Il était temps de devenir propriétaires. Soucieux de notre empreinte environnementale, nous voulions une construction peu énergivore, bâtie en matériaux durables. Aux confins de la ville se tramaient des écoquartiers. Notre choix s'est porté sur une petite commune en plein essor. Nous étions sûrs de réaliser un bon investissement. Plusieurs mois avant de déménager, nous avons mesuré nos meubles, découpé des bouts de papier pour les représenter à l'échelle. Sur la table de la cuisine, nous déroulions les plans des architectes, et nous jouions à déplacer la bibliothèque, le canapé, à la recherche des emplacements les plus astucieux. Nous étions impatients de vivre enfin chez nous. Et peut-être aurions-nous réalisé notre rêve si, une semaine après notre installation, les Lecoq n'avaient emménagé de l'autre côté du mur.
i mean c'était chouettement écrit très correct etc. un peu trop on the nose pour que ça soit pas, malheureusement, un peu oubliable, je veux dire oui on a compris etc. critique des petits bourgeois omg incroyable révolutionnaire le confort propriétaire la mesquinerie entre voisins la tyrannie des apparences et la fragilité de nos masques sociaux... le livre a vraiment écrit SOCIETER en énorme à chaque page et genre that's nice and all but will i remember it tho don't think so
"Propriété privée " de Julia Deck (173p) Ed. de Minuit
Bonjour les fous de lectures...
En voilà une lecture machiavélique !!!
Lassé de la vie parisienne, un couple de quinquas s'installe en grande banlieue, dans un tout nouveau quartier résidentiel dénommé " éco-quartier". Très vite ils vont se rendre compte que la vie avec le voisinage est bien plus complexe que prévu. La relation avec leurs voisins mitoyens tourne vite à l'aigre. De son côté, ce couple de parisiens révèle de bien étranges failles.
Julia Deck n'en est pas à son coup d'essai. Nous rencontrons ici une plume caustique, un humour proche de l'humour noir.
L'écriture, directe, offre cependant des fenêtres à choix multiple qui ont l'art de désarçonner le lecteur.
On s'égare entre omission volontaire de certains détails, on s'engage sur de fausses pistes et une fois le livre refermé, on en est toujours à se demander si la fin comprise est bien celle voulue par l'autrice!!!
Serait-ce diabolique ou est-ce que cela fini en eau de boudin ? Je suis bien en peine de me faire une idée précise .. Ais-je adoré ou suis-je restée sur ma faim?
Fijn boek over hoe irritaties oplopen in een ecowijk bij Parijs. Intrigerend geschreven, alsof je zelf ook buurtgenoot bent, maar de hoeveelheid personages gaan toch wat duizelen.
(read in french) part of the french rentrée 2019 a short book about the horrors which can arrive when the dream of owning a house in a green suburb finally become reality.
3,5/5 Para no ser mi estilo me ha gustado mucho. Desde el comienzo me ha tenido muy espectante y tiene muchísimas lecturas. Para mí el problema ha sido el final.
Ah, le rêve du pavillon de banlieue au milieu d’une nature verdoyante, avec sa promesse d’habitat passif….
C’est ce dont rêve ce couple de cinquantenaire parisien dont le mari est gravement dépressif. Et lorsqu’une opportunité s’offre à eux, après moult calculs, ils se lancent dans l’aventure.
Et quelle aventure ! Car habiter un pavillon, c’est également avoir affaire aux voisins, ce que le couple avait oublié dans l’équation. Et certains voisins sont pour le moins dérangeants.
Ce texte est fort riche : d’abord par le style en focalisation interne (c’est la femme qui s’adresse à son mari à postériori). On aime, ou pas, mais ici, c’est fluide et bien trouvé.
Car nous n’aurons que le point de vue de cette parisienne stressée quand quelque chose déborde sur sa pelouse.
