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冰人

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Dans l'immense paysage gelé, les membres des Expéditions Polaires françaises font un relevé du relief sous-glaciaire. Un incroyable phénomène se produit : les appareils sondeurs enregistrent un signal. Il y a un émetteur sous la glace...
Que vont découvrir les savants et les techniciens venus du monde entier qui creusent la glace à la rencontre du mystère ?
La Nuit des temps, c'est à la fois un reportage, une épopée mêlant présent et futur, et un rand chant d'amour passionné. Traversant le laine universel comme un trait de feu, le destin d'Eléa et de Païkan les emmène vers le grand mythe des amants légendaires.

240 pages, Paperback

First published January 1, 1968

636 people are currently reading
11711 people want to read

About the author

René Barjavel

59 books280 followers
René Barjavel, né le 24 janvier 1911 à Nyons (Drôme) et décédé le 24 novembre 1985 à Paris, est un écrivain et journaliste français principalement connu pour ses romans d'anticipation.

Certains thèmes y reviennent fréquemment : chute de la civilisation causée par les excès de la science et la folie de la guerre, caractère éternel et indestructible de l'amour (Ravage, Le Grand Secret, La Nuit des temps, Une rose au paradis). Son écriture se veut poétique, onirique et, parfois, philosophique. Il a aussi abordé dans de remarquables essais l'interrogation empirique et poétique sur l'existence de Dieu (notamment, La Faim du tigre), et le sens de l'action de l'homme sur la Nature. Il fut aussi scénariste/dialoguiste de films. On lui doit en particulier le scénario du Petit monde de Don Camillo.

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5 stars
7,174 (41%)
4 stars
5,337 (31%)
3 stars
2,986 (17%)
2 stars
1,144 (6%)
1 star
488 (2%)
Displaying 1 - 30 of 1,111 reviews
Profile Image for Rainbowgirl.
208 reviews38 followers
April 14, 2016
Des chercheurs dans l'Antarctique découvrent sous la glace les traces d'une civilisation perdue...


Voilà un livre que j'aurais aimé lire plus jeune, à un âge où j'aurais su l'apprécier sans remettre en question à outrance les propos qui y sont tenus. Je n'ai pas pu m'arrêter de me demander si l'auteur était vraiment raciste et misogyne ou bien d'une innocence confondante, et je crois bien que la seconde solution est plus proche de la vérité. Certes, c'est un bouquin de la fin des années 60, époque charnière de l'évolution des mœurs. Cela se traduit à la fois par quelques idées rétrogrades (une certaine obsession pour les "races" dans des termes parfois un peu gênants, une drôle de façon de traiter les femmes en fonction de leur beauté en rendant leur intelligence secondaire) et par un élan plein de bonne volonté mais totalement contradictoire vers l'égalité des hommes et des sexes.

J'aurais aussi aimé le lire plus jeune pour être moins blasée de la vie, et accueillir avec moins de scepticisme le récit de l'utopie dont il est question, et surtout de l'histoire d'amour beau et parfait et parfait et beau qui occupe une bonne partie du roman. Encore une fois, en replaçant le roman dans son époque, on apprécie l'envie de déclarer que l'amour charnel n'est pas une chose honteuse ni sale, mais pour moi ce n'est plus trop un débat d'actualité.

Voilà en gros pourquoi ce livre a perdu deux étoiles. Celles qui lui restent récompensent une belle plume, que j'ai trouvée facile et agréable à lire, des dialogues savoureux, un récit de science-fiction bien construit et crédible, à la chute saisissante. Il est intéressant aussi de sentir la tension de la guerre froide influencer le récit, et de montrer comme la science fait tomber les barrières entre les peuples (politiquement et linguistiquement, avec la Traductrice). Au bout du compte, il faut retenir la volonté poignante de dénoncer la folie des hommes et la répétition des grands drames de l'Histoire.

A lire pour se faire son idée...
Profile Image for Rebecka.
1,233 reviews102 followers
December 1, 2016
Welcome to the 60's sci-fi of Barjavel, where women are only valued for their beauty, are the only ones who ever cry and are mainly just preoccupied with shallow things or romance/sex, and where black people actually come from another planet (imported by whites, naturally). This is a pathetic attempt at a futuristic Romeo & Juliet that has most certainly not aged well. The first 50% were torture to read with all the male chauvinism, then it got better, but the book as a whole never stopped being stupid. I'm guessing Barjavel wasn't a fan of the theory of evolution.
1 review2 followers
May 5, 2011
Simply the best SciFi romance I have ever read. This would make a great movie. It has science, history, romance, politics, media skullduggery...
The setting is only a little bit dated and could easily be updated current events because the story is timeless.
Plot summary:
An international expedition finds a lost world underneath the Antarctic ice and discovers two people frozen at absolute zero perched on a pedastal in a perfect golden egg. The woman in the egg is in better physical condition so she is revived first. She tells a tale of a nation forced underground by perpetual war, of machines that can make food out of pure energy and of her perfect companion, chosen for her when she was a child. While images of her lost world are broadcast, people take to the street in protest of their political and economic conditions and the scientist who works so hard to bring her back to life watches her slip away into memory and the night of time.
Not to be missed. Oh, wait! It's out of print. Drat.
I found a copy at a used bookstore. Worth every penny.
15 reviews2 followers
June 22, 2017
Je fais partie de ceux qui ne comprennent pas le succès de ce livre. Encore moins qu'il soit devenu un classique lu à l'école... Si l'intrigue de base est assez originale, alléchante et bien pensée, le récit lui-même est vraiment médiocre. Il y a trop de personnages qui ne sont pas du tout exploités (donc trop de noms), trop de détails inutiles, entre informations techniques, éléments futuristes de l'univers de Gondawa, outils, armes, lieux, concepts, moyens de transport, pays, et j'en passe. On ne comprend plus rien tant on est perdu dans une foule de petites informations qu'il faudrait noter et retenir pour les suivre. Alors qu'elles sont parfaitement inutiles. L'intrigue géopolitique, amoureuse et scientifique aurait été bien mieux servie sans tous ces parasites qui m'ont gâché la lecture.

