Bernard Werber's "Ants" trilogy made him one of France's most popular science fiction novelists in the 90s. Werber began studying journalism in 1982 in Paris, where he discovered the work of sci-fi writer Philip K. Dick. In 1991 he published the novel Les Fourmis (Empire of the Ants), a complex fantasy novel in which ants were the heroes and humans the pesty antagonists. The novel became a cult hit across Europe, and Werber followed it with two other books in the same vein: Le Jour des Fourmis (Day of the Ants,1992) and La Révolution des Fourmis (Revolution of the Ants, 1995). His other books include L'Empire des Anges (Empire of the Angels, 2000) and L'Arbre des possibles (The Tree of Possibles, 2002).
Ce livre est probablement le dernier que je lis de Bernard Werber.
Il n'y a aucune cohérence entre le premier de la collection et celui-ci. Alors que le premier opus termine par l'arrivée de chiens, pigeons, moineaux et chauve-souris qui se joignent à l'alliance des chats, la suite décide de réécrire l'histoire en ignorant leur arrivée (d'ailleurs les pigeons sont maintenant des ennemis).
De surcroît, en faisant son résumé du premier roman, l'auteur se trompe en relatant la chaîne des événements (Dans ce roman, Bastet raconte la perte de ses chatons, tués par Nathalie, et son pardon subséquent de Nathalie et le réconfort qu'elle lui a apporté lors de la fusillade d'une garderie. En réalité, la fusillade a lieu à la page 21 du premier roman et l'accouchement et la perte des chatons de Bastet a lieu beaucoup plus loin).
Pythagore qui avait mené une attaque à la grenade est maintenant pacifiste, Bastet relate sans cesse des citations de sa mère qui avait à peine été mentionnée avant, et j'en passe. De plus, alors qu'elle avait une façon de penser drôlement féline et hautaine dans le premier opus, Bastet est maintenant insupportable et possède toutes les vertus ou tous les défauts de l'humanité, dépendamment du paragraphe.
Très frustrant de consacrer plus de temps à lire ce livre (qui est pourtant très court) que l'auteur en a mis à y réfléchir.
« Sa majesté des chats » est le second tome d’une trilogie consacrée à ces félins. Peut se lire indépendamment.
Si vous aimez les chats, si vous avez envie de mieux comprendre leur façon de se comporter, et mieux, si vous êtes la servante ou le serviteur de l’un ou de plusieurs d’entre eux, foncez ! Vous vous régalerez ! Mais ne vous faites pas d’illusions : ce n’est pas dans ce roman que l’on vous dira que votre matou vous aime. Il vous apprécie, certes, mais « pas de croquettes, pas de chat ». Si la gamelle ne lui convient plus, le chat se carapate. Il est toujours à la recherche de son propre plaisir. C’est peut être d’ailleurs cette forme d’égoïsme qui est la clé de la réussite ! Nous voilà dans un Paris dévasté, envahit par les rats. L’espèce humaine est en déclin total, et nous retrouvons Bastet, notre narratrice du tome 1, une magnifique chatte blanche et noire qui a de grands projets pour elle et son espèce : dominer le monde ! Tout le roman se passe du point de vue de Bastet, on a l’impression d’être dans sa tête. Le temps du roman, le lecteur se transforme en chat, cette bestiole mystérieuse et assez complexe n’aura finalement quasi plus de secrets pour vous.
Avec Pythagore, son mâle préféré (même si elle ne se l’avoue pas….), elle va se faire greffer un « troisième œil« , au milieu du front, sous forme de clé USB lui permettant de se connecter à un ordinateur, et donc, à tout le savoir de l’espèce humaine. Et tenter de découvrir de nouvelles émotions, comprendre l’art, l’humour et l’amour, propres à l’homme et totalement abstrait pour cette minette altière.