J’ai aimé que ces conflits de voisinage se corsent avec la disparition de la voisine aguichante, et le doute que l’auteure instille : la femme protège-t-elle son mari ?
J’ai aimé les couples voisins, tous un peu caricaturaux mais sans excès.
Tout est toujours suggéré, car nous n’avons que la version de la narratrice, forcément déformée.
Et puis les soucis des nouveaux bâtiments, notamment le chauffage révolutionnaire qui ne fonctionne pas.
Que de problèmes !
Un roman dévoré qui dissuaderai d’acheter les plus convaincus des couples.
L’image que je retiendrai :
Celle du chat et du chien des voisins bruyants qui disparaissent tour à tour.
Incapable d'exprimer un avis précis et détaillé sur ce bouquin. Ambiance glauque et oppressante (grande grande réussite), impression de malaise intense une fois le livre refermé. Une lecture presque éprouvante, une plongée dans ces quartiers où tout est beau de l'extérieur, et où le plus laid est dissimulé.
iban a ser 5 estrellas pero al final me dejó un poco insatisfecha. no pido que lo den todo masticado pero siento que algo me perdí o no entendí. de resto, me encantó, es peculiar. lucía, voy a tener que prestártelo para que lo leas y tener tu opinión !!!!
Leest als een trein dit boek. Heerlijk om te lezen. Julia Deck neemt je mee op een wervelende trip vol onverwachte wendingen waardoor je af en toe eens wat uitroept 🤭
Wenn wir im Leben viele falsche Abzweige nehmen, müssen wir ab einem bestimmten Punkt immer weiter machen. Nützt ja nix. Schwüler französischer Gesellschaftsroman, der uns daran erinnert, dass alles scheisse ist, obwohl alles gut sein könnte.
Divertido no me ha parecido, pero negro e incómodo, bastante. No consigues empatizar con nadie, mucho menos con la narradora y un marido que parece aquejado de alguna enfermedad mental y que no da palo al agua pero es mariperfecto. Pero te vas metiendo en esa historia donde ningún vecino parece estar libre de pecado y cuando te quieres dar cuenta llegas a ese final ¿imprevisto? y no has podido parar de leer.
Dit boek laat zich lastig kwalificeren. Is het nu een pastiche op goedverdienende stadsbewoners in een ecowijkje, toch meer een detective of een boek over buurtterreur? Deck speelt met je verwachtingen. Dat begint al in de eerste zin met het zinspelen op een moord op een kat. Natuurlijk is er een hele rij inwisselbare buurtbewoners die je allemaal kunt verdenken, inclusief het idee dat de misdaad niet heeft plaatsgevonden. Ook kleine hints als dat het raar ruikt, vat je daardoor serieus op. Maar bij een detective wordt aan het einde de puzzel gelegd en dat gebeurt niet. Hoe zit het nu precies en wat heb ik gemist? denk je dan.
Maar ook de vele kleine maatschappelijke speldenprikjes geven te denken. Gasloze woningen met een oplossing die niet werkt en waarover de buurt maar blijft discussiëren, terwijl de vooroordelen over werklui om je oren vliegen. Ze maken het grappig. Soms heb je daarvoor wel flink wat Franse achtergrondkennis nodig. Zoals de buurvrouw die geheel tegen iedere verwachting regelmatig zegt op Mélenchon te hebben gestemd. Deze begreep ik, maar ik heb vast wel wat gemist.
En dan hebben we het nog niet over de bijzondere stijl. De ik is een vrouw, pas laat blijkt dat ze Eva Carahec heet, die in de jij-vorm het verhaal aan haar zwaar depressieve man lijkt te vertellen. Hoe betrouwbaar is deze verteller? Hoe toevallig zijn allerlei dingen die buren horen of zien?
En hoe zit het eigenlijk met de typografie in dit boek? Sommige letters s krijgen een extra boogje. Waarom? Kortom, een novelle die snel wegleest, maar me met veel vragen achterliet. Intrigerend en ook wel een beetje frustrerend.
