ainsi, chacun des empereurs ne cessera de déjouer d’importants complots né de sa propre famille et bien d’autres soulèvements de la part de sa patrie et bien souvent les choses se concluaient de manières violentes et brutales. D’autant plus que j’ai été fortement étonné de découvrir que bien souvent les mêmes erreurs et autres idéaux étaient inlassablement répétés et bien que j’ai eu pitié de cette ambitieuse dynastie, j’ai souvent eu une pensé pour la population souffrante de ces frasques impériales car, finalement, cette dernière est la première victime de tout ce machiavélisme ainsi que toutes ces années de guerres et de conflits. Autre chose surprenante reste le nombre de femmes qui ont accédé aux pouvoirs en tant qu’impératrices. Au vu de l’époque et du contexte historique, je ne pensais pas cela possible et pourtant certaines personnalités ont réussi à se hisser au plus au rang malgré la dangerosité de cette place. Peu importe, ces dernières ont su s’imposer et gouverner avec fermeté et rigidité. Finalement, je ressors encore plus intéressé par cette période historique et pas seulement concernant la Russie mais bien d’autres contrées comme la nôtre pour commencer. C’est pourquoi, je pense retenter l’expérience rapidement.
Il faut dire que j’ai trouvé tellement passionnant le style de Jean des Cars. Celui-ci se dessine un conteur incontesté et épatant. Alors que je m’attendais à faire face à un simple historien, je me suis retrouvé face à une personne elle-même passionnée par son sujet, élément que j’ai parfaitement ressenti. Pourtant, j’avais quelques craintes avant ma lecture et je craignais de ne pas parvenir à m’immerger et de trouver celle-ci redondante alors que c’est tout le contraire qui s’est réalisé. La plume de l’auteur est immersive au possible et se dessine presque romancée. Ce dernier dévoile les moindres détails de la vie mondaine des tsars mais aussi ceux concernant les enjeux politiques, les guerres et autres problèmes de société. Ainsi, son œuvre se dessine parfaitement travaillée et développée grâce à un judicieux et riche travail de recherche. Jean des Cars sait de quoi il parle et cela aussi se ressent incroyablement. Cela lui permet d’offrir un roman pertinent et dynamique qui a su maintenir mon intérêt ma curiosité à son maximum et ce jusqu’à la dernière phrase. Quoiqu’en réalité, j’admets que les parties concernant le dirigeant actuel de ce pays ne m’ont pas totalement intéressé même si elles semblent indispensables pour tenter d’appréhender et de comprendre au toute l’histoire de ce gigantesque continent. Néanmoins, j’ai été plus que comblé en ce qui concerne le règne du dernier Tsar, Nicolas II, parfaitement développé et représenté. J’ai adoré découvrir la chute de cette dynastie malgré la violence de cette déchéance et même si aucun survivant ne reste de ce massacre, une part de moi aime imaginer qu’Anastasia reste belle et bien rescapée.
En simple, Jean des Cars est un formidable conteur qui est parvenu à m’embarquer avec lui dans sa remontée dans le temps et dans son voyage à travers ces contrées froides, sauvages et hostiles. J’ai trouvé cette lecture des plus intéressante et totalement passionnante. Ma rencontre avec la Russie impériale et cette dynastie s’est dévoilée convaincante et pertinente grâce à un style fortement efficace et percutant.