Dans un road movie incroyable, Bastet est ses amis chats vont tenter de résister, puis de fuir l’invasion des rats, dont le chef se fait appeler Tamerlan, aussi cruel et avide de conquête que son homonyme humain du 14è siècle. Ces rats-Terminator, increvables, prêts à se sacrifier pour mener à bien leur objectif, à mon avis ils ont fait leurs classes dans un camp d’entrainement de Ben Laden. Bastet est un poil utopique, il faut bien l’avouer, mais malgré tout, elle va nous être d’une aide précieuse. Elle va nous proposer de résoudre nos problèmes existentiels et de communication. Car elle ne souhaite que communiquer. Avec tout le monde. Que ce soit avec Nathalie, sa serveuse ou d’autres espèces animales, elle n’a de cesse d’apprendre, comprendre, interagir. Et apprendre à lire ! Le livre, cet objet oh combien magique, détenteur de la pensée, permettant de la diffuser à la fois dans le temps et l’espace.
A travers des aventures totalement ubuesques, des rencontres inter-espèces invraisemblables, Bernard va nous conter les chats, mais aussi et surtout l’Homme. Le caractère anthropomorphiste des personnages sont autant de caricatures de l’humain. Les références à « L’Encyclopédie du Savoir Relatif et Absolu » sont légions et m’ont donné une furieuse envie de la lire. C’est passionnant. On apprend une foule de choses, diverses et variées, l’air de rien, et ça j’adore ! C’est drôle, ludique, décalé. C’est assez hétéroclite. Tout pour plaire !
La plume est simple, plaisante, ça se déguste comme on laperait un bol de lait.
La couverture est superbe, ce chat est magnifique ! Il se la pète, c’est vrai, mais il a raison non ? Ses yeux m’ont envoutés durant toute la lecture. J’ai apprécié aussi la play list en fin de roman, que du bon !!
J’ai qualifié ce roman de « philosophie fiction », car, bien que l’on passe un excellent moment de détente, les coussinets en éventail, ronronnant de bonheur et d’apaisement, malgré tout, c’est une réelle réflexion sur l’humanité, notre passé, notre présent et notre avenir. Très enrichissant !
Une lecture ensorcelante et exquise que je ne peux que vous conseiller. Miaou miaou !
Avec un peu de recul, je pourrais probablement augmenter mon rating à 2 stars; mais je n'en ai pas envie. Je peux le dire, c'est le pire Werber que j'ai pu lire. Énormément de frustration en moi.
Rituel annuel, j'ai acheté le dernier Werber, avec confiance, en ayant aucune idée qu'il s'agissait d'une suite directe de Demain les Chats. C'est en commençant ma lecture que je m'en suis rendue compte, et autant dire que ça m'a tout de suite refroidie. Demain les Chats était ma première déception Werber, donc je n'avais pas trop envie de lire la suite. Bref, Sa Majesté Des Chats était encore pire.
Rien ne m'a plu; le style habituel qui m'a toujours parlé, m'a exaspérée par sa simplicité. Les personnages m'ont tapé sur les nerfs, tous, Bastet en première, tellement d'arrogance et ses pensées étaient insupportables. J'ai bien compris que Werber essayait de montrer la prétention des chats, mais ça passe très mal dans son style, et j'ai levé les yeux au ciel bien trop de fois.
J'adore les chats, je vis pour les chats même, mais ce livre est un désastre. La tentative d'humaniser les chats est risible et le pire selon moi dans cette histoire. Un chat qui rigole, comme un humain ?? Un chat qui se sert de jumelles, les tenant par ses petites pattes ?? Et j'en passe des exemples..
Pas envie de m'attarder sur cette review, c'était décevant et risible, pas du tout convaincant (tant les personnages que l'histoire... please, des animaux qui se font insérer un port USB en guise de troisième oeil ?), j'ai détesté, et EN PLUS, après 450 pages, on finit sur un malheureux "à suivre".
Il semblerait que Werber et Nothomb ont une chose en commun au final: ils sont sur le déclin un peu plus année après année.
It's one of the best books I've read this year. Switching between the plot and educational facts every chapter makes this book so absorbing that you don't even notice time fly by. Definitely my cup of tea.
