Le succès sourit enfin à Simon, quarante ans, fraîchement nommé à la tête d'un média numérique en plein essor. Ce père de famille hétéronormatif caucasien et marié a tout pour réussir... dans les années 1980. Malheureusement pour lui, ses employés sont presque tous nés au tournant du millénaire. Mais qui diable sont ces gens qui réclament des toilettes non genrées? Qui dirige vraiment cette salle de nouvelles, et pourquoi de violents incidents inexplicables frappent-ils soudainement des représentants de la génération X ?
C’est difficile de mettre une note. J’adorais l’histoire, le genre d’humour et le thème des générations. Bref, je passais vraiment un bon moment. Puis, le roman a pris une tournure bizarre que je n’ai pas apprécié. L’auteur s’est aussi adressé à nous en plein récit, ce qui m’a fait décrocher. Honnêtement, j’ai eu de la difficulté à finir le livre. Les dernières pages étaient interminables. Je donne quand même 4 étoiles, car j’ai apprécié le style d’Hugo Meunier, son humour et l’idée originale. Mais, j’aurais abrégé la fin et supprimé l’idée de la page 257.
Weird, vraiment weird comme livre. Je crois que l’auteur à par contre eu un fun fou a écrire ce roman !! Habituellement, c’est plaisant de se faire surprendre par la tournure inattendue d’une histoire, mais dans ce cas-ci c’est beaucoup beaucoup trop absurde ! Ayoye j’en reviens pas! Je me sens flouée dans un sens parce qu’avoir su je ne l’aurais pas acheté! Sur une note positive, on peut dire que l’auteur a une sacrée audace et une belle plume.
Hugo Meunier me fait toujours rire et son premier roman n'a pas fait exception. C'est comme de lire ses essais, récits de voyage ou chroniques. C'est le même humour cabotin qui ne lésine pas sur les références de culture populaire pour ajouter un effet comique... sauf que cette fois-ci, c'est une fiction. J'étais vendue d'avance et je n'ai pas été déçue malgré le revirement absurde en 2e moitié qui m'a laissée perplexe à plusieurs moments... mais le plaisir a toujours dépassé la perplexité. Je dis toujours qu'il se fait trop peu de vrais bons romans humoristiques... mais en voilà un de plus. Bon jusqu'aux remerciements! :-)
Je voulais tellement aimer ce livre. Mais non. Déjà je n'aimais pas le ton du personnage principal mais je me disais que ça allait clairement être une caricature d'un quadragénaire parmi des milléniaux qui déboucherait sur quelque chose de pertinent mais… Non. L'auteur utilise des personnalités publiques connues. Pourquoi? Pour donner un semblant d'intérêt à son livre? J'ai pas embarqué malheureusement. L'histoire s'en va n'importe où, j'ai l'impression que même l'auteur inventait page par page sans même savoir lui même où tout ça s'en allait.
Vraiment décevant. J'ai adoré tous ses autres romans, mais celui-ci a vraiment fini avec du n'importe quoi. C'était très bon jusqu'à l'interlude - la fin laisse à désirer.
J’ai adoré le style de l’auteur, son humour absurde, ses nombreuses références populaires servant à illustrer des comparaisons hilarantes, les clash entre les générations, et les deux histoires qui se déroulent en parallèle à différente époques. J’ai découvert Hugo Meunier, un auteur qui à mon avis ne se prend pas du tout au sérieux et n’a pas peur du ridicule (j’adore!) et j’ai envie de le lire davantage. Magnifiquement surprise par ce roman, c’est le moins qu’on puisse dire, et je trouve que les petits sociologues du dimanche comme moi, qui aiment l’absurde, se feront un plaisir de dresser des parallèles avec notre réalité.
Oh lala. J’aime beaucoup le style d’écriture d’Hugo Meunier. Par contre, une twist à la page 264 qui change complètement l’univers et le réalisme du roman, ça m’a tellement fâché (presque insulté je dirais). J’ai terminé ma lecture frustrée, en me disant que je ne peux pas abandonner le roman rendu là, mais il n’y avait plus aucune crédibilité ni intérêt au roman.
Correct, mais moins bon que Olivia Vendetta du même auteur. J'ai trouvé que l'altitude "patron de 40 ans dépassé par la jeunesse" s'étirait v longueur, et avait-on besoin d'ajouter la couche "quarantenaire qui veut échapper à sa vie conjugale/familiale"?
