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Brève encyclopédie du monde #2

Dekadencja. Życie i śmierć judeochrześcijaństwa

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Egipskie piramidy, greckie świątynie, Forum Romanum… Ślady dawnych kultur niezbicie dowodzą, że nawet najwspanialsze cywilizacje przemijają. Temu prawu podlega również licząca dwa tysiące lat cywilizacja judeochrześcijańska. Michel Onfray opisuje jej powolny zmierzch, jednocześnie odmalowując bogactwo idei, które leżą u jej podstaw.

Dekadencja to opowieść o dwóch tysiącleciach istnienia chrześcijaństwa, czasach inkwizycji, procesach wytaczanych zwierzętom, krwawych dyktaturach i rodzących się ekstremizmach. Francuski filozof odważnie zestawia fakty i wysuwa niepokojące wnioski. Czy to możliwe, że żyjemy u kolejnego kresu wielkiej cywilizacji?

ebook

First published January 1, 2016

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About the author

Michel Onfray

373 books518 followers
Michel Onfray is a French philosopher. Born to a family of Norman farmers, he graduated with a Ph.D. in philosophy. He taught this subject to senior students at a technical high school in Caen between 1983 and 2002, before establishing what he and his supporters call the Université populaire de Caen, proclaiming its foundation on a free-of-charge basis, and the manifesto written by Onfray in 2004 (La communauté philosophique). However, the title 'Popular University' is misleading, although attractive, as this 'University' provides no services other than the occasional delivery of lectures - there is no register of students, no examination or assessment, and no diplomas. After all, 'ordinary' French University lectures are open to all, free of charge. Nor is the content of the Université populaire de Caen radical in French terms, it is in its way, a throwback to less democratic traditions of learning. Both in his writing and his lecturing, Onfray's approach is hierarchical, and elitist. He prefers to say though that his 'university' is committed to deliver high-level knowledge to the masses, as opposed to the more common approach of vulgarizing philosophic concepts through easy-to-read books such as "Philosophy for Well-being".

Onfray writes obscurely that there is no philosophy without psychoanalysis. Perhaps paradoxically, he proclaims himself as an adamant atheist (something more novel in France than elsewhere - indeed his book, 'Atheist Manifesto', was briefly in the 'bestsellers' list in France) and he considers religion to be indefensible. He instead regards himself as being part of the tradition of individualist anarchism, a tradition that he claims is at work throughout the entire history of philosophy and that he is seeking to revive amidst modern schools of philosophy that he feels are cynical and epicurean. His writings celebrate hedonism, reason and atheism.

He endorsed the French Revolutionary Communist League and its candidate for the French presidency, Olivier Besancenot in the 2002 election, although this is somewhat at odds with the libertarian socialism he advocates in his writings.[citation needed] In 2007, he endorsed José Bové - but eventually voted for Olivier Besancenot - , and conducted an interview with the future French President, who he declared was an 'ideological enemy' Nicolas Sarkozy for Philosophie Magazine.

Onfray himself attributes the birth of a philosophic communities such as the université populaire to the results of the French presidential election, 2002.

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Displaying 1 - 23 of 23 reviews
Profile Image for Néguine.
87 reviews9 followers
October 20, 2022
Difficile à exprimer la fierté que je ressens de connaître ce philosophe. Je connais Michel Onfray depuis longtemps mais je n'osais pas lire ses livres parce que je me voyais incapable de comprendre ses paroles. Contrairement à ce que je pensais, le choix minutieux des mots rend la tâche facile. En plus il a un style simple et compréhensible pour expliquer les sujets les plus compliqués.
Pour moi, il y a un avant et un après cette lecture. Beaucoup de choses ont définitivement changé dans mes idées. Et je crois qu'il faut lire toutes les  œuvres de ce génie.


***
Vous vous étonnez que le monde périsse; comme si vous vous scandalisiez que le monde vieillisse. Le monde est comme l'homme; il naît, il grandit, il meurt.
L'islamisme entre dans cette catégorie des politiques optimistes.

Marxiste, fascistes, nazis, islamistes parlent de la régénération, d'hommes nouveau, de renaissance avec un avenir florissant, prospère et meilleur, édénique.
Le christianisme propose une politique pessimiste, qui se fait parfois optimiste quand il se déclare réactionnaire, quand il souhaite restaurer un ordre ancien.