В мене не було великих сподівань на цю книгу: перша частина мені не сподобалась, і другу я б навіть не думав купляти, якби її в мене вже не було. Обидві книги - непогані прикраси для смітника, друга ще гірша за першу. Загальне враження: “це була б непогана історія, якби…”, але “якби” не сталося.
Суто теоретично, це така собі СтарТрек-like історія, в постапокаліптичному світі, де головні герої подорожуючи цим світом, зустрічають мікро-соціуми виживших, потрапляють з ними в якісь халепи, і “розумники” або ж просто автор через своє “божественне втручання” всіх рятують. Ну і в кінці сезону битва з фінальним босом.
Але, на відміну від СтарТреку, всі ці мікро-соціуми людей і тварин цілком одноманітні, з однаковою “вождиською” формою самоорганізації, і відрізняє їх тільки те чи вони “погані” у ставлені до головних героїв, чи не дуже погані; ну і відповідно автор не дуже занурюється в те як і чому склалося це суспільство і його правила. Трошки там, трошки тут, та і все. Так само як і самі пригоди героїв: щось сталось, якось порєшали, 1-2 сторінки, йдемо далі. Без подробиць. Ну тобто фантастично-пригодницька складова цього фантастичного, якщо вірити анотації, роману ніяка. Це десь третина всієї книги.
Ще третина - це випадкові статті про факти з історії людства з місцевої Вікіпедії. Згадується у тексті щур на ім’я Тамерлан, і далі буде глава з короткою історичною довідкою. У першій книзі це подавалось як історія людства з точки зору котів: їм то поклонялися, то намагалися знищити, тут автор вирішив не паритись і просто робити короткі енциклопедичні вставки. Іноді “художня” глава ілюструє явище про яке розказано в енциклопедичній, іноді енциклопедична - просто довідка, читачі ж тупі, і не можуть загуглити, якщо щось не знають. Коти гуглять усю книгу, у пост-апокаліптичному світі, в якому як не дивно продовжує існувати і інтернет, і гугл, а читачі тупі, і нічого загуглити не можуть.
Ну і, звичайно, ще третина книги - це “філософські” роздуми головної героїні, і оскільки велика частина цих роздумів присвячена сексу, то відповідно маємо ще й трохи котячого порно. Далеко від першої книги ці роздуми не пішли, це все ще цитати від Джейсона Стетхема в фейсбуці, рівня “не треба відкладати на завтра те що можна зʼїсти сьогодні”. Сама героїня: це абсолютне кліше на “тупу блондинку”, яка нічого путнього не робить, час від часу стає причиною проблем, часто намагається вирішити проблеми за допомогою сексу, і в той же час приписує собі заслуги всіх інших, - і це не стьоб чи іронія, скоріше щось дуже недоречне.
В принципі це могла б бути цікава фантастично пригодницька історія, могло б бути дослідження про взаємодію різних форм суспільного устрою в пост-апокаліптичного світі, це могла б бути цікава сатира на сучасний світ, і ще багато чого могло б бути. Але від цього всього урвали декілька шматків, якось перемішали в тексті, і нічого з цього не вийшло. Хоча ні, дещо вийшло: якщо ви любите задумливо гортати сторінки, підкреслювати вумні думки чи “красиві вислови” і обклеювати це все стікерами - от тут прям дофіга цього. Можна розмалювати кожну сторінку.
Якщо уявити книгу як дорогу, ви їдете, милуєтесь краєвидами, цікаві будиночки, люди, поля, ліси, і тут.. бац, машину тряхнуло, зненацька налетіли на глибоку яму/думку, треба обгородити яму прапорцями, щоб запамʼятати і іншим розповісти… то тут, ви їдете по дорозі яку давно не ремонтували, яка вся вкрита дрібними ямами, і вас від цих ям увесь час трясе. Це скоріше бісить, починаєш турбуватись за машину, і якось вже не сильно звертаєш увагу на всі ці дерева, квіточки і будиночки навкруги.