Pour l'histoire parallèle, j'ai compris assez tôt de quoi il s'agissait et je me demandais bien où il voulait en venir avec ça. Finalement lors du grand revirement de situation, ça a repris du rythme et j'ai repris intérêt. C'était assez bien raconté. Les fils se sont rattachés.
L'impression tout de même que c'était un peu long (alors que j'ai dévoré Olivia Vendetta en 3 jours). Je ne le recommanderais pas d'emblée.
Livre qui illustre de façon quelque peu caricaturale, le clash entre les milleniaux et les autres générations. L’auteur raconte en parallèle deux histoires campées dans le milieu journaliste, une en 1990 et l’autre en 2021, intéressant. Livre humoristique, divertissant avec une finale trop échevelée! Bref, si vous avez terminé toutes les lectures que vous vouliez faire, vous pouvez lire ce livre.
J'ai adoré! J'ai ri!!! Et j'ai été surprise surtout!! On ne peut en dire trop, au risque de gâcher le plaisir de découvrir cet excellent roman. Ne lisez même pas le résumé à l'arrière du livre, osez le commencer...vous ne serez pas déçu!
Je n'ai pas détesté. Je ne sais sincèrement pas comment qualifier le revirement de situation. Lecture intéressante, divertissante, mais certainement pas ma préférée.
Moi qui a adoré chaque Stanké que l'ai lu, celui-ci m'a énormément déçu... L'auteur selon moi a un grand potentiel avec son écriture, mais l'utiliser pour un roman sans aucune ligne directrice congruante et qui utilise des personnalités comme Hubert Lenoir, Claude Bégin, Claude Poirier et Coeur de Pirate comme personnages qui n'ont AUCUN lien, ça ne fait pas de sens. On commence ce roman en pensant voir une belle comparaison entre la presse avant l'invention totale de l'Internet et la presse d'aujourd'hui mais ça se termine par des scènes cadavédriques mettant en vedettes des vampires... Vraiment déçue malheureusement. Si vous vouliez lire un bout de twilight ou du journal d'un vampire allez-y!
Bel humour teinté de cynisme, des références d'époque et de lieux qui réconfortent si on s'y retrouve comme c'est mon cas... Et malheureusement une histoire qui aurait dû se terminer à la page 257. Les 6 pages suivantes sont des notes ennuyantes et à la page 263 l'histoire reprend sous un angle très différent et j'ai eu peine à terminer. Dommage, j'aimais bien le début.
C’est l’histoire d’un homme qui, pour « relever de nouveaux défis », accepte un poste de gestionnaire dans L’Astronef, une sorte de magazine Web des années 80. Sitôt embauché, le nouveau patron n’a plus aucun signe de vie en provenance de la haute ligne hiérarchique; aucune consigne, aucun mandat précis, aucune attente. Bref, des conditions peu réelles, d’autant plus que l’équipe de jeunes journalistes semble complètement autonome et répond à ses propres lois. Pas besoin d’un patron quadragénaire, déconnecté, et qui en plus ne comprend rien à la culture jeune.
Avec le temps, de mystérieuses explosions surviennent dans différents lieux publics de Montréal, causant de nombreux blessés et des pertes de vie. L’enquête policière révèle que curieusement, des membres de l’équipe du patron s’adonnent à être sur les lieux avant tous les autres médias. Attention, voici le punch : les journalistes de l’Astronef s’avèrent être des vampires. Et vlan! Pour savoir comment les vaincre, la policière Claude Poirier va devoir se référer aux films et aux romans sur le sujet. Aussi simple que cela…
Ce livre est une caricature; un livre à ne pas prendre au sérieux et l’auteur se sent obligé de le mentionner au départ. À mon avis, la base de ce texte aurait pu trouver un écho beaucoup plus favorable dans une bande dessinée mettant en vedette un monde fantastique. N’en déplaise à l’auteur, j’ai l’impression que je viens de lire l’ouvrage collectif d’un groupe d’adolescents qui déconnent et dans lequel chacun ajoute des détails pour y laisser sa marque. Pour la subtilité, il faudra repasser. Aussi, « l’intermède » de la page 257 est bizarre. On dirait que l’auteur a des doutes sur l’efficacité de son écriture ou sur l’intérêt que devrait susciter son œuvre et sent le besoin d’influencer le jugement du lecteur.
J’avais très envie d’aimer le roman. J’étais déjà vendue avant de le débuter, mais je l’ai terminé déçue. C’est drôle, les personnages sont caricaturés et les lieux réels (ce que j’aime bien, d’autant plus que des tranches d’histoire se déroulent dans ma ville), mais à partir du 2/3, on change d’univers complètement et j’ai décroché. Je ne comprenais plus. Pourquoi ce revirement absurde?