Par ailleurs, je veux bien que le roman ait été écrit en 1966 mais j'ai eu du mal à supporter la dose d'ethnocentrisme, de racisme et de sexisme que ce texte comporte. Les deux seules femmes de l'histoire ne sont valorisées que par une histoire d'amour avec un homme. Elles sont constamment dénigrées (elles pleurent, ont moins de connaissances que leurs pendants masculins, sont moins intelligentes, moins qualifiées, etc.) et surtout, surtout, on se rapporte sans cesse à leur physique. Eléa est belle, on l'aura compris, c'est presque sa seule qualité. Elle a beau être plus intelligente et forte que toutes les autres femmes, elle l'est quand moins que les hommes. Sans parler des personnages asiatiques ou africains qui, en plus d'avoir des rôles tout à fait secondaires, sont sans cesse rapportés à leur condition "exotique" et sont extrêmement racisés.

Enfin, de manière générale, je n'ai pas trouvé ce roman particulièrement bien écrit. Le style est très naïf, pas particulièrement léger. Les dialogues sont sans saveur, les descriptions sont confuses. On sent une tentative lyrique ou poétique qui selon moi est complètement ratée. La scène du rapport sexuel entre Eléa et Païkan à la fin de leur fuite (fuite beaucoup trop longue, d'ailleurs) est tellement kitch qu'elle en est risible.

Bref, je ne comprend pas ce qu'on trouve à ce roman, on dirait un premier roman d'un lycéen au talent moyen. Il est selon moi tout à fait oubliable.
Profile Image for Nina.
304 reviews
October 10, 2019
Early sci fi, which unfortunately hasn't aged well.

There are several original, intriguing ideas, such as: the ability of science and discovery to cross geo-political boundaries (especially at times of heightened tensions when little else can); the devastating loss of irreplaceable artifacts that can arise when science rushes forward with insufficient precautions; the limits of cooperative governance structures; and the devastating effects of geopolitical game theory. It was pretty cool to read one of the earliest sci fi imaginings of big data computer modeling. The book is definitely rooted in the 1960s: the narrowly averted Cuban Missile Crisis, the limits of Mutually Assured Destruction, growing popular/youth/utopian unrest, increasing investment in science/tech dominance, the role of the media in bolstering popular support for scientific investment and the resulting push to turn the process of scientific discovery into a digestible reality TV style performance. And this was written before the moon landing and before the 1968 student riots! Impressively prescient.

However, the 1960s also left their mark in less desirable ways. There are extremely uncomfortable racist and mysogynist moments, somewhat akin to the "Tintin au Congo" comic book or the "Little Black Sambo" children's book. People are described as black, yellow, red, etc. Women are described first and foremost by their physical attributes, the Russian scientist is described as something of a harpy who regularly gets slapped on the ass, and men take the lead on everything professional/scientific even when the women have literally the exact same training (which the author does not seem to have a problem with). The narrator is supposed to be this endearing example of unrequited love who takes care of Elea when everyone else treats her as a specimen, but I couldn't get over how he fell for her upon seen her "perfect naked body" and his vision of love seemed awfully close to a mildly manipulative yearning to posses her in body and soul. Excuse me while I go throw up.

Not to mention that I found the core love story to be over the top, eyeroll-inducing, saccharine shlok. No joke, these are perfect physical specimens of the human race, with the perfect amorous relationship, riding bareback through the forest, strolling along a lake (while allowing the horses to disappear god knows where), and then having perfect sex in a swimming pool. All that was missing was puppies and rainbows. The perfect characters and their perfect lives were reminiscent of Barbie and Ken dolls - plastic, unrelatable, and dull. The world-building and the plot itself were also pretty shallow and unbelievable.

Overall, 1960s mores aside, I think I would have enjoyed it much more had I read it as a young teen.
7,002 reviews83 followers
May 18, 2020
Un roman exceptionnel. J’ai adoré. Le roman est plus ou moins en deux parties, la première étant définitivement supérieure à la deuxième, quoique celle-ci demeure excellente. Un roman riche du point de vue fictif, avec une belle intrigue, un concept original, surtout pour l’époque, et des personnages qui, malgré les stéréotypes, sont intéressants. Lorsqu’on parle de l’époque, le roman fut publié en 1968, on ne peut que constater la présence de nombreux thèmes/sujets/préoccupation de l’époque : l’arrivée et les inquiétudes face aux technologies, la menace de l’apocalypse atomique toujours présentes, on ressent même les «craintes» face à la révolution sexuelle à l’aube des années 70. Qu’on soit pour ou contre, ce roman bénéficie grandement de sa mise en contexte et offre une belle réflexion/critique sociale des enjeux de l’époque, dont certains demeurent actuels. Un auteur que je découvre et que je relierai certainement cette année. Excellent!
Profile Image for Jamie Dacyczyn.
1,929 reviews114 followers
February 27, 2022
Yeah, I think mid-century sci-fi is just really really not my thing. This would have been an early DNF except that I was reading it as part of a friend challenge (Hello again, C!). Said friend wanted me to read this because it's very famous in their home country, and it's also something I would never pick up on my own.

