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Les rosemonteries
Les rosemonteries, actes et situations possibles sur le territoire de Rosemont, constituent un réservoir anthropologique infini. Surtout lorsqu’Adam – microbrasseur de son métier et fin observateur des menus détails de la vie – se relève d’une veillée alcoolisée. Il vient de se faire laisser par son amoureuse et erre d’un bar à l’autre à la recherche de la pièce qui lui manque pour réparer un fermenteur.
Dans la nuit du 24 juin, Adam parcourt les rues festives de ce quartier de Montréal en plein bouleversement, coincé entre la disparition d’une faune de travailleurs de shop, la chaleur suffocante et les condos champignons. Le narrateur observe son environnement, l’admire, le célèbre et le critique. Il tisse souvenirs et visions grâce à ses petits carrés de papier buvard gorgés de LSD. Dans ce récit picaresque, les portes de la conscience explosent l’une après l’autre, et la vérité de l’existence, elle, devient de plus en plus claire.
Les rosemonteries, odyssée urbaine délirante, est un voyage intérieur en plein cœur d’une société en mutation.
Dans la nuit du 24 juin, Adam parcourt les rues festives de ce quartier de Montréal en plein bouleversement, coincé entre la disparition d’une faune de travailleurs de shop, la chaleur suffocante et les condos champignons. Le narrateur observe son environnement, l’admire, le célèbre et le critique. Il tisse souvenirs et visions grâce à ses petits carrés de papier buvard gorgés de LSD. Dans ce récit picaresque, les portes de la conscience explosent l’une après l’autre, et la vérité de l’existence, elle, devient de plus en plus claire.
Les rosemonteries, odyssée urbaine délirante, est un voyage intérieur en plein cœur d’une société en mutation.
- GenresRoman
126 pages, Paperback
First published February 26, 2020
1 person is currently reading
171 people want to read
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Community Reviews
Displaying 1 - 30 of 31 reviews
August 13, 2020
(4,5/5, I absolutely LOVED it)
« Le brasseur moraliste sur le LSD, c’est moi. »
Le livre est un genre de road movie, en solo, à pied (et en taxi), dans les rues de Rosemont. Soir et nuit de la St-Jean, Adam doit trouver une pièce pour réparer une composante qui sert à refroidir les cuves de fermentation de la bière. Adam est brasseur. Il doit agir rapidement, sinon, la batch sera gâchée. L’attend alors un chasser-croiser avec lui-même dans les rues du quartier.
Ça c’est le prétexte à la vraie histoire. Celle d’un gars qui vient de se faire dumper par sa blonde, celle d’un gars qui travaille trop. Qui boit trop. C’est l’histoire d’un gars qui n’a pas fait le deuil du décès de son grand frère. Qui n’a pas pleuré.
« J’aurais aimé que le paternel nous ait enseigné la faculté de pleurer. Ça vaut quoi, une émotion, si j’arrive pas à la vivre? »
Pendant la nuit, Adam transige dans la faune festive, discute avec son frère, ressasse sa relation avec Anaïs, le bien qu’elle lui a fait, le mal qu’il lui fait. LSD aidant, il poursuit sa quête, accompagné de ses démons. Il s’auto-analyse, se questionne, se répond.
« Je repense au pack de bières que je vais m’enfiler. Oublier Anaïs. Oublier mon frère. »
Parallèlement, le narrateur y va d’un cours 101 sur la magie brassicole, les houblons, les procédés de fermentation. Il y va également de pseudo analyses sociologiques et démographiques, de commentaires portant sur l’urbanisme ainsi que sur le gentrification.
« Il y a deux fêtes distinctes dans un immeuble. L’une se déroule fenêtres fermées … Dans l’autre, sur les balcons, des grappes de gens au visage luisant de sueur s’entassent à la recherche d’une bouffée d’air frais. Une nouvelle fracture sociale se dessine, une marque définitive s’installe chez les uns et les séparent des autres: Ceux qui possèdent l’air conditionné et ceux qui baignent dans leur transpiration. »
Tout ça dans un format novella. C’est à la fois dense et lumineux. C’est hyper dynamique, sympathique et, avant tout, ça sonne vrai. Je vais lui donner le plus beau compliment qu’on peut donner à un livre : J’AI DÉJÀ HÂTE DE LE RELIRE!