Des millennials stéréotypés à l'extrême(je m'attendais à de la caricature mais le roman l'amène à un autre niveau) qui sont aussi secrètement des vampires assoiffés de sang s'en prennent aux ''génération X'' hétéronormatifs et racistes en attaquant des évènements associés à des célébrités dont les noms sont éparpillés partout dans le livre comme des candies. Niveau de cohérence: zéro.
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Tellement absurde. J'ai adoré la plume de l'auteur. On sentait vraiment le plaisir qu'il a eu à écrire son livre à travers ses mots. J'ai rit à plusieurs moments. Les revirements du dernier quart du livre me laissent un peu perplexe. J'ai été grandement divertie par ma lecture.
Ça commence, de façon super banale, avec un mononcle qui devient patron d’un média numérique (genre Urbania) qui se plaint de la nouvelle génération de jeunes adultes en enchaînant tous les clichés possibles. Aucune nuance. Tous les stéréotypes y passent.
Rapidement, ça part en vrille. On alterne entre le présent et le passé. On se doute bien que les deux histoires sont liées. Ça devient un gros ramassis de n’importe quoi.
*DES SPOILERS SUIVENT*
On donne un rôle et une histoire fictive à Marc Lépine. On tombe dans une enquête policière ridicule où les victimes sont des hommes de la génération X (Éric Lapointe, Peter Mcleod… LOL)
Le coup de grâce arrive plus tard. Les jeunes et les terroristes sont des vampires. Il y a une descendante du chasseur de vampires Van Helsing (Elle s’appelle Vanessa Helsing). Le chef des vampires est Hubert Lenoir qui est, lui-même, le fils de Marc Lépine. Alaclair Ensemble sont des vampires. Coeur de Pirate en est une aussi. Vraiment du gros n’importe quoi.
Finalement, la narration de l’auteur est super convenue. Il place des fucking, des perfness, des dudes et plus encore , dans chacun des dialogues pour représenter les jeunes, mais ça lui donne juste un air encore plus mononcle.
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« Si Juliette avait été témoin de l’évolution du romantisme, parions qu’elle n’aurait pas bu une potion pour simuler sa mort dans l’espoir de s’enfuir au bras de Roméo, mais bien pour crever au plus sacrant. »
Simon, 40 ans, est nommé patron d’un média numérique. Par contre, il déchante vite: il est le seul homme hétéronormatif caucasien et marié dans une équipe de milléniaux réformateurs. Pourquoi veulent-ils des toilettes non genrées? Et pourquoi la génération X est-elle victime de violents événements?
J’ai vraiment aimé ma lecture! L’auteur est toujours aussi drôle: ce roman est une sorte de parodie où on tourne au ridicule le fossé intergénérationnel. Il y a, en parallèle, l’histoire d’un patron dans les années 1990. Ces deux histoires nous permettent de comprendre que, bien qu’on ridiculise un peu les demandes de la génération Y, elles sont aussi importantes pour notre société que les demandes féministes de 1990. L’idée de la fin m’a laissée surprise: je ne m’attendais pas du tout à ça! 😂 Mais rassurez-vous, je n’en ai pas moins apprécié le roman. J’ai bien aimé qu’à un certain point l’auteur s’adresse directement au lecteur. On n’y est pas habitués et ça nous sort de notre zone de confort! J’ai vraiment aimé ce roman et je vous le conseille fortement!
Je suis très partagée. Du côté négatif, je trouve que les références aux milléniaux sont tellement exagérées que ça rend le récit un peu off. Les analogies trop nombreuses et le cynisme omniprésent alourdissent le texte. La vision déprimante du couple m'a aussi déplue, comme si l'amour qui perdure était une utopie. La tournure des événements aurait pu être un major turn off, mais je suis restée accrochée jusqu'à la toute fin. Ce qui, selon moi, vaut les 4 étoiles est l'habileté évidente avec laquelle l'auteur a ficelé les 2 histoires en parallèle, qui convergent en un seul point à la fin. J'ai aussi beaucoup aimé qu'il s'adresse directement au lecteur. Enfin, en tant qu'artiste, je trouve hyper importante la couverture du roman, qui rend très bien hommage au récit. En fin de compte, j'ai apprécié ma lecture et je ne regrette pas d'avoir acheté le livre. Je vais le relire et le suggérer à mes proches. Good job!