Grande fan de B.W pour la trilogie des fourmis et les Thanatonautes, j'avais commencé le premier tome de cette trilogie confiante (j'aime les chats). J'avais trouvé le premier tome assez léger et sympa à lire. Pour ce qui est de celui là, franchement je vous recommande d'autres livres de l'auteur si vous n'en avez jamais lu.
La synthèse des points négatifs selon moi : -Incoherence histoire du T1 sur le T2 -Je trouve le personnage principal insupportable (Bastet) - Beaucoup trop d'humanisation des animaux : Je suppose que l'idée principale était de remettre nos comportements humains en question. Au final j'ai l'impression qu'on assiste à une glorification de l'humanité, où tout ce qui serait bien serait forcément humain à la base et repris par les animaux et eleverait leur conscience. Donc au final pas beaucoup d'efforts pour imaginer un autre mode de fonctionnement sans les humains si ce n'est faire du copié collé. J'ai attendu tout le T2 pour qu'il y ait des propositions d'alternatives de société (spoiler ça n'arrive pas).
Point positif si il faut en citer : -Encyclopedie du savoir relatif et absolu qui fait toujours apprendre des choses - J'ai bien aimé une partie du livre qui remettait en question les actions des hommes contre les animaux
En bref , je pense qu'il y a d'autres livres à lire avant celui là. Je ne pense pas lire le dernier tome de la trilogie.
J’étais déjà mitigée lors de la lecture du premier volume de cette trilogie et cette suite ne m’a pas convaincue.
Bastet est toujours aussi désagréable (bon ça, à la limite ça change de ce dont on a l’habitude) mais il n’y a pas un chapitre où il n’y pas une scène de reproduction. Et en général vraiment pas utile.
Le temps avance trop vite, les humains ne se questionnent pas, et vas-y qu’on crée une montgolfière ou un dirigeable avec 3 câble et un tissus. Non vraiment, il n’y a rien qui va niveau temporalité et chaque chapitre se termine sur un Deus Ex Machina presque prévisible.
Je vais quand même lire le 3ème tome, mais je n’en attend pas grand chose.
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Продовження історії кішки Басет і її місії в порятунку людської цивілізації. У книжці війна пацюків проти людей тпа інших тварин, які їм не коряться, для мене дуже співзвучна із нашою війною. Щоб протистояти цій навалі пацюків потрібно об'єднувати зусилля усіх видів тварин та людини, знаходити спільну мову, розвивати технології та вірити в перемогу
Շատ հավես գիրք էր։ Գլուխները երկու տեսակի էին` 1. գլուխներ Բաստետի պատմությունը, որը տեղի ա ունենում, 2. գլուխներ հանրագիտարանից, որտեղ նախօրոք հիշատակված բանի մասին ա պատմվում։ Շատ շատ հետաքրքիր էր։ Ինձ շատ դուր եկավ։
կարդացի պրծա պարզեցի, որ շարք ա ոչ թե մի գիրք ու էս կարդացածս 2րդն ա ։Դ տենց սկսեցի առաջինը կարդալ ։Դ
Tellement décevant. J'avais aprécié le premier tome pour son originalité et les idées mais le deuxième tome est de 'trop'. De plus, il est assez ennuyant, je n'ai pas eu beaucoup de plaisir à parcourir ses pages. Quelques passages intéressants mais la plupart du temps on lève les yeux au ciel.
Je m'excuse par avance pour ce qui va suivre, auprès de Monsieur Bernard Werber dont j'aime beaucoup les livres.
Suite directe de "Demain les chats" que j'avais adoré à en avoir un gros coup de cœur, ici je n'irai pas par quatre chemins, je n'ai pas aimé du tout. Principal souci : l'ennui. Il ne se passe pas grand chose, c'est très long à démarrer.
Une fois que l'histoire s'emballe on tombe dans un road-trip de Bastet et son acolyte accompagnés d'une humaine. un autre souci c'est que j'ai trouvé Bastet beaucoup plus hautaine que dans la première histoire et c'est pas vraiment supportable, elle est odieuse et horripilante, sans compter le dédain qu'elle possède de plus en plus pour les humains, trop poussé à mon goût.