Le présent ne se fait ni avec le futur de l'optimiste, ni avec le passé du pessimiste mais avec l'instant du tragique. Le tragique voit le réel tel qu'il est.

Personne ne choisit d'être ce qu'il est, car nombre d'individus auraient choisi autre chose que ce qu'ils sont, s'ils en avaient eu la possibilité.

Une religion est une secte qui a réussi. Et comment une secte peut-elle réussir ?
Quand elle s'impose par la force et la violence et rien d'autre. Ce qui la contrarie ou la contredit se trouve pulvérisé par son passage.


L'histoire emprunte toujours la voie d'une minorité agissante pour soumettre les minorités silencieuses.

La loi n'est rien d'autre que la cristallisation d'une force dans une forme avantageuse à ceux qui la créent.

L'école et l'université fabriquent les petits soldats intellectuels de l'idéologie dominantes. Dans ces lieux on n'apprend pas à penser librement mais à obéir fidèlement.

La biographie de Jésus est écrite avant même qu'il n'ait eu à vivre sa vie, d'autant qu'il n'a pas eu besoin de la vivre puisqu'il ne l'a pas eue.
Luc parle de Nazareth comme ville natale, or Nazareth n'existe pas historiquement au temps où Jésus, qui lui n'existe pas historiquement, est censé naître. Les fouilles archéologiques de la ville montre en effet que cette bourgade ne voit le jour qu'à la fin du II ème siècle.

"Au commencement était le Verbe, et le Verbe était auprès de Dieu et le Verbe était Dieu, il était au commencement auprès de Dieu."
Le Verbe c'est le Logos c'est la parole. Dieu est donc Jésus qui est donc Logos, Verbe et Parole et rien d'autre. Jésus est une pure parole, un verbe pur, un simple Logos. Il n'a donc aucune existence historique.
Selon Jean Tout est dit à qui veut bien l'entendre dans l'Evangile.

L'ange apparaît à Marie et lui annonce son destin.
"TU CONCEVERAS DE SA PAROLE."
À qui sait entendre cette phrase angélique, concevoir de la Parole de Dieu, c'est à dire que Jésus n'est pas un corps mais un concept. Jésus n'est pas un corps de chair mais un corpus de mots.

Plus on croit à ces fictions avec force, plus la civilisation est puissante.


Le Pape Urbain II déclenche la première croisade contre les musulmans au XIeme siècle.
L'église sera l'épée avec laquelle la civilisation se trouve taillée dans le vif de l'histoire.

Le vin est du sang, le pain de la chair, le rocher est liquide et la raison est en vacances.

Paul est fondateur d'une théologie politique voire d'une politique théologique. Avec cette terrible affirmation : Tout pouvoir vient de Dieu.
Se construit ainsi l'Église politique. Car il n'y a point d'autorité qui ne vienne de Dieu et celles qui existent sont constituée par Dieu. Celui qui résiste à l'autorité se rebelle contre l'ordre établi par Dieu.

Le sang juif arrose la civilisation chrétienne dans un bain qui n'a cessé pendant près de deux millénaire.
Jésus semble n'avoir connu aucun plaisir sensuel ou sexuel, le christ fut un grand cadavre mutilé, puis que Marie a enfanté sans coucher avec Joseph, que reste-t-il à celui qui embrasse cette foi ?

La misogynie de Paul devient la misogynie de l'église. Eve a péché pas Adam, si elle veut se racheter qu'elle fasse des enfants. Paul passe d'une femme, Eve, à toutes les femmes, si l'une est pécheresse, alors toutes sont et seront coupable, et ce pour l'éternité.

Puisque Jésus a été conçu sans sperme, il est indemne du péché originel ! Et comme nous avons tous été conçus par du sperme, nous sommes tous pécheurs.

Selon Vatican pas question que le corps ait du plaisir sous quelque forme que ce soit.
Le Dieu veterotestamentaire fonctionne au talion, le Dieu néotestamentaire, au pardon. Jésus n'a rien à voir avec le prophète annoncé par les juifs.

Les chrétiens peuvent se faire une gloire de refuser la culture, les lettres, la raison, l'intelligence et célébrer l'ignorance, l'inculture, les vertus du simple d'esprit.

