Ein Jahr ohne Cthulhu

by Thierry Smolderen, Alexandre Clérisse, Ulrich Pröfrock

Nach dem Thierry Smolderen sich in "Imperium des Atoms" einem Schurken des Science-Fiction-Romans und in "Ein diabolischer Sommer" einem Comicbösewicht gewidmet hat, nimmt er sich H. P. Lovecrafts Gruselgeschichte "Call of Cthulhu" an, und verlegt sie in die Achtzigerjahre, in der ein paar Jugendliche das gleichnamige Rollenspiel spielen. Mit fatalen Folgen!
Und wieder erweckt Alexandre Clerisse die Geschichte in den allerschönsten Bilder im Mad-Men-Style zum Leben erweckt.

Genres: Bande Dessinée, Comics, Graphic Novels, Fantasy, Horror, Sequential Art

174 pages, Hardcover

First published October 4, 2019

About the author

Thierry Smolderen (born 25 November 1954) is an essay writer, as well as a script writer of Belgian comic strips.

Smolderen is a teacher at École des Beaux-Arts of Angoulême, France. As a comic books historian, he wrote Naissances de la bande dessinée (2009), about the "platinum age" of comics. This book has been published in English by the University Press of Mississippi in 2014, under the title The Origins of Comics: From William Hogarth to Winsor McCay (Eisner Award nominee of 2015 in the Best Scholarly/Academic Work category).

Reviews

[Michael · Rating 5 out of 5]

EIN JAHR OHNE CTHULHU ist das dritte große Projekt von Smolderen und Clerisse. Schon die Vorgänger Das Imperium des Atoms und Ein diabolischer Sommer haben mir hervorragend gefallen. Aus dem staunenswerte Nachwort von Smolderen wird deutlich, an welchen Fäden die drei Werke (so nenne ich die Bücher mit Bedacht) zusammenhängen. Zeitgeist spielt eine bedeutende Rolle, aber auch spezifische Inhalte, denen sich Smolderen persönlich verbunden fühlt. In EIN JAHR OHNE CTHULHU geht es vorzüglich um die Rollenspiele der 80er Jahre (und das, obwohl Smolderen betont, selbst nicht der boomende Szene der Rollenspieler zugehört zu haben).
Nun geht es weißgott nicht nur um Horrorszenarien im Rollenspiel, sondern H.P. Lovecrafts ewig böse Dämonen sind genauso Bestandteil wie die Themen KI und Bewusstsein.
Im krassen Gegensatz zu den Zeichnungen, die an naive Kinderbücher der 50er und 60er Jahre denken lassen, einer Zeit, als die Welt noch angeblich in Ordnung war, steht die Handlung, die in Komplexität und Erzählstruktur einem David Lynch=Film nicht nachsteht. Beginnt nicht auch BLUE VELVET mit einer unerträglich wohlgelaunten Fahrt durch eine amerikanische Kleinstadt, in der der Protagonist schon wenig später ein abgeschnittenes Ohr findet? In EIN JAHR OHNE CTHULHU gibt es viele abgeschnittene Ohren - natürlich bildlich gesprochen (und doch wieder nicht).
Es wird mehrerer Lesedurchgänge bedürfen, um den Inhalt der Story auch in den Details zu erfassen, und ich freue mich darauf.

[Aylin Kuhls · Rating 4 out of 5]

Das war mal wieder ein richtig toller, unkonventioneller Comic. 💛 Sowohl die Handlung als auch die Zeichnungen sind der Hammer!

[Sassenach · Rating 3 out of 5]