En effet, j’ai adoré me plonger dans la découverte de cette incroyable et importante dynastie grâce à un travail de recherche drastique, méticuleux et rondement mené. Effectivement, ce dernier ne se contente pas seulement de retracer les pas du dernier Tsar en lice mais remonte toute la lignée de ces puissants et vaillants dirigeants. J’ai adoré remonter le temps afin d’en apprendre davantage sur la Russie impériale dont je ne possédais que très peu – disons aucune – de notions. Il faut dire que découvrir un mode de vie à des années lumières du notre a été étonnant, par moments déroutants mais finalement totalement passionnant. C’est un monde cruel et hostile qui m’a été dévoilé et j’ai trouvé cela aussi déstabilisant qu’intéressant. Ainsi, chacun des empereurs ne cessera de déjouer d’importants complots né de sa propre famille et bien d’autres soulèvements de la part de sa patrie et bien souvent les choses se concluaient de manières violentes et brutales. D’autant plus que j’ai été fortement étonné de découvrir que bien souvent les mêmes erreurs et autres idéaux étaient inlassablement répétés et bien que j’ai eu pitié de cette ambitieuse dynastie, j’ai souvent eu une pensé pour la population souffrante de ces frasques impériales car, finalement, cette dernière est la première victime de tout ce machiavélisme ainsi que toutes ces années de guerres et de conflits. Autre chose surprenante reste le nombre de femmes qui ont accédé aux pouvoirs en tant qu’impératrices. Au vu de l’époque et du contexte historique, je ne pensais pas cela possible et pourtant certaines personnalités ont réussi à se hisser au plus au rang malgré la dangerosité de cette place. Peu importe, ces dernières ont su s’imposer et gouverner avec fermeté et rigidité. Finalement, je ressors encore plus intéressé par cette période historique et pas seulement concernant la Russie mais bien d’autres contrées comme la nôtre pour commencer. C’est pourquoi, je pense retenter l’expérience rapidement.
Il faut dire que j’ai trouvé tellement passionnant le style de Jean des Cars. Celui-ci se dessine un conteur incontesté et épatant. Alors que je m’attendais à faire face à un simple historien, je me suis retrouvé face à une personne elle-même passionnée par son sujet, élément que j’ai parfaitement ressenti. Pourtant, j’avais quelques craintes avant ma lecture et je craignais de ne pas parvenir à m’immerger et de trouver celle-ci redondante alors que c’est tout le contraire qui s’est réalisé. La plume de l’auteur est immersive au possible et se dessine presque romancée. Ce dernier dévoile les moindres détails de la vie mondaine des tsars mais aussi ceux concernant les enjeux politiques, les guerres et autres problèmes de société. Ainsi, son œuvre se dessine parfaitement travaillée et développée grâce à un judicieux et riche travail de recherche. Jean des Cars sait de quoi il parle et cela aussi se ressent incroyablement. Cela lui permet d’offrir un roman pertinent et dynamique qui a su maintenir mon intérêt ma curiosité à son maximum et ce jusqu’à la dernière phrase. Quoiqu’en réalité, j’admets que les parties concernant le dirigeant actuel de ce pays ne m’ont pas totalement intéressé même si elles semblent indispensables pour tenter d’appréhender et de comprendre au toute l’histoire de ce gigantesque continent. Néanmoins, j’ai été plus que comblé en ce qui concerne le règne du dernier Tsar, Nicolas II, parfaitement développé et représenté. J’ai adoré découvrir la chute de cette dynastie malgré la violence de cette déchéance et même si aucun survivant ne reste de ce massacre, une part de moi aime imaginer qu’Anastasia reste belle et bien rescapée.
En simple, Jean des Cars est un formidable conteur qui est parvenu à m’embarquer avec lui dans sa remontée dans le temps et dans son voyage à travers ces contrées froides, sauvages et hostiles. J’ai trouvé cette lecture des plus intéressante et totalement passionnante. Ma rencontre avec la Russie impériale et cette dynastie s’est dévoilée convaincante et pertinente grâce à un style fortement efficace et percutant.
August 17, 2017
Me encanta la historia de la Dinastía Romanov, pero al buscar libros al respecto, estos oscilan entre el tedio o lo inconcluso, es difícil dar con un autor que te brinde la información necesaria sin atosigarte con la misma. En este caso, la historia es bien narrada pero un tanto inconclusa, es muy bueno como introducción a la Dinastía ya que es muy abarcador, pero no ahonda en ciertas situaciones.
Hay varias apreciaciones del autor, por lo general entre paréntesis, que a veces resultan molestas, prefiero sacar las conclusiones sola, y no que me apunten las respuestas, máxime si a veces no las comparto.
Pese a ello, realmente me gustó, y para quienes quieran un primer acercamiento con la familia me parece muy acertado y para nada tedioso.
Hay varias apreciaciones del autor, por lo general entre paréntesis, que a veces resultan molestas, prefiero sacar las conclusiones sola, y no que me apunten las respuestas, máxime si a veces no las comparto.
