C’est un lieu rond. On y arrive du dessus parce qu’on l’a ressenti. Un jour de trop. Il y a des arbres. Un plan d’eau. Des aires de jeux. De repos. Faut faire le tour. Longer le bord. Choisir la vie, le vide.
Au parc du last call, on se teste l’espoir, le vouloir, le soi, une épreuve à’ fois.
Pas mon préféré de cette auteure. Après avoir lu l’entièreté de son œuvre actuelle au cours des derniers jours, j’en ressort avec l’étrange constat que j’en trouve un sur deux incroyable et l’autre moitié plutôt banale. Celui-ci appartient malheureusement à la deuxième catégorie. Le style est fidèle à l’auteur, mais ne m’a pas accroché ici, la métaphore ou je ne sais trop comment l’appeler, avec le parc fonctionne plus ou moins. Je suis resté sur ma faim…
Je me demande pourquoi ce livre ne porte pas le titre « un lieu rond » carnet de parc ne me fait que penser au livre et travaux d’andre carpentier et je ne vois vraiment pas de lien entre les deux. En fait, si je vois beaucoup de carnet, je vois très peu de parc dans ce livre.
C’était la première fois que je lisais de la poésie et je ne pense pas avoir vraiment accroché. Je n’ai pas tout compris et ça me gosse un peu. Je ne sais pas si c’est moi qui comprenais pas ou si c’est vraiment le livre le problème. Je ne sais pas non plus s’il est supposé y avoir un fil conducteur dans la poésie mais je n’ai pas réussi à trouver le lien entre tous. Des fois ça ne fesait juste pas vraiment de sens aussi selon moi. Il y avait quand même des passages intéressants. Je ne sais pas si c’était le meilleur ouvrage pour commencer mais je reste ouverte.
(Et là je suis triste à parce que c’était supposé être mon livre pour la journée, mais je l’ai fini à la première période et je n’ai plus rien à lire. Help)
"je n’ai plus peur de rien avec l’envie de me dévêtir mon linge à terre ma peau avec m’a fait un flip par en avant les majeurs bien levés m’a laisser dans l’air les éclats de mon petit plaisir je verrai ce qu’il y a dans la chute une affaire à la fois l’important c’est le processus"
Beaucoup de métaphores poétiques avec le parc ou le camp de vacances. J'aurais aimé comprendre davantage le message qu'on me partage. Même si ce recueil ne m'a pas conquise, je suis tout de même curieuse d'aller voir ce que l'auteure a d'autre à proposer.
j’aurais aimé mieux comprendre la métaphore, au début je pensais que c’était moi le problème, mais dans les reviews ça a l’air d’être ça pour tout le monde…
Touchant et perturbant. Véronique Grenier nous amène à confronter la réalité et notre relation avec la fuite. C'est un malaise nécessaire et développé avec talent qu'on visite à travers ce petit joyau.
Pas de petits poèmes sur la nature, ni de réflexions déambulatoires, ni d'escapade en canot-camping ici! Le parc dont il est question en est un métaphorique. Un lieu de guérison, une colonie de vacances pour ceux qui se sentent perdus, un safe space où on peut mettre son existence sur pause et faire sa crise existentielle en paix. Un endroit où on tourne en rond, à la fois refuge et cage : on y tombe par inadvertance ou on s'y met volontairement à l'abri du monde – ou un peu des deux à la fois. Dans un cas comme dans l'autre, le danger, c'est d'y rester coincé. Pour en sortir, il faut faire le saut de la foi, oser se jeter dans le vide, dans la vie.
J'ai été agréablement étonnée par le thème et la façon dont il est abordé. C'est une allégorie originale, attendrissante et pleine d'humour, qui nous rappelle qu'il y a toujours de l'espoir. Une belle surprise!