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Edition enrichie (Preface, notes, commentaires sur l' uvre, chronologie et bibliographie)A ceuxqui nourris de grec et de latin sont morts de faim, je dedie ce livre.Jules Valles.Jules Valles, jeune bachelier, ne trouve pas de travail pour une raison bien J'ai dix ans de colere dans les nerfs, du sang de paysan dans les veines, l'instinct de revolte... ne voyant la vie que comme un combat, espece de deserteur a qui les camarades meme hesitent a tendre la main, tant j'ai des theories violentes qui les insultent et qui les genent; ne trouvant nulle part un abri contre les prejuges et les traditions qui me cernent et me poursuivent comme des gendarmes. Dans ce deuxieme volume autobiographique, entre "L'Enfant" et "L'Insurge," Jacques Vingtras le refractaire manifeste au Quartier latin, echafaude avec ses amis mille projets revolutionnaires. L'ecriture est enflammee, pleine d'humour. La Commune se profile a l'horizon. En attendant, il faut il sera pion."Preface d'Andre Stil.Commentaires et notes de Pierre Pillu.""

381 pages, Kindle Edition

First published January 1, 1881

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About the author

Jules Vallès

97 books26 followers
Jules Vallès est un journaliste, écrivain et homme politique français d'extrême gauche.

Fondateur du journal Le Cri du Peuple, il fait partie des élus lors de la Commune de Paris en 1871. Condamné à mort, il doit s'exiler à Londres de 1871 à 1880.

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8 (4%)
Displaying 1 - 15 of 15 reviews
Profile Image for فاروق الفرشيشي.
Author 2 books748 followers
February 23, 2015
Après l'enfant, Jules Vallès nous raconte à travers le personnage de Jacques Vingtras, son histoire de jeune homme qui vient de découvrir la vie à Paris des années 1850'.
Cette deuxième partie de son autobiographie est dédiée selon Vallès à ceux qui nourris de latin et de grec sont mort de faim. En effet, il y décrit sa longue vie de misère et de recherche infinie à remplir son estomac sans pour autant rompre avec ses idées de républicain et principes.

L'un des passages qui m'a le plus attiré :
"Aimé?

Ne voyant la vie que comme un combat; espèce de déserteur à qui les camarades même hésitent à tendre la main, tant j'ai des théories violentes qui les insultent et qui les gênent; ne trouvant nulle part un abri contre les préjugés et les traditions qui me cernent et me poursuivent comme des gendarmes, je ne pourrais être aimé que de quelque femme qui serait une révoltée comme moi.

Mais j'ai remarqué que la révolte tuait souvent la grâce! Et, moi, je voudrais que celle à qui j'associerais ma vie eût l'air femme jusqu'au bout des ongles, fût jolie et élégante, et marchât comme une grande dame! C'est terrible, ces goûts d'aristocrate avec mes idées de plébéien!"



Jules Vallès, Le bachelier
Profile Image for Miranda.
60 reviews3 followers
July 7, 2010
I find it interesting to read about those times by someone who actually lived them but I think the guy is kind of a whiny brat. He hasn't much of an excuse for his problems
Profile Image for Nawel Abdallah.
10 reviews
August 1, 2013
Les passages qui disent tout:

* "On dirait qu'ils n'ont que l'envie d’être éloquents et que celui suffit pour écarter le péril. - Révolutionnaires de 4 sous."

* "Le fla fla des phrases, que signifie-t-il à coté du clic clac des sabres ?"

* "On ne s'est point disputé ce dimanche-là, au contraire, il me semble qu'il y avait un rapprochement de coeur entre nous et qu'on se demandait pardon tout bas, l'un à l'autre, de ce qu'on avait pu se dire de blessant et d'injuste depuis qu'on se connaissait, comme si l'on allait être tout d'un coup appelé à se joindre contre le malheur."

* "C'est affreux! Il me semble que mon coeur s'en va et je pousse comme des aboiements de douleurs."

* " -Que fais-tu ? Vas-tu un de ces jours faire parler de toi?
-Que répondre ?"

* "Il m'est venue une pensée! ...
Elle me serre le crane et me tient le cerveau. Je m'en dors pas de la nuit.
Plus de calme, voyons! Tes amis ont raison - il faut voiler ton oeil, cacher ta fièvre, étouffer tes pas. Il faut marcher à ton but prudemment, pour pouvoir arriver, sauter et faire le coup ..."

* "Le salut de la patrie! -Et qui donc veut la sauver ?"

