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Commonwealth Saga #1a

Pandore abusée

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En 2380, l'humanité a colonisé six cents planètes, toutes reliées entre elles par des trous de ver. Le Commonwealth Intersolaire s'est développé en une société tranquille et prospère, dans laquelle la " réjuvénation " permet à chaque citoyen de vivre pendant des siècles. C'est alors qu'un astronome est témoin d'un incroyable événement cosmique : la disparition d'une étoile à un millier d'années-lumière, emprisonnée dans un champ de force d'une taille gigantesque. Le Commonwealth décide d'en savoir plus. Contre l'avis d'une partie de l'opinion, il construit le premier vaisseau spatial plus rapide que la lumière : la Seconde Chance. Sa mission sera de découvrir quelle menace pèse sur l'espèce humaine...

687 pages, Mass Market Paperback

First published January 1, 2004

23 people are currently reading
446 people want to read

About the author

Peter F. Hamilton

205 books10.2k followers
Peter F. Hamilton is a British science fiction author. He is best known for writing space opera. As of the publication of his tenth novel in 2004, his works had sold over two million copies worldwide, making him Britain's biggest-selling science fiction author.

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Community Reviews

5 stars
192 (39%)
4 stars
190 (38%)
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72 (14%)
2 stars
23 (4%)
1 star
13 (2%)
Displaying 1 - 20 of 20 reviews
Profile Image for Jack Pramitte.
146 reviews2 followers
September 18, 2019
Enfin, je suis arrivé à bout des 2900 pages de l'Étoile de Pandore et de ses insipides suites. De Peter Hamilton, j'ai également lu (ou effleuré du regard) quatre des six tomes de l'Aube de la nuit. Sincèrement, je trouve que M. Hamilton est un auteur très médiocre et qu'il y a peu de choses à dire pour sa défense. Curieusement, par un effet que seule la science-fiction rend possible, la profondeur de ses œuvres semble inversement proportionnelle à leur épaisseur. Pour résumer, l'homme n'a rien à dire; le dit très maladroitement; et a besoin de milliers de pages pour le dire.

Commençons par la seule qualité que je lui trouve : pour ce qui est d'écrire des scènes d'action, il s'en sort fort bien. Ces scènes ne manquent pas de détails et Hamilton sait les rendre effectivement lisibles et faire participer le lecteur à l'action. Hélas, elles s'étirent souvent au-delà du raisonnable (+50 pages) et finissent par engendrer ma lassitude. On sent bien que c'est ce qui plait à Peter Hamilton, et il construit ses romans comme une suite de scènes d'action sur des milliers de pages. Tout ce qui s'insère entre ces scènes est malheureusement parfaitement insipide.

Ses plus gros points faibles sont la construction du roman et les personnages. Pour l'un comme pour l'autre, il remplace la qualité par la quantité. Peter Hamilton semble ne pas avoir la moindre idée de comment contrôler la progression de son histoire. On voit bien qu'il veut décrire un conflit galactique sur une grande échelle en multipliant les points de vue et les protagonistes comme on écrit un film catastrophe à l'ancienne comme La Tour infernale. Malheureusement, Hamilton n'a ni l'imagination ni le talent d'écriture pour rendre cela passionnant, si bien que l'histoire ne se développe pas vraiment, elle s'étire, se dilue, s'enlise. Des centaines de pages sont consacrées à des sous-récits à l'intérêt nul ou discutable. Je dirais que les trois quarts de ce long roman de 2900 pages n'a aucun intérêt : elles ne sont pas intéressantes en elles-mêmes, ne font pas progresser l'histoire, et n'approfondissent pas les personnages. Elles agissent seulement comme des comptes-rendus excessivement détaillés d'événements qui échouent à impliquer émotionnellement le lecteur à cause de la faiblesse du style de l'incapacité d'Hamilton a créer des personnages engageants.

À défaut de faire progresser l'histoire, les innombrables digressions pourraient avoir le mérite d'approfondir les personnages, mais ce n'est pas du tout le cas. L'Étoile de Pandore implique environ 60 personnages, mais aucun ne sort des stéréotypes en affichant une réelle personnalité qui pourraient susciter l'empathie du lecteur et créer un attachement à son égard. Si bien qu'ils peuvent mourrir sans qu'on s'en inquiète (de toutes façons, ils peuvent être "ressuscités" à partir de leurs souvenirs) ou se révéler être des traitres sans même qu'on se rappelle de qui il s'agit ni de leurs actions précédentes, car finalement tous sauf une poignée d'entre eux ne sont que des figurants.

