El escritor Tom Spencer, su mujer Olivia, famosa presentadora de televisión, y sus tres hijos huyen del estrés de Nueva York para instalarse en Mahingan Falls, un pueblo de Nueva Inglaterra, refugio de paz. O eso creían.
Poco a poco se suceden extraños incidentes: Zoey, el bebé de la familia, no para de llorar; los animales parecen enloquecer; hay desapariciones y muertes inexplicables; una bandada de murciélagos cubre el cielo y luego muere en masa; las llamadas telefónicas se interrumpen por gritos, y algo aterrador se percibe en el bosque.
El joven policía Ethan Cobb debe enfrentarse a esta situación sin precedentes, y el propio Tom le acompañará en la búsqueda escalofriante y frenética de la verdad.
«Una intriga monumental, en páginas y ambición, que ha conquistado a los lectores y a la crítica.»
Enfant discret, Maxime Chattam grandit en région parisienne. Il n'est pas particulièrement brillant à l'école mais se passionne pour le cinéma. À quatorze ans, après avoir regardé le film Stand by Me, il se met à le réécrire en rajoutant des péripéties. Il découvre le livre Le Seigneur des anneaux et les romans de science-fiction de Stephen King notamment. Il suit le cours Simon, devient figurant dans un spectacle de Robert Hossein, et joue dans plusieurs téléfilms. Son premier livre, plein d'humour, s'intitule Le Coma des mortels. Il fait plusieurs petits boulots et reprend ses études de lettres modernes à la fac. Pour se faire connaître du milieu du livre, il entre à la FNAC, mais n'a toujours pas envoyé de manuscrit aux maisons d'édition. Il suit une formation de criminologie pendant un an où il étudie la psychiatrie criminelle, la police technique et scientifique et la médecine légale. Il assiste même à des autopsies et rencontre des spécialistes pour préparer son roman. Toujours libraire, il consacre ses week-ends à son projet de thriller. Il rédige L'Âme du mal en 2001 et l'envoie à trois maisons d'édition. Un soir, Michel Lafon le contacte et lui propose de signer un contrat. In Tenebris sort en mars 2003 alors qu'il est déjà en train d'écrire Maléfices. Cette même année, il achève le troisième opus de la trilogie Maléfices. Il publie en 2005 Le Sang du temps. En tout, Maxime Chattam signe cinq romans et parvient à réaliser son rêve d'enfant.
La verdad, no me apetece seguir perdiendo el tiempo con este libro. No veo aquí más que un flojo sucedáneo de S. King.
La ambientación no es mala, una ciudad en el corazón de Nueva Inglaterra, ficticia, cerca de Salem. Ya sabemos, las brujas. Una familia que se muda desde la gran ciudad a una vieja casa donde empiezan a pasar cosas, el perro se asusta, el niño pequeño llora por las noches. Empiezan a suceder incidentes poco frecuentes en una tranquila ciudad de provincias, desapariciones, muertes violentas, suicidios....... En fin, que esto está más que visto, no me compensa leer 600 páginas de esto, quizá con 18 años me hubiera molado, pero ahora no.
Había leído buenas críticas y era el libro más antiguo de mi lista de pendientes, de la que acaba de salir, de forma no demasiado airosa.......