Je vous épargne la description de la couverture qui parle d'elle même, alors que nous parlons tout de même d'un roman post-apocalyptique faisant état d'une guerre entre chats et rats, là où la couverture du premier tome était magnifique. Bref j'ai abandonné au bout de 300 pages avec le regret de mon achat.
Je pense tout de même que le livre à des qualités, notamment quelques passages cocasses (dans la tour des chats hors de Paris), ou encore les décors et le côté road-trip, le chat "Pythagore" toujours aussi drôle.
Le roman plaira certainement à la plupart des lecteurs ayant aimé le premier tome mais pour ma part c'est la grosse déception de l'année.
What a book. Bernard Werber is an amazing author and the writing is very good. The story is interesting and very different from what I ever read but yes, this is just not my type of book. I went through and could enjoy the very good writing and different story but it was hard for me to finish it. It is just so different from the genres I like. Do you like dystopian book with animals as heroes? Then you’re going to love this book! Do you prefer non fiction book based on true story? Then I should say don’t read it.
Бернар Вербер «Її величність кішка» Продовження книги "Завтра будуть коти". Як і в першій частині головною оповідачкою і героїнеє є кішка Бастет. Разом з Піфагором та своєю служницею на саморобній кулі, вони покидають острів, в надії на підмогу. Через атаку голубів, куля знищена, а вони опиняються недалеко від Версалю. Саме в Версалі вони бачать величезну кількість крис та їх головнокомандуюча Тамерлана. Після різних випробувань, Бастет опиняється в невеликому науковому осередку і отримує своє Третє око, яке допомагає їй розумітися з людьми і бачити більше. Друга книга не викликає стільки ж захвату як перша. Хоча вона також доволі цікава. Окрім пригод, роздумів, втрат і смертей, через які проходить Бастет, коти та люди, Бастет отримує нові знання, впевненість. До того ж, автор яскраво змальовує не тільки Париж, який зазнав апокаліпсису, а й інші регіони Франції. Майже після кожного розділу, автор додає той чи інший цікавий історичний факт. Як і перша книга, друга так само незвичайна, хоча можливо більше містить сцен насильства та історичних фактів і читачу вже не настільки незвично читати від імені кішки. Закінчення ж водночас і жахає і дає надію, адже автор натякає на третю книгу.
*** Все, що не розказане-забуте. А все, що забуте,-ніби ніколи й не було. Переповідання історії робить її безсмертною.
Найгірші вороги людей….це самі люди.
Скажу більше, я вважаю, щ дітей потрібно довіряти тим, хто любить ними займатися, а не тим, для кого це каторга.
Я вважаю, що лицимірство – необхідна властивість в політиці.
Боятися війни – це як боятися грози: ненавидіти частину природного циклу
Життя і смерть можем вибрати лише ми самі.
Варто визнати, що параноїки виживуть, на відміну від оптимістів.
Людство таке парадоксальне, в людей найсвітліший розум іде пліч-о-пліч із глибкою дурістю.
Велика армія озброєних дурнів завжди візьме гору над купкою інтелектуалів, якими б добрими стратегами вони не були.
Люди вправні тільки коли грають за своїми правилами, особливо, коли правила написані на їхню користь.
Різниця лише в тому, що вони їх убивають одразу, а ми спершу судимо. Різниця у формі, але не в результаті.
Найгірше, що може статися, - все життя лишатися на одному й тому ж місці, у тому самому оточенні, переживаючи ті самі ситуації.
Так влаштований світ людей: найжорстокіші завжди перемагають пацифістів.
Немає сенсу укладати мир із тим,хто хоче твоєї смерті.
Я прибічниця активних дій. Подумати можна й опісля.
Є люди, що їх хлібом не годуй – дай понівечити прекрасне.
Я думаю, книжки хвилюють сильніше, ніж особистий досвід. Ми не завжди можемо влучно описати пережите, натомість письменник - майстер слова – вміє точно змалювати те, що ми лише невиразно відчуваємо.