En fait 3,75/5 ... presque un 4 si l'histoire n'avait pas été aussi compliquée ! Je suis fan des albums de ces deux auteurs car j'adore le style graphique très années 50 et ses couleurs franches et variées et je trouve les histoires toujours originales et correspondant à ma génération et mes goûts. Ici, il est question de Lovecraft mais en fait, pas tant que ça ! Il s'agit surtout d'un récit concernant des adolescents au début des années 1980 (en fait, cela se déroule principalement entre 1982 et 1984), des ados fans de jeux de rôle, de jeux vidéo et qui se retrouvent impliqués dans une histoire qui les dépasse. L'époque me parle forcément vu que je n'ai qu'une poignée d'années de plus que nos héros et que je me suis donc retrouvée dans l'atmosphère. La seule chose que j'ai trouvée peu adaptée à l'époque, c'est la disponibilité des drogues pour ces ados ... il me semble que c'est arrivé plutôt vers les années 1988-1989 parce qu'en 1984, c'était plutôt compliqué d'en trouver facilement ! Ensuite, je ne suis pas forcément fan de jeux de rôle (même si j'ai la première boite de Donjons et dragons chez moi) mais je connais bien les jeux vidéo et l'informatique. Qui plus est, j'ai toujours été fan de fantastique et là, ça ne manque pas non plus. Tout est donc réuni pour me parler mais j'avoue que j'ai parfois eu un peu de mal avec certaines scènes qui m'ont paru un peu obscures ou trop ésotériques. Alors j'imagine que cette lecture pourrait poser un gros problème à ceux qui n'auraient pas les références de cette époque (arrivée du questionnement sur l'intelligence artificielle, l'influence des jeux de rôle sur la psyché des joueurs, la conception des jeux vidéo ...). Mais pour moi, ça reste quand une lecture originale et une histoire bien menée, malgré ses zones d'ombre !

[Anna (Ink of Books) · Rating 3 out of 5]

Ich versteh überhaupt nicht, was überhaupt passiert ist am Ende. Sehr schade, ich fand die Idee sehr schön.

[Del Feeny · Rating 3 out of 5]

L'art de Clérisse est absolument superbe, et fait toute la force du bouquin. Les illustrations mettant en scène l'imaginaire des personnages m'ont particulièrement plu.
L'histoire elle-même est aussi très intéressante (je ne connaissais pas ce fait divers). Malheureusement elle méritait un meilleur scénariste. Le rythme et les émotions tombent à plat, les dialogues ne sont pas très bons, et c'est bien dommage. Il y avait le potentiel de faire bien mieux, surtout avec un artiste pareil.

[miss_mandrake · Rating 5 out of 5]

Schaudern und staunen in Schrill-bunt und Schwarz-Weiß!
Ich liebe dieses Buch und seine Story und ich liebe die mehr als gelungenen Zeichnungen dazu.
Ich werd es definitiv noch öfters lesen, weil ich denke, dass es noch so viel zu entdecken gibt, dass man es gar nicht beim ersten Durchgang alles erfassen kann.

[Karine Mon coin lecture · Rating 4 out of 5]

3,5
Je trippe sur le dessin, mais le début du scénario était juste un petit peu lent à mon goût. Mais quelle subtilité dans les références!

Mon billet sur le blogue: http://moncoinlecture.com/une-annee-s...

[Marion · Rating 2 out of 5]

Très très fan du graphisme. Un peu moins de l'histoire.

[Léa B · Rating 3 out of 5]

3.5⭐️
surprenant d'avoir pleins d'univers qui se mélangent entre la vie de ses ados et les JDR mais je me suis un peu perdue parfois aussi à cause de ça, j'ai trouvé que l'histoire mettait du temps à se mettre en place, les couleurs étaient trop belles et j'aime bcp le style de dessin !

[Karen · Rating 4 out of 5]

Zeichenstil 1*

[Kliklinex · Rating 3 out of 5]

The art style is gorgeous but the plot is wayyyyy too chaotic and confusing

[Bernard Convert · Rating 4 out of 5]

Troisième album du duo Smolderen-Clérisse autour d'une décennie et d'éléments de sa pop culture : après les années 50 et la SF genre Galaxy, van Vogt, Cordwainer Smith et Zorglub, les années 60, avec les fumetti neri genre Diabolik et l'esthétique Chouchou, ici ce sont les années 80 avec les jeux de rôles et les jeux d'arcade. Le dessin de Clérisse est toujours splendide (tout petit bémol : j'ai regretté qu'il n'y ait pas d'incrustation, comme dans le premier où on avait une vraie couverture de Galaxy, ici la boîte mythique du premier Dungeons and Dragons aurait pu être reproduite plutôt que dessinée). Quant au scénario il est assez compliqué et on n'est pas sûr à la fin d'avoir relié tous les fils. D'autant que la dernière image, si on la regarde en détail, intrigue. Tous les anciens rôlistes se reconnaitront dans la partie de Call of Cthulhu en ouverture de l'album ("t'as combien en agilité ?"), ici jouée dans un cimetière...