Le troisième point faible tient à la pauvre capacité de Peter Hamilton à imaginer des sociétés futuristes. À la vérité, toute l'histoire semble se dérouler au cours du XXe siècle (celui durant lequel l'auteur à vécu son enfance) à la particularité près qu'on peut prendre le métro à Paris pour déboucher sur une autre planète. Dans ce roman, comme dans le cycle de l'Aube de la Nuit, il y a de nombreuses planètes et villes mais toutes ressemblent à des villes de notre époque ou même du XIXe siècle. Je peux dire qu'à part les rares moments passés à bord de vaisseaux spatiaux, je ne me suis jamais senti dans le futur, car ni les descriptions ni le mode de vie ne suggèrent le futur.

Enfin, s'il évoque plusieurs thèmes, Peter Hamilton n'en explore pas vraiment les implications. Par exemple, sur le thème de l'immortalité acquise par le transfert de conscience vers un nouveau corps, Richard Morgan va beaucoup plus loin dans sa série de romans sur Takeshi Kovacs en proposant des intrigues plus intéressantes et mieux construites qui montrent bien les répercussions d'une telle découverte sur le fonctionnement de la société. Peter Hamilton de son côté reste à la surface du sujet en n'en montrant que les aspects les plus évidents.

Pour finir sur une note néanmoins positive, je dirais que la seule chose que j'ai trouvé réussie dans ce roman c'est la description de la forme de vie extraterrestre et de son histoire. Elle a une particularité à laquelle j'avais déjà songé et qui sort des sentiers battus. Mais je n'ai pas écrit de roman tandis que Peter Hamilton l'a fait, et sur cette partie-là, je trouve qu'il s'est montré convaincant, aussi, pour cela, je lui rends l'honneur qui lui est dû.

En somme, si vous aimez lire de la SF pour les idées nouvelles qu'elle véhicule, il y a trop peu à lire dans ce trop long récit. Rien que parmi les compatriotes d'Hamilton, de nombreux auteurs sont beaucoup plus intéressants : Alastair Reynolds, Iain Banks, Richard Morgan, ou Stephen Baxter. Si vous aimez l'action minutieusement écrite (particulièrement les scènes militaires) et que vous être peu sensible au style, ce livre pourrait vous plaire.
Profile Image for Emiliya Bozhilova.
1,905 reviews377 followers
May 22, 2021
DNF
Колкото и да я мъча, по-хубава за мен няма да стане.
Добри технологични идеи, но мъчително скучно описани.
Profile Image for Jasen.
62 reviews
December 17, 2022
Много ми допадна надявам се и другите части да са така силни.
Profile Image for Guillaume.
486 reviews3 followers
March 30, 2013
J'ai voulu commencer la trilogie du vide, ce ce même auteur, et il y avait suffisamment de référence à Pandore pour que je cela me fasse un prétexte de relire cette duologie ( en anglais), même si c'était sans doute non nécessaire.

Cette courte série (pas en nombre de pages) se déroule donc au milieu du troisième millénaire . La technologie des portails, qui permet un déplacement instantané entre deux points, a permis la création de gares interstellaires permettant à l'humanité de s'établir sur des dizaines de planètes, rencontrant quelques races extraterrestres et mystères cosmiques, et procurant une richesse incommensurable à une poignées de grandes familles. Cependant, on n'est pas dans du cyberpunk, et le reste de l'humanité ne va pas trop mal, en travaillant sur plusieurs décennies, tout le monde peut se payer une régénération et repartir à 20 ans, et une mort accidentelle du moment qu'on a pas oublié de tenir à jour sa sauvegarde d'implant mémoriel. Cependant, quand un astronome de seconde zone découvre que deux étoiles se sont retrouvés en quelques instants encercles dans un champs de forme gigantesque(de la taille d'un système solaire), la civilisation toute puissante du Commonwealth se retrouve face à une inconnue, que des terroristes illuminés affirment être l'étape finale du plan d'une entité extraterrestre pour asservir l'humanité.