Так влаштований світ- перемагає мудрий і далекоглядний, незважаючи на всі перепони. Мрія завжди перемагає буденність.
Гадаю, материнська любов- не інстинкт. Так звикли думати, але насправді це не так. Наші діти – чужинці для нас, і шансів порозумітися з ними не більше, ніж із незнайомцями.
Що , коли в цьому і є сенс історії? Наші вороги переможуть, ми – програємо. Справдиться найгірше. Хороші загинуть ради того, щоб постав жорстокий, несправедливий світ – без гумору, любові, мистецтва і милосердя. Щурячий світ.
Cette lecture a été un peu... "compliquée"... Je ne m'y attendais pas mais je me suis ennuyée. L'intrigue est longue à redémarrer. Le rythme est vraiment irrégulier. Il y a des passages où les événements s'emballent et qui ont attisé mon intérêt. Puis, au contraire, mon enthousiasme se retrouve soudainement tombé à plat avec des passages emplis de longueurs.
Je ne me suis absolument pas attachée aux personnages. Bastet est encore plus insupportable et horripilante que dans le premier tome. Cela ne m'a clairement pas aidé à accrocher à ma lecture.
Je dois néanmoins parler de la fin de ce second tome. L'auteur sait très bien comment frustrer son lectorat. Malgré un ressenti très mitigé, j'ai envie de connaître la suite et fin de cette histoire. Je pense donc lire le futur tome malgré une forte baisse d'intérêt pour cette saga. J'espère sincèrement que l'histoire va retrouver un rythme et une ambiance qui sauront me satisfaire.
2.5/5 Un prémice très intrigante: un Paris apocalyptique, une aventure dans laquelle chats, humains, et d'autres animaux sont en compagnie contre les ennemis rats, afin de survivre. L'adoration pour les chats, la curiosité pour un livre imaginatif mêlé de faits scientifiques accompagnant parfaitement les passages du roman, voilà les raisons qui m'ont poussée à lire ce livre. Autant j'étais régalée par les anecdotes croutillantes qui assouvissent ma curiosité, autant j'ai trouvé le personnage Bastet agaçante (Bon j'avoue qu'elle m'a fait marrée au départ avec sa vision des humains, mais au fur et à mesure qu'on avance dans l'histoire, ce genre d'égocentrisme souvent inapproprié m'a un peu saoulée). A côté de cela, des passages qui trainent, et au comble, un gentil mot "à suivre" à la fin des 450 pages....
Je n'avais pas été très convaincue par le premier tome de cette trilogie et je dois avoué que ce deuxième tome commençait assez lentement et il m'a fallut du temps pour arriver à m'immerger dans l'histoire. Je l'ai cependant trouvé meilleur que le premier tome. Le personnage de Bastet, toujours, si ce n'est plus, prétentieuse ne me dérange pas outre mesure et me fait parfois rire dans ses incohérences. Son évolution vers un " état d'esprit " humain est intéressant à suivre. Finalement, ce roman est parcouru de bonnes idées, même si parfois il y a peut-être trop de mélanges à mon goût.
Même si depuis le cycle Troisième Humanité je suis restée sur ma faim dans les derniers roman de Werber, j'y retrouve les éléments qui m'ont fait apprécié son genre. J'attends beaucoup du troisième tome...
Que dire?! Pour emprunter une expression bien humaine et la transposer en langage félin: cette histoire est tirée par les poils de chat! Je m’étais promise de ne pas terminer cette trilogie sans queue ni tête mais, comme tout bon romancier, l’auteur nous laisse sur un suspense! Je devrai donc, bien contre mon gré, me taper la série entière. Je déteste pourtant cette Bastet si égocentrique et narcissique; elle nous amène à jeter un regard négatif sur les chats et c’est un sentiment qui me déplaît. Avec du recul, Werber a probablement fait du bon travail malgré cette aversion que l’œuvre nous inspire. De plus, les écrits de Werber recèlent toujours d’informations richement documentées. Il continue à faire réfléchir sur les aléas de l’humanité…
après les bagarres entre humains pour des raisons religieuses, la France voit ses humains décimés par la peste. Nathalie et une survivante ainsi que son chat. Avec plusieurs de leur congénères, ils vont s'installer sur l'🏝️ de la Cité. Mais bientôt, les rats en nombre incroyable les attaquent.
