"Rose l'a dit à Lou : il faut croire encore au bonheur. Elle a toujours eu le don pour apporter de la joie à partir de presque rien. Un joli paysage, une belle lumière, le parfum d'une pivoine, le goût du chocolat noir attrapé avec la langue sur le fouet à pâtisserie, un bon repas, un fou rire qui tire les larmes, respirer à pleins poumons, danser, jouer... Ce sont ces petites doses de bonheur à pratiquer au quotidien. C'est à cela qu'il faut s'accrocher. "
Well, well, well… Je ne peux pas dire que ce roman m’a emballée, même pas du tout. Je l’ai trouvé long et mou. En prime, le fil des saisons qui passent super vite m’a un peu perdue. Il se passe à la fois plein de choses, mais trop banales, et rien.
J’ai beaucoup de mal avec les romans où il y a peu de dialogues et qu’on me raconte juste machin fait ça, bidule ressent ça, trucmuche pense ça. Et là c’est vraiment la sensation que j’ai eue, qu’à chaque chapitre on me balançait juste des moments.
J’ai trouvé les personnages lisses, on aurait dit des Mr & Mme Parfaits. J’aurai aimé plus de peps, plus de vigueur ! J’avais tellement envie de les secouer !!! Même l’histoire de la crise de jalousie se règle en deux secondes. Je n’ai pas du tout réussi à m’attacher à eux.
Alors il y a une belle histoire de famille mais je suis passée à côté :/
Ce n’est pas souvent que ça m’arrive et vu les autres chroniques que j’ai pu voir, je dois être la seule à ne pas avoir aimé 😉 Je pense aussi que si vous avez lu d’autres romans de Laure, vous apprécierez sans doute. Surtout que c’est la suite de la Mélancolie du Kangourou.
J'ai mis du temps à lire ce roman, la fatigue d'abord qui m'a empêché de consacrer du temps à la lecture et le sentiment que cette histoire était longue, mais longue ... Puis , enfin , après 35 chapitres l'histoire prend enfin de l'épaisseur et on comprend pourquoi l'autrice a voulu retrouver Lou , Antoine et Rose que nous avons rencontré dans " La mélancolie du kangourou ". Et la le sujet traité est douloureux mais traité avec humanité et sans tabou. Alors oui , il faut insister et aller plus loin que le premier tiers du roman et s'ouvrir aux émotions qui finissent par se bousculer
Dure de donner une note à ce livre. Je l’ai trouvé très lent jusqu’à la moitié. J’avais envie de lire la suite du livre « la mélancolie du kangourou » car j’étais attachée aux personnages. Heureusement, car sinon j’aurais peut être arrêté - beaucoup de descriptif, presque pas de dialogues Et puis, un événement tragique et la, impossible de m’arrêter. J’ai rarement autant pleuré (si je suis honnête, j’ai carrément sangloté) en lisant un livre.
J’ai retrouvé Lou, Rose et Antoine avec un grand bonheur ! J’avais bien vu sur les blogs et compte litteraire de beaucoup que ce livre les avait fait pleurer comme jamais... Je ne m’attendais pas à pleurer egalement ! Ce fut un livre emouvant, dechirant qui vous prend aux tripes sans jamais vous lacher. Un livre qui vous fait passer par de la joie, les pleures, la colere, la haine et l’injustice. Laure manel a su me faire pleurer tout le long des cent dernieres pages. On a vu Lou prendre en maturite en quelque page, on a vu Rose porter sur ses epaules un poid immense et garder quand meme la tete haute ! C’etait brillant, une ecriture fluide... l’auteur a su parler de l’euthanasie sans entrer dans des details glauque et en nous mettant les larmes au yeux quand meme ! Je ne suis pas prete de me remettre de cette lecture !
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J’ai hésité entre 3.5 et 4, mais je pense que c’est vraiment le côté émotionnel qui l’emporte pour ma note.
J’ai moins aimé cette suite de La Mélancolie des Kangourous. Premièrement, les premiers 40% du roman se trouvent à être des rappels du livre précédent et de ce qui s’est passé dans le saut de 5 ans, parsemé ici et là de moments au présent. Ça a rendu l’histoire longue, puisque j’avais envie d’être avec eux complètement dans le présent ! Et quand celui-ci arrive, disons que c’est dramatique et on se retrouve vers une pente glissante (à cause des larmes) jusqu’au dernier mot du roman.