* "Il n'est pas facile de tuer un Bonaparte."

* "Je dois avoir l'air vieux que je reprochais à mes amis; j'ai vieilli, comme eux, plus qu'eux peut-être parce que j'étais monté plus haut sur l'échelle des illusions !"

* "Allons, Vingtras, en route pour la vie de pauvreté et de travail! Tu ne peux charger ton fusil! Prépare un beau livre !"

* "Il me reste vingt et un sous pour attendre la fin de la semaine, Samedi l'on doit me rendre deux francs que j'ai prêtés à un garçon sûr. Sûr? Aussi sûr qu'on peut être sûr de quelqu'un en ce monde !"

* "Il faut que je me remette en route pour trouver une place où je gagnerais notre vie, avec mon éducation. C'est que j'en ai, de l'éducation !"

* "On ne fait pas toujours ce que l'on préfère."

* "On est bien fort quand on a sa conscience pour soi."

* "...Je ne connais personne haut placé ou puissant. Puissant, haut placé! Il faut appartenir à l'empire! Je ne puis pas, je ne dois pas, je ne veux pas être protégé par les gens de l'empire, plutôt l’hôpital!
Il ne manque pas de pieds à lécher. Pour me payer de la lècherie, on me jetterait peut-être une situation. Je n'ai pas la langue à ça!
Par mon origine, je n'ai de racines que dans la lettre des champs - point dans la race des heureux! Je suis le fils d'une paysanne qui a trop crié qu'elle avait gardé les vaches et d'un professeur qui a bien assez de chercher des protections pour lui-même!..."

* "Ce que je fais de personnel est dangereux, ce que je fais sur le patron des autres est bête!..."

* "Pourquoi ai-je mis les pieds dans ce métier! Mon père! pourquoi avez-vous commis le crime de ne pas me laisser deviner ouvrier!..."

* "Ces paysans, ces paysannes qui passent, ce sont mes frères en veste de laine, mes sœurs en tablier rouge...ils sont pétris de la même argile, ils ont dans le sang le même fer!"

* "Aimé?
Ne voyant la vie que comme un combat, espèce de déserteur à qui les camarades même hésitent à tendre la main, tant j'ai des théories violentes qui les insultent et qui les gênent ; ne trouvant nulle part un abri contre les préjugés et les traditions qui me cernent et me poursuivent comme des gendarmes, je ne pourrais être aimé que de quelque femme qui serait une révoltée comme moi.
Mais j'ai remarqué que la révolte tuait souvent la grâce !"

* "Si je suis pauvre, c'est que je l'ai bien voulu, je n'avais qu'à vendre aux puissant ma jeunesse et ma force."

* "J'ai écrit dans ma tète depuis longtemps, comme avec la pointe d'un clou, que je devais être brave, plus brave que la foule, que cette bravoure serait ma revanche de déshérité, mon arme de solitaire."

* "On avait le droit de me faire souffrir et, si je me plaignais, on disait que j'étais un mauvais fils et un mauvais sujet. Je devais finir par demander pardon."

* "Ah! J'étais fait pour grandir et pousser au milieu de ce foin de ces arbres! J'aurais été un beau paysan! Nous nous serions bien aimés tous les trois: le père, la mère et le garçon!
C'est bien du sang de village qui courait sous ma peau, gourmande de grand air et d'odeur de nature. C'est eux pourtant qui voulurent faire de moi un monsieur et un prisonnier."

* "Je ne suis devenu savant que dans la douleur, et, si je suis un homme, c'est parce que dès l'enfance je me suis révolté."

* "Moi, j'aurais peur d’être enterré ainsi! Je veux avoir lutté, avoir mérité mes blessures, avoir défié le péril, et il faudra que les croque-morts se lavent les mains après l'opération, parce que je saignerai de toutes parts... Si la vie des résignés ne dure pas plus que celle des rebelles, autant être un rebelle au nom d'une idée et d'un drapeau!"

Ce chef-d'oeuvre est l'un des rares livres que j'ai lus plus qu'une fois. Il va me manquer un jour, et je le lirai encore une fois peut-être, qui sait.

Profile Image for marg.
173 reviews2 followers
September 5, 2025
ma conclusion c’est qu’il faut pas faire d’études
Profile Image for Lessidisa.
343 reviews2 followers
June 24, 2023
Ça part dans tous les sens, ça va vite, on ne s'ennuie pas, c'est léger ; ce n'est pas très long mais des fois on se demande si on avait vraiment besoin d'en lire autant. Sa vie est un cycle de tentatives qui échouent.