The plot is straight forward: French scientists in Antarctica discover ruins of a 900,000 year old civilization, and further excavation uncovers a sort of suspended animation pod where a man and a woman have been frozen this whole time, perfectly preserved. The woman (named Elea) is thawed out first (after some lightly sexist discussion about whether the man or woman would be more important), and then there's a scramble to figure out a way to translate her language so they know how to keep her alive. After that, with the use of a telepathic device, she gives them a glimpse into the world 900,000 years ago, the utopian society she's from, and what led to her and the man being inside this life pod thing.

I kind of want there to be a more updated retelling of this story, because the plot is interesting (if implausible). Unfortunately, this was written by a man in the 1960s, and it shows. There was some generally racist stuff: referring representatives from poorer countries as "the blacks" and "the yellows". When Elea talks about her world, she comes from a peaceful utopian country that seems to be populated with perfect white people (often with golden hair and light colored eyes), where everyone has what they need and everyone is matched to their perfect soul mate and there's no overpopulation because they've mastered contraception and sensuous pool sex. Compare that to the other major country, which is a war-mongering country where everyone just couples with whomever during mass street orgy festivals and no one knows who their parents are and overpopulation is rampant...and they're described as having "smooth black hair, slit eyes, prominent cheek bones" with hooked noses and were "unquestionably the shared ancestors of the Mayas, the Aztecs and other American Indians, and perhaps of the Japanese, the Chinese, and all the Mongolian races as well." Yikes.

Aside from the racism, the theme in this book that turned me off was that oh-so-1960s light misogyny sprinkled throughout, with a very male gaze-y feel to everything having to do with Elea. Right away, when the scientists first find Elea and her companion frozen inside the pod, this is how they're described:

They were naked. The man was tall and well muscled; his erect penis rose like a plane climbing the sky. His clenched left fist was on his chest.
The woman's legs were closed. Her hands lay on one another, just below her breasts. The slope of her flanks was like that of a dune moulded by the wind's caresses. Her thighs were round and long, and a fly's breath could not have made its way between them. The inconspicuous pubic triangle was composed of short, curly ringlets. From her shoulders to her flowerlike feet, each curve of her body was a note of perfect harmony.


Take note: two sentences to describe the man's appearance (be sure that his penis is the focus of one the his two sentences dedicated to him!) and then six sentences to describe what the woman looks like. Her legs were closed? Is that important to mention? Blech.

(Also, "like a plane climbing the sky"? So, like, an angle of 10-15 degrees? Are you sure that's the image you want to convey?)

To add to the cringe, we get the author's idea of how the public would react to seeing these two naked people:

...all of the men who were watching the image of this woman on their television screens, who saw those soft, full shoulders, those round arms forming a basket for the graceful fruits that were the breasts, and the curve of those flanks in which the essential beauty of Creation flowed, how many would prevent their hands from reaching out to touch that flesh?
And of all the women who were watching that man, how many were tortured by the impossible desire to lower their bodies to his, to impale themselves on him and die there?


Hmm, to answer the last question, I'd say...none? Is that really how the author thinks women react when confronted by the sight of some unknown dude's erect penis? "Oh goodness, my life would be complete and I could just die instantly if I had but a chance to skewer myself on that glorious schlong!" Something tells me that this mindset explains why so many dudes send dick pics to strangers nowadays. They're expecting THIS reaction, instead of what actually happens: a grimace, a tilted head, and a muttered, "Is that the thing that came out of the guy's chest in Alien?"

Anyway, that whole scene turned me off from the rest of the book. It made me hyper aware of every instance where the woman's body was unnecessarily described (pretty often, since the scientists helpfully kept her naked for most of her recovery). Later there were a few flashback sex scenes described between her and her golden-haired partner, and they continued to be cringey ("Elea was passive, as if she had no will but his.") and extra uncomfortable since these scenes are being telepathically transmitted to all of the (mostly male) scientists who were there to learn from Elea. I don't know how much was original, and how much was the result of this being translated from French to English.... but my god, so much imagery surrounding penetration of one kind of another, sex scene or otherwise. Like.....why??

Anyway, I basically skimmed the second half of the book so that I would understand the twist at the end:

Jesus, what a depressing era of science fiction. Makes me wonder if Robert C. O'Brien read "new" sci-fi like this, and then wrote Z for Zachariah as a response like, "Ok, but what it's there's just one man and one woman left after the apocalypse...and she's NOT actually keen to jump his bones just because he's the only dude around?" RCO'B is basically the reason that I know #notallmaleauthors from this era were misogynists.