« Le brasseur moraliste sur le LSD, c’est moi. »
Le livre est un genre de road movie, en solo, à pied (et en taxi), dans les rues de Rosemont. Soir et nuit de la St-Jean, Adam doit trouver une pièce pour réparer une composante qui sert à refroidir les cuves de fermentation de la bière. Adam est brasseur. Il doit agir rapidement, sinon, la batch sera gâchée. L’attend alors un chasser-croiser avec lui-même dans les rues du quartier.
Ça c’est le prétexte à la vraie histoire. Celle d’un gars qui vient de se faire dumper par sa blonde, celle d’un gars qui travaille trop. Qui boit trop. C’est l’histoire d’un gars qui n’a pas fait le deuil du décès de son grand frère. Qui n’a pas pleuré.
« J’aurais aimé que le paternel nous ait enseigné la faculté de pleurer. Ça vaut quoi, une émotion, si j’arrive pas à la vivre? »
Pendant la nuit, Adam transige dans la faune festive, discute avec son frère, ressasse sa relation avec Anaïs, le bien qu’elle lui a fait, le mal qu’il lui fait. LSD aidant, il poursuit sa quête, accompagné de ses démons. Il s’auto-analyse, se questionne, se répond.
« Je repense au pack de bières que je vais m’enfiler. Oublier Anaïs. Oublier mon frère. »
Parallèlement, le narrateur y va d’un cours 101 sur la magie brassicole, les houblons, les procédés de fermentation. Il y va également de pseudo analyses sociologiques et démographiques, de commentaires portant sur l’urbanisme ainsi que sur le gentrification.
« Il y a deux fêtes distinctes dans un immeuble. L’une se déroule fenêtres fermées … Dans l’autre, sur les balcons, des grappes de gens au visage luisant de sueur s’entassent à la recherche d’une bouffée d’air frais. Une nouvelle fracture sociale se dessine, une marque définitive s’installe chez les uns et les séparent des autres: Ceux qui possèdent l’air conditionné et ceux qui baignent dans leur transpiration. »
Tout ça dans un format novella. C’est à la fois dense et lumineux. C’est hyper dynamique, sympathique et, avant tout, ça sonne vrai. Je vais lui donner le plus beau compliment qu’on peut donner à un livre : J’AI DÉJÀ HÂTE DE LE RELIRE!
May 15, 2020
Après avoir lu ça... à quel point ça me manques encore plus cruellement de déambuler dans Mtl avec mon sac à dos, à faire pleins de rencontres inattendues et enrichissantes tu penses? Ben trop.
Ceci étant dit, le vibe était chill, mais en même temps c'est un p'tit livre qui porte à réfléchir. Un style que je ne saurais vraiment définir encore... (scusez mon cerveau dans le jell-o à forcer d'emballer trop de commandes de livres haha) mais qui fait du bien.
Pour une p'tite promenade into Rosemont, et oublier notre privation collective de contacts humains francs et nombreux, lit ça, ça va te faire du bien 🙏
Ceci étant dit, le vibe était chill, mais en même temps c'est un p'tit livre qui porte à réfléchir. Un style que je ne saurais vraiment définir encore... (scusez mon cerveau dans le jell-o à forcer d'emballer trop de commandes de livres haha) mais qui fait du bien.
Pour une p'tite promenade into Rosemont, et oublier notre privation collective de contacts humains francs et nombreux, lit ça, ça va te faire du bien 🙏
August 15, 2020
Jeune auteur de talent ayant besoin d’un peu plus de vieillissement!
C’est l’impression avec laquelle je termine ce livre. J’ai aimé la critique de la société, le ton, les anecdotes brassicole et de consommation. Le style est présent et contient même certaines perles. Par contre, au niveau de la narration, des personnages, du fil conducteur qui tient le tout… à mon avis il en manque un peu. On se retrouve avec une sorte de récit fragmenté, si populaire au cours des dernières années au Québec, et qui, fonctionne parfois bien, est plus souvent qu’autrement raté Ce n’est pas le cas ici, loin d’un échec, plus près de la réussite, mais une impression décousu en ressort tout de même un peu. J’avais par moment l’impression de lire une ébauche du roman Le plongeur de Stéphane Larue.