[Mendousse · Rating 5 out of 5]

Troisième volume de la collaboration parfaite entre Clerisse et Smolderen, une année sans cthulhu se concentre cette fois sur les années 80. Et c'est une nouvelle fois une grande réussite, à tous points de vue. Le dessin de Clérisse est toujours magnifique, dans un style que j'adore. En bonus, l'histoire résonne fort pour moi, puisque l'on aborde le jeu de rôle dans les années 80 dans un petit bled, avec tout le cadre sulfureux qu'il pouvait avoir à l'époque. Je me souviens que c'était quelque chose que l'on n'abordait pas en dehors d'un cercle de confiance... Ici, ce n'est que le point de départ à une brillante histoire mêlée de fantastique, qui capte très bien l'esprit de l'époque... Encore une fois, un coup de maître !

[Sebastien Plante · Rating 3 out of 5]

Après avoir adoré L'Été Diabolik, j'attendais beaucoup de ce livre qui m'intéressait déjà par son époque et ses thèmes: on navigue dans les mêmes eaux que Stranger Things ou Black mirror: Bandersnatch.
Finalement, j'ai été plutôt déçu, ayant l'impression que les auteurs cherchaient à faire entrer trop d'éléments dans leur récit. Tout s'éparpille, avec une multitudes de dénouements qui se succèdent, de revirements qui voudraient nous surprendre, mais qui me semblent seulement incrédule.
L'ambiance reste intéressante, la mise en page souvent originale.

[Meryl · Rating 2 out of 5]

Le dessin / graphisme est aussi dingue que l'histoire est Bof :/ en tout cas je n'ai absolument pas accroché à un scénario qui s'il était très prometteur, part vite dans tous les sens malheureusement et ne se poursuit sur aucun des arcs (pourtant intéressants et originaux) qu'il développe trop vite.

[Román Sanz Mouta · Rating 4 out of 5]

https://dentrodelmonolito.com/2022/05...

Tenemos condensada en esta novela gráfica los juegos de rol en mesa (con La Llamada de Cthulhu y Lovecraft, como ya muestra el sugerente título) presidiendo el argumento, los video-juegos, la IA, la magia y la brujería, los dioses y chamanes druídicos, y la investigación más pura al estilo de un thriller convencional. ¿Cómo?, os preguntaréis, te preguntarás.

Porque se trata de un tesoro, muchas pequeñas historias que conforman la trama principal con diversas aristas y vórtices, todo ello disfrazado tomando como punto de partida un suceso fatídico en Auln-sur-D´Arcq durante el año de nuestro señor Azathoth 1984, reviviendo una tragedia comunal desde sus protagonistas, en cuasi primera persona.

Varios jóvenes juegan al rol, a La Llamada, cuando vuelven a encontrarse con su némesis, la chica que perdió un ojo y no lo ha perdonado, albergando ira y poder en sí misma, y a la vez uno de esos chavales recupera la amistad con otro amigo perdido, un genio de la protoinformática, la tecnología, y encima superdotado. A eso se suma la llegada al instituto de una enigmática mujer rodeada por un aura de misterio y misticismo que ella misma fomenta, casi más aventurera que estudiante.

Con este planteamiento que vemos desarrollado en las primeras páginas, presentando a cada personaje y colocando las piezas en su sitio de aquel pretérito, iremos recuperando información desde el pasado para que la escena fija de un crimen horripilante que todavía no conocemos tome contexto, forma y fondo, sin que adivinemos por dónde va a salir; si toca realismo u horror ignoto. Y lo hace con una narración sugerente y atractiva, ágil, de acción dialogada sin escatimar escenas inenarrables, y que combina perfectamente con unas viñetas de dibujo simple pero eléctrico que juegan con la paleta de colores, incluso en la piel de los personajes, para expresar el momento dramático de cada toma, de forma que nos sumerge emocionalmente dentro de la misma, además de firmar visuales que ora son horror, ora son los 8 bits de aquella época. Y es que forman un buen dúo creativo los autores; a Smolderen ya lo sigo desde Gipsy, y Clerisse está en mi punto de mira ya, aunque creo recordar alguna obra suya preterior.