2,5/5. J’ai tellement de chose à dire sur ce livre... je vais essayer de ne pas m’égarer. Premièrement, Maxime Chattam a longtemps été parmi mes auteurs préférés. Par contre, dans ces plus récents romans, il me perd de plus en plus. Premièrement, ses inspirations sont trop claires, trop évidentes, dans ce livre, n’importe qui qui a lu un peu reconnaitra facilement n’ont pas seulement des allusions ou des clins d’œil (celui a Lovecraft est délicat et bien fait), mais carrément des scènes, des intrigues ou des bouts de livres qui en rappel clairement d’autres. On ne peut s’empêcher de penser à la série Stranger Things, aux romans Cellulaire et Ça de Stephen King. Ces «inspirations» frôle le plagiat par moment et démontre un manque d’originalité et de créativité qui fait très très mal!! Tout comme le fait de copier sa famille pour en faire les personnages principaux du livre, mais bon… De plus, ce roman fait partie de livres check-list (je viens d’inventer ce terme), c’est-à-dire des livres dans lesquels on a l’impression que l’auteur jette des éléments à droite et à gauche dans son histoires pour les enlever de sa check-list alors que ceux-ci n’apportent rien et sont même hors contexte. Avait-on besoin de parler d’agressions sexuelles et du mouvement #metoo dans un livre d’horreur? Non! Maxime Chattam a une tribune médiatique largement assez grande pour dénoncer les agressions sexuels lors d’entrevues, ce n’était pas utile ni nécessaire d’inclure cela dans ce genre de roman! Devait-on insinuer vers la fin qu’un personnage est homosexuel, parce qu’on n’avait pas encore «plugger» l’homosexualité? Je ne crois pas! Vous voyez mon point je pense. Troisièmement, certaines intrigues ou dénouement d’intrigues que je ne révélerai pas pour ne pas vendre la mèche («spoiler») sont trop farfelues ou simplement trop ridicule pour être crédible, tout comme la fin d’ailleurs. J’écoutais un entrevu de Brandon Sanderson récemment dans laquelle il mentionnait qu’un univers fantastique peut être crédible, aussi fou et dément soit-il, tant et aussi longtemps qu’il respecte ses règles et ses propres lois établis. Maxime Chattam ne fait pas cela, les règles semblent évoluer avec le jeu ou tout simplement inventer en cours de lecture/écriture, ce qui m’a fait décrocher. Sinon, car tout n’est pas mauvais quand même, le rythme est bon malgré quelques longueurs, les personnages sont corrects et la mise en place d’une ville fictive (cela implique beaucoup de choses et demeure une épreuve complexe pour un auteur) est très bien fait et sans doute le meilleur point de ce livre. Un roman ambitieux certes, dans lequel l’auteur s’égard par moment à mon avis et qui manque d’originalité. Je crois que Maxime Chattam est un grand auteur de thriller et de roman policier, mais lorsqu’il touche au fantastique les choses se gâtent terriblement. Loin d’être le meilleur livre de cet auteur et malheureusement une grande déception pour moi, car j’avais énormément d’attente!!!
Hacía mucho tiempo que no leía una novela de terror puro. Es una mezcla de los relatos de Pesadillas de R. L. Stine e It de King, pero con criaturas más espeluznantes. . It's been a long time since I read a pure horror novel. It's a mix of Goosebumps by R. L. Stine and It by King, but with creepier creatures.
Es un libro que se lee con facilidad, es entretenido y por momentos terrorífico pero la trama me ha parecido un batiburrillo de ideas ya vistas, no ha terminado de interesarme ningún personaje (a excepción del perro) y creo que el autor alarga innecesariamente una historia que se podría haber contado con menos rodeos y menos páginas.
Ce livre pose une question intéressante : quelle est la limite entre plagiat et hommage ? A partir de quel moment repomper des passages complets sous couvert de l'hommage à des auteurs et à des romans est trop visible pour duper les lecteurs ?
Oui, c'est dur. Mais entre les clins d'oeil (ça se passe en Nouvelle-Angleterre, gros clin d'oeil à Lovecraft. Sans oublier la présence des tentacules et des langages étranges), et les repompages complets de scène (le chapitre de poursuite dans le mais avec l'épouvantail est déjà vu, merci Stephen King), le lecteur commence rapidement à se demander de qui se moque l'auteur. Sans oublier les références à Stranger Thing (jusque dans les saignements de nez, les archétypes des personnages...), et aux années 70/80. Trop c'est trop et on passe l'ouvrage à se demander jusqu'où ira l'auteur. Jusqu'à une conclusion qui, loin de faire peur, est de plus en plus grotesque, avec des ficelles trop visibles. N'oublions pas, pour clore le tout de cette caricature (pas si mal écrite dans le fond et c'est bien dommage), les fins de chapitre tirés par les cheveux en mode "et il sut" mais le lecteur n'en saura plus que trois chapitres plus loin. Ca crée un suspense factice, où le lecteur sent que l'auteur planque des infos pour tenter un suspense artificiel.
Pour finir, n'oublions pas que le roman est censé se passer de nos jours. Oui, mais entre l'absence de téléphone portable et de réseaux sociaux (chez des jeunes de 13 à 16 ans, ils n'en parlent jamais), des ingérences administratives dignes des années 70, et surtout une obscure histoire de "cuvette" qui isolerait le village du reste du monde... Moui. Vaguement crédible pour cette communauté coincée dans les années 80 sauf sur la fin (parce qu'il faut tenter de la justifier, justement cette fin tirée par les cheveux).
Alors où commencent l'hommage et où s'arrête le "repompage de référence pour faire genre c'est nouveau avec une histoire déjà éculée" ? Le mystère reste entier.