Aussi, et ça j’avoue que je pleurais tellement sur Mélancolie que je ne m’en suis pas rendue compte si c’était comme ça, mais l’écriture est vraiment en Dit au lieu de Montrer. L’auteure nous dit ce que les personnes disent et font au lieu qu’ils agissent et utilisent des dialogues. Je l’ai plus réalisé ici et parfois ça m’agaçait, surtout vers une scène finale où certaines paroles auraient pu être directement rapportées au lieu d’en narration.
Concernant l’histoire, ça m’a fait du bien de retrouver Rose, Lou et Antoine. Oui c’est une histoire de « riches » et de « bourgeois » qui ont la vie de rêve… ou pas en fait. Comme quoi, avoir de l’argent et des opportunités n’empêche pas le malheur. Pour moi, Antoine a été frappé par la foudre deux fois. Avec la mort de sa femme Raphaëlle en couche et la deuxième, en apprenant une sombre nouvelle qui changera sa vie pour toujours. Donc bourgeois est-il peut être, il a quand même vécu bien des merdes épouvantables.
Voir Lou grandir a aussi été un bonheur. De gamine incapable de prononcé « Rose » à une adolescente pleine de caractère.
C’est une belle histoire qui fait vivre des émotions en grande pompe, assurément. Est-ce le mieux écrit? Non, mais quand on vit l’histoire à ce point, la forme devient superficielle.
J’avais adoré La Mélancolie du Kangourou qui est sans doute mon livre préféré de Lauren Manel. J’ai donc sauté sur ce second opus, largement indépendant du premier et fondamentalement différent aussi. Il vaut mieux avoir lu le premier tome tout de même.
Ne nous voilons pas la face, j’ai moins aimé ce second tome et je me suis même demandé pourquoi Laure Manel reprenait des personnages dont l’histoire était terminée pour la reprendre. Un des premiers points qui m’a perturbée est que pendant une première moitié de l’ouvrage, on avance dans le temps, on nous raconte la vie de Hermance, la grand-mère d’Antoine, d’Antoine et de celle qui était entrée dans sa vie au pire moment, la mort en couches de son épouse, Rose et de la petite Lou. Elle a perdu sa maman et ne l’a jamais connue mais c’est une famille équilibrée que l’on retrouve. Antoine, las de son travail, a tout plaqué pour venir s’installer en Savoir, auprès de sa grand-mère, Hermance. Il est devenu un vrai montagnard, guide et moniteur de ski. Rose a trouvé sa place là et Lou s’y épanouit. Dans une sorte de chronique charmante, nous suivons leur vie, au fil du temps. C’est sensible, très bien écrit, pas ennuyeux mais on sent bien que le vrai sujet est ailleurs.
Lorsque j’ai su que le livre reprenait ces personnages, je ne savais pas à quoi m’attendre mais je voyais bien une ou deux pistes à suivre. Laure Manel ne les suit pas mais, comme à regret, y revient tardivement et en quelques lignes va en effet les clore à la fin du roman. En réalité, j’ai eu l’impression qu’elle souhaitait traiter d’un autre sujet et je ne comprends toujours pas pourquoi elle n’a pas tout simplement écrit un livre indépendant. Reprendre Antoine, Rose et les autres, développer des micro-histoires autour d’eux, n’a pas grand intérêt. Hermance et ses amours, la relation difficile d’Antoine avec son frère et son père… Tout cela passe très vite, trop vite alors qu’il y avait matière à bien plus.
Si le premier tome était lumineux, un hymne à l’amour, à la tolérance, celui-ci est bien plus sombre. Il est abordé avec sensibilité, délicatesse, sans pathos superflu. Je n’ai rien à reprocher à l’écriture. Je n’ai pas trop apprécié cette partie du livre, peut-être, tout simplement, parce que je n’avais pas envie de lire ça. Cela ne retire rien au talent de Laure Manel mais cela a largement gâché mon plaisir.
Je ressors donc très mitigée de cette lecture, me demandant encore pourquoi, un sujet aussi grave, aussi lourd, qui méritait mieux, a été traité en seconde partie d’un livre qui ouvrait auparavant de nombreuses pistes, multipliait les détails sur des amis, des membres de la famille de chacun, jusqu’à nous noyer de détails. Il y a de vrais choix dans ce roman, mais je n’y ai pas tout le temps adhéré. Dommage.
J’avais entendu tellement d’éloges sur ce roman, peut-être mes attentes étaient-elles trop élevées ? L’histoire est certes très belle, malheureusement je n’ai pas vraiment réussi à accrocher. Le choix de la narration me rebutait sans cesse, j’ai finalement terminé le roman en skimming. Dommage, mais je réessaierai un autre de ses romans !
