On ne sait presque rien de lui. Il travaille dans le commerce, mais ce n'est pas un homme pressé ; il aime les femmes, mais préfère vivre seul ; c'est un gastronome, mais il apprécie par-dessus tout la cuisine simple des quartiers populaires... Cet homme, c'est le gourmet solitaire. Depuis sa première déambulation en 1994, il a conquis, au fil de deux décennies de flâneries propices à des expériences culinaires précieuses et intimes, un public japonais et occidental toujours grandissant. L'intégralité de ses trente-deux repas sont ici réunis pour la première fois.
He began to work as assistant of the late mangaka Kyota Ishikawa. He made his manga debut in 1970 with Kareta Heya (A Desiccated Summer), published in the magazine Young Comic. From 1976 to 1979, he created several hard-boiled comics with the scenarist Natsuo Sekigawa, such as City Without Defense, The Wind of the West is White and Lindo 3. From 1984 to 1991, Tanigushi and Natsuo Sekigawa produced the trilogy Bocchan No Jidai. In the 1990s, he came up with several albums, among which Aruku Hito (歩くひと), Chichi no koyomi (The Almanac of My Father), and Keyaki no ki. In 2001, he created the Icare (Icaro) series on texts by Mœbius. Jirô Taniguchi gained several prizes for his work. Among others, the Osamu Tezuka Culture Award (1998) for the trilogy Bocchan No Jidai, the Shogakukan prize with Inu wo Kau, and in 2003, the Alph'Art of the best scenario at the Angoulême International Comics Festival (France) for Harukana Machi-E. His work has been translated in many languages.
Far from the violent storylines often associated with the manga, Taniguchi has developed a very personal style, more adult. Along with other writers, like Tsukasa Hōjō, his comics focus more on the Japanese society and culture, with a subtle analysis of its customs and habits.
Le gourmet solitaire - qu'on pourrait appeler gourmand si on regarde la quantité de nourriture consommée!!! - est un manga suivant les (re)découvertes culinaires d'un homme d'affaires au Japon. Ça donne faim et envie de visiter Tokyo et ses restaurants. Il n'y a pas vraiment d'histoire, le livre se consulte plus de temps en temps pour lire un ou deux repas que d'une traite.
I absolutely love Le gourmet solitaire and read it already 4 or 5 times. I got my hands on this special edition containing the 2nd book, Les rêveries d'un gourmet solitaire and I can now say that I like this one less. You can see that some aspects of the story didn't really age well (calling ladies in the street "bonnes femmes", I'm not so sure about it...) and I couldn't relate to the main character in some stories, but this book made me travel and made me hungry!
Je veux me plonger à l'infini dans ces histoires courtes de mets délicieux avec ce solitaire - dont je suis tombée comme amoureuse au fil de ma lecture. C'est clairement un livre exceptionnel.
J'ai moins aimé que L'homme qui marche qui a un côté plus rêveur, je pense mais c'était qd même fort sympathique de suivre les aventures culinaires de ce gourmet solitaire. J'ai eu bien faim en lisant, certains plats avaient l'air bien bons. Le héros a un bon coup de fourchette et un bon estomac ^^ Et j'ai bien ri qd il a goûté du selecto en mangeant un couscous à Paris XD