Un roman horrifique dans la lignée de Stephen King, qui fait appel à nos peurs primitives et à la hantise de l'au-delà. Le Signal m'a tenue éveillée plusieurs nuits, j'avalais les chapitres et j'avais parfois peur de tourner les pages, par crainte de ce qui pourrait surgir... Si vous souhaitez vous faire peur en lisant un livre, optez pour celui-ci ! Ma chronique : http://unjour-unlivre.fr/2018/12/le-s...
Me ha defraudado bastante, me esperaba una novela más original y no deja de ser más de lo mismo. Esto ya lo escribía S. King en los 80 y bastante mejor. Aún así se lee bien.
Un gros « bouh fais moi peur » sans grand intérêt, qui traîne en longueur, avec des personnages fades et convenus, et une intrigue débile. Toujours très loin de ses premiers bouquins.
Un libro muy entretenido que no te deja un respiro encadenando sucesos que hacen que te lo leas con ganas de saber que es lo que ocurre en Mahingan Falls, por cierto de thriller no tiene nada es un libro de terror paranormal.
Gros coup de coeur! J'ai du mal à lire des thrillers/romans horrifiques depuis quelques années maintenant à cause de la grosse quantité de descriptions et le manque d'action pour certains. Mais là ce ne fut pas le cas du tout. Je ne me suis jamais ennuyée en lisant ce roman; il n'y a jamais de temps mort. Aussi j'ai trouvé l'intrigue absolument géniale! Cela montre la grande imagination de l'auteur et son écriture est très agréable également.
No me ha gustado nada, me ha parecido muy largo. Demasiadas páginas para el contenido, y siempre dando vueltas sobre lo mismo. La acción pasa en las últimas páginas. Un libro de 600 páginas que se podían haber resumido en 100 como mucho. Me ha costado mucho acabarlo.
Empiezas a leer y cada capítulo se cierra de una manera que no puedes esperar a saber cómo sigue. De primeras puede parecer el típico argumento de peli de terror (que aunque lo cataloguen como thriller no lo es) ; familia que deja el ajetreo de la ciudad para irse a un pueblo en teoría idílico, donde comienzan a sucederse extraños sucesos unos tras otro, no hay tregua. Ya el prólogo nos deja KO y no deja de hacerlo en ningún momento; y así me daban las tantas de la madrugada leyendo 😂 Hay un mapa al inicio y no paraba de mirarlo para ver cada localización 😍 La historia se ha superado con las continuas referencias a It en particular y a Stephen King en general (sin ir más lejos nombran Derry en la página 143) y me ha recordado a películas míticas como Amityville (perdón si no se escribe así 😅) y otras del estilo 😱 Muy muy bueno, sus más de 600 páginas ni se notan de lo fluida que es la narración. Si te gusta King estoy segura que lo disfrutarás 😉
❤📖"... los recuerdos del pasado lo perseguían. Y nadie corre más deprisa que sus fantasmas" 📖❤
❤ 📖 ..." el horror tiene el poder de imponerse, de manchar el alma como el vino más oscuro mancha una camisa blanca. El horror es persistente."📖❤
Impresionante!! Me parecía, en algunos momentos, estar leyendo un libro de Stephen King. Muy buenas descripciones de los seres oscuros que atormentan una pequeña localidad. Y, al contrario que en King, los protagonistas no son solo un grupo de niños, sino que en la trama están totalmente implicados los familiares y vecinos de la pandilla. Interesante el hecho que da una explicación lógica (dentro de lo que es una novela de terror) de lo que provoca los acontecimientos.
On se retrouve aujourd’hui avec ce qui sera probablement ma plus plus grosse déception de 2018. J’ai découvert Maxime Chattam en 2005 et j’ai lu à peu près tous ses romans depuis. J’apprécie à la fois ses thrillers et sa plume quand il s’essaie à la littérature fantastique jeunesse dans sa saga Autre Monde. Oui, je suis ce qu’on pourrait appeler une fan, fan de ses écrits. Malheureusement, je suis aussi férue de ceux de Stephen King, et ce depuis mon entrée au collège en 1984, ce qui ne nous rajeunit pas ! C’est là où le bât blesse avec Le signal.
Le dernier roman de Maxime Chattam n’est pas un thriller. C’est une histoire qui se veut à la fois fantastique et horrifique et quand on connaît les références de l’auteur, on se doutait bien qu’il y viendrait tôt ou tard. Une perspective plutôt réjouissante pour moi : une littérature que j’aime, un auteur que j’apprécie, que demander de plus ?