Peter Hamilton fait du new Space opéra, des récits d'aventures galactiques mâtinés de hard science et de transhumanisme (bien que ce dernier point soit plus un décor de fond qu'un élément majeur de l'intrigue). Personnellement, j'aime beaucoup, et je pense qu'une bonne partie de mon attrait et de mon plaisir de lecteur tient pas mal à mes souvenirs des fulgurs(Lensman en anglais) d'E.E. "Doc" Smith, quand j'étais adolescent : j y retrouve les mêmes décors grandiose, enjeux majeurs, et énigmes cosmiques, mais avec des éléments de sciences, cultures, et de sociétés plus "réalistes" et plus proches de nos conceptions actuelles que les œuvres de Smith ou Hamilton(Edmond) des années 40 (et nettement moins manichéen et basé sur un surhomme : je te regarde Kimball Kinninson).
Sorti de ce thème, c'est un roman à la Hamilton : dense, pleins de personnages et de situations, qui finissent par donner un tout a peu prés cohérent : la longue séance de sport aérien du premier volume trouve son miroir dans le dernier volume, ou c'est l'un des points d'orgue d'une longue poursuite qui occupe au final tout le livre. Mark Vernon, peut-être le personnage le plus normal de la série (ni super-riche, ni modelé par une société pratiquant un certain eugénisme comportemental, ni terroriste multi-centenaire..) dont on a un peu de mal a voir l’intérêt de ses passages finira par jouer un rôle important en tant que témoin, puis acteur.
Cependant, le long voyage (la Quête ?) d'Ozzie a travers des chemins mystiques et des paysages improbables jure un peu trop à mon goût avec le reste des livres. Le roadtrip jure un peu comparé aux enquêtes sur des conspirations plus que millénaires, guerres galactiques, et extraterrestres drogués aux sentiments humains qui occupent le reste des livres.

Au final, c'est une grande saga, pleine de mystères et de fracas, avec la côté toujours appréciable que tout (ou presque)se résoudra et sera expliqué. Bref, tout ce que j'aime chez Hamilton.
Profile Image for Andrea.
66 reviews8 followers
March 5, 2025
Corale e intricato preambolo ad una storia epica con una miriade di sottotrame, alcune con elementi da romanzo giallo. La razza umana, che grazie alla tecnologia dei wormhole ha dilagato nella galassia ed è diventata una civiltà stabile e prospera, già in contatto con varie razze aliene, si trova di fronte a un mistero che minaccia la sua stessa esistenza: una coppia di stelle è improvvisamente sparita nel nulla, probabilmente nascosta da un'immensa Sfera di Dyson. Una missione viene predisposta al fine di indagare sull'accaduto.
Mi ha impressionato la capacità di questo scrittore di adattarsi a ogni diversa ambientazione (saga spaziale, detective story, thriller politico, primo contatto, etc.) e alle diverse scale dei numerosi archi narrativi, nonché la ricchezza dello stile. Non è però un vero e proprio voltapagina e, nel saltare da un wormhole all'altro, da un POV all'altro, si fa fatica a tenere il filo, ma continuerò. Prima parte di un'imponente duologia, divisa per l'edizione italiana in quattro volumi.
Profile Image for Martta.
105 reviews11 followers
March 12, 2018
Sept cents pages à peu près et puis ça se termine par un cliff-hanger. Je n'ai aucune idée quelle est la signification, quel est le sens d'au moins un tiers du livre. Peut-être il deviendrait clair dans les autres tomes pourquoi j'ai lu tout ce que j'ai lu.

Je ne vais toutefois pas essayer de les trouver. Je pense que je peux très bien me passer de Hamilton. Ouais, ses livres sont bien intéressants mais légèrement sexistes.
De plus, des douzaines de pages sont consacrées au renseignement sur le fonctionnement de l'univers de l'histoire (j'aime bien ça, mais...), y compris sur le rajeunissement et la modification esthétique des corps, mais aucun mot sur ce que ces technologies si largement répandues et acceptées pourraient signifier pour les transgenres. Pour moi, c'est quand même quelque chose dont il vaut bien la peine d'explorer les implications.
144 reviews8 followers
August 20, 2017
Gwiazda Pandory nie jest typową space operą. Autor od samego początku bardzo dużo uwagi poświęca przedstawieniu czytelnikowi swojej wizji przyszłości naszego gatunku. A jest to wizja trzeba przyznać dość optymistyczna - dzięki odmładzaniu oraz wszczepom pamięci połączonym z klonowaniem ludzie osiągnęli coś w rodzaju nieśmiertelności,
dzięki wynalezieniu tuneli czasoprzestrzennych kolonizują kolejne światy, na których powstają bardzo zróżnicowane społeczeństwa. Dzięki doświadczeniom wynikającym z długowieczności oraz nieograniczonej możliwości ekspansji osiągnięto stan względnego pokoju i dobrobytu.

