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" Existe-t-il encore un jardin secret
que nous ne livrions pas aux machines ? "
Partout, il y a la terreur.
Celle d'une jeune femme dans une chambre d'hôtel sordide, ventre loué à prix d'or pour couple en mal d'enfant, et qui s'évapore comme elle était arrivée.
Partout, il y a la terreur.
Celle d'un corps mutilé qui gît au fond d'une fosse creusée dans la forêt.
Partout, il y a la terreur.
Celle d'un homme qui connaît le jour et l'heure de sa mort.
Et puis il y a une lettre, comme un manifeste, et qui annonce le pire.
S'engage alors, pour l'équipe du commandant Sharko, une sinistre course contre la montre.
C'était écrit : l'enfer ne fait que commencer.
que nous ne livrions pas aux machines ? "
Partout, il y a la terreur.
Celle d'une jeune femme dans une chambre d'hôtel sordide, ventre loué à prix d'or pour couple en mal d'enfant, et qui s'évapore comme elle était arrivée.
Partout, il y a la terreur.
Celle d'un corps mutilé qui gît au fond d'une fosse creusée dans la forêt.
Partout, il y a la terreur.
Celle d'un homme qui connaît le jour et l'heure de sa mort.
Et puis il y a une lettre, comme un manifeste, et qui annonce le pire.
S'engage alors, pour l'équipe du commandant Sharko, une sinistre course contre la montre.
C'était écrit : l'enfer ne fait que commencer.
608 pages, Mass Market Paperback
First published January 1, 2019
51 people are currently reading
876 people want to read
About the author
Franck Thilliez
137 books1,700 followersFranck Thilliez is the author of several bestselling novels in his native France, where he lives. Thilliez was a computer engineer for a decade before he began writing.
Syndrome E, is his first novel to be published in the United States. Several of his books were made into films : La chambre des morts (2007), Ligne de mire (2014) and Obsession(s) (2009)
Syndrome E, is his first novel to be published in the United States. Several of his books were made into films : La chambre des morts (2007), Ligne de mire (2014) and Obsession(s) (2009)
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Community Reviews
Displaying 1 - 30 of 124 reviews
May 11, 2020
Un autre bon roman policier de Thilliez!
Un peu de longueurs dans les descriptions, mais toujours un choix de thèmes intéressants tournant autour des avancées scientifiques modernes. Quelques éléments rappellent des livres de Senécal, surtout vers la fin!
Pas mon préféré, mais on ne se trompe jamais avec un Thilliez!
3.5
Un peu de longueurs dans les descriptions, mais toujours un choix de thèmes intéressants tournant autour des avancées scientifiques modernes. Quelques éléments rappellent des livres de Senécal, surtout vers la fin!
Pas mon préféré, mais on ne se trompe jamais avec un Thilliez!
3.5
April 27, 2019
La claque !!! Jusqu’au dernier mot et même plus Franck Thilliez m’a tenu en haleine avec un sujet qui fait froid dans le dos et qui n’est pourtant, pas de la science-fiction.
À lire sans modération
À lire sans modération
November 22, 2020
Loin d’être un ouvrage moralisateur sur le numérique, Franck Thilliez met en évidence dans ce roman, des dérives qui vont toujours plus loin. Il pointe également l’incapacité de l’homme à contrôler quelque chose qu’il a lui-même créé : les nouvelles technologies... Nous sommes de véritables marionnettes, contraintes de vivre dans un monde que nous ne pouvons plus maîtriser... sur la toile comme dans la réalité.
Petit parallèle également sur des personnages secondaires qui se dévoilent peu à peu, et personnellement je tombe sous le charme de l'humanité de certains que je n'appréciais pas vraiment jusqu'alors.
Le mot de fin par l'auteur qui comme toujours me laisse penser qu'il est plus proche de ses lecteurs qu'on ne peut le croire.
Verdict : conquise !
Petit parallèle également sur des personnages secondaires qui se dévoilent peu à peu, et personnellement je tombe sous le charme de l'humanité de certains que je n'appréciais pas vraiment jusqu'alors.
Le mot de fin par l'auteur qui comme toujours me laisse penser qu'il est plus proche de ses lecteurs qu'on ne peut le croire.
Verdict : conquise !
May 11, 2019
« Luca » est la suite des aventures de Sharko et Hennebelle, notre couple d’enquêteurs, que nous avions laissé dans l’épisode précédent : « Sharko » .
Même si l’enquête peut se lire indépendamment, il vaut quand même mieux avoir lu les précédents romans afin de comprendre les nombreuses références présentes ici par rapport au passé des protagonistes.