Je serais tout de même bien curieux de suivre ses futurs écrits, car le potentiel semble bien présent. En terminant, le poème/table des matières du début est un tour stylistique habile et original.
C’est l’impression avec laquelle je termine ce livre. J’ai aimé la critique de la société, le ton, les anecdotes brassicole et de consommation. Le style est présent et contient même certaines perles. Par contre, au niveau de la narration, des personnages, du fil conducteur qui tient le tout… à mon avis il en manque un peu. On se retrouve avec une sorte de récit fragmenté, si populaire au cours des dernières années au Québec, et qui, fonctionne parfois bien, est plus souvent qu’autrement raté Ce n’est pas le cas ici, loin d’un échec, plus près de la réussite, mais une impression décousu en ressort tout de même un peu. J’avais par moment l’impression de lire une ébauche du roman Le plongeur de Stéphane Larue.
Je serais tout de même bien curieux de suivre ses futurs écrits, car le potentiel semble bien présent. En terminant, le poème/table des matières du début est un tour stylistique habile et original.
April 5, 2020
Dans ce livre, l’auteur nous plonge dans une course folle dans le quartier Rosemont de Montréal. Au fil des pages, on découvre les souvenirs qui hantent le narrateur concernant son frère décédé, ses dépendances ainsi que sa récente rupture amoureuse.
January 16, 2022
3,5 ⭐️⭐️⭐️½ - un auteur que je relirai certainement. Trop court!
April 21, 2025
Une promenade et une quête quelque peu psychédélique. Ça se lit bien, c'est divertissant.
Pourrait être vraiment moins ludique pour une personne qui connaît pas ou peu Montréal. À un moment j'oubliais de m'accrocher à l'histoire tellement que je me perdais dans l'enfilade de name droping d'endroits de Rosemont.
Il y a une trame triste en arrière/premier plan, mais peu de viande autour. De plus, le côté critique sociale semble forcé. Ça aurait été correcte que ça soit juste léger, l'occasion était belle.
J'ai quand même aimé ma lecture. Je conseillerais surtout de la lire si vous habitez la ville, et de vous installer avec cette lecture dans un café avec une bière, un jour ou un soir d'été.
Pourrait être vraiment moins ludique pour une personne qui connaît pas ou peu Montréal. À un moment j'oubliais de m'accrocher à l'histoire tellement que je me perdais dans l'enfilade de name droping d'endroits de Rosemont.
Il y a une trame triste en arrière/premier plan, mais peu de viande autour. De plus, le côté critique sociale semble forcé. Ça aurait été correcte que ça soit juste léger, l'occasion était belle.
J'ai quand même aimé ma lecture. Je conseillerais surtout de la lire si vous habitez la ville, et de vous installer avec cette lecture dans un café avec une bière, un jour ou un soir d'été.
April 19, 2020
Moi qui n'aime plus trop la bière, j'ai trouvé cette histoire qui la mène en scène tout simplement délicieuse. On emboîte le pas halluciné d'un brasseur en quête de pièce pour sauver une cuvée à travers le quartier de Rosemont à Montréal pendant la Fête nationale. En même temps qu'il arpente les rues, le jeune homme revisite son passé, évoquant sa récente rupture amoureuse et la mort de son frère qui l'a marqué au fer rouge. J'ai vraiment eu l'impression d'être un ange (ou petit démon) sur l'épaule du héros qui voyait tout, sentait tout à travers !ses yeux. Cette oeuvre ferait un bon film, ou une bonne pièce de théâtre! Je me languis de Montréal!!
July 30, 2024
Un page turner personnel, ancré dans le quartier, bourré de références.
Le voyage à travers Rosemont a pourtant l'air artificiel, comme si l'auteur se cachait pas vraiment d'avoir inventé une histoire simplement pour namedrop des endroits dans Rosemont. Le personnage est drogué 3/4 du temps certes, mais c'est pas une excuse pour lui faire prendre des chemins pas rapport simplement pour se rendre dans le plus d'endroits possible.