Cela commençait sous les meilleurs augures, avec cette adorable famille venue s’installer dans cette charmante bourgade pour fuir l’agitation de la grande ville. Il y a Tom, le père, qui écrit des pièces de théâtre ; Olivia, la mère, célèbre présentatrice télé qui souhaite revenir aux sources et va se lancer dans la petite radio locale ; Chad et Owen, les deux garçons de treize ans, le second étant en fait un cousin adopté à la mort de ses parents ; et enfin la petite Zoey, encore presque un bébé. Que ceux qui n’ont pas reconnu les parents Chattam se dénoncent ! Pas très original, certes, mais c’est une famille très attachante alors ça fonctionne.
Bien sûr, tout ne va pas se dérouler comme sur des roulettes, vous l’aurez deviné. Le Mal règne sur Mahingan Falls et ne va pas tarder à se manifester. Cela pourrait faire une chouette histoire... D’ailleurs, malgré quelques - de trop nombreuses ? - longueurs, ç’en est une ! Mais quand on lit du Stephen King depuis plus de trente ans, on a du mal à ne pas faire de parallèles. Sous prétexte de clins d’œil, Maxime Chattam nous ressert tout un tas de situations piochées chez King ou même chez d’autres. Certains ont cité Lovecraft ou Masterton, mais les seules références à King m’ont déjà suffisamment fait bondir.
Comment ne pas reconnaître Derry dans Mahingan Falls ? Ou encore le Club des Ratés dans ce groupe d’enfants luttant contre le Mal ? Les champs de maïs et leurs épouvantails, un clown et ses ballons croisés en ville, des voix sinistres qui s’échappent des canalisations, un périple dans les égouts, les enfants-araignées… Et j’en passe. On est bien bien au-delà du clin d’œil ! Je ne comprends pas comment un auteur si talentueux a pu se laisser aller à de tels raccourcis. Cela m’a gâché ma lecture, et ça en a fait une bonne grosse vraie déception ! Avez-vous déjà eu peur en lisant un livre ? Oui, mais pas celui-là ! A peu de choses près, cette histoire, je la connaissais déjà.
Tienes un libro como este en las manos y te preguntas si será tan bueno como lo pintan. La salvación del terror moderno, un soplo de aire fresco al género, te estremece hasta el punto de no poder levantarte a apagar las luces...Todos los calificativos imaginables para este libro de terror han sido pocos y eso condicionará tu opinión al respecto. ¿Es tan bueno como dicen?¿Vale tanto la pena leerlo con esa extensión? Mi respuesta es que sí. Que lo he pasado en grande con sus más de seiscientas páginas. Que he disfrutado de lo lindo en medio del misterio que envuelve el pueblo de Mahingal Falls, de su pasado, de sus secretos, de todo aquello que se oculta bajo los ríos anegados. A lo largo de sus capítulos, cortos y directos, no dejan de ocurrir sucesos sin explicación, algunos de ellos terrorificos, sin dar tiempo al lector de un pequeño descanso. Más de una vez me vi releyendo un pasaje ante lo macabro de la situación o para certificar que lo que había leído era real y no producto de mi ansia. ¿Quiere eso decir que nos encontramos con el libro de terror que todos buscamos? Pues mira, depende. Lovecraft solo hubo uno, y King otro (bueno...su hijo va por buen camino). Lo que narra aquí Maxime Chattam no es nada que no hayas leído antes. Es hijo de su tiempo y por sus páginas desfilan todo tipo de situaciones aterradoras que has leído o visto antes. Pero, ¿no pasa lo mismo cuando lees una novela negra?, ¿acaso las novelas románticas no reciten una y otra vez las mismas estructuras? En esta novela, todos los estándares del terror aparecen sin ningún tipo de pudor y, encima, el autor tiene la valentía de escribir algunos pasajes y situaciones que los autores convencionales no se atreverían ni a insinuar. Y si añadimos unos personajes que, sin ser el paradigma de originalidad, son coherentes y cercanos, pues entonces tienes todos los ingredientes para pasar un buen, mal, rato disfrutando de todo este entramado de atrocidades en el que las fuerzas del mal encuentran una oportunidad para hacer de las suyas. Si eres amante del terror tienes que leer esta novela. No revoluciona el género, pero te hace disfrutar de lo lindo de todo aquello que siempre has amado. Y no le compares. Ningún autor va a llegar a la altura de Poe, Lovecraft o Matheson. Pero...¿acaso no diremos lo mismo dentro de veinte años cuando uno recuerde La señal de Maxime Chattam?