Werber, comme à son habitude, utilisent les éléments de notre actualité pour se projeter et des éléments du passé pour nous rappeler des faits via son encyclopédie.
Normalement, j'aime son style mais ici, le charme n'a pas opéré.
Deuxième tome de cette trilogie, et j'aime toujours autant! Bon, j'avoue sauter allègrement les paragraphes de l'encyclopédie du savoir relatif et absolu. Pour le reste cette saga me rappelle beaucoup celle des fourmis, que je placerai au même niveau, je valide 👌🏼 Après je ne ressens pas d'affects pour les personnages, alors que l'on assiste probablement à la fin de l'humanité. Mais l'histoire est prenante, pleine de rebondissements et je fais donc abstraction de ce manque d'émotions lors de la lecture.
Cette trilogie n’est clairement pas ma préférée de Werber. J’avais surtout été attirée par le chat sur la couverture du 1er tome qui ressemblait beaucoup au mien. La lecture m’avait été assez pénible. Malgré tout, j’ai poursuivi avec le 2eme et je dois dire que j’ai déjà beaucoup plus aimé ! Je ne saurais dire pourquoi car Bastet est toujours aussi insupportable : mais peut-être m’y suis-je habituée ?
Un chapitre sur 2 c'est un résumé approximatif d'article Wikipedia, certains propos du bouquin sont insupportables (entre "les barbus" et la vague prise de position pseudo-féministe superficielle j'ai levé les yeux au ciel plusieurs fois). Les animaux veulent se soustraire à la société humaine mais ils font tout exactement comme les humains et n'arrêtent pas d'encenser tout ce que les humains ont fait. Bref je déconseille la lecture, même si c'est facile à lire mieux vaut lire autre chose.
Premier et je pense dernier livre de Weber pour ma part. Je sais qu'il s'agit du deuxième tome de demain les chats mais il est possible de les lire indépendamment. Je n'ai pas du tout aimé l'univers, le personnage de Bastet était insupportable, et le plot pas à mon goût. J'adore les chats et apprécie l'auteur mais c'est un non pour moi.
Je n’ai vraiment pas aimé ce deuxième opus. Beaucoup de changements dans le caractère des personnages notamment dans celui de Pythagore devenu le plus grand pacifiste. Et quel horrible personnage Bastet est devenue. Elle a tous les défauts et toutes les qualités ce qui devient barbant. Elle est chiante. Néanmoins, le rythme est vraiment bon. Entre les passages avec l’Encyclopédie et le récit, il y a des pause pour souffler avant de ce replonger dans l’histoire.
J'aime bien les idées flyées de Werber, mais je pense que la vie est trop courte, ou du moins ma vie est présentement trop remplie, pour lire les plaintes d'une chatte égocentrique. J'abandonne la lecture après le premier tiers, j'y reviendrai peut-être un jour. Ou pas.
J'ai lu pour vous le premier chapitre de l'acte I afin que vous vous fassiez votre opinion. Retrouvez cet extrait sonore de quelques minutes afin de l'acheter ou l'emprunter en connaissance de cause.
L'histoire est vraiment comment dire surprenante, une fois que l'on commence il est alors difficile de s'arrêter de le lire. Attention il y a du suspence mais aussi des passages très triste, il y a aussi des passages drôle. La seule et unique chose que je déplore il y a un trop de passages disons.
Un peu déçue par ce 2e opus. J ai eu du mal à me mettre dedans. Et pourtant j adore Werber. Bastet est une héroïne arrogante et dedaigneuse, davantage que dans le premier tome. Je lirai neanmoins le 3e tome pour connaître la suite de leurs aventures!