Il a l'air vraiment chaotique mais à mon avis ce n'est pas lui le chaotique mais le régime politique qui empêche les républicains comme lui d'exprimer leur opinion. C'est à cause de ses valeurs républicaines que sa vie est dure sous Bonaparte, car il finit toujours par exprimer ses opinions et cela le conduit invariablement à sa perte.



« Je parlais simplement de mon habit et de mon gilet, de mon air bête, et de mon envie de me jeter à l'eau, remplacée par ma résolution de quitter la France ; je contai que ce n'était pas la première fois que ma mère me poussait dans la voie du suicide avec des gilets trop longs ou des collets trop hauts. »

« - Allons, jeune homme, quittons-nous ! Je ne veux pas avoir été si longtemps servile pour être compromis en un quart d'heure par vos éclats de voix. Vous n'avez pas de femme à nourrir, vous, ni de famille à élever.
Il y a peut-être de l'héroïsme à faire ce qu'il fait ! Il a écrasé son orgueil et étouffé ses idées pour donner du pain aux siens ! »

« Le collège ? J'ai pu aller jusqu'à la porte ; encore mon cœur battait-il à se casser ! Quand j'ai pris la petite rue qui y mène, je titubais comme un homme ivre.
Mais arrivé devant la grille, j'ai dû m'appuyer contre une borne pour ne pas tomber.
C'est là-dedans que mon père était maître d'études à vingt-deux ans, marié, déjà père de Jacques Vingtras.
C'est là qu'il fut humilié pendant des années ; c'est là que je l'ai vu essuyer en cachette des larmes de honte, quand le proviseur lui parlait comme à un chien ; c'est là que j'ai senti peser sur mes petites épaules le fardeau de sa grande douleur. »

« Vous m'aviez frappée avec votre air bizarre ... Cette idée de se battre à propos de rien, pour l'honneur ... »
Profile Image for Fede La Lettrice.
836 reviews86 followers
December 27, 2021
Jacques Vingtras, dopo un'infanzia e adolescenza poco serene alle prese con una madre soffocante e succube del marito e un padre-padrone violento e autoritario, finalmente diplomato parte per Parigi con un forte desiderio di libertà e spirito di rivalsa
"Sono padrone delle mie azioni, della mia parola e del mio silenzio [...] Sono LIBERO! LIBERO! LIBERO!... Sento il petto che si gonfia, l'orgoglio che mi prende."
Parigi lo accoglie silenziosa e dormiente in un mattino in cui "C'è la solitudine dei villaggi in questa Parigi che dorme. È malinconica come l'abbandono: fa freddo, il freddo dell'alba e l'ultima stella brilla stupidamente nell'azzurro scialbo del cielo."
Jacques ha pochi spiccioli, cambia spesso dimora e nota come nel cercare lavoro in questa città post Rivoluzione l'avere un'istruzione sia un grande ostacolo quando, per i propri ideali, non si vuole scendere a patti con il regime.
Siamo nel pieno delle rivolte sociali e studentesche contro un re, Bonaparte, considerato l' usurpatore del Paese dai repubblicani e Vingtras, eletto capo del Comitato dei Giovani, chiama alle armi e organizza la rivolta, ma le cose si mettono al peggio, gli amici si tirano indietro, la rivoluzione vacilla, neppure l'attentato al re ha successo.
Il ragazzo, colmo di vergogna e di senso di fallimento, si vede costretto a fare ritorno in provincia, a casa dei suoi ma vi resterà poco, incapace di sopportare la solitudine, la claustrofobia e l'estraneità di tutto ciò che lo circonda anche se troverà finalmente quella umanità fatta di "gioventù dorata. Là si trovano tutte le teste calde della città. Personaggi che scialacquano tutta la loro fortuna. Non mi sarei scoraggiato e disperato così profondamente se avessi conosciuto questo mondo inquieto e febbrile - di spendaccioni, festaioli, sciupafemmine, attaccabrighe e duellanti convinti." Lì "C'è tutta la commedia della miseria scavata a monete d'argento che termina la notte con le prostitute e le emozioni del tappeto verde."
Tornato a Parigi il suo più grande problema resta in ogni caso trovare lavoro, prova a fare l'insegnante, il precettore, si impegna a dare ripetizioni, prova con il giornalismo, tenta la strada del copista, dell'addetto alla corrispondenza e in ultimo del commesso. Sempre viene gravemente sottopagato o addirittura non pagato, sfruttato certo, ma spesso è lui stesso a voltare le spalle a occasioni lavorative per non tradire i propri ideali "Ma se avessi voluto non essere miserabile, non lo sarei mai diventato, io che dopo i miei successi al collegio non dovevo far altro che accettare il mio ruolo di grande uomo di provincia. Potevo trovare, anche a Parigi, un sostentamento, un trampolino; avrei staccato protezioni in punta di spada, grazie alla mia natura loquace e sanguigna [...] Dai miei ex insegnanti del Bonaparte o della provincia avrei potuto ottenere un posto che mi avrebbe portato a tutto. Se sono povero, è perché l'ho voluto; non dovevo fare altro che vendere ai potenti la mia giovinezza e la mia forza."
Questo romanzo uscì in Francia nel 1879, ma solo adesso per la prima volta arriva in Italia grazie a @edizionispartaco e alla traduzione di Enrico Zanette .
Sono sincera, non conoscevo questo scrittore e cercando informazioni in rete mi sono resa conto che è praticamente sconosciuto qui da noi il che è un vero peccato. Romanzo diaristico che alterna racconti al passato a brani al presente (devo dire che ho sempre qualche problema con le narrazioni al tempo presente, come uno stridore) che ripercorrendo la vita del protagonista ripercorrono anche la vita dell'autore perché trattasi di autobiografia romanzata e Vingtras è Vallès medesimo, e lo spregio per l'istruzione, quel tipo di istruzione al servizio dei potenti, è quello dell'autore, e la denuncia sociale e politica come anche il tentativo di raggiungere una formazione scollata dalla cultura preconfezionata e preindirizzata sono di Vallès stesso.
Quello che più ho apprezzato è la spiccata ironia, spesso acida e sarcastica, che il protagonista ripiega su se stesso e la parte del romanzo di formazione.
Ho meno gradito l'incasellamento rigido dei fatti sociali e politici nel loro tempo che invecchiano un pochino l'opera.
Resta un libro molto interessante, di piacevole lettura.