J'ai tellement lu partout que Le Signal était flippant que la petite chochotte que je suis appréhendait de lire ce roman. Au final, je suis rassérénée, j'ai à peine frémi. Pourquoi ? Parce que je n'avais pas l'impression de lire un Maxime Chattam mais un Stephen King et ce dernier, je connais bien son style, j'y suis familière et sais à quoi m'attendre.
Du coup, j'ai du mal à me faire un avis sur l'auteur, sachant que c'est mon premier roman adulte de lui (L'Alliance des Trois ne m'a pas vraiment marquée, trop de ressemblance avec un certain Harry Potter ... Hey ! mais... c'est donc le deuxième livre de Chattam qui m'en rappelle un autre ? )
Mais mon avis sur l'histoire est bon ; exactement comme dans un Stephen King, c'est suffisamment bien décrit et approfondi pour qu'on s'attache aux personnages et qu'on craigne pour leurs vies. Mais j'ai franchement du mal à parler d'autres choses sans citer l'auteur déjà évoqué deux fois ainsi qu'un certain Lovecraft... Je ne me demande pas si j'ai aimé ce roman, oui je l'ai aimé, oui je le recommande. Ce que je me demande, c'est si on se situe dans l'hommage ou dans le plagiat déguisé ? Car comment ne pas penser à Cellulaire ou Ça pour l'un et à un monde intégralement imaginé par l'autre à la lecture de certains noms comme l'asile d'Arkham..? Je vous avoue que de constater qu'il avait emprunté la géographie fictive d'un autre auteur m'a un peu dérangée, voire déçue.
MAIS ça ne l'empêche pas d'être un bon roman ni d'être une très bonne lecture :)
Leer este libro ha sido una experiencia BRUTAL. Y no porque contenga en si mismo ningún elemento novedoso, sino porque alude al miedo más arcaico y clásico, al terror psicológico más atávico, desde la primera frase.
El autor te recomienda al principio, leerlo en la oscuridad y quietud nocturna para que sea más inquietante su lectura, te garantizo que lo será incluso a plena luz del día.
A pesar de ser comparado con King, ni me parece similar en estilo, ni el ambiente que genera es el mismo.
Esta historia no es una historia de personajes, sino de acción pura, de fenómenos paranormales y sangre, de supervivencia y de historia también.
Sus nada desdeñables más de 600 páginas te harán no poder parar de leerlo aunque en más de una ocasión puedas plantear el dejar de hacerlo.
Terror clásico. Terror puro.
Al final, me ha recordado a uno de mis libros favoritos; Alma de Carlos Sisí.
2,5/5 (attention, cette critique peut contenir quelques "spoils") Je pense que le maître mot qui domine après ma lecture de ce roman est "déception". Maxime Chattam est capable de tellement mieux...
La première moitié du roman est très agréable pour les amateurs du genre horrifique fantastique. Certes, on peut rapidement voir les inspirations de l'auteur (ne serait-ce qu'au travers des citations d'entrée), et ce n'est d'ailleurs souvent pas très discret. C'est à peine si on ne peut pas découper l'ensemble du roman selon les différentes références (tiens, ça ressemble à "ça"... tiens, on dirait "Simetierre"... Oh, là c'est du Lovecraft...). Bref, c'est visible, mais ce n'est pas désagréable!
Et puis, tout à coup, on bascule dans le grand-guignolesque. Je m'explique: décidément, ce n'est vraiment pas amusant d'être médiéviste. À peine entrevoit-on le terme "Moyen Âge" que la respiration s'accélère et que le poil se hérisse. Que va-t-on encore entendre de stupide à son propos? Parfois, on a de bonnes surprises. Ce n'est malheureusement pas le cas ici. Je vous propose donc un petit cours de rattrapage concernant le Moyen Âge et ses stéréotypes. 1. Grosso modo, le Moyen Âge s'étale entre le 5e et le 15e siècle. Si le lecteur sait calculer, cela signifie que cette période s'étend sur à peu près mille ans. Vous pensez vraiment que la population médiévale n'a JAMAIS changé d'avis sur cette (très) longue période? Quand on lit "Le signal", on a l'impression que les gens étaient juste débiles et suivaient les autorités mises en place comme des moutons pendant mille ans. L'opinion publique existait, juste comme ça... (voir les nombreuses révoltes paysannes qui ont eu lieu). 