Mon avis sur le livre: J’ai apprécié l'histoire Le sourire des fées positive et optimiste du livre. J’adore les personnages et le message du livre sur l'importance du bonheur et de la famille, mais aussi sur l’importance des choix de vie. Nous sommes confrontés chaque jour à nos réussites ou défaites, à la positivité ou négativité de nos vies. C'est donc un message constructif, et authentique. L'histoire est un peu mélodramatique, et nous découvrons seulement la chute de récit au chapitre 44. Nous sommes contraints en attendant d’imaginer, de respecter chaque ligne et chapitre, de tourner les pages pour découvrir enfin le mélodrame du roman. C’est aussi un roman qui fait réfléchir profondément sur nos choix de vie si difficiles. C’est une ode à la nature, à l'amour et aux joies simples familiale,montagnarde, ou se mélange tranquillité, sport et dévotion. J'adore la suite de La mélancolie du Kangourou. C'est beaucoup d'émotions, de larmes en fin de livre. Il y a en plus des rires, de la joie, des réconciliations, des peines, des douleurs, des tempêtes, beaucoup d’amour, de respect, de pudeur et une famille soudée. Rose, Antoine et Lou, sa fille de son premier mariage avec Raphaëlle, s'installent en montagne dans la maison familiale de Grand-Bornand auprès de Hermance la grand-mère d’Antoine. Rose continue la danse, elle reprend aussi le patinage et Antoine devient guide de haute montagne. Lou grandit et évolue dans une famille soudée et remplie d’amour. Cependant tout va très vite basculé et ils devront ensemble et contre toute attente, surmonter une épreuve surprise et s’aimer encore plus dans une urgence inimaginable. Ce roman Le sourire des fées peut très bien être lu sans avoir pris le temps d’avoir ouvert le livre La mélancolie du Kangourou de l'auteur Laure Manel. Cependant, je confirme que cette suite est une longévité aux trois protagonistes, Antoine, Rose et Lou, et que pour moi l’un ne va pas sans l’autre. D’ailleurs le point négatif du roman Le sourire des fées, c’est qu’il est très long au démarrage pour justement être lu sans connaître le roman préexistant.
Voor wie ervan houdt dat een schrijver iedere gebeurtenis met heel veel woorden omschrijft is dit een prachtig boek. Je hoeft je verbeelding totaal niet aan te spreken en dat is in een vakantie soms best fijn. Maar ik vond het te veel.
Om een voorbeeld te geven: de mannelijke hoofdpersoon krijgt op een goed moment last van uitvalverschijnselen in zijn benen. Als zijn vriendin vraagt of het wel gaat antwoordt hij dat er niets aan de hand is. Als lezer weet je dan dus dat hij de waarheid verzwijgt. Het zinnetje "Mais il mentait" vond ik daarna dodelijk. Dan onderschat je de lezer zo verschrikkelijk, dat moet je als schrijver toch begrijpen.
Het boek vertelt het verhaal van een zeer sportieve man, Antoine, die aanvankelijk heeft gekozen voor een carrière die zijn vader voor hem heeft gekozen. Als zijn vrouw bij de geboorte van dochter Lou overlijdt en hij na verloop van tijd een relatie krijgt met de 14 jaar jongere oppas, besluit hij dat het leven te kort is om foute keuzes te maken. Het gezin trekt in bij de oma van Antoine, in de Savoie. Daar wordt hij berggids en skiinstructeur.
Je krijgt een gedetailleerd relaas over familiebanden en vriendschappen die de tand des tijds al dan niet doorstaan. Als Antoine de diagnose ALS krijgt verandert alles. Er wordt veel nadruk gelegd op de liefdevolle verzorging van de omgeving, een bucketlist die nog wordt afgewerkt, enz. Aan het eind van het boek wordt gekozen voor euthanasie, wat in Frankrijk omstreden en bij wet verboden is. Daarom wordt uitgeweken naar België.
Een modern en actueel verhaal. Helaas in een net niet passend jasje, wat mij betreft.
Je me suis globalement ennuyée en lisant ce livre. J’ai trouvé l’ensemble du récit plat, les personnages lisses. Antoine est insupportable, une maturité émotionnelle d’un adolescent; le reste des personnages sont des concepts ou des pnj dans le fond : Hermance cuisine, Rose est l’amour absolu, Lou presque un cliché de gamine parfaite.
C’est très blancs bourgeois dans la narration, je n’ai pas réussi à m’attacher à rien, les joies et les peines ne m’ont pas touchées. Et même si la fin est triste ça ne compense pas le reste. Ça aurait fait un joli scénario de série ou de film de l’après midi sur TF1.