Il diplomato
Jules Vallès
Traduzione: Enrico Zanette
Editore: Spartaco
Pag: 311
Font: medio
Voto: 3/5
Profile Image for Cristian-Dan Grecu.
4 reviews6 followers
January 8, 2021
Au trecut câteva săptămâni de când am terminat volumele I, II și III și-mi dau seama că, adevărat zicea un prieten de-al meu, volumul ăsta e cel mai bun din toate cele trei.
Cum volumul I se centrează pe el, personajul cel miculuț, câte să și faci la vârstele fragede ale copilăriei și adolescenței, decât să fi rezilient și să reziști mediului brutal în care te-ai născut. Dar volumul II era speranța lui Jacques de a se redresa, de a face ceea ce-și dorea, de a fi ceea ce credea că poate deveni, având puternica și via impresie că, o dată „eliberat” din ghearele a ceea ce reprezenta „acasă” (autoritatea sub forma părinților și a educației) și o dată ajuns în Paris, va reuși să-și croiască calea precum și-ar fi dorit.
Dar n-a fost să fie așa. Căci fiecare an în plus adăugat celor deja trăiți nu-i dovedea decât ceea ce știa în sinea lui, dar de multe ori nu dorea să accepte: că orice ar fi făcut, niciodată nu era destul de „bun” pentru acel loc de muncă pe care și-l dorea, că ba trebuia să fie educat așa, sau să fi început să lucreze X sau Y de la vârsta A sau B, și să fi arătat în F și H fel etc etc etc. Sau, chiar trădându-și propriile simțiri pentru un trai mai decent, cât s-o și duci așa, în opoziție cu ceea ce crezi cu tărie? În fine, volumul II este lupta lui constantă cu adevărata lume care, parcă, nu s-a schimbat așa de mult în cei 150 de ani, sau cât. Oricât de educată ai fi ca persoană sau de descurcăreață, nu asta contează, ci contează cum te poți mula sistemului care există deja, a cerințelor, a ofertelor. O situație constantă care, în loc să permită oamenilor să se liniștească, să se stabilească într-un loc al lor, să se calmeze și să devină oameni de-ai lumii, nu face decât să-i facă pe rebeli și mai rebeli, pe neliniștiți și mai neliniștiți, iar pe cei cu-n dram de calm, total necalmi.
Nu e de mirare că societatea franceză se ducea încet dar sigur către un nou val de revolte (citibil în volumul III, dar nu la fel de „antrenant” ca primele două), cu atât mai mult că se aflau în timpul imperiului lui Napoleon al III-lea.
Știu că multă lume citește literatură contemporană, care se petrece mai recent, în perioade despre care am auzit de la părinți și bunici sau le-am trăit noi înșine, ceea ce oferă posibilitatea unei empatizări mai ușoare, de a ajunge mai ușor în pielea personajului, pentru a putea călători alături de ea sau el sau ei și ele pe acel drum creat de autoare sau autor, un drum sigur, care nu crează riscuri reale, directe, fizice, persoanei care citește, pentru a ajunge la climaxuri emoționale și emoționante și, poate că, și de ce nu, la scurte momente evrika. În fine, nu pot fi decât de acord. La urma urmei, și cele trei volume au fost citite de cohorte de adolescenți și tineri a căror părinți și bunici erau de-o vârstă cu autorul.
Dar, uneori, mai trebuie și câte un junghi în inimă, junghi care-i urmat de un vânticel care pare a suna a un „mare lucru nu s-a schimbat de țșpe secole” și o dată ce a trecut junghiul și-ți dai seama ce ai auzit, fie te speri și zici că „nu, n-are cum”, fie te întrebi, precum Cernîșevski și alții după el, na, și acuma „Ce-i de făcut?”
Na, așa mi se pare că e volumul II, asta, desigur, dacă reușești să te transpui în personaj pe durata cărții ș-apoi să te-ntorci cu prima ocazie înapoi în lumea de acuma. Dacă nu, asta este...
Profile Image for Gaspard.
75 reviews
January 1, 2024
« Comme ces mots m’entrent dans le cœur ! C’est qu’il m’arrive souvent, le soir quand je suis seul, de me demander aussi si je n’ai pas quitté une cuistrerie pour une autre, et si après les classiques de l’Université il n’y a pas les classiques de la Révolution - avec des proviseurs rouges, et un bachot jacobin ! » (p. 117)
Profile Image for Hocine Oudjoudi .
35 reviews
November 11, 2025
Personally, it is compelling to actually read about those time by someone who lived them and told how that experience felt like.
Even though he could have made different decisions and find new ways, however it’s all he could do.
Profile Image for Lilli.
5 reviews2 followers
April 17, 2023
Das schrecklichste Buch, was ich je gelesen habe...
Profile Image for Czarny Pies.
2,830 reviews1 follower
August 30, 2014
Le bachelier est le deuxieme volet de la trilogie Jacques Vingtras qui raconte la vie de Jules Valles de sa naissance jusqu'a la chute du commnue de Paris. Il vaut mieux lire les trois (L'enfant etant le premier et l'Insurge etant le dernier) dans leur ordre de parution.