Pues este compendio de argumento se va complicando, de manera que no sepamos hasta el final el motivo desencadenante de la tragedia, generando empatía o animadversión cambiante por los protagonistas, que se desbrozan capa a capa mostrando sus vínculos entre sí y las entrañas propias con cruda sinceridad. A esos protagonistas, a los supervivientes al menos, los veremos cerrando el cómic en el presente para ofrecer la entrevista que se supone da forma a la novela, donde la periodista duda si creerse tal amalgama de maravillas y monstruosidades improbables, resultando mucho más cómodo el razonamiento criminalístico y la motivación de venganza o locura. Y sí, pero no, porque repito, Cthulhu puede ser la excusa y parte importante, pero la magia y brujería, el saber druídico y sus consecuencias, los sacrificios que requieren ostentar un poder que pertenece a otros dioses o entidades, sumado a una curiosa aportación tanto de los videojuegos como de la IA, me han seducido, quedando con cara de niño feliz y satisfecho una vez que he terminado la lectura. Poco más puedo pedir.

Ya adiviné buenas críticas en su lanzamiento original, y con esta versión en castellano no solo llamará vuestra atención, más incluso siendo acólitos a Lovecraft con el ya típico gancho (cada vez más usado y cansino). Merece la pena arriesgar para la adquisición de este volumen con más de 160 páginas, ilustraciones rítmicas con colores vivos y un argumento misterioso que añade y resuelve enigmas desde el inicio hasta su misma página final, con acción, revelaciones, tensión y todo lo que podéis esperar de una buena historia que conjuga con acierto ciento elementos.

Sensacional. Bienvenides, bienvenido y bienvenida, a Un Año sin Cthulhu.

Pd: a les jugadores de rol, y más concretamente de La Llamada, y director de juego como es mi caso, nos llega aún más esta delicia de cómic. Gracias.

[RubiGiráldez RubiGiráldez · Rating 3 out of 5]

Aún a riesgo de lo mucho que ha fusilado (para mal) Stranger Things el revival o reexaminación de la cultura pop efervescente 80". El tema de relacionar los juegos de rol o videojuegos con sucesos violentos o hasta cultos satánicos y ritualísticos sigue resonando a día de hoy (aunque en menor medida, aún presentes). Si Dragones y Mazmorras fue una enorme diana para muchos grupos ultrareligiosos o conservadores para buscar una cabeza de turco de nuevo artefacto cultural que "jubilase" los comics como "intoxicador" de inocencias en formación. La Llamada de Cthulhu, juego en base al vasto imaginario de Howard Phillips Lovecraft y su círculo de escritores allegados, compuesto por multitud de narraciones sobre seres o entidades aberrantes a las que adorar o temer para siempre acabar sumido en la locura y muerte. Es fácil asumirlo como un objeto y juego más peligroso que el Necronomicón de Los Mitos de Cthulhu. Y Thierry Sholderen sigue esta premisa con Un año sin Cthulhu, que nos muestra un pueblecito que parece haber sufrido una grave tragedia local en la que unos jóvenes fans del terror y el rol, se han visto inmersos. Siendo ahora malvistos, hasta el punto de que una del grupo sigue coincidiendo con los otros solo en citas nocturnas y aisladas como puede ser una partida en un cementerio. La llegada de una joven de aspecto cándido pero de intereses aventureros y hasta místicos, rompe con esa falsa monotonía auto impuesta para los personajes protagonistas de estar "un año sin Cthulhu". Pero esto será por una vía tan oscura y misteriosa como la campaña más atrevida del "rol master".