La représentation un peu crue du "Montréal alternatif" (entre gros guillemets) est bonne, mais gâchée par une critique sociale qui semble plus performative que sincère.
Ça se lit quand même vite et bien alors c'est le livre 2 étoiles que je recommande le plus.
Le voyage à travers Rosemont a pourtant l'air artificiel, comme si l'auteur se cachait pas vraiment d'avoir inventé une histoire simplement pour namedrop des endroits dans Rosemont. Le personnage est drogué 3/4 du temps certes, mais c'est pas une excuse pour lui faire prendre des chemins pas rapport simplement pour se rendre dans le plus d'endroits possible.
La représentation un peu crue du "Montréal alternatif" (entre gros guillemets) est bonne, mais gâchée par une critique sociale qui semble plus performative que sincère.
Ça se lit quand même vite et bien alors c'est le livre 2 étoiles que je recommande le plus.
February 21, 2024
Félicitations à Sébastien Ste-Croix Dubé d’être le premier auteur qui m’a fait relate à un microbrasseur sur le LSD (bon c’est peut-être pas bon signe que je me reconnaisse dans Adam. j’avoue.)
Franchement, j’habiterais jamais à Montréal parce que je suis une banlieusarde typique qui préfère les arbres et la verdure et tout, mais le livre m’a donné envie d’aller flâner dans les ruelles de Rosemont (avec supplément de drogue si affinité. non je déconne. ou pas.), alors il mérite bien ses 4 étoiles
Franchement, j’habiterais jamais à Montréal parce que je suis une banlieusarde typique qui préfère les arbres et la verdure et tout, mais le livre m’a donné envie d’aller flâner dans les ruelles de Rosemont (avec supplément de drogue si affinité. non je déconne. ou pas.), alors il mérite bien ses 4 étoiles
November 13, 2024
Je considère ce genre de lecture comme du junkfood littéraire. Je ne peux pas m'empêcher d'en consommer parce que ça se consomme tout seule comme un bon bigMac. Néanmoins je trouve que les thématiques de ruptures et de deuil , ainsi qu'une consommation de drogues excessive revienent beaucoup trop souvent chez les auteurs montréalais. Bon divertissement toutefois.
August 8, 2022
Délirante odyssée d'un brasseur secoué dans les rues de Rosemont. Éminemment sympathique et foutrement bien écrit. Une découverte en ce qui me concerne. À suivre..
March 17, 2023
J'ai pas trouvé ça super pertinent.
September 4, 2024
j’ai beaucoup aimé mais j’ai pas mis 5 étoiles parce que j’ai lu avant de me coucher et j’ai eu un peu de misère à m’endormir pcq j’étais trop stressée pour le personnage principal
April 28, 2025
Bon livre, je l’ai lu d’une traite.
Très bonne histoire qui donne envie de lire la prochaine page.
Cependant, j’ai senti l’envie de sauter certains paragraphes. L’auteur semble ajouter des sections de critiques sociales et de profondeurs qui ne sont pas très poussés ni sentis. De plus, un des punchs final est un peu trop typique.
Somme toute, je lis rarement un livre en une soirée tel que je l’ai fait. Un chef d’oeuvre pour donner des vibes dans le livre. On peut facilement imaginer les personnages et les interactons dans Rosemont.
Très bonne histoire qui donne envie de lire la prochaine page.
Cependant, j’ai senti l’envie de sauter certains paragraphes. L’auteur semble ajouter des sections de critiques sociales et de profondeurs qui ne sont pas très poussés ni sentis. De plus, un des punchs final est un peu trop typique.
Somme toute, je lis rarement un livre en une soirée tel que je l’ai fait. Un chef d’oeuvre pour donner des vibes dans le livre. On peut facilement imaginer les personnages et les interactons dans Rosemont.
May 26, 2022
Pendant la Saint-Jean-Baptiste, Adam est amené à devoir trouver un morceau d’une machine à son travail afin de brasser la bière.