2. Un certain personnage dont on parle (je ne dirai pas le nom, pour ne pas spoiler) a vécu au 17e siècle... CE N'EST PLUS LE MOYEN ÂGE!! À partir des 15e-16e siècles, c'est l'époque moderne. Bon Dieu, ouvrez un bouquin d'histoire de temps en temps! D'ailleurs, soit dit en passant, on accuse souvent le Moyen Âge de la chasse aux sorcières et autres grands feux de joie, mais c'est à partir de l'époque moderne qu'on en a pratiqués. 3. Je ne suis pas une experte concernant le 4e Concile de Latran, mais c'est totalement stupide d'aller dire que l'image de Diable a été forgée à ce moment-là. Les chrétiens ont toujours eu dans leur croyance une entité maléfique (le Diable) qu'ils craignaient. Peut-être que le pape Innocent en a reparlé à cette occasion (je ne sais pas, donc je ne vais pas m'avancer là-dessus), mais c'est totalement débile de penser que les gens s'en foutaient avant cela. C'est un peu comme si on disait qu'avant le 12e siècle, ils se fichaient totalement de la figure du Christ et de ce qu'elle impliquait. 4. Le 12e siècle, c'est le moment où tout partait un peu à vaux-l'eau, mais ça ne veut pas dire que les gens ne croyaient pas en Dieu. Chacun avait sa propre conception de la religion et vivait en fonction de cela (l'athéisme pur et dur n'apparaît que vers le 18e siècle). Le 12e siècle, c'est le moment d'émergence du valdisme, du catharisme et d'autres mouvements considérés "hérétiques", mais qui ne sont pas spécialement chassés par l'Église (un coup ils essayent de vivre en harmonie, un coup ils se battent). Donc le coup de "les gens vivaient dans une peur incroyable, on torturait la population à tout bout de champs, le pape était tout puissant et avait un droit de cuissage sur toutes les vierges" (j'en rajoute à peine), c'est juste totalement affligeant.
Vous imaginez donc que j'ai beaucoup grincé des dents à partir de ce moment-là. Et la suite ne s'est pas arrangée. Était-il vraiment nécessaire de faire référence au mouvement #metoo? Et puis franchement, je ne vois pas en quoi c'est sexiste qu'un homme s'inquiète pour sa femme qui va partir seule dans une ville infestée de monstres. Pour prendre comme référence Stephen King (dont Chattam s'inspire largement), le thème de la violence aux femmes avait déjà été abordé sous maintes formes, et il n'avait pas besoin de noter en gras (et surligné en jaune fluo) "le sexisme, c'est maaaal!". Tout comme le coup de sous-entendre qu'un autre personnage était sûrement homosexuel.
Je suis donc extrêmement déçue. Nous n'avons ni droit à un roman réellement original en matière horrifique (même si je dois bien admettre qu'un passage ou l'autre m'ont tout de même angoissée!), ni un livre de revendication sociale intéressant. Personnellement, je trouve cela intéressant de parler de ce genre de thématiques dans un livre, mais ici la subtilité n'est vraiment pas de mise. Dommage! On a plutôt l'impression que Maxime Chattam s'est contenté d'énoncer des idées qui lui tenaient à cœur, sans pour autant faire passer la pilule habilement... Et sans consulter de livre d'histoire, visiblement.
Il y a du Stephen King dans ce roman, où je ne m'y connais pas !!! Une famille ordinaire vient s'installer dans une grande demeure aux abords d'une forêt. Leur voisin les prévient de ne pas trop s'y approcher... Mais les enfants sont jeunes et aventuriers. Ils vont prendre des risques qu'ils vont vite regretter. Dans la maison aussi, l'ambiance vire au cauchemar. Les occupants comprennent alors que les lieux sont maudits et désormais hantés par des fantômes sanguinaires. À vouloir préserver les uns et les autres, les Spencer réalisent tardivement qu'ils sont tous devenus leurs cibles favorites. Quelle ambiance... une vraie réussite ! Cela m'a fait du bien de retrouver un Maxime Chattam aussi bon et terrifiant (après quelques déboires dont Le Coma des mortels ou Que ta volonté soit faite). Et puis j'ai lu ce roman pile au bon moment - saison automnale, proche Halloween... C'était juste parfait ! Un rendez-vous opportun pour lectrice avide de sensations fortes. J'ai été servie.
“Lo he visto. Sé que no lo he soñado. No era un ser humano, era el espantapájaros. Estaba…lleno de gusanos y…cuando se ha acercado a mí, he podido oler su interior. Un olor antiguo. A putrefacción. Olía… a lo que es. La muerte.”
La señal entra en mi top de mejores lecturas del año y no estoy muy segura de si algún libro lo destronará del primer puesto. Una historia de terror y suspense, macabra y con grandes cantidades de sangre.
