Lorsqu'elle apprend qu’elle est malade, Jacqueline mesure plus que jamais le prix de chaque instant. Au crépuscule d'une vie riche d'expériences et de souvenirs, elle veut faire partager son goût du bonheur aux deux êtres qui comptent le plus à ses yeux : Alexandre, le garçon qu'elle a élevé, jeune interne en médecine, et Margaux, sa petite-fille, qui travaille dans l'illustre chocolaterie familiale. Tous deux ne sont même pas à la moitié de leur vie et déjà happés par leur vie professionnelle ! Depuis les falaises du cap Fréhel où elle les a réunis, la vieille dame met sur pied un projet un peu fou pour qu'enfin ils ne s'empêchent plus de rêver et écoutent battre leur cœur. Car savoir qui on est, c'est savoir où on va… sans redouter les obstacles qui vous font grandir ! Une histoire pleine de générosité, fraîche et optimiste. Sophie Tal Men nous invite à savourer la vie, à la croquer à pleines dents ! Un roman léger et émouvant, parfumé d’air iodé et d’arômes chocolatés. Femme actuelle.
Je lis beaucoup de romans estampillés "feel-good" et je suis plutôt bon public. J'aime particulièrement ceux qui parlent de personnes âgées, tout ce petit préambule pour vous dire que je pensais que Qui ne se plante pas ne pousse jamais était fait pour moi.
Et pourtant, je ressors de ma lecture quelque peu déçue... Jacqueline, la vieille dame que j'avais prise pour l'héroïne n'est en fait qu'un prétexte pour rapprocher Margaux et Alexandre. Cela pourrait ne pas être un problème si ce n'est que de ce fait, le personnage de Jacqueline n'est pas très étoffé. Elle est là, elle est âgée, gentille, malade et elle aime les proverbes. A part ça, pas grand-chose.
Les personnages de Margaux et Alexandre tiennent mieux la route même si aucun des deux ne m'a particulièrement touchée. Et l'histoire est mignonne mais j'ai l'impression d'en avoir déjà lu environ 400 variantes. Oui, j'ai peut-être fait le tour du genre, mais d'autres autrices telles Marie Vareille ou Virginie Grimaldi arrivent toujours à le renouveler.
Les points positifs, car oui, il y en a : - la Bretagne. Ça fait plaisir de voir que Lorraine Fouchet n'est pas la seule à écrire de belles histoires qui se passent en Bretagne. - le chocolat. Parfait comme trame de fond pour ce genre de roman, bien exploité, m'aurait presque donné envie d'en manger alors que je n'en raffole pas. - les proverbes et dictons de Jacqueline. Il y en a beaucoup (beaucoup), ils servent de titres aux chapitres mais ça fonctionne bien, c'est le petit plus qui m'a permis de différencier cette histoire de toutes les autres qui lui ressemblent.
Je lirai certainement un autre Sophie Tal Men car j'ai malgré tout passé un bon moment.
Lire un roman de Sophie Tal Men, c’est se sentir dépaysé. Transporté en Bretagne, là où les embruns fouettent le visage, là où la mer se respire. Comme à son habitude, l’auteure nous dévoile une histoire tendre et optimiste, touchante et drôle, celle d’une grand-mère qui ferait n’importe quoi pour le bonheur de ceux qu’elle aime et notamment, leur ouvrir les yeux sur l’importance de profiter de chaque instant.
Jacqueline habite au cap Fréhel, elle a 82 ans et elle est malade. Elle sait désormais que le temps est compté pour elle, la maladie va progresser. Elle pense souvent à Margaux sa petite-fille et Alexandre le petit voisin qu'elle a vu grandir. Elle se rend compte qu'elle ne les voit que très rarement. Margaux travaille dans la chocolaterie familiale et Alexandre est interne en médecine. Chacun mène une vie à 100 à l'heure et est bien trop occupé pour venir voir une vieille dame. Mais Jacqueline a plus d'un tour dans son sac. Son but? Les réunir et leur faire ouvrir les yeux sur ce qui est important dans la vie...
Alexandre est épuisé par son travail stressant et les préparatifs de son mariage avec Hortense. Margaux a un planning de ministre, cumule les déplacements à l'étranger. Jacqueline sait que la fin est proche et ne veut pas laisser les choses telles qu'elles sont. Un brin excentrique, pleine d'espièglerie et possédant une belle philosophie de vie, elle va tenter le tout pour le tout pour arriver à ses fins, menant Alexandre et Margaux jusqu'à Cuba où il échangeront leur premier baiser. Jacqueline veut les voir rire, danser, rêver, pimenter leur vie et surtout vivre!
Au retour de se voyage, chacun reprend le cours de sa vie. Mais quelque chose à changer pour eux. Margaux s'autorise à repenser au passé, au décès de sa maman. Alexandre se rend compte qu'il ne peut pas épouser Hortense et préfère rompre avant le mariage.
Il faut parfois savoir se tromper pour avancer. Il faut profiter de la vie et du moment présent. Et il faut aussi profiter de ses proches avant qu'il ne soit trop tard.
Jacqueline décèdera à son domicile. Alexandre et Margaux ont pris conscience qu'ils connaissent le bonheur lorsqu'ils sont ensemble : chacun est l'extra dans l'ordinaire de l'autre.