Nie będę się odnosił do samej fabuły gdyż ze względu na jej specyfikę bardzo łatwo byłoby o spoilery, powiem tylko, że przedstawiona historia stoi na naprawdę wysokim poziomie. Z początku można się poczuć trochę zagubionym przez ilość postaci oraz bardzo różnorodnych wątków (są intrygi polityczne, gospodarcze, wątki detektywistyczne, obyczajowe i społeczne), które z początku wydają się nie mieć wiele wspólnego z motywem przewodnim. Jednak z upływem czasu wszystko zaczyna się zazębiać i powoli układać w spójną całość, a napięcie wzrasta z każdą przeczytaną stroną, powodując, że od książki nie można się oderwać.

Po skończeniu lektury muszę przyznać, że powieść Hamiltona skłoniła mnie do pewnych refleksji i na pewno długo pozostanie w mojej pamięci.
Profile Image for Gilles.
322 reviews3 followers
April 13, 2021
Pandore abusée, premier tome de l'étoile de Pandore.

Un astronome s'aperçoit qu'une barrière vient d'enclore une étoile en quelques minutes. Quelques jours plus tard, c'est le tour d'une seconde étoile, voisine de la première, d'être enclose de la même façon. Premièrement, cela démontre une technologie extrêmement avancée, ainsi que des inquiétudes. Il existe deux possibilités : soit les habitants de ces étoiles ont élevé ces barrières pour se protéger d'une menace extérieure, soit, au contraire, les habitants des étoiles constituent une menace pour une autre civilisation qui les a isolés pour s'en protéger. Dans les deux cas, cela peut constituer une menace pour le Commonwealth, une regroupement de centaines de systèmes solaires, reliés par des trous de vers. On prépare donc en hâte une vaisseau pour aller voir de quoi il en retourne.

Cette prémisse constitue la carotte au bout du bâton pour nous appâter. Mais après, que de remplissage ! 1 400 pages pour les deux tomes, avec quelques intrigues secondaires, dont une enquête policière peu convaincante et un genre de voyage à demi initiatique à travers plusieurs mondes. Sans compter que la technologie ressemble souvent à de la pensée magique et que les passages, dans les mondes des Silfens, est plus une caractéristique de romans de Fantasy.

Donc déçu, je m'attendais à beaucoup mieux avec la note de ces romans.

J'ai aimé, mais sans plus.
Profile Image for Elo .
665 reviews59 followers
November 22, 2017
I have to admit something: I bought this book at a book fair years and years ago only because Peter Hamilton was alone at this table, looking a bit like a sad mad scientist/clown with a multicolor rainbow stripes sleeveless jacket. Yeah back then I was not really into reading sci-fi but I had to buy a book from that nice looking guy ahah.
Profile Image for Joëlle (Imnotareader).
315 reviews30 followers
January 5, 2024
31% - DNF
Ce livre n’est tout simplement pas fait pour moi. Je trouve ça super long et lent 😅 et je n’aime pas vraiment ce que je lis donc j’arrête. Je ne suis pas emballée par l’histoire ni par le style d’écriture. Tant pis 🤷🏻‍♀️.
Apprendre à lâcher les livres que je n’aime pas c’est un de mes objectifs de 2024 (merci Emily Fox ❤️ pour m’avoir fait comprendre ceci ahah).
Profile Image for Mademoiselle Cup Of Tea.
426 reviews17 followers
July 13, 2024
Je n’ai que peu à en dire … c’est intéressant si on arrive à rester accroché, mais sinon on perd vite l’intérêt ! Surtout que les romans on tous l’air d’être des grosses briques, j’avoue que je me suis découragée, je ne lirais pas les autres tomes.

Ma chronique : https://mellecupofteabouquine.wordpre...
Profile Image for John.
67 reviews
March 19, 2023
Awesome! Hamilton out did himself on this one...
Profile Image for Nicolas.
1,395 reviews77 followers
May 24, 2012
Je croyais avoir définitivement réussi à banir Peter Hamilton de mes étagères. Pourtant, il n'y a pas si longtemps, je me suis dit que cette étoile de Pandore n'était bonne qu'à me pousser à utiliser le seul mal qui n'en soit jamais sorti : l'espérance.
Tout ça pour dire que j'ai replongé sans hésiter dans les pavés de cet auteur qui ne fait pas le haïku.
Donc ce roman commence avec un ensemble de planètes (environ 300) colonisées par une humanité assagie grâce à l'utilisation d'implants mémoriels permettant de voir l'esprit survivre à la mort du corps et, surtout, grâce à des techniques de rajeunissement performantes permettant censément l'immortalité pour tous.
Dans cet univers appaisé, il y a cependant quelques obstacles : d'abord les gradiens de l'individualité, une espèce de bande de dangereux illuminés luttant contre un enemi mystique, ensuite une étoile mystérieusement disparue du ciel, qu va provoquer la construction et le lancement du premier vaisseau depuis la découverte des trous de vers, qui sont eux à l'origine de la colonisation de ces planètes.