Selon Matthieu 5, heureux les pauvres en esprit, car le Royaume des cieux est à eux. Heureux les affamés et les assoiffés de la justice, car ils seront rassasiés....
Présenter la pauvreté du pauvre comme sa seule vraie richesse permet aux riches de pouvoir s'enrichir, plus encore sur le dos des pauvres. Le Jésus des Béatitudes est un contre-révolutionnaire parfait. La pauvreté du pauvre est voulue par Dieu elle est une grâce.


Constantin I avec sa mère ont réussi à créer la civilisation judéo-chretienne. Sur le lit de son mort il a accepté le baptême. C'était en effet une garantie politique de l'être, de la durée et de la pérennité de son œuvre historique. En se convertissant, il convertit l'empire. Il tue Rome et il crée Byzance. En tuant Rome comme le centre du monde, il crée la civilisation judéo-chretienne.

La monarchie et le christianisme scellent leurs noces, elles dureront jusque chez les dictateurs et les tyrans du XXeme siècle.
Dans la cité céleste Dieu gouverne seul, dans la cité terrestre le roi gouverne seul.
Profile Image for Romulus.
968 reviews57 followers
October 21, 2019
Polski tytuł: "Dekadencja. Życie i śmierć judeochrześcijaństwa".

To książka, która jest aktem oskarżenia religii, w szczególności chrześcijańskiej. Autor śledzi jej rozwój od mitu po współczesność, punktując wszystkie wypaczenia od Ewangelii, których dopuścił się Kościół Katolicki. Operuje w sferze faktów więc nie sposób się z nim spierać - bo czy można? Zaprzeczać zbrodniom popełnionym przez kler? Życiorysom papieży i świętych, które nigdy nie miały wiele wspólnego z nauczaniem Jezusa. I nie chodzi o tych, którzy się nawrócili i zmienili. Choć i świętego Pawła autor nie oszczędza. :) Niemniej, nie jest to jednostronny akt potępienia. Ani nawet nie jest ono celem autora. To obszerny esej historyczno - filozoficzny, w którym Onfray dowodzi, że chrześcijaństwo czeka upadek, taki jaki spotkał każdą inną cywilizację w dziejach. Śledzi ten proces obserwując rozwój tego "imperium" i konkluduje, że wszedł on w fazę schyłkową.

Onfray nie pozostawia złudzeń. To, że religia może przeminąć, że już przemija, nie oznacza, że ludzkość czeka z tego powodu Złoty Wiek. Autor pokazuje bowiem, jakie skutki przynosiły "świeckie", "laickie" systemy "wartości". Od rewolucji francuskiej po współczesny terrorystyczny islam. Ale i nie cofa się przed wytykaniem klerowi masowej kolaboracji z faszyzmem (liczne przykłady nie pojedynczych księży ale episkopatów, czy Watykanu) zatem typowo świecki (i nie mniej zbrodniczy) był tylko bolszewizm. Co niczego nie zmienia. Wreszcie, cały ten współczesny bełkot techno-trans-hunamanizmu to również dla Onfraya kolejny etap rozwoju.

Nie ma w tej książce żadnego powiewu optymizmu. Jest filozoficzna zaduma, niepewność, wielkie, pozbawione obecności Boga, nieuchronne "nie wiem" odnośnie przyszłości. Poza pewnością przemijania.
84 reviews3 followers
June 5, 2018
Eines muss man Onfray lassen: Schreiben kann er. Sein Schreibstil war wirklich spannend, teilweise zu spannend, weil ich an einigen Stellen nicht mehr von einer quasi "Nacherzählung der Ereignisse" (Historischer Konsens) und Sachbuch unterscheiden konnte.


Was ich wirklich seltsam fand, war, dass es hier keine Fußnoten mit entsprechenden Belegen gab, wie ich sie bspw schon in diversen schulischen und universitären Arbeiten anlegen musste. Das Einzige, was 'belegt' wird, sind die Bibel- oder Koranstellen und das auch nur mit den jeweiligen Absatznummern ohne Angabe von Ausgabe oder Hrsg./Übersetzer/Verlag/im Christentum Art der Kirche (kath/prot).