Proprietà privata di Julia Deck (Prehistorica editore) è una lettura cinica e ferocemente divertente. Ho letto l’ultimo romanzo di Julia Deck in una manciata di giorni e l’ho fatto con un misto di malinconia… perché quella è stata l’ultima volta in cui ho letto un romanzo di Prehistorica da dietro le quinte. La chiusura di un cerchio, basti pensare che il primo testo di cui mi sono occupata come ufficio stampa è stato proprio Sigma di Deck.
Mettendo da parte però la commozione veniamo a Proprietà privata, un romanzo spassoso, crudele da divorare in compagnia di un buon calice di vino. Eva e Charles sono due protagonisti decisamente atipici. Hanno scelto di abitare in un ecoquartiere ma non hanno i conti con i propri vicini: RECENSIONE COMPLETA: https://www.lalettricecontrocorrente....
Une satire sociale un peu déjantée sur l'enfer du voisinage. Ça se passe dans un nouveau lotissement écologique à l'abri de la grande ville mais pas des cancans. Les Caradec, elle est urbaniste; lui, dépressif-compulsif en congé maladie, déchantent quand Annabelle Lecoq, son micro-short et son mari, Arnaud s'installent avec leur chat, dans la maison mitoyenne de la leur. 4 autres familles s'ajoutent. La proximité invite à l'espionnage, à l'adultère, aux médisances... jusqu'au meurtre. Facile à lire, ça a des allures de thriller domestique mené par des personnages tous plus névrosés les uns que les autres, mais l'intrigue ne se dénoue pas vraiment...
Un roman qui se lit vite...le reve de la propriété privée qui tourne au cauchemar....un peu de suspense, un humour un peu grinçant.. Dommage que la fin ne réponde pas tout à fait à toutes nos questions!
Proprietà privata è un libro del 2019 di Julia Deck che è stato portato in Italia quest’anno grazie a Prehistorica Editore.
Apprezzato dalla critica per lo stile particolare - la narrazione è in seconda persona e si rivolge a un personaggio coinvolto all’interno del testo - e per la sua satira, è un libro arguto e piacevole che dà la possibilità al lettore di leggerlo con la profondità che desidera.
L’incipit
Uccidere il gatto sarebbe stato un errore, in generale e in particolare. L’ho pensato quando mi hai spiegato cosa intendevi fare del cadavere. Era aprile, ci eravamo trasferiti da sei mesi. Le case appena costruite risplendevano sotto il sole umido di rugiada, i pannelli solari scintillavano sui tetti e il prato cresceva fitto ai due lati della nostra strada chiusa.
Proprietà privata è un romanzo diverso dagli altri e, per capirlo, basta leggere l’incipit del libro.
Lo stile del libro, seppur semplice e incisivo, si contraddistingue per l’utilizzo della seconda persona. La narratrice, che corrisponde alla protagonista del romanzo, si rivolge al proprio marito, riportandogli gli accadimenti degli ultimi mesi, per riuscire a fare un punto della situazione di ciò che è successo e di come tutto possa essere degenerato fino al punto in cui ha deciso di scrivergli.
L’immagine dell’uccisione del gatto ha una doppia funzione:
- catalizza immediatamente l’attenzione del lettore con un’azione (in fieri) che colpisce subito con forza all’emotività di chi legge e lo porta subito a chiedersi se il gatto sia stato effettivamente ucciso o no. - caratterizza sin da subito i personaggi mostrandoceli come persone non buone. Lui perché parla di uccidere un gatto lei perché ammette da subito di non trovarla una giusta scelta per motivazioni pratiche e non emotive.
