À Angoulême, en 1920, Faustine poursuit son métier d’enseignante auprès d’orphelines. Veuve de Denis, la jeune femme ne peut plus masquer son amour pour son ami d’enfance, Matthieu. Ce qui provoque la colère de Bertrand Giraud, son beau-père et principal bienfaiteur de l’institution où elle travaille. Au Moulin du Loup, Claire doit, elle aussi, faire face à l’adversité quand sa fidèle servante et amie meurt accidentellement en laissant trois orphelins... Malgré tout, blessures et tourments font jaillir chez Claire, Faustine et les autres habitants de la vallée des Eaux-Claires un puissant désir de vie et d’espoir...
Parmi les quatre tomes que j’ai lus jusqu’ici, c’est celui qui m’a le plus déçue. On sent vraiment que l’histoire commence à s’essouffler : pendant plus des trois quarts du livre, il ne se passe quasiment rien, et tout l’événement important est concentré dans le dernier quart. Du coup, je me suis parfois demandé quelle était l’utilité de faire durer plus de 600 pages, alors que ça aurait pu être beaucoup plus court.
Malgré tout, je vais continuer la série, par curiosité, parce que j’aime encore beaucoup les personnages. Après plusieurs tomes passés avec eux, ça serait difficile de m’en détacher complètement
Une magnifique saga, qui nous plonge au coeur de cette famille charentaise, au début du XXème siècle. Une série de romans comme on les aime, avec des personnages attachants, des rebondissements, de la tendresse.
Je me suis sentie proche de Claire, le personnage principal, et ai vécu avec elle tous les aléas de la vie rude et simple qu'elle a menée, depuis son adolescence jusqu'à l'âge mûr.
Une belle plongée dans le quotidien de nos aïeux, qui nous laisse nostalgique.