Pese a ello, realmente me gustó, y para quienes quieran un primer acercamiento con la familia me parece muy acertado y para nada tedioso.
August 14, 2020
La historia de los zares Romanov. Un viaje histórico desde 1613 hasta 1917 finalizando con Nicolás II y su trágico final junto con su familia. Rusia qué pasó de ser un imperio de los zares a un país comunista que dio un golpe de estado con los bolcheviques (justo cuando eran parte de los aliados en la gran guerra y venían de una derrota militar con Japón ) comandados por Lenin y terminado restableciendo la República Federal con Putin en el 2001.
Los zares de los que habla el libro y relata sus sucesos y características más importantes son:
Pedro el grande
Catalina I
Pedro II
Ana
Isabel
Pedro III
Catalina la grande
Pablo I
Alejandro I
Nicolás I
Alejandro II
Alejandro III
Nicolás II
Miguel ( 24 horas).
Los zares de los que habla el libro y relata sus sucesos y características más importantes son:
Pedro el grande
Catalina I
Pedro II
Ana
Isabel
Pedro III
Catalina la grande
Pablo I
Alejandro I
Nicolás I
Alejandro II
Alejandro III
Nicolás II
Miguel ( 24 horas).
May 25, 2021
j'ai trop aimé ce livre, l'histoire des Romanov m'a toujours fasciné. J'adore cette partie de l'histoire de la russie avec les tsars et Saint-Pétersbourg dans une periode si magique et qui vous donne des idées pour vos écrits. Un livre à lire et à relire.
August 14, 2023
Esti sau nu pasionat de istorie, cartea merita citita pentru a descifra un trecut ce nu trebuie uitat sau neglijat. Soarta celor 19 Romanovi care au condus Rusia mai bine de 300 ani este o interesanta lectie de istorie.
February 5, 2022
3,5
Creo que pudo extenderse mas, me quedé corto en varias momentos.
Creo que pudo extenderse mas, me quedé corto en varias momentos.
July 15, 2025
Perspectiva nu mi s-a parut obiectiva. Spre final pare sa fie din ce in ce mai clar o propaganda pro-rusa/pro-Putin pentru justificarea ambitiilor imperialiste curente.
December 23, 2021
Me encantó la historia por los personajes de esta dinastía
April 2, 2013
As Russia kept expanding it's territories, an Siberia became the terror instrument against it's opponents, a Russo-phobia began spreading throughout the world. That, unfortunately, drove to a state of near-oblivion of the history of one of the most influential empires and countries in the world.
Yet, once Gorbachev started in the early 80s his famous perestroika, the truth started slowly to come out. Thus, after more then 60 years of lies and misleading, the pre-communist history started seeing the light.
Jean des Cars tells us of a Russia that, through Boris Yeltsin and later through Vladimir Putin, brought the remainings of the last Romanovs back to a christian grave, an some of the legends surrounding this family (such as Anastasia legend), elucidated.
Starting with a short history of the forming of the first Russian country, in Kiev, then with the Muscovite Russia, the author goes quickly through the first of the Romanov tzars, and then strait to one of the greatest of them, Peter the Great. Offering large chapters for the history of some (Peter the Great, Catherine the Great or Nicolai the second) and small chapters to some less important representatives (Elisabeth Petronia or Pavel the first), Jean des Cars report, in a journalistic manner, the most important points in the history of the great Romanov dynasty.
Even though it covers everything needed to be covered to get an idea on the greatness of the dynasty, and even though the journalistic manner in which this history has been depicted should make for a sufficient reading, I think that each and every one of these tzars deserves a book as thick as this one is. So, for those who seek a detailed telling, a rigorous study on the Romanov family, don't hold your breath. This book barely covers a few political decisions of a greater importance and it makes no real light into the two problematic points of this saga: how was it possible for the Romanovs to seize the throne of Russia, and how was it possible to lose it.
However, I think reading this book is a very good thing especially for those who are driven, in their search for literature, history or art, by the Russo-phobia I mentioned earlier. So read it, cause you'll get over it, and then you will be able to enjoy things like Pushkin's or Dostoevsky's literature, Rimsky-Korsakov's music or the dance of Maia Plisetskaia.