Roman cynique, (presque) jubilatoire sur la vie d’un couple nouvellement propriétaire au sein d’un éco-quartier. Sous des airs de faux polar absurde, Julia Deck nous questionne avec humour sur les hypocrisies et incohérences du nouvel urbanisme vendu à une nouvelles classe moyenne, se moque avec acuité des relations de voisinage et porte un regard sans concession sur la vie de couple. Écriture jouissive et drôle, aux pointes de poésie qui donne une tout très réussi.
« Soudain, je n’en pouvais plus de cette banlieue verdoyante où l’on suffoquait. J’avais besoin de voir la ville, des tours fuyant vers le ciel, des immeubles massifs aux fénêtres impénétrables »
« D’ici à quelques années, tu serais devenu l’épais mari au t-shirt troué, engoncé dans son pliant et poussant des rires gras tandis que je me changerais en harpie, rouspétant sans fin après les tropismes si prédictibles des mâles »
« Les images de l’après-midi me revenaient en rafales, visions d’un corps que je n’aurais jamais dû voir nu, souvenirs entrechoqués d’étreintes contre-nature et du plaisir violent qu’elles avaient procuré, sans qu’il n’y ait jamais eu, entre lui et moi, la moindre tendresse, la moindre compassion, la moindre velléité de faire croire à l’autre qu’il comptait pour quoi que ce soit »
« Je regardais le bleu fixe au-dessus de moi, strié de vapeurs d’avion »
« Les grands arbres qui protégeaient les morts brunissaient. Leurs feuilles se détachaient pour caresser les tombes, balayer les vitres où les pluies intermittentes laissaient de longues larmes »
Ik heb het een paar keer geverifieerd, maar nee, het is niet mijn naam die als auteur op de kaft van het boek vermeld staat. Waarschijnlijk is mijn Frans niet goed genoeg of gewoon mijn schrijfkunst in het algemeen, waardoor Julia Deck de auteur is geworden van deze roman. Dat zal het zijn. Dat moet wel.
Het sleutelwoord is herkenbaarheid, waar ik verder beter niet op inga, kwestie van plausible deniability. Wij zijn overigens verzot op onze buurtkat, Charlotte, die wij Pixie gedoopt hebben.
Dit boek is typisch Frans. Een helemaal omzwachtelde thriller (maar bon, het is geen thriller, of ja toch, enfin...), boordevol mooie woorden om de lelijkste dingen te beschrijven, en boordevol maatschappijkritiek o.m. tegen de gentrificatie en daarbij horende hypocrisie. “Ne voyait-on pas, à leurs demeures bien tenues, à leurs panneaux solaires, à leur compost, qu'ils pratiquaient la non-violence ?”
Ik had alle vijf voeten een WTF moment; WTF doet ze nu; WTF lees ik toch; WTF WTF WTF. WTF. WTF. Als het nog niet duidelijk was: ik heb ge-no-ten van dit boek. En ik kijk er al naar uit om in Monument National te beginnen.
Une intrigue pas trop intriguant au début, je ne savais pas trop de l’écrivaine donc je ne savais pas à croire m’attendre . En premier lieux on pense qu’il s’agit d’une histoire émotionnelle et mentale si cela fait sense. Je me demande qu’est-ce qui ne vas pas dans leur têtes parlant des protagonistes et au moment où vous l’attendez le moins l’histoire change de cours, et cela j’adore . J’adore les surprises et encore plus ce livre est le premier livre français que j’ai lu en 6 ans . Je dois définitivement le relire. C’est une page tournante, facile à suivre et à lire même s’il me laisse incomplète à la fin. Je ne suis pa sure que je comprends exactement ce qui s’est passé dans les moindres détails, ce qui va se passer ou pas. Peut-être est-ce le but de l’auteur .. fait accompli ... voilà ça vaut le coup de lire ce roman.