Dans l'ensemble le ton de la trilogie est tres amere et tres pessimiste. Donc, c'est unte tache difficile de la lire. D'autre part ca dresse un portrait sans egale de la generation des mecontents qui ont fait la commune de Paris.

A lire pour les enthousiastes d'histoire. Comme portrait de la mentalite des insurrectionistes urbains de Paris, La trilogie Jacques Vingtras emporte haut la main sur l'enfantile Miserables de Victor Hugo.
Profile Image for ·.
500 reviews
June 27, 2024
(5 Décembre, 2023)

Le début fascinant de la vie de Jacques Vingtras, dans 'L'Enfant', est gaspillé ici. La prose de Vallès, si belle et fluide, nous donne que des platitudes. Triste histoire après triste histoire, suivie d'aventures misérables et de choix peu judicieux, le tout prend un effort monumental à lire. Même les moments importants (il y en a très peu) ne font que prolonger la misère.

Le pathos du premier livre est transformé en mélodrame peu engageant. C'est pêle-mêle du début jusqu'à la fin. Un roman qui a presque tué mon envie de finir cette trilogie. Ce n'est qu'à la dernière page que Vallès se rachète.
Profile Image for Tara.
494 reviews17 followers
April 15, 2015
I suffered through this for my French literature class. It's a classic novel that, along with its companions (L'Enfant and L'Insurgé), closely mirrors Vallès' own life and condemns bourgeois practices of upbringing and education. I found it quite boring, and it didn't help that half the time I had no idea what was going on -- there are too many archaic words and phrases that a person with only a basic modern understanding of French can't understand.

We've now switched to Molière plays for the rest of the semester, and I'm over the moon.
Profile Image for Marvin.
186 reviews6 followers
January 9, 2015
Un roman politique intelligent et drôle. Il n'y en a pas beaucoup.
Displaying 1 - 15 of 15 reviews

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