Soooo....I can't say that I liked this book. Two stars because I'm sure it's an important part of early sci-fi lexicon, and maybe sparked others to go on to write other works of speculative fiction...And there was some metaphorical stuff about Elea's civilization blowing themselves up and now here's our world about to do the same thing......but unfortunately the message came too late after all the other cringe stuff. So, two stars only from me. Sorry, C!
Profile Image for Stephen.
1,516 reviews12.4k followers
June 24, 2010
2.5 stars. Found this book on a list of "best science fiction stories that you have never heard of" or something similar. It had a decent premise, two people from an advanced civilization that disappeared 900,000 years ago are found frozen in Antarctica and revived. The book was okay and a decent read but not worthy of inclusion on a "best" list (in my opinion at least).
Profile Image for Sonya Ben Behi.
328 reviews382 followers
March 12, 2018
4,5/5!!! Alerte coup de cœur!!!!
Ce roman m'a emportée, bouleversée, menée en bateau pour finalement me briser le coeur en mille petits morceaux! Un classique de la science-fiction, biensûr! Mais surtout une magnifique histoire d'amour,un amour plus fort que le temps (littéralement), un amour qui a vaincu l'apocalypse, la mort, la vie, la science...un amour qui prend naissance dans la nuit des temps!
Le seul hic (qui empêche le 5 étoiles donc) c'est le personnage de Simon, qui est un des personnages principaux et le personnage le plus présent dans le roman, je l'ai trouvé agaçant à un point! qu'il en devient puérile, voire mesquin! Dieu sait que je déteste ce genre de personnage! ça n'empêche, tout le reste, le côté scientifique et technique (qui semble rebuter quelques uns), les technologies utilisés (qui m'ont fait rêver je l'avoue), le style d'écriture assez original, la construction du roman alternant présent, passé et chapitres à la première personne (en italique), la manière dont on peint les hommes, parfois bons, parfois égoïstes et méchants, mais jamais juste l'un ou l'autre, les émotions qui transcendent les barrières et les langues, les réflexions sur la politique et les conflits entre grandes puissances et pays pauvres, et même la description de cette civilisation tellement lointaine, tellement avancée, tellement différente et pourtant qui nous ressemble...tout dans ce livre a su me capturer, me subjuguer. Tout est tellement bien amené qu'on y croit..à tout! avec en prime des explications pour le grand Déluge, les hommes primitifs...oui, tout prend sens, tout s'imbrique, et la fin m'a juste coupé le souffle!
J'ai pleuré toutes les larmes de mon corps, mais je suis tellement heureuse d'avoir lu mon premier Barjavel, je suis déjà impatiente pour Ravage!
Profile Image for Metodi Markov.
1,726 reviews438 followers
November 22, 2025
Доскуча ми мощно и след 77% прочетени се отказвам, нямам желание дори края на тази история да науча.

Това не е роман, по скоро е някакъв стар сценарий за sci-fi филм, в който досадната "Среща с Рама" се обединява с една по шестдесетарски наивна притча за "Спящата красавица"...

Очаквах повече и съм разочарован. :(

P.S. Тази книга минава даже за класика във Франция и се изучва в училище...
Profile Image for Jo.
1,215 reviews223 followers
July 30, 2025
L’été (et également les mois qui le précède, en fait), est toujours synonyme de lectures exclusivement réservées à la rentrée littéraire pour moi. Après une vingtaine d’ouvrages lus pour préparer ce moment hyper important de l’année, j’ai eu envie de m’octroyer une petite coupure avec plusieurs classiques que je n’avais jamais découverts (j’entends des « bouuuuh » dans le fond de la salle, gardez vos tomates et autres sifflements, j’essaie de me rattraper en libraire consciencieux). J’attaque ma série de classiques avec un incontournable de la science-fiction à la française : « La Nuit des temps » de Barjavel. L’aventure commence (très) bien : première lecture, gros coup de cœur.

L’intrigue débute dans les glaces de l’Antarctique mais c’est bien l’âme humaine que Barjavel vient sonder. À travers la découverte d’une civilisation disparue, l’auteur tisse une réflexion saisissante sur l’humanité : notre soif d’autorité, notre égoïsme ou encore notre incapacité à préserver ce qui est essentiel.

Bien que publié dans les années 60, l’ouvrage résonne tristement avec notre présent : les luttes de pouvoir, les révoltes étudiantes, l’autodestruction d’une civilisation trop sûre d’elle-même. La clairvoyance de l’auteur est frappante et les thèmes abordés sont toujours brûlants d’actualité.

Un point que je n’avais absolument pas vu venir et qui m’a fait encore plus adorer cette histoire : « La Nuit des temps » n’est rien d’autre qu’une des plus sublimes histoires d’amour que j’ai eu l’opportunité de découvrir au cours de ma vie de lecteur. À travers Eléa et Païkan, amants intemporels, l’auteur livre une passion foudroyante, magnifique et tragique, emportée par les failles du monde. Une sorte de Roméo et Juliette futuristes et anciens, polaires et universels, qui m’a subjugué.

Alors, oui, il y a un très gros bémol : des stéréotypes carrément angoissants se nichent dans le texte. L’œuvre porte les marques de son temps : racisme, misogynie et hétéronormativité. Ces aspects, aujourd’hui problématiques, reflètent une époque où ces biais étaient rarement interrogés. Cela ne retire rien à la force du récit mais invite à une lecture critique et lucide du texte.