À travers sa quête dans Rosemont, on découvre et redécouvre des parcs, des microbrasseries et des lieux phares de ce quartier de Montréal.
J’ai beaucoup aimé le poème du début qui est en fait la table des matières! Je suis pas une grande fan de bière, mais j’ai tout de même réussit à être entrainée dans l’histoire et à l’apprécier!
À travers sa quête dans Rosemont, on découvre et redécouvre des parcs, des microbrasseries et des lieux phares de ce quartier de Montréal.
J’ai beaucoup aimé le poème du début qui est en fait la table des matières! Je suis pas une grande fan de bière, mais j’ai tout de même réussit à être entrainée dans l’histoire et à l’apprécier!
February 7, 2021
3.5
Je l’ai lu presque d’une traite, je me suis laissé porter par la quête absurde, les déambulations, la ligne floue entre le réel et l’imaginaire. En surface, le projet/but de trouver les pièces pour réparer la machine à glycol, en dessous, une marche sans fin à la recherche d’un but, d’une réponse. J’ai bien apprécié ce moment de lecture.
Je l’ai lu presque d’une traite, je me suis laissé porter par la quête absurde, les déambulations, la ligne floue entre le réel et l’imaginaire. En surface, le projet/but de trouver les pièces pour réparer la machine à glycol, en dessous, une marche sans fin à la recherche d’un but, d’une réponse. J’ai bien apprécié ce moment de lecture.
January 5, 2023
L’histoire est intéressante et tient la route majoritairement, mais est quelque peu décousue et maladroite à quelques endroits. Ça devient parfois étourdissant. La plume de l’auteur est vraiment très belle par contre. Un.e autre éditeur.trice pourrait aisément rendre justice à ce roman qui a tout pour bien fonctionner.
April 15, 2021
Les premiers mots qui me viennent à l’idée pour décrire ce livre sont déjanté et éclectique. J’ai bien aimé l’originalité du fil conducteur, le parcours dans la ville. J’ai toutefois l’impression qu’il manquait un petit quelque chose pour que j’accroche vraiment à ce livre.
September 25, 2021
Très bon début de l’histoire d’un jeune homme qui travaille dans une microbrasserie de Montréal. Le lieu de l’action est très bien décrit et reconnaissable. Malheureusement, le noeud est la description détaillée d’un trip d’acide. Ça devient redondant !
April 19, 2020
Belle promenade psychédélique sur les jantes d’un mec un peu perdu dans les rues de Rosemont.
December 15, 2020
J'ai beaucoup aimé ce roman campé à deux pas de chez moi. Au fil du livre, j'avais la réelle impression de prendre une marche dans mon quartier, mais dans les souliers de quelqu'un d'autre. J'ai trouvé les personnages plutôt crédibles et leurs réflexions intéressantes. Je le recommande !
December 15, 2020
J'ai déjà hâte de lire ses futurs romans.
Read
January 18, 2021En plus juste après une rupture et de retour à un Montréal parsemé de microbrasseries... Fuck c'était un beau petit détour. Merci Sébastien.
March 24, 2021
Un brasseur de bière qui se promène ds la ville, problèmes personnels pas réglés.
February 8, 2022
Écriture épurée qui nous transporte dans tous les coins du quartier Rosemont
April 29, 2024
Belle poésie courte à lire! Il n’y a pas vraiment d’intrigue par contre.
July 10, 2024
J’aime vraiment la prémisse. J’aurais aimé que le livre soit plus long. Il y avait tellement de passages intéressants qui auraient mérités d’être davantage développés.
3.5*
3.5*
January 4, 2025
Une expédition montréalaise racontée avec une plume douce et turbulente à la fois. Un concept bien pensé et différent de ce qu’on voit habituellement. Je recommande fortement!
February 20, 2021
Ce livre ce lit d'un trait! Comme une p'tite vite;0)
On voyage dans mtl, les images sont claires... on souffre avec le narrateur de tous ces petits tracas.
Un auteur à relire!
On voyage dans mtl, les images sont claires... on souffre avec le narrateur de tous ces petits tracas.
Un auteur à relire!
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