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J’attendais une histoire chouette, romantique, fraîche, mais on en trouve une pleine des clichés, des choses sans aucun sens, un très pauvre développement des personnages. Il manque des détails importants mais par contre on t’explique tous les ingrédients d’un gâteau (comme si c’était important!) et on écrit la même phrase cinq fois par chapitre… Le style je n’ai pas forcément aimé, trop de points (full stop), changement de topic d’un moment à l’autre, facile à se perdre…on dirait que tous les personnages sont le même. Tout se déroule tellement vite que devient vraiment irréel. Le seul point positif est qu’il n’est pas trop long. Je ne recommande pas sauf si vous aimez les livres clichés pleine des phrases de motivation qu’on a déjà entendu mille fois.
Jacqueline, 80 ans, est malade et se sait condamnée. Elle souhaite réconcilier Margaux, sa petite-fille, et Alexandre, un ami d'enfance de celle-ci que Jacqueline considère comme son petit-fils, qui ne se voient plus depuis 10 ans.
Elle complote pour que ses deux loupiots se retrouvent. Bien évidemment, l'histoire ne surprend pas et il n'y a pas tellement de suspens mais j'aurais aimé que l'auteure développe plus ses personnages qui sont un peu fades, qui manquent de profondeur.
C'est une belle comédie d'été dont on peut conclure la lecture en réalisant un gâteau à remettre au goût du jour : la Reine de Saba dont la recette est à la fin du livre.
J'ai tout d'abord mis longtemps à le lire, car je l'ai commencé à Tahiti, puis ça a été dur de reprendre car c'est lié à beaucoup de souvenirs...
Ensuite le sujet, prenant, beau mais triste à sa façon !
L'histoire de Margaux et Alexandre est troublante de vérité et de moments de latence, de réflexion et d'attente... On s'identifie à eux par leurs pensées, le deuil est très bien apporté, leur courage est beau...
Le voyage de la vie à travers une grand-mère ancrée telle une plante et le chocolat, ses goûts et odeurs !
J'ai été sincèrement touchée, je recommande complètement.
Contrairement à Entre mes doigts coule le sable, j’ai beaucoup aimé Qui ne se plante pas, ne pousse jamais. C’est une histoire de Jacqueline, octogénaire condamnée, Margaux, sa petite fille, entrepreneuse, et Alexandre, interne aux urgences. Bien sûr, avant son départ, Jacqueline va jouer le rôle d’entremetteuse et philosophe. Ca lit vite et avec son mélange de la médicine, la Bretagne, et le chocolat (y inclus des recettes), c’est un roman à savourer.
C'est un livre qui se lit bien, vite, facilement. Je m'attendais à ce que Jacqueline prenne plus de place dans l'histoire, ou que l'histoire soit écrite de son point de vue. Mais non, elle ne sert que de liaison entre les histoires de Margaux et d'Alexandre sans oublier le chocolat... Et ça rend le livre moins original que ce à quoi je m'attendais même si ça reste très agréable à lire.
"La vie c'est comme une boîte de chocolat..." Merci à l'auteure de nous emmener avec elle au grand air breton, de nous faire sentir le chaud soleil de Cuba, et les mises en bouche qui font saliver. Merci aussi pour toutes ces émotions !
Encore un livre "vrai" avec une histoire touchante d'une grand-mère qui essaie d'ouvrir les yeux à ses petits-enfants sur ce qui est important dans la vie. De plus, j'ai apprécié que des personnages des premiers romans de Sophie Tal Men fassent quelques apparitions au fil des pages.
Dévoré aussi rapidement qu’une crêpe au caramel beurre salé ! Je lis les romans de Sophie Tal Men, un peu dans le désordre lorsque je tombe sur eux dans les bouquineries. Je trouve toujours une forme de réconfort dans l’humour des situations. Mais celui-là est particulièrement émouvant
Un livre qui te transporte dans une autre dimension, un autre univers. Un livre qui te fait voir le monde autrement, qui t’incite à vivre le moment présent et apprécier les choses du quotidien. Il est tout juste bien écrit et hypnotisant.
Une histoire de retrouvailles autour d’une grand mère qui ne souhaite que le bonheur de ses 2 protégés. Les saveurs du chocolat des senteurs tout a un parfum. Il faut savoir savourer chaque instant de la vie qui se présente à nous
Un roman "feel good" sympathique qui m'a réconciliée avec Sophie Tal Men. Je l'ai dévoré en quelques heures, avec l'envie folle de manger beaucoup de chocolat !
Un roman rempli d’humanité, de tendresse, d’humour et de chocolat 🍫 Jacqueline, 82 ans, bienveillante, joueuse et adepte de dictons, va changer la vie des 2 êtres qui lui sont le + chers !
Une histoire remplie d'émotions, de douceur, de tendresse, de poésie, de chocolats qui nous rappelle que la vie passe vite et qu'il faut savoir se poser de temps en temps pour en apprécier la saveur.
Es lindi, me dio penita. Recordemos todos hablar mucho con nuestros seres queridos. No nos perdamos en el día a día, en la locura y la velocidad del mundo moderno.