A me è venuto in mente Le Catilinaire di Amélie Nothomb, che ho letto secoli fa e ammetto di non ricordare benissimo. Mi ricordo però la premessa: coppia di sposini che va nella casa nuova e fa conoscenza di vicini rompiscatole, escalation, esplosione, e toni al limite del grottesco. Anche in questo romanzo di Julia Deck le cose si fanno ben presto strambe ma la cosa intrigante è che tutto è narrato in prima persona dalla moglie che racconta la sua storia al marito, le vicende, i personaggi, ogni cosa è filtrata attraverso il suo sguardo e noi non sappiamo mai quanto ci sia di vero e quanto sia frutto della mente non proprio a segno della protagonista. Il romanzo vola, anche perchè è costruito come un thriller, un vero e proprio page turner, insomma, perchè tu vuoi sapere chi diavolo ha fatto fuori il gatto: si ride per l'assurdità di certe situazioni e rispetto a Sigma, l'altro romanzo di Julia Deck pubblicato sempre da Prehistorica - spy story originale e spassosissima che così al volo vi consiglio di recuperare - Proprietà privata è decisamente più inquietante. A questo punto leggeteli tutti e due, così non sbagliate.
Que m'en reste-t-il un mois plus tard ? L'opération de mise à distance fonctionne (le texte écrit à la 2e ps du sg) mais a pour conséquence logique de ne pas créer d'investissement affectif chez la lectrice. C'est un regard froid d’entomologiste qui est posé sur les personnages, dont aucun n'éveille la sympathie. On nous présente plutôt des types que des personnes. La dimension satirique de l'ouvrage est un peu asséchante. Un peu comme le titre : le type de langage froid et impersonnel que l’on retrouve sur les panneaux qui nous interdisent l’entrée d’un lieu Quel est l'intérêt des passages consacrés à la profession de la narratrice ?
Un livre dans un entre-deux : on n'investit pas vraiment l'intrigue policière, on ne va pas très loin dans la perspective sociologique...
Julia Deck (*1974) beschreibt lakonisch-bösartig die Vorort-Hölle in einer Pariser Reihenhaus-Siedlung, inklusive "Solarmodulen und Kompostbecken" und Wüsteneien entlang der Ausfallstraßen. Die Nachbarn sind scheißfreundlich, plaudern über "Komposthaufen oder Flohmärkte", aber sie belauern sich und werden beiläufig läufig und übergriffig. Das letzte Drittel ist weitgehend ein Kriminalfall, dessen Wendungen ich nicht ganz verstanden habe. Auch die Übersetzung überzeugt mich nicht, etwa beim Wort "Städtebauplanungsbüro" – redet so eine Architektin? Was sind "Systemscheiterer"? Überzeugen "brachliegende Baulücke" oder "stratosphärische Abwesenheit von Originalität"? Mich nicht. Profikritiker lobten die Übersetzung.
Il romanzo è breve e molto veloce, l'ho letto in un sorso. Gioca sui quei sentimenti di sospetto, invidia e cinismo che animano le dinamiche delle vite borghesi tra vicini. Anche se a livello di sviluppo della trama poteva essere fatto di più, la lettura è appassionante e la scrittura trascina. Fa sorgere e stuzzica nel lettore quel gusto per il gossip e per lo spettacolo della disgrazia altrui di cui spesso ci si vergogna, ma che è difficile tenere completamente lontano da noi. Mi è piaciuto il suo criticare e prendere apertamente in giro la tendenza (tipica del mercato immobiliare) a fare dell'ecologia e delle tematiche ambientali merce di scambio, utile a far soldi al pari di ogni altro valore.
Un court roman, mi satire sociale mi polar. Première partie assez convenue sur les bobos écolos et les « joies » du voisinage en lotissement. Puis ça se transforme en une histoire un peu grand-guignolesque de chat trucidé et de femme disparue. La conclusion ne conclue rien et on ne connaît en fin de compte pas le fin mot de l’histoire, la morale du livre semblant être : ne devenez pas propriétaire en banlieue, restez locataire à Paris :) Bon, ça se lit vite mais on peut s’en dispenser !