Abandonné à 30%... C'est juste mauvais. L'histoire prend place dans un décor de mauvais téléfilm américain, et c'est un tel enchaînement de clichés que ça en devient lourd. La famille Spencer est une caricature de famille parfaite de sitcom, les personnages n'ont aucune profondeur. Quasiment tout les personnages féminins sont objectifiés, sexualisés, vus uniquement à travers le prisme de leur désirabilité, sauf "Baby Zoey" et une vieille dame qu'on voit 10s avant qu'elle meurt. D'ailleurs "baby Zoey" ça aussi ça fait très sitcom, cette manière de l'appeler, et c'est déjà vraiment insupportable au bout de la 10eme occurence, alors je vous laisse imaginer sur 900 pages. L'histoire se traîne, on a des schémas de chapitre qui s'enchaînent et se répètent : quelqu'un meurt dans d'étranges circonstances en ville, un truc bizarre arrive à un des membres Spencer, le policier continue son enquête... On a l'impression que ça ne décolle jamais. Et enfin, la plume est franchement pas terrible. C'est gavé d'expressions qui sont réutilisées en boucle (il m'a fanée avec son "cerveau reptilien"), les métaphores sont moisies (la fameuse scène du bain avec la meuf qui "ressemble à un gros ovule qui se fait pénétrer par des spermatozoïdes roses"???). J'espérais que le côté horrifique me tiendrait en haleine, mais vraiment ça le fait pas, là c'est juste ridicule, je laisse tomber. Dommage fromage.
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Leyéndolo casi sientes estar leyendo a Stephen King, auna muchas situaciones típicas de éste como el grupo de niños, casa con sucesos extraños, fenómeno que se extiende por el pueblo.. la tensión y la acción va in crescendo y se disfruta.
Une déception, même si ma "note" est plus près de 2,5 que de 2... Je sais à peine par où commencer... Peut-être par Stephen King parce qu'on est probablement au coeur du malaise : Les références. Dès le commencement on sent l'influence de King jusqu'au moment où Chattam cite "Derry, Maine" , rendant ainsi ouvertement hommage à l'auteur de "It". Seulement l'hommage est loin d'être à la hauteur : La mise en place du récit est super classique : le petit manuel de l'introduction au récit d'horreur, cela pourrait être néanmoins bien fait comme dans un King ou comme dans l'excellent "5ème règne" , mais dans "le signal" on a juste une impression de "déjà lu". Je me suis ennuyée jusqu'à la cent quarantième page (du coup l'intro est médiocre ET longue). Chattam me donne l'impression d'être passé à coté de son roman : Il évoque des sujets passionnants : Sorcières de Salem et d'ailleurs, les tueurs en série , les histoires étranges autours de Mahingan Fall mais il ne raconte pas l'histoire de la ville ou à peine : Il donne ces informations en passant. De nouveau la comparaison avec "It" de King s'impose, où Derry devenait une entité maléfique du roman avec des détails tous plus foisonnants et dérangeants les uns que les autres : La encore la comparaison n'est vraiment pas en faveur du "Signal". De l'autre coté, Chattam créé des attentes au lecteur, puis ne les assouvit pas ou mal : Par exemple l'hopital Psychiatrique (nommé Arkam, référence à Lovecraft, plus que maladroite puisqu'elle peine même à égaler l'Arkam Asylum du Gotham de Batman) amène un suspens bienvenu jusqu'à ce que les protagonistes s'y rendent pour rien... Du remplissage de pages... Plus gênant encore, je n'ai pas eu peur : Vous connaissez cette impression, quand vous refermez votre livre après un chapitre particulièrement flippant de King ou de Lovecraft (qui en passant se fait bien voler quelques petites choses par Chattam dans ce livre...), qu'il fait nuit, qu'il faut que vous vous leviez, que vous montiez l'escalier, traversiez le couloir pour rejoindre votre chambre, cette impression tout le long de l'interminable trajet que vous sentez presque le couteau qu'un psychopathe imaginaire s’apprête à vous planter dans le dos... J'adore: c'est le signe incontestable d'un récit d'horreur réussit : et bien là rien. est-ce le signe incontestable d'un récit d'horreur raté?...