Ein Quellenregister ist allerdings vorhanden, doch recht dürftig, wenn man es einmal in Relation zu der Länge des Gesamtwerkes zieht.

Toll fand ich persönlich die Chronologie im Anhang, die allem noch einmal abschließend eine gewisse Ordnung und Nachvollziehbarkeit gibt.

Ich bin keine Historikerin und kann deshalb nicht sagen, ob dieses Buch nun wissenschaftlich korrekt ist oder nicht. Ich kann mich michael_lehmann-pape (Lovelybooks) nur anschließen, wenn er sagt, dass das Werk eher einer Meinungsäußerung gleichkommt als denn einer wissenschaftlichen Abhandlung. Eine interessante, teilweise wirklich hochkontroverse Meinung, aber nichtsdestotrotz faszinierend in ihren Grundzügen.

Deshalb vergebe ich auch 4/5 Sternen.
Profile Image for Jean-François Lisée.
Author 29 books172 followers
August 24, 2017
Dans le deuxième de son triptyque (le premier étant [Book: Cosmos]), Michel Onfray fait le procès des religions monothéistes, le Christianisme puis l'Islam. Le livre est à la fois étonnant et décevant. Étonnant car il est méticuleux à décrire combien les fous de Dieu ont pu réprimer la liberté de pensée. Un chapitre sur les procès fait par des prêtres à des animaux ayant péché est particulièrement savoureux. Il explique par le menu comment l'hégémonie chrétienne sur la pensée a été sapée graduellement par des penseurs et des scientifiques, jusqu'à perdre sa prédominance, donc son pouvoir. C'est la décadence qu'il décrit.
Mais pour Onfray -- qui décrit plus qu'il ne juge -- la libération qui s'en est suivi a affaibli la civilisation chrétienne pour la rendre vulnérable à une contre-civilisation, Islamique, qui, elle, garde tout les atouts d'une force religieuse montante, donc irrésistible.
Que Onfray trouve le point de bascule entre les deux au jour de la Fatwa déclarée contre Salman Rushdie est bien trouvé. Ses démonstrations démographiques ne sont pas sans intérêt. Mais le manichéisme qu'il avance -- c'est l'un ou l'autre, il n'y a pas d'entre deux, il faut s'y faire -- ne convainc pas. Heureusement.
110 reviews10 followers
April 26, 2019
Exelente libro. Muchísima información, justo lo que estaba deseando en este momento que me estoy nutriendo de historia y religión. Muy recomendable. Un historiador que también escribe la contrahistoria. La lectura que hace Onfray de los hechos históricos no los van a encontrar en muchas personas.
Profile Image for Carolina Hernandez.
40 reviews2 followers
April 17, 2020
Bueno, de este libro en realidad hay mucho que decir, el autor no pretendía otra cosa más que narrar la historia de las religiones abrahamicas sobre todo de la judeocristina, algo que es arduo de hacer y que se sabe que por más de que se quiera ahondar en una época específica, deberá hacerse de manera extremadamente resumida, aún siendo de esta manera, es un libro muy completo, que no pierde la oportunidad de contar brevemente pero aportando las ideas más importante de los acontecimientos más relevantes desde la concepción de la existencia de Jesucristo, con su apóstol Pablo, hasta la actualidad en donde la decadencia de la religión es un hecho en occidente.

En decadencia encontraremos, la historia teñida de sangre que ha ocasionado la religión y como esta, ha podido extenderse y ser la líder por milenios, al igual que ser una de las religiones más profesadas, dejando de lado al Jesucristo bondadoso que pone la otra mejilla para que sea golpeada, pues se sabe que para que esta tuviera éxito su creencia, debía imponerse con la espada y no con la tolerancia y el amor.
Profile Image for Janus.
64 reviews2 followers
May 23, 2020
Muy interesante, al principio se enreda un poco por mucha filosofía, pero luego se hace muy interesante y tiene mucha información que te pone a buscar que significan muchos términos. Vale la pena leerlo.
Profile Image for Carmel-by-the-Sea.
120 reviews21 followers
December 21, 2019
Niepokojąca lektura, taka chyba głównie skierowana do ludzi otwartych na pełne zmierzenie się z egzystencjalnym byciem.

