Strasbourg, juillet 1518. La ville est soumise depuis quatre ans aux pires calamités. La sécheresse, les grands froids, la famine, la maladie... C'est ce qui explique pourquoi Enneline est allée précipiter son enfant depuis le pont au Corbeau. Ça et la folie de la danse qui s'est saisie d'elle tout de suite après. Nombreux furent ceux à entrer dans la danse à sa suite... certains jusqu'à la mort.
Alors, y a pleins de détails qui sont évacués, parfois, c'est dommage parce que c'est des éléments qui apportent beaucoup. J'ai bien aimé le passage interprétatif sur les danseurs.
Le travail des couleurs, textures et posing est vraiment chouette mais j'aurais aimé un dessin plus grandiose avec des doubles pages, il manque un grain de folie pour ce récit. Décomposer les mouvements de danse aurait pu être une piste graphique également.
bref, chouette BD sans pour autant être grandiose !
Septembre 2024. Je ne connaissais pas ce fait historique et ça attise ma curiosité. Cela dit, les choix artistiques me laissent perplexes, c’était pas trop mon genre. J’ai trouvé l’ensemble assez « bof ».