Un jour de 1968, au même moment, à 800 kilomètres de distance, viennent au monde Edouard, né par le siège, et Elise, née coiffée. Leurs voix se croisent pour raconter leur enfance, jusqu'à leur rencontre à 17 ans. Prélude à leur histoire et au prochain roman de l'auteure, cette nouvelle éclaire ces deux destins par leur genèse.
Agnès Ledig exerce le métier de sage-femme libérale en Alsace. En 2011, son premier roman, Marie d'en haut, connaît un succès immédiat et devient le coup de cœur du grand prix des lectrices de Femme Actuelle. En 2013, Juste avant le bonheur obtient le prix Maisons de la Presse et devient un best-seller (160 000 exemplaires vendus en France).
J'ai découvert Compter les couleurs en Mai dernier au salon du livre de Saint Louis, en faisant signer Se le dire enfin. En relisant aujourd'hui ma critique de Se le dire enfin, j'aurais eu besoin de Compter les couleurs pour mieux le comprendre et encore mieux l'apprécier. La plume toujours fluide d'Agnès Lédig donne vie à Elise et Edouard dans leurs lettres d'avant et d'après. Selon moi un petit préquel nécessaire. I discovered Counting Colors last May at the St. Louis Book Fair, when I had Se le dire enfin signed. Rereading my review of Se le dire enfin today, I would have needed Counting the Colors to understand it better and appreciate it even more. Agnès Lédig's ever-fluid writing brings Elise and Edouard to life in their letters before and after. In my opinion, a small prequel is necessary.
J'ai été déçue. Le titre promettait beaucoup de poésie, d'émotions. Au final, c'est une histoire hétéro chiante et plate. Je n'ai pas réussi à être transportée par les émotions des protagonistes, vides de toute substance, sans aspérités aucune, et la fin m'a fait l'effet d'un pétard mouillé.
NB: j'ai lu plus tard qu'il s'agissait d'un prequel a un autre roman. Peut-être est-ce parce que je ne l'ai pas lu, que l'histoire me semble être une coquille vide?
Juste une seule envie : lire "Se le dire enfin". Agnès Ledig a écrit ce roman racontant l'enfance d'Édouard et d'Elise, deux personnages appartenant au roman "Se le dire enfin". À travers ce cours roman, elle nous transmet des émotions fortes et nous voulons en savoir plus sur leurs vies. Une auteure qui a su m'emporter et je veux désormais lire tous ses romans 😁
Elise et Edouard se sont croisés en primaire et cette rencontre les a marqués au-delà de ce qu'ils auraient pu imaginer... C'est beau, c'est doux, ça fait du bien au coeur et ça se lit très (trop vite) ! Et puis du coup, comme c'est un avant goût d'un plus long roman, ça donne surtout envie de lire la suite ! En bref : que de douceur !
Il y a un goût de trop peu, et j'ai hâte de lire Se le dire enfin pour poursuivre l'aventure d'Edouard et Elise... Ceci étant dit, j'aime l'idée qu'a eue l'auteure d'offrir cette clé de lecture à ses lecteurs.
Un très court roman qui m’a permis de retrouver avec délice la superbe écriture d’Agnes Ledig. J’ai vraiment beaucoup aimé même si c’est un peu court elle a réussi à m’embarquer.
J’ai lu celui-ci après « se le dire enfin », je trouve ça sympa et j’adore la plume de l’auteur même si cette partie n’est pas utile à l’histoire que ce soit avant ou après. C’est toujours sympa de lire le passé des deux protagonistes si on veut en savoir plus.
Édouard a 50 ans, Élise en a 17. Ils se racontent leur "avant" et nous laissent plonger tour à tour dans leurs souvenirs, de la naissance jusqu'à leur rencontre au lycée. Elise écrit son journal au moment même où naît leur histoire d'amour, Édouard, lui, au moment où ils se retrouvent 33 ans plus tard.
L'idée de l'écriture de "Compter les couleurs" est née alors qu'Agnès Ledig rédigeait son roman "Se le dire enfin" qui raconte les retrouvailles d'Élise et d'Édouard. Connaître l'avant pour mieux comprendre le maintenant... La plume d'Agnès Ledig est douce et légère, elle décrit le sentiment amoureux avec tendresse et pudeur. En 90 pages seulement, on éprouve un attachement profond pour les personnages et on referme ce livre avec une seule envie : se plonger dans "Se le dire enfin"...