Michel Onfray to bardzo płodny pisarz-filozof. Najnowsza jego publikacja „Dekadencja. Życie i śmierć judeochrześcijaństwa” jest formalnie drugim tomem trylogii, choć można opiniowany tekst czytać niezależnie (tym bardziej, że tomy pierwszy i trzeci nie mają polskiego tłumaczenia). Długo trwało, zanim wymyśliłem główną tezę tego solidnego tomu. Wydaje mi się, że właściwie należy postawić dwie - jedną dotyczącą początkowych 2/3 tekstu, drugą wynikającą z rozdziałów skupionych na wiekach XIX-XXI. Pierwsza teza, to właściwie problem sprowadzający się do próby wytłumaczeniu sobie i innym, czemu po 20 wiekach chrześcijaństwa, wciąż jest możliwe, że papież może tłumaczyć hekatombę słowami (str. 465 - wypowiedź Piusa XII z 1943 roku):

"Rodzaj ludzki został ukarany z powodu zgubnego porzucenia przez wielu Boga i jego przykazań."

W drugiej części, rozważania Onfray'a wydają się być poszukiwaniem odpowiedzi na pytanie: czemu w naszym kręgu cywilizacyjnym odpowiednik fatwy na Rushdiego nie jest możliwy, tak co najmniej od rewolucji francuskiej? Oczywiście chodzi tu o symboliczność pewnego procesu, który zderza świat Zachodu ze Wschodem.

Onfray w tej swoistej historii chrześcijaństwa nie oszczędza nikogo – papieży, ojców i doktorów kościoła, założycieli protestantyzmu, nowożytnych teoretyków chrześcijaństwa (głównie katolicyzmu), twórców oświecenia, filozofów i artystów XIX i XX wieku. Potrafi jednak docenić mądre (jako zgodne z własnym stanowiskiem) postawy ludzi światłych i skromnych czy przenikliwych i uczciwych intelektualnie. Stąd oryginalne przesłanie Jezusa (to sprzed interpretacji św. Pawła), franciszkańską regułę czy ustalenia Vaticanum II uznał za ważny pozytywny wkład cywilizacyjny. To jednak raczej wyjątki potwierdzające regułę. Ogólna zasada książki to jednak odkrywanie ciemnych kart chrześcijaństwa, jako opresyjnej ideologii będącej poważnym wynaturzeniem pierwotnego ewangelizmu, które ostatecznie Europejczyków uczyniło bezradnymi wobec roszczeń wojującego islamu.

„Dekadencja” jest oskarżeniem, ale takim zbudowanym na solidnych fundamentach argumentacji wynikającej z krytycznej analizy tekstów budujących chrześcijańską doktrynę. Onfray skupił się na kilkunastu punktach w historii (na przykład: czas Konstantyna, walka z herezjami, krucjaty, powstanie protestantyzmu, okres rewolucji 1789, wojny światowe) by prześledzić głęboko zakorzeniony, i pielęgnowany w kierowniczych strukturach kurialnych, oficjalny dyskurs wymagający religijnego wzmożenia u wiernych. Całość tej manipulacji, według Onfray’a, to konsekwencja ‘cezaropapizmu’, czyli solidnego sczepienia się sacrum z profanum. Końcówka książki jest swoistym odwróceniem perspektywy, która finalnie skupia się na współczesnej słabości Zachodu (tutaj kilka historycznych punktów to: idee oświecenia, marzec 1968, wojny z terroryzmem przełomu XX/XXI wieków czy filozoficzny hedonizm strukturalistów).

Czytelnik powinien przygotować się na wielokrotny szok (nawet jeśli czytał Karlheinz Deschnera). Już na początku dostajemy wielu niechlubnych 'faktów' z życia Jezusa, które tkwią w apokryfach nieujętych w katolickim Nowym Testamencie. Jednak ważniejsza jest przyjęta przez filozofa perspektywa, sprowadzająca się do tezy, że szybko z Chrystusa zrobiono Logos, jako pewien konstrukt myśli interpretatorów budujących doktrynę, a następnie dostrajano go do zmiennej rzeczywistości scholastycznymi dywagacjami. Dokonana tak idealizacja duchowej drogi dla wiernych wypaczyła wagę doczesności, jako mizernego wstępu do wieczności z reglamentowanym dostępem do Nieba zgodnie z potrzebami politycznymi. Śledząc główny nurt katolicyzmu, Onfray przygotowuje nas na nowożytny szok i ostateczny upadek idei Dobrej Nowiny.