Un año sin Cthulhu asume bastante bien esa fácil adscrición a la referencia ya mentada de Stranger Things. Ofreciendo unos personajes y situaciones que rompen bastante con esa hiper estitización y glorificación de los 80" y las aficciones populares más ligadas al gran género y no solo a la comedia estudiantil o la acción hiper atrofiada. Thierry parte de una situación que parece ocultar un mayor amargor del que sí que vemos en viñetas o diálogo claro y no velado. Para no tardar en aumentar aún más un fondo argumental que llega a alcanzar cotas bastante truculentas para lo que quizás se podía esperar en un primer término. Hay muchos personajes y situaciones que van más allá de esa interesante historia (sic.) que trae el personaje de Mélusine, con una verdadera civilización antidiluviana de megalíticas construcciones sumergidas y misteriosos cultos olvidados a deidades de nombres mucho tiempo impronunciados. Lo cual funciona para no caer en el fácil ejercicio "fanfic" en base a los ya tan reconocidos Mitos Lovecraftnianos y en ir con todo en ese gran fondo narrativo y antropológico de los monomitos. El motivo por el cual se realiza esta nueva campaña de rol también es muy osado por parte del autor y podría haber fundamentado toda la obra con una perspectiva más psicológica que lo que al final se embarulla en unos conceptos de los que resulta muy complicado tratar de racionalizar fuera de lo mágica o directamente sci-fi (en este punto ligado a la Inteligencia Artificial, algo que nos toca muy de cerca pero que en este comic se acoje a la referencia directa TRON sin mucho cuidado ni acierto). Y también una sub trama homicida que va volviéndose cada vez más exagerada por una vía doble de la que surge una antagonista que queda bastante descontextualizada en nada más que no sea una excusa argumental para forzar disputas o eventos trágicos.

Lo que sí que es fácil de disfrutar de Un año sin Cthulhu es del estilo artístico de Alexandre Clerisse. Un perfil caricaturesco que se siente bastante único y aporta gran personalidad y narrativa gráfica a la obra, consiguiendo un estupendo juego visual con la paleta de colores y el poderoso uso de las sombras.

Al final, Un año sin Cthulhu me recordó muchísimo a Mátalos a todos. Otro cómic que parece querer romper con la hiper mercantilización de la década 80" en la ficción actual desde el corazón más oscuro de las tinieblas de un coming of age. En el caso de la historia de Smolderen, sí que creo que es un resultado algo más fallido.

[Sandra · Rating 4 out of 5]

Ich habe bereits Das Imperium des Atoms gelesen, weil ich die Zeichnungen im Stil der 50er Jahre mit seinen klaren und vielfältigen Farben liebe und die Geschichten immer originell finde.
Lovecraft spielt hier nur indirekt eine Rolle in Form des Rollenspiels Call of Cthulhu.

Wir erleben ältere Teenager in den 1980er Jahren, junge Leute, die Rollen- und Videospiele lieben und in ein Abenteuer verwickelt werden, das sie mehr als überfordert. Dieses Jahrzehnt hat mich zwangsläufig angesprochen, da ich in etwa im gleichen Alter bin als unsere Helden zu der damaligen Zeit und mich daher gut in die Atmosphäre habe hineinversetzen können. Ich muss jedoch zugeben, dass ich manchmal mit einigen Szenen ein wenig Schwierigkeiten hatte, die mir etwas zu obskur oder zu esoterisch erschienen. Ich kann mir also vorstellen, dass diese Lektüre für diejenigen, die nicht über die Erfahrungen aus dieser Zeit verfügen, ein großes Problem darstellen könnte (die Frage nach der künstlichen Intelligenz, der Einfluss der Rollenspiele auf die Psyche der Spieler, die Konzeption der Videospiele ...). Aber für mich bleibt es trotz allem eine originelle Lektüre und eine flüssig zu lesende Geschichte trotz ihrer Schattenseiten!

[Laëtitia · Rating 3 out of 5]

L’album a été acheté d’abord pour les illustrations d’Alexandre Clérisse dans lesquelles mon regard aime se perdre, son univers me replonge en enfance - je retrouve la même fascination qui me faisait détailler certaines images quand j’étais petite. L’histoire aurait pu me plaire mais elle ne m’a pas emmenée - qu’est-ce c’est décousu ! Peut-être me manque-t-il des références mais le scénario aurait mérité d’être mieux pensé pour que l’on n’arrive pas à la dernière page en se disant : j’ai rien compris.

Même les notes de la fin n’ont pas réussi à clarifier le propos, au contraire. Elles m’ont fait l’effet d’un sujet d’initiés que l’on ne prend pas la peine d’expliquer aux néophytes. Dommage, mais cela ne m’empêchera pas de lire d’autres albums du duo car quoiqu’il en soit, il y aura les illustrations qui se suffisent presque à elles seules.