Le début de l’histoire m’a semblé long. J’ai eu du mal à comprendre « l’importance », l’objectif du début. En lisant les remerciements, je me suis dit que c’était probablement parce que ce livre est une suite. Je n’ai pas l’impression pour autant d’avoir manqué d’informations.
Je suis allée au Grand-Bornand cette année. Quelle joie ce fut de « repartir » en montagne.
Ce livre m’a émue. Énormément.
Deuxième livre de l’auteure pour moi et pas le dernier ! Elle écrit vraiment très bien.
Mais quelle claque! On commence sur une histoire sublime entre un couple,leur fille et la grand-mère puis on tombe dans une histoire sublime jusqu'à la fin mais avec les mouchoirs à proximité !
Pour avoir lu quelques uns de Laure Manel celui-ci est mon préfére !
Lisez-le!
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Quel bonheur de retrouver Rose, Lou et Antoine que j’avais adoré suivre dans la mélancolie des kangourous.
Lu en deux journées, malgré quelques répétions dans l’histoires j’ai préféré la seconde partie très émouvante notamment les derniers chapitres et la lettre d’Antoine qui m’ont fait verser quelques larmes.
J'ai adoré lire cette suite, sans même savoir qu'il en était question. J'avais aimé ces personnages, la résilience, la volonté, les changement de cap, et vivre, profiter, et aimer, avec ses hauts et ses bas. Coïncidence ? J'ai fini le roman le jour symbolique de ce roman.
Parler de la maladie de Charcot n'est pas rien, merci à Laure Manel pour cette jolie lecture ❤
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Une lecture bouleversante. Le début met un peu de temps à s’installer, mais une fois que l’histoire se dévoile, il devient impossible de lâcher le livre. Laure Manel nous emmène dans un tourbillon d’émotions, avec des personnages vrais et touchants. La fin m’a littéralement fait pleurer toutes les larmes de mon corps. Un roman émouvant, profondément humain, qui marque durablement.
Le Sourire des fées est un livre très actuel qui parle de maladie et de l'empressement de vivre et profiter de la vie quand elle nous tombe dessus. C'est une ode à la nature, à l'amour et aux joies simples. L'histoire de Rose, Antoine et Lou m'a touché et je l'ai trouvé bien écrite, je ne mets que 3 étoiles parce qu'on comprend très vite la fin et qu'il n'y a pas de surprise, peu d'actions.
Un très beau roman dans lequel on suit une famille sur plusieurs années. Je ne savais pas que c'était un tome 2 avant de l'attaquer, et j'ai pleinement apprécié ma lecture même sans avoir lu le livre précédent. Je me suis tout de suite attachée à cette famille. J'ai adoré les voir évoluer, grandir. C'est vraiment un développement poussé que l'auteure nous donne ici. Tous les personnages apprennent de nouvelles choses au fil des chapitres, sur les autres et surtout sur eux-mêmes. Les relations familiales aussi évoluent, d'une façon à laquelle je pouvais tout à fait m'identifier. Ce roman se lit très facilement et agréablement. J'avais l'impression d'être aux côtés de nos personnages et dans un certain sens d'être moi-même membre de cette famille. Différents sujets sont traités, et d'une façon abordable sans être superficielle. Petit hic, certains chapitres sont beaucoup plus longs et lents que d'autres, et il y a parfois de gros sauts dans le temps qui peuvent créer un peu de confusion au début. La fin de la lecture est déchirante, mais aussi très belle. Ce fut difficile de dire au revoir aux personnages, mais je ne peux que leur imaginer une belle vie après cette fin !
C'aurait fait un bon téléfilm. Un peu trop long, plein de bons sentiments, des personnages au final creux pour la plupart. On s'étend trop sur la situation et pas assez sur les personnages en eux-mêmes.
Très beau livre qui m'a arraché quelques larmes. Je me suis à certains moments sentie un peu voyeuse... Comme si on s'acharnait sur les personnages pour ajouter du pathos... Drôle de sentiment car mon impression générale reste qu'il s'agit d'un livre touchant.
Un roman long à démarrer. Encore un thème difficile qui est traité ici. Histoire très triste. J’aurais finalement préféré quitter les personnages à la fin du premier roman la Mélancolie du kangourou sans avoir cette suite…
Je n'ai pas pu terminer ce livre. L'histoire de famille est touchante mais petit à petit je sentais qu'un drame se préparait. J'ai lu des commentaires pour comprendre la fin et décidé de ne pas le terminer.
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Ce livre est agréable à lire. Au départ on ne sait pas trop vers où l’on va mais une fois que l’intrigue est posée, l’andin est prévisible. J’ai malgré tout versé quelques larmes 🥲