Książka jest bardzo dobra, czasem genialna w przenikliwości stawianych tez. Są jednak mankamenty, a nawet kilka trochę drażniących kluczowych elementów. Onfray to filozof, czyli dla mnie człowiek, którego perspektywa jest węższa niż mu się wydaje (no tak mam, jako czytelnik publikacji przyrodniczo- ścisłych). Stąd pomijanie przez niego całych połaci ludzkich aktywności było czymś niedobrym. Niemal nie wspomniał autor o rewolucji w nauce, która swoją narracją (od Kopernika przez Galileusza po Darwina i współczesną kosmologię) wywróciła sporo uroszczeń teokratów, i to zdecydowanie bardziej formalnie niż dekonstrukcje tekstów post-oświeceniowych filozofów. Onfray, jako rasowy filozoficzny megaloman, barokowo przeładowuje swój tekst długimi wyliczankami (głównie przymiotnikami). Deklamuje więc długie listy heretyckich postaw, technik umartwiania ascetów, fekalnych performance'ów XX-wiecznych ‘artystów’, itd. Dodatkowo jest to francuski filozof, więc środek ciężkości argumentów przesunięty jest w kierunku analiz lokalnych dla autora kręgów kulturowych. W przypadku Montaigne czy rewolucji francuskiej jest to uzasadnione, ale już w swoistym rozprawianiu się z heglistami czy strukturalistami - w szczególności z kolegami filozofami Derridą, Foucaultem i Lacanem - wydaje się mało uniwersalny. Taki dyskurs przypominał jakąś zaległą prywatną wojnę ideologiczną ze środowiskiem. Na szczęście nie ma tego zbyt dużo.

"Dekadencja" nie jest jednostronną diatrybą ateisty. To głęboki namysł nad kondycją człowieka tkwiącego od pokoleń w chrześcijańskim dziedzictwie, któremu można bardzo dużo zarzucić. Początkowo wyczytywałem jednostronność w sądach Onfray'a, ale ostatnie 20% tekstu zmusiły mnie do rewizji. Przytoczone przez autora myśli Huntingtona ze "Zderzenia cywilizacji" sugerują zbudowanie podobnej perspektywy, czyli głębokiego zaniepokojenia kondycją człowieka post-chrześcijańskiego. Istoty pustej ideowo, raczej hedonistycznej, nastawionej materialistycznie, która utraciła grunt pod nogami; fundament, który było jednak źle położony. Filozof po prostu prześledził upadek, który wydawał się przez setki lat wielkości czymś niemożliwym. Pozostaje jedynie pytanie o zupełność odczytania kondycji Europejczyka. Francuska perspektywa jest być może zgodna z holenderską czy niemiecką, ale ile z tego pozostaje słuszne na terenach słowiańskich? Tu, przynajmniej deklaratywnie, przypomina się, że poza kościołem jest nihilizm. Ale czy taka droga jest odpowiednia w dobie czekających nas migracji, szczególnie ze świta islamskiego?

Sporo pytań. Mnóstwo odpowiedzi. Wiele nowych dla mnie tropów. Więc gorąco polecam każdemu.

8/10 - BARDZO DOBRA
42 reviews3 followers
February 23, 2017
Onfray m’intriguait. La rumeur en fait un conservateur réactionnaire, à la limite de l’islamophobie. Exemple : le très mauvais compte rendu de Nathalie Collard, bonne critique littéraire par ailleurs, lorsqu’elle se donne la peine de lire le livre. Onfray, lui, dans une entrevue, s’est dit anarchiste de gauche... Ce que montre Décadence, c’est une posture plus complexe.

La suite sur mon blogue :
http://lachambredecoute.blogspot.ca/2...
7 reviews
August 12, 2022
L'auteur héraults la décadence de la civilisation judéo-chrétienne. Il a "lu" plus de deux milles ans d'histoire chértienne à la lumière de faits comptenporains et utilisant ses propres "outils" qui se veulent universels. Du paganisme au nihilisme en passant par le christianisme "religieux", le christianisme "poltique", le chirstianisme "guerrier", les croisades, le modernisme, le post-modernisme que l'auteur le qualifie de l'étape de mort de sa civilisation.