Yet, once Gorbachev started in the early 80s his famous perestroika, the truth started slowly to come out. Thus, after more then 60 years of lies and misleading, the pre-communist history started seeing the light.
Jean des Cars tells us of a Russia that, through Boris Yeltsin and later through Vladimir Putin, brought the remainings of the last Romanovs back to a christian grave, an some of the legends surrounding this family (such as Anastasia legend), elucidated.
Starting with a short history of the forming of the first Russian country, in Kiev, then with the Muscovite Russia, the author goes quickly through the first of the Romanov tzars, and then strait to one of the greatest of them, Peter the Great. Offering large chapters for the history of some (Peter the Great, Catherine the Great or Nicolai the second) and small chapters to some less important representatives (Elisabeth Petronia or Pavel the first), Jean des Cars report, in a journalistic manner, the most important points in the history of the great Romanov dynasty.
Even though it covers everything needed to be covered to get an idea on the greatness of the dynasty, and even though the journalistic manner in which this history has been depicted should make for a sufficient reading, I think that each and every one of these tzars deserves a book as thick as this one is. So, for those who seek a detailed telling, a rigorous study on the Romanov family, don't hold your breath. This book barely covers a few political decisions of a greater importance and it makes no real light into the two problematic points of this saga: how was it possible for the Romanovs to seize the throne of Russia, and how was it possible to lose it.
However, I think reading this book is a very good thing especially for those who are driven, in their search for literature, history or art, by the Russo-phobia I mentioned earlier. So read it, cause you'll get over it, and then you will be able to enjoy things like Pushkin's or Dostoevsky's literature, Rimsky-Korsakov's music or the dance of Maia Plisetskaia.
May 14, 2023
La Tragedia de la Revolución Rusa.
Una de las consecuencias más trágicas de la 1ra Guerra Mundial, que acabó con el asesinato del Zar y su familia. Es un libro muy interesante donde se narra la historia de la mítica dinastía que gobernó a Rusia hasta la aparición de los Bolcheviques.
Súper recomendado !!!!
Una de las consecuencias más trágicas de la 1ra Guerra Mundial, que acabó con el asesinato del Zar y su familia. Es un libro muy interesante donde se narra la historia de la mítica dinastía que gobernó a Rusia hasta la aparición de los Bolcheviques.
Súper recomendado !!!!
March 15, 2019
ripreso per errore in italiano dopo averlo letto nell'originale francese di cui avevo una copia a casa. Mi lascia perplessa l'introduzione che sembra un omaggio alla Russia di Putin.
Lo sto rileggendo: scrive bene, le informazioni mi sembrano corrette, ma ,i convince poco la sua ammirazione per gli autocrati, il cosiddetto "uomo forte". Che sia Putin o Pietro il grande... questo mi vien da pensare che ammirerebbe pure Stalin.
Riletta nell'originale. Piacevole e aggiornata, per lui comunque gli autocrati sono tutti positivi o quasi..
Lo sto rileggendo: scrive bene, le informazioni mi sembrano corrette, ma ,i convince poco la sua ammirazione per gli autocrati, il cosiddetto "uomo forte". Che sia Putin o Pietro il grande... questo mi vien da pensare che ammirerebbe pure Stalin.
Riletta nell'originale. Piacevole e aggiornata, per lui comunque gli autocrati sono tutti positivi o quasi..
October 3, 2015
Encontré fascinante la historia de este clan, del cual sólo conocía muy poco gracias a las clases de historia mundial. Si bien el libro me sirvió para aprender sobre distintos períodos de la historia Rusa, la información estaba dada de forma muy desorganizada y con bastante subjetividad por parte del escritor (quien dice haber redactado todo de forma objetiva).
January 24, 2016
the story of the romanovs is told in a interesting way by the author, he tells also what is still visible from their legacy in st petersburg and moscow, and he certainly succeeds in gaining the desire of the reader to visit these cities.
September 20, 2015
Subiectul interesant,gramatica,exprimarea,sau mai bine spus traducerea in sine de foarte proasta calitate!
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