Malgré ce point, j’ai énormément apprécié ma lecture de ce roman qui mêle avec une force prodigieuse la rigueur de la science-fiction, l’élan du mystère qui passionne et plume aussi joliment descriptive que tendue d’émotions.
529 reviews7 followers
January 20, 2015
This is a confusing book to rate. There is much in "The Ice People" that is not good. The characters feel like mouthpieces. The plot is more convenient than organic. And yet I can't deny that there is something strangely unsettling about the book, and not necessarily in a bad way.

"The Ice People" (translated from the French "La Nuit des Temps") tells the story of an international coalition of scientists and their incredible discovery far beneath the Antarctic ice: the last remnants of a highly advanced 900,000 year old human civilization, including two cryogenically preserved survivors. As the scientists struggle to communicate with the survivors and glean the wondrous knowledge that they possess, the outside world is caught between awe and terror of what that new technology might mean for them.

Barjavel grew up with the First World War and witnessed the Second. When he wrote "The Ice People" in 1968, the world was caught in the deep shadows of the Cold War (which was a far more frightening time than can be understood through history books). "The Ice People" feels like a passionate response to a world gone mad, a breath away from complete and utter destruction. Every conflict is of the highest stakes; characters spout idealistic screeds extolling the desperate measures needed to save mankind.

None of that makes for great reading, and yet... there is something about the author's passion that is deeply affecting. He describes technological wonders that can be accomplished through the putting aside of differences (a global cloud computing network, a universal translator), and those descriptions are moving in a way that similar descriptions in modern science fiction books are not. In addition, the overt idealism in 'The Ice People' grated on me, and yet also let me strangely wistful. That reaction left me wondering if there is a part of me that wishes for something that would wash my adult cynicism away, so that I could wholeheartedly and unreservedly believe in the ultimate salvation of mankind.

And then there is the love story that lies at the heart of "The Ice People". Unlike the other plot threads, the tale of Elea and Paikan is human, well told, and could have sustained a book all by itself. It too left me wistful, but for the belief that true love is attainable and within reach.

Modern books are nuanced and subtle and full of greys, and I love them for that. But I guess what "The Ice People" taught me is that I miss the days when I believed that the world could be pure and perfect.
Profile Image for Lucile Gounin.
3 reviews1 follower
March 6, 2016
Pire livre de sciences-fiction que j'ai lu. Les personnages sont grossiers, la communauté scientifique dépeinte de manière caricaturale, l'intrigue, cousue de fil blanc. Les seuls éléments intéressants du livre sont à peine esquissés. J'ai détesté.
Profile Image for Fran Hawthorne.
Author 19 books278 followers
March 27, 2025
(Quick note: I'm not crediting a translator, because I read this in the original French. But please remember to credit the translator when you read books in translation.)

This book is more than sci-fi. More than Wow! sci-fi.
At the same time, it raises some serious plot questions--yes, sci-fi plots still need to make sense in their own milieu.

Brief summary: An international group of scientists in the mid-1960s discovers signs that, deep underground in Antarctica, 900,000 years ago, there was an advanced civilization. As they continue to excavate, the scientists come upon two people who have been cryogenically preserved. The lead physician falls in love with the unbelievably beautiful woman.

This summary is really brief because the plot gallops through many complicated twists, to an ending that is gut-punch unpredictable (at least, unpredicted by me and my French class).

Any good sci-fi requires amazing imagination and creativity, which author Rene Barjavel certainly had.

But one of this book's standout qualities is the author's wonderful language --the strong, original, vivid descriptions, both pastoral and horrible. (I'll never forget the image of the two men, crammed head to toe in a tiny submarine, drowning in their own sweat and urine, gasping for air...)
On the other hand, I could have done without so many Harlequin-romance scenes of Elea and Paikan, 900,000 years ago.

Another strong point is the theme of idealism. Beneath those Harlequin scenes, and also in other spots throughout, the author questions Paradise as well as political protests.

So, it's disappointing to see such a talented author rely on too many easy coincidences. For instance, the advanced civilization had apparently created a mechanism similar to the Vulcan mind-meld. (NB: The first Star Trek episode was aired in 1966; the book was published in 1968, which means it was written no later than 1966-67.) How convenient that this mind-meld enables the lovelorn primary narrator to read Elea's mind and thus learn her entire history as well as the planet's history--even to learn things that Elea didn't know because her eyes and ears were open and recording conversations while she was unconscious.

Moreover, the Wow! ending relies on a huge inconsistency that I obviously am not going to reveal here, other than to say it also harks back to the mind-meld.

Still, this was an amazing, unique book overall.
Profile Image for Thibaut.
138 reviews29 followers
May 3, 2022
"La nuit des temps" est ce classique de science-fiction dont tu entends parler depuis tout petit mais que tu n’as pourtant jamais lu, de peur d’être déçu ou ne sachant tout simplement pas à quoi t’attendre, à cause de sa quatrième de couverture bien mystérieuse.

Ce roman d’anticipation a pour décor une station polaire de l’Antarctique dans laquelle des chercheurs découvrent, sous la glace, une civilisation perdue. Cette exploration scientifique va rapidement ébranler toutes les croyances de la communauté internationale sur le passé de la vie sur Terre. Se côtoient alors dans cette histoire des personnages du présent (dont le Dr Simon, narrateur principal) et des personnages du passé. En dire plus serait désormais gâcher la surprise pour ceux qui ne l’ont pas lu.