C'est un livre dense, certes, mais aussi simplificateur de certains aspects spirituels et en matière de croyance en traitant cerains dogmes de manière, parfois, proche du cricatural. Les thèses de l'auteur sur le fait que la religion génère la civilisaation et pas le politique ou l’économie sont fortes.

Le traitement de la religion musulmane relève surtout de la peur qu’habite le corpŝ judéo-chrétien plutot que la critique objective.
Profile Image for Baptiste Briet.
69 reviews
May 7, 2019
Onfray par cet ouvrage m'a rendu perplexe mais donnant suite à une réflexion. Notre civilisation judo-chrétienne va-t-elle survivre face à un islam en expansion ? Voilà la question que l'on se pose à la fin de cet ouvrage. Savoir le passé pour raconter le futur. Dans cet ouvrage, Onfray ne regarde pas le passé comme un réactionnaire mais le regarde pour comprendre le futur. Mais néanmoins, Onfray dans cet ouvrage donne sa version historique (qui est vraie) en oubliant de donner d'autres détails qui pourrait éclairer le lecteur. En bref, un ouvrage plutôt intéressant, mais incomplet sur certains points.
Profile Image for YVAN NOIR.
126 reviews1 follower
June 19, 2022
Onfray argumenta, que, como toda civilización, la Occidental (es decir, la judeocristiana) también tendrá un destino funesto y hace un repaso a momentos importantes que construyeron el edificio teórico de ésta religión, incluyendo sus contradicciones -desde su mera fundación hasta la época contemporánea-.
Pero a pesar de su ateísmo, Onfray no es optimista en cuanto a las consecuencias de la decadencia de la religión judeocristiana pues él ve que lo que puede tomar su lugar es la simple y llana Nada nihilista o la religión conquistadora del Islam.
Profile Image for Guido.
44 reviews3 followers
April 9, 2020
With wit, Onfray's writing bring us at the heart of Europeans relationship with God. Unfortunately the tone is a monotonous list of facts told with irony.

Onfray's point is pretty simple: religion has no meaning. Most of the his readers share this belief already and don't need to read such a long book.

Otherwise, if a reader is interested in religious history, may be more interested to an academic book, confiyng to be written by a less biased author.
105 reviews1 follower
May 15, 2021
A thorough review of Occident culture

It is à large review from thé dawn of Judeochristian culture until thé latest events scientific and social that had dérivéd in a différent prépondérance from thé past and custumes.
10 reviews
November 4, 2024
Si bien se hace tedioso al principio, luego remonta empieza a proponer, y repartir, conceptos y sobre todo criticas. Da una mirada franca, pero con un sesgo constante y a mi me parecio un toque sarcastico.
Profile Image for Gilles Pirio.
7 reviews
February 19, 2019
Beaucoup d'érudition! Cependant le caractère touffu, et le manque de rigueur de mon pas permis d'être pleinement gagné par la thèse de l'auteur.
6 reviews
June 6, 2019
J'ai adoré ce livre sans concessions et qui très politiquement incorrect qui dresse un portrait précis de notre histoire judéo-chrétienne et de son implosion au fil des siècles..
2 reviews
August 25, 2022
Demasiado repetitivo en sus argumentos contra el cristianismo
4 reviews
January 2, 2019
Reflexion interesante sur la fin de notre civilisation judéo-chrétienne mais qui n'analyse malheureusement pas l'évolution de la place de la femme dans notre société (et donc de la famille), ni celle du continent américain qui est une source importante de croyants. Le judeo-christianisme ne se résume pas qu'à l'Europe, me semble-t-il... Quelques références historiques mériteraient d'être appronfondie pour éviter les racourcis ou les clichés, notamment concernant Hernan Cortes.
Profile Image for Librólico.
30 reviews8 followers
November 22, 2019
Una primera mitad muy farragosa.
Afortunadamente, el texto se rescata a sí mismo cuando abandona la retahila de actos despreciables de las cúpulas judeocristianas.
This entire review has been hidden because of spoilers.
Displaying 1 - 23 of 23 reviews

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