[Simon · Rating 4 out of 5]

Ich liebe den Art Style von Ein Jahr ohne Cthulhu. Manche Panels erinnern an Computerspiele mit isometrischer Perspektive, andere sind an alte Nintendo Pixel-Grafiken angelehnt. Auch darüberhinaus feiert Thierry Smolderen in seiner Geschichte die popkulturellen Erungenschaften der Vergangenheit: vom Rollenspiel Call of Cthulhu über Charlie Chaplin bis hin zum Film Tron. Leider wird durch die Vielzahl an Reminiszenten das titelgebende Lovecraft-Thema etwas vernachlässigt. Ich hätte mir eine stärkere Verknüpfung der Rollenspiel-Elemente mit der eigentlichen Geschichte gewünscht, leider verliert dieser Aspekt nach einem starken Einstieg immer mehr an Relevanz. Das Ende konnte mich dann leider auch nicht ganz zufrieden stellen. Aber schon rein auf der visuellen Ebene lohnt es einen Blick in Ein Jahr ohne Cthulhu zu werfen.

[Lucas · Rating 3 out of 5]

The third entry in Smolderen and Clérisse's "time machine" series, where they explore different decades through genre fiction. This time around, it's the 80s by way of cosmic horror arcade games ! Kind of Stranger Things adjacent, obviously.

Set in a small rural town, the book starts off by saying it's based on a gruesome killing that was blamed on kids playing RPG, and the author wants to set the story straight (it's all fictional, obviously).

I liked this less than L'été Diabolik, but it was fun nonetheless. It starts off strong, takes a little time to get where it's going, but once it's running, it's full speed ahead ! Definitely did not see the dénouement coming..

Very stylish art by Clérisse, as always.

[Florenceg · Rating 2 out of 5]

Intéressant graphiquement. J'ai eu du mal à accrocher au scénario car la trame de l'histoire est difficile à suivre, en particulier les connexions entre les personnages : tout arrive un peu de façon hors sol et je n'arrive pas à comprendre les enchainements entre certaines scènes et les relations entre les personnages secondaires. Pourtant la thématique était alléchante et avait tout pour plaire.

[Montserrat Vilavendrell · Rating 3 out of 5]

M'he enamorat de la il.lustració i el color d'aquest còmic, aconsegueix uns gràfics molt dels anys 80. Amb el guió, tot i que la història m'ha agradat prou, l'impacte no ha estat tan satisfactori. Hi ha moments en que m'ha faltat informació i alguns aspectes d'un parell de personatges no els he acabat d'entendre. Però objectivament, pas mal.

[Emma Prost · Rating 3 out of 5]

Je suis mitigée sur cette lecture. L'univers de cette BD dans un délire Stranger Things était plus que plaisant, le style des dessins suivait dans cette dynamique des années 80'. En revanche, le côté sombre de l'histoire qui touche au domaine de la fantasy m'a moins plu. J'ai eu du mal à accrocher, mais le déroulé des faits était plaisant !

[Soseum · Rating 5 out of 5]

Ce roman graphique est une perle visuelle. Chaque case est un travail subtil et intelligent d’un point de vue coloré et de la composition...on a envie de se replonger inlassablement dans chaque vignette.
Le scénario est haletant, bien mené : à lire et surtout à relire !

[Flo Svn · Rating 3 out of 5]

J ai adoré les dessins, le scénario beaucoup moins. Je pensais lire une bd sur le jdr, au final, c est plus la vie de jeunes adultes sous drogue qui jouent sur des birnes d'arcades. C'est plus proche de Tron que du jdr. Ça ce lit, c'est beau, c'est sympa mais pas incroyable.

[Rafaela Oliveira · Rating 3 out of 5]

Les illustrations sont très belles, le jeux de couleurs hyper nostalgique ! L'histoire un peu lente à mon goût.

[Coline Brnx · Rating 4 out of 5]

Lue juste après leur "Été Diabolik" qui m'a diaboliquement plu, alors forcément, c'est pas tout à fait au niveau... Mais quand même, c'est assez high ! Et... définitivement fan du graphisme.

[Cavailles · Rating 2 out of 5]

Graphisme au top mais alors l’histoire….je n’ai rien compris.
Apparemment, il faut avoir connu Lovecraft, les jeux de rôle. Donc est ce que la bd est mauvaise ou non…

[Mélanie · Rating 3 out of 5]

J'ai ouvert cet album attirée par le dessin et ses couleurs, mais l'histoire ne m'a pas emportée autant que je l'avais espéré.