J’ai apprécié cette lecture car, en la remettant dans son contexte d’une publication en 1968, on peut constater la présence de nombreux thèmes et préoccupations de l’époque offrant une belle réflexion sur des enjeux qui demeurent encore actuels de nos jours : l’inquiétude face à l’arrivée de nouvelles technologies, les guerres et la menace atomique, …

Néanmoins, j’ai parfois trouvé ce récit difficile à comprendre. Je suis personnellement un lecteur qui a besoin de se représenter visuellement ce qu’il est en train de lire. Cela m’est donc apparu compliqué ici puisque le monde dans lequel Eléa, Coban et Païkan ont évolué est très éloigné de ce à quoi ressemble notre société aujourd’hui.

Les chapitres sont courts et se lisent rapidement, et c’est finalement une nouvelle fois l’amour qui rythme cette histoire de bout en bout.
Profile Image for Odile.
165 reviews8 followers
February 22, 2023
« Les pentes de ses hanches étaient comme celles de la dune la plus aimée du vent de sable qui a mis un siècle à la construire de sa caresse. »
Profile Image for Thev Loulou.
143 reviews5 followers
October 2, 2023
Il n'y a vraiment rien qui va dans ce livre, remarques racistes et sexiste, humour de bon pères de famille, esthetisation des femmes mortes et j'en passe.
Profile Image for Romance P..
27 reviews10 followers
August 20, 2023
Ce livre est une gigantesque déception.

Le début nous projette dans une intrigue haletante, palpitante : de mystérieuses ruines découvertes au plus profond de l'Antarctique, immergées dans la densité mutique de la glace et de la roche. J'ai été happée d'entrée de jeu par ce décor à la fois terrifiant et captivant, avide d'en découvrir plus sur ces ruines énigmatiques et de suivre les péripéties de l'équipe scientifique en charge de les exhumer.



Et puis tout part en cacahuètes. L'incipit annonce plus ou moins la couleur, mais l'intrigue est assez prenante pour que le lecteur ait envie de continuer à tourner les pages. La scène de la découverte des deux corps dans l'Oeuf, cependant, vient faire tourner l'histoire au vinaigre. Et quand je dis vinaigre, je ne pense pas à un bon vinaigre balsamique, mais plutôt à un mauvais pinard qui aurait (très) mal vieilli.

Voici donc la petite liste d'ingrédients qui font de ce roman de science-fiction un mauvais cru :

1/ Le traitement des personnages féminins : Eléa (supposée être l'une des protagonistes du roman) est belle. Eléa a un corps parfait, des yeux envoûtants, une peau veloutée et immaculée, des seins ronds... et c'est tout. Pour le reste, elle n'est qu'un prétexte pour broder sur l'intrigue principale. Elle n'est surtout qu'un réceptacle à fantasmes masculins, puisque la quasi totalité des personnages hommes du roman passent leur temps à la désirer sexuellement. Ce n'est pas un personnage, c'est une caricature, un archétype éculé et écoeurant. Le male gaze de l'auteur est omniprésent dans tout le roman : tous les personnages féminins en prennent pour leur grade. Depuis Léonova, l'anthropologue russe qui n'a aucun relief (sauf celui de son postérieur, qui se fait tripoter H24 par un américain bedonnant et paternaliste), à l'infirmière dont le seul centre d'intérêt est de lire des novellas à l'eau de rose.

D'autres commentaires l'ont déjà dit, mais en gros, le résumé de l'intrigue, c'est : un homme et une femme sont choisi-e-s pour sauvegarder une civilisation menacée. L'homme est choisi parce qu'il est incroyablement intelligent, la femme parce qu'elle est incroyablement belle (et qu'elle fera de beaux enfants). La femme fait tout foirer parce qu'elle est trop émotive. Tirez le rideau, il n'y a rien d'autre à voir.

De cette bouillie sexiste ressort une soupe d'un kitsch aussi ridicule que nauséabond. Les scènes de s&xe et les déclarations enflammées du Dr Simon sont tellement cringe qu'on les croirait écrites par un adolescent vivant ses premiers émois amoureux. Rappelons tout de même que Simon tombe amoureux d'Eléa, non en raison de la fascination que son histoire inspire (la nana est quand même issue d'une civilisation disparue vieille de près d'un million d'années), mais en raison de sa plastique parfaite. Dans le genre cliché éculé, nous avons aussi la figure du couple Eléa/Païkan, reprise très peu subtile du couple Eve/Adam, sauce new-age.

2/ Les clichés racistes et politiques. La cerise sur la confiture, c'est bien le système politique proto-communiste que nous invente Barjavel pour nous conter l'histoire de sa mystérieuse civilisation disparue. Cette dernière, appelée Gondawa (en rappel au Gondwana, qui est le nom - très réel - donné par les scientifiques au supercontinent qui recouvrait la Terre il y a des millions d'années), est une sorte de monde des bisounours égalitaire : tout le monde est gentil, tout le monde rit gaiement en se baladant nu dans les forêts et en faisant passionnément l'amour au milieu de la nature. Personne ne manque de rien, car un ordinateur central veille à ce que chaque habitant-e ait sa ration alimentaire annuelle optimale, calculée de manière algorithmique à partir des données physiologiques de chacun-e. Ce merveilleux ordinateur est également un match maker, puisqu'il est capable de trouver l'âme soeur de chaque homme et femme (on n'est que sur du couple hétéro, faut pas déconner non plus). Nos lointains ancêtres auraient-ils donc inventé la première version de Tinder ??