Pour ce qui est des points positifs, je trouve que (tout comme King) Chattam raconte très bien l'enfance et les enfants en général et ce récit ne fait pas exception : la bande des garçons est vraiment sympas et agréable à suivre. J'ai apprécié tous les chapitres avec les enfants surtout dans la première moitié du roman. Globalement les personnages principaux provoquent l'empathie : Cela semble très naturel pour Chattam de créer des protagonistes riches, attachants et c'est une vraie qualité plaisante à retrouver dans chacun de ses romans. Mahingan Fall à beau ne pas être aussi noire et aussi angoissante que souhaité, elle reste très agréable à visiter à travers la plume de Chattam : le décor est bien planté, ce qui explique probablement la frustration sur le manque d'historique puisque le plus dur était fait. Un chapitre à la toute fin, très court et vraiment saisissant de quiétude retrouvée.
Une lecture frustrante, parce que j'avais envie d'aimer ce livre. Je m'attendais à l'aimer : Chattam est un choix sûr habituellement. Les nombreuses références à "It" ne peuvent être fortuites : Oui, mais voilà, "It" est un chef-d’œuvre, un monument de la littérature contemporaine. Si Chattam a essayé ici de faire son "It" alors il manque tous les ingrédients : Pas assez subtil, pas assez de digression, pas assez flippant, pas assez de contextualisation, pas assez de background pour la ville et les plus vieux habitants... Il vaut mieux que je m'arrête là, la liste est encore longue... Dommage.
Los thrillers no son mis lecturas favoritas, puesto que soy súper miedosa 🙃 pero decidí ampliar mis lecturas más allá del suspenso, y creo que este libro podría ser una excelente serie de horror en la télé. La historia se desarrolla en un pueblito « Mahingan Falls » donde se muda la familia Spencer huyendo del ruido y el estrés de Nueva York, se instalará en una granja recién remodelada, ellos junto a sus très hijos buscan un poco de tranquilidad y paz en este remoto e aislado pueblo, ubicado a pocos kilómetros de Salem. Poco tiempo después de instalarse empiezan a suceder sucesos extraños y sobrenaturales, accidentes inexplicables, personas que se suicidan sin razón aparente, ruidos en las líneas telefónicas aterradoras, entre otros fenómenos no explicables, es entonces en que la familia y otros habitantes del pueblo empiezan a investigar, descubriendo el obscuro pasado del hasta ahora tranquilo pueblo; recomiendo 💯 la lectura no sin antes advertir que deben tener un buen estómago, las escenas son excesivamente descriptivas, es la primera vez que leo una historia igual y es una primicia con este escritor francés, que me ha dado un súper sorpresa lectora.
Es cierto que la novela está bien escrita, y sigue las convenciones del género en cuanto a crear intriga y expectativa, con finales de capítulos que incitan a seguir leyendo.
La mayoría de los personajes son interesantes, con matices, tanto como para que importe lo que pueda sucederles a lo largo de la obra, quizá su punto más destacable.
Sin embargo... pronto se nota que la novela no cuenta nada nuevo, que todo suena a leído en muchas otras historias similares, que algunas escenas especialmente truculentas están ahí para impactar, que hay repeticiones de información y escenas que se alargan en exceso buscando inquietar y mantener el interés por lo que pueda pasar, o no, a X personaje.
A un nivel (aún) más subjetivo, en la mayoría de los casos no me ha gustado la elección del autor sobre a qué personajes conservar o eliminar ni cómo lo ha hecho.
El final tampoco me ha resultado satisfactorio.
Llega un momento en que la novela, a fuerza de repetir situaciones, se hace larga, lenta y pesada, resultando menos entretenida de lo que podría haber sido.
Ok !! Vous avez pas ce livre dans votre PAL ben il vous le faut right now !!!! Ce livre est un putain de chef d’œuvre du pur génie à mon avis ! 😱😱 l’auteur m’a donner des frissons, du stress à un rythme effréné!!!
Ce bouquin est totalement incroyable j’en suis abasourdi 😨 la peur est un sentiment qu’on a constamment en lisant ce livre. Les mots choisi par l’auteur sont recherchés et bien pensés. On s’attache à la famille Spencer énormément🖤 le livre m’a fait rire à certain moment, avoir une expression de dégoût au visage ainsi que de me faire sortir quelques jurons et me dire AVOYE QU’EST-TU FAIT BORDEL🤣🤣🤣 j’en ai même fait des cauchemars dès les premières pages pour tout vous dire! 😱 je l’ai fini en quatre jours complet de 9h à 1h du matin sans relâche (j’exagère un peu,mais c’est quand même ça ) j’oubliais même de dîner parfois tellement que c’était écœurant et bon à lire 🤷🏼♀️🖤🖤
C’était mon premier de Chattam et il est excellent, à lire une fois dans sa vie et il vient de passer dans mes tops à vie !!! Je suis sans mots. Je me répète, mais un vrai chef d’œuvre!