Ce premier tome n'est qu'une introduction à une de ces fresques dont Hamilton a le secret. Pourtant, on est très loin de l'esprit de Genèse par exemple : grâce à cette quasi-immortalité, l'humanité est plus vieille, et donc appaisée de ses conflits de jeunesse. Du coup, ce commonwealth de l'espace est parfois bien pantouflard, avec ses mondes de plusieurs millions d'âmes ne comptant qu'un meurtre par an (en dehors, bien sûr, des attentats terroristes des gardiens de l'individualité). Et puis même les extra-terrestres présents dans ce commonwealth sont plutôt gentillets (comme les silfens). Ce qui n'empêche évidement pas l'auteur de nous alimenter en scènes extrêmement spectaculaires, que ce soit par leur intensité "naturelle" (comme ce vol en planeur sur un monde encore plus spectaculaire que mars et ses volcans) ou par leur intensité combative (comme l'attaque par les vengeurs).
Ce qui donne au final, et pour un premier tome d'une tétralogie, un panoramana extrêmement vivant de ce commonwealth, qui m'a tout à fait donné envie d'aller plus loin dans cette saga. ce qui est curieux, c'est que j'ai justement été intéressé par ce roman car il semble accorder moins d'importance au récit principal et plus d'importance au voyage dans cet univers. Pour en rajouter une couche, je drais même que c'est son côté très Vance qui m'a plu : l'auteur nous décrit un univers riche en couleur, en traitant son intrigue principale d'une manière assez légère (même si je me doute bien que ce ne sera pas le cas dans les tomes suivants) pour favoriser une vision complète de cet univers.
Ce qui fait donc un très bon premier tome, me donnant à espérer une suite à la fois copieuse et riche en rebondissements (je fais confiance pour ça au côté bon faiseur de Peter Hamilton).
33 reviews
March 5, 2017
Un livre un peu long à démarrer (la mise en place de l'univers, des personnages et de l'intrigue prend du temps) mais qui se révèle être un bon space-opera, très fourni mais inégal. Le style est assez simple et parfois un peu verbeux ce qui rend certains passages moins attractifs que d'autres. Heureusement l'univers est riche, cohérent, et il y a quelques bonnes idées. N'y cherchez pas de la hard-SF non plus, l'auteur n'hésite pas à se laisser aller à son imagination ! La fin laisse donne envie de lire la suite. Contrat rempli !
Profile Image for Sunsy.
1,887 reviews28 followers
February 2, 2014
Der erste Teil der Commonwealth-Saga von Peter F. Hamilton hat mir mit Oliver Siebeck als Sprecher gut gefallen. Ein wenig schwierig, hinein zu finden, wenn man das Buch nicht kennt, aber mit der Zeit wurde es mehr als interessant. Das Buch hat seine Längen, immerhin werden über 23 Stunden vorgelesen, und der Leser wird mit einem offenen Ende zurück gelassen. Grund den nächsten Teil zu laden.

Ich gebe 07/10 Punkte. Meine Rezension könnt ihr hier nachlesen: http://sunsys-blog.blogspot.de/2014/0... .
Profile Image for Lutin82.
44 reviews14 followers
February 22, 2018
Pandore Abusée possède la saveur d’une introduction – surtout dans sa première partie – à un récit palpitant aux dimensions impressionnantes. La richesse déployée et la complexité apparente peuvent freiner plus d’un lecteur, mais une fois, le pas franchi, la lecture s’avère addictive et passionnante.

Le monde est cohérent, vaste et riche à l’image d’une intrigue qui fonctionne au diapason. Les personnages mémorables et nombreux animent cette fresque spatiale qui ne demande qu’à être découverte.
Profile Image for Ettore.bilbo.
301 reviews5 followers
August 24, 2024
Letto anni fa in inglese. Aspettavo con impazienza la traduzione perché merita.

È solo la prima parte del primo romanzo per cui letto da solo può sembrare inconcludente, ma getta le basi per alcune tra le vicende e i personaggi più iconici della space opera recente. Su tutti Ozzie Isaacs e i sentieri dei Silfen...

Profile Image for Arnaud.
65 reviews1 follower
Read
May 24, 2012
First opus a little slow, but he had a lot of things to present and set in place. Still interrested at the time being, we will see with the second opus
Displaying 1 - 20 of 20 reviews

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