Alors bien sûr, il y a quelques clodos qui traînent dans les rues (histoire d'ajouter un peu de réalisme), mais on ne les voit que furtivement (et pour cause, iels vivent dans des escaliers), donc ils n'emmerdent personne. Il y a bien aussi quelques étudiant-e-s rebelles, ambiance mai 68, qui poussent une petite gueulante parce que quand même, toute cette gestion centralisée, c'est pas très démocratique. Mais bon, sinon, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. Si tout ce merveilleux système finit par capoter, c'est à cause de ces saloperies de voisins impérialistes, forcément racisés, qui ne connaissent pas la contraception et poussent des cris guerriers et virils en allant foutre un joyeux merdier dans l'Eden pacifique de leur voisin gondawanais. Le parallèle Guerre froide/Gondawa vs Enisor est digne des plus mauvais Marvel. C'est simpliste, binaire, caricatural, dénué de réalisme et de subtilité.

Et je ne résiste pas à l'envie de spoiler l'une des révélations les plus "waouhement" raciste du livre : on y apprend en effet que les Noirs descendent des hommes de Mars, qui, ainsi que nous le révèle le roman, étaient les premières victimes du commerce de l'esclavage (oui car il y 1 00 000 d'années, ils savaient déjà comment aller sur la Lune et sur Mars... bref...). No comment.

Bref, il y a tellement de choses à soumettre à la critique dans ce roman que la liste est bien trop longue. Le plot twist final, aussi bancal que peu crédible, la morale idéaliste qui imprègne toute l'intrigue... Un énorme flop, auquel j'attribue 2 étoiles uniquement en raison de l'écriture, plutôt sympathique, et l'intrigue initiale, qui méritait tellement mieux !
17 reviews
February 12, 2017
Je ne finirais pas ce livre, au bout de cinquante pages j'ai déjà envie de le jeter aux ordures. Je ne comprends pas comment ce livre ou bien ravage du même auteur sont considérés comme des monuments de la sf française. Je déconseille fortement. Il y a mieux à lire.
Profile Image for Justine.
1,456 reviews227 followers
February 6, 2019
4.5-5

First, this book can be read super quickly. Honestly, if I had nothing to do laast weekend, and if I didn't want to take my time to read the end, it would have been a really quick read. The writing is easy to understand and transport the reader in the South Pole, where the story is set.

I was not charmed by the beginning of the book: the setting was not attractive to me, and some things bugged me, like sexism and a certain way to speak of people of colour. I tried to go beyond that to appreciate the story itself.

I don't exactly know when I fell in love, but I did.

-I grew to love the setting, its beauty, and what it reveals. It felt like I could feel the cold!!

-I loved Elea and Païkan's story! I usually don't like romance; but here, it didn't bother me, quite the contrary! I understood them, and loved to see their bonds, the way they feel, the way they are one. "Love" is not a sufficient word to get us to understand what they feel for one another. We sometimes feel that too when we're in love: three words can't summarize everything we are to each other. The scenes telling their story were my favorites, because we get to know them, but also because we get to know their world!

-I adored discovering this lost civilisation, it was fascinating, beautiful, and also quite sad. There is a reflexion here about us humans: we can't think bigger than ourselves for the most part. We only think about territories, possessions; we're capable to wreck the earth, just because we don't want the other to have it. War, such an idiocy. Gondawa seems idyllic:

-I also loved Coban's character (even if we don't get to know him that much) and

-I was quite shocked by the ending!!!

So, it was a great read, and my first Barjavel! Can't wait to read more!
Profile Image for Angélique Moreau.
Author 79 books19 followers
April 2, 2014
La Nuit des Temps is a love story, but also a dystopia that reveals a world long buried for thousands of years under the ice.

I read it as a child and was lucky enough to study it in junior high during our cycle on fantasy and horror literature.

Of course, this novel bears the mark of Barjavel's style, of his hippie way of approching the world, in the style of 1968, but full of hopes about humanity's managing to improve.

There's a culture-shock between modern humans and this woman melted out of her block of ice, who tells of her perfect world, which nevertheless counts a great deal of excluded people and is after all a computerised society in which everybody has a number (here, a ring that activates the machines, doors and lifts necessary to circulate, fonction in society and even get food and informations).

If Eléa's feelings for Païkan are universal, they do not conceal the fact that this book is a piece of social criticism.


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La Nuit des Temps est un roman d'amour, mais aussi une dystopie qui nous présente un monde disparu sous les glaces depuis des milliers d'années.

Je l'avais lu quand j'étais enfant et avait eu le plaisir de l'étudier au collège pendant notre cycle sur la littérature de fantaisie et d'horreur.

Bien entendu, le roman porte la marque de Barjavel, sa façon un peu hippie de voir le monde, très soixante-huitarde mais pleine d'espoir sur le fait que les humains sauront toujours s'en sortir.

C'est le choc des cultures entre les humains modernes et cette femme sortie de son bloc de glace, qui raconte son monde parfait, mais qui compte tout de même son nombre d'exclus et est après tout une société informatisée dans laquelle chacun a un numéro (ici, une bague, qui lui permet d'activer les différentes machines, portes et ascenseurs nécessaires aux déplacements, au fonctionnement dans la société et à l’accès a la nourriture et aux informations).

Si les sentiments d'Eléa pour Païkan sont universels, ils ne masquent pas le fait que le livre est une critique sociale.
Profile Image for Kikuhiko.
409 reviews11 followers
December 2, 2016
Une histoire qui ne mène à rien..
400 pages pour raconter une histoire sans queue ni tête, au final on n'a aucune explication sur "l'équation de Zoran" , sur le pourquoi du comment de la trahison de Lukos. Je ne m'attendais déjà pas à grand chose de ce livre mais mes craintes se sont justifiées au fil de ma lecture. J'ai perdu du temps à lire une histoire qui me rappelle ces histoire que les adolescents écrivent en se prenant pour des écrivains mais dont la fin et le déroulement des événements sont bâclés faute d'imagination.
Un livre que je ne relirai pas.
Profile Image for ina.
52 reviews
December 2, 2025
j’ai bien aimé les vingts dernières pages et l’écriture de l’auteur n’est pas si mauvaise mais à partir du moment où ‘les noirs’ deviennent ‘les negres’, que les personnages féminins ne sont utilisés que dans le but de donner de la profondeur aux personnages masculins ( tous insupportables au passage), sans parler des commentaires sexistes et/ou assez problématiques tout au long du livre et des scènes de sexe qui ne font que sexualiser encore plus le corps des femmes, c'est compliqué de donner plus qu'une etoile.
je ne comprends absolument pas pourquoi ce livre est autant plébiscité, j'ai vraiment eu du mal a le lire et certes l'intrigue est originale mais il y tellement d'oeuvres de littérature française qui mérite 100 fois plus d'attention que celle là (et je dis ça en toute objectivité)

enfin bref, on sent que ça a été écrit par un homme blanc quoi

#proud-hater-of-this-book ;
#si-ce-livre-n'a-plus-de-haters-c'est-que-je-ne-suis-plus-de-ce-monde ;
#oui-j'ai-édité-mon-avis-1-ans-et-demi-après-l'avoir-écrit-parce-que-plus-j'y-repense-et-plus-je-le-deteste
Profile Image for Charlotte.
162 reviews15 followers
June 4, 2013
This novel seems to be slightly obscure in the English-language sci-fi world (the original French version was a best-seller after it came out in France in 1970), which is surprising, because it's a lot of fun: there's fast-moving action, romance, idealistic scientists trying to save humanity from the machinations of cynical politicians, and all the far-fetched futuristic technology that we hope for when we read sci-fi novels. It would surely be embraced by international sci-fi fans if it came to be better known. If you like sci-fi, go out and find this book.
Profile Image for Charles-Louis.
169 reviews1 follower
December 24, 2024
Quelle révélation ! Je suis encore sous l’émotion. J’ai adoré le rythme, l’univers, le ton, le romantisme, les personnages. Oui, c’est écrit en 1968 et certaines « visions » des genres et des cultures sont datées, mais il faut remettre en contexte et ça ne m’a jamais empêché d’être happé par ce roman, par cette écriture efficace et libre. Le récit se révèle à nous sans niaisage, mais avec néanmoins une sensibilité remarquable. L’intrigue recèle de nombreux revirements, certains qui nous laissent pantois, d’autres qui nous arrachent le cœur. À lire absolument.
Profile Image for Camille.
506 reviews58 followers
May 25, 2017
On ne le dira jamais assez : à lire, relire, et relire encore ! Une exploration scientifique au pôle Sud découvre les vestiges d'une civilisation vieille de 900 000 ans, et parmi eux les corps parfaitement conservés - vivants - à très basse température d'un homme et d'une femme, laquelle nous fait revivre les dernières heures d'un monde sur le point de s'écrouler dans un chaos sans précédent, et dans lequel deux amants sont entraînés malgré eux. Une véritable pépite.

Je l'ai lu de nombreuses fois, et pendant la dernière campagne présidentielle je me disais que le revenu universel m'était très familier. En relisant La Nuit des temps je me suis rappelée qu'en effet Gondawa fonctionne avec une forme de revenu universel. On y trouve aussi des révoltes étudiantes qui étaient sur le point de se produire en France (ces passages ont été écrits en 1966).
Profile Image for Bill.
414 reviews104 followers
October 1, 2021
This novel is about the discovery of an ancient, advanced civilization under the Antarctic ice sheet. It has major political, romantic and erotic themes. The idea was interesting, but I really disliked the novel. It reads like a bad memoir. There is simply no characterization. This may be due to the translation. It was originally in French and it did win the Prix des Libraires for 1969. At least it was short.
Profile Image for poline.
47 reviews4 followers
March 30, 2023
«Vivre les malheurs d'avance, c'est les subir deux fois.»
Profile Image for Léa.
331 reviews
January 19, 2020
J'avais beaucoup entendu parler de ce roman que de nombreuses personnes ont découvert et aimé pendant leur adolescence. Je l'ai enfin sorti de ma PaL cet hiver et je comprends totalement l'engouement ! Entre récit scientifique et histoire d'amour universelle, La nuit des temps nous entraîne dans les grands froids de l'Antarctique pour ne plus nous lâcher. Ce roman n'a pas pris une ride et semble (malheureusement) prédire notre avenir.
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