J’ai été ravie de retrouver toute l’équipe, c’était comme si j’étais de retour au bureau après de longues vacances ! Je n’avais qu’une envie : avoir des nouvelles de tout le monde, savoir comment les jumeaux allaient, si Nicolas avait réussi à faire son deuil de Camille, comment s’était passé le déménagement vers le Bastion. Une pure délectation !
Sharko est devenu chef de groupe de la Crim, il commence à entrevoir un début de fin de carrière. Depuis le temps qu’on suit ses aventures, il a vieilli notre requin ! Il fait moins de terrain, et ça le mine. Quitter ses repères au 36, ça aussi, ça lui a foutu un coup ; il a vécu cela comme un horrible déracinement. Bref, notre Sharko a le moral en berne ! Nostalgique des méthodes de travail traditionnelles, il ne supporte pas l’évolution du métier, l’apparition du flic 2.0. Peut être que cette enquête arrive à point nommé pour lui insuffler une nouvelle énergie, et pour qu’il retrouve sa combativité ! Ajoutez à cela une Lucie bien trop effacée à mon goût, et je me dis que c’était mal parti !
Le personnage de Nicolas était vraiment intéressant. Nous suivons sa thérapie organisée autour d’un travail passionnant sur les parties sensorielles et émotionnelles du souvenir, afin de pouvoir continuer à vivre avec cette plaie béante qui le ronge : la disparition de Camille, l’amour de sa vie, dans des conditions abominables.
L’arrivée de la jeune Audra Spick, avec sa fougue, son entrain et ses zones d’ombre va apporter ce dynamisme qui manquait cruellement aux troupes au départ. Ne vous inquiétez pas, ça va bouger !!
Franck (Thilliez, hein, pas Sharko…) nous harponne dès le prologue, vous vous en doutiez ? Son écriture est toujours aussi incisive et addictive. Le rythme reste rapide en permanence, accompagné de pointes d’adrénaline posées comme des balises, avec la régularité d’un métronome.
Chaque indice, chaque explication vaut son pesant d’or pour les lecteurs assoiffés que nous sommes. Les thèmes abordés sont pile dans notre quotidien et notre vie. Facebook, Google, les GAFA qui nous traquent sans qu’on le veuille. La numérisation de nos vies, où chaque clic a ses conséquences, bonnes ou mauvaises. Croyez-moi, tout le long de votre lecture, vous vous poserez des questions sur l’usage que vous faites d’internet, de ces milliards de données que vous fournissez aux réseaux chaque jour inconsciemment. Tout tombe dans le chaudron d’internet, et ça se mélange, pour nous voler peu à peu nos identités. Si vous êtes ultra connectés comme moi, vous en aurez des frissons. Il faut vivre avec son temps certes. Le Punisseur parle de chimpanzés, moi j’opterai plutôt pour moutons. Pour autant, le retour en arrière est impossible, faut bien se l’avouer, on est tous addicts à notre smartphone !
C’est une enquête qui fait frémir, tellement réaliste, qui s’appuie sur de nombreux faits réels (là encore, le travail de recherche a dû être considérable). Tout s’imbrique, les liens se font quasi naturellement, pourtant, ça part dans diverses directions toutes plus improbables les unes que les autres. Et oh magie, à la fin, tout s’illumine, tout s’explique, le raisonnement sonne juste, l’équation à trouvé sa réponse, ses réponses.
Le maître du thriller, il est là ! La construction est implacable, maîtrisée au micron près. Rien n’est laissé au hasard. Franck nous balance un puzzle de 50 000 pièces sur la table, et il repose chaque morceau au bon endroit, les uns après les autres, pour nous offrir un roman passionnant, où tous les codes du thriller sont réunis pour nous faire passer des heures de lecture de pur bonheur.
« La vie est précieuse et le temps passe trop vite ». Je suis tout à fait d’accord avec toi Sharko ! Et ma lecture est passée trop vite, elle aussi. Pourtant, j’ai tenté de faire durer le plaisir le plus longtemps possible…
Je ne peux que vous conseiller ce nouveau roman !!!
Même si l’enquête peut se lire indépendamment, il vaut quand même mieux avoir lu les précédents romans afin de comprendre les nombreuses références présentes ici par rapport au passé des protagonistes.
J’ai été ravie de retrouver toute l’équipe, c’était comme si j’étais de retour au bureau après de longues vacances ! Je n’avais qu’une envie : avoir des nouvelles de tout le monde, savoir comment les jumeaux allaient, si Nicolas avait réussi à faire son deuil de Camille, comment s’était passé le déménagement vers le Bastion. Une pure délectation !
Sharko est devenu chef de groupe de la Crim, il commence à entrevoir un début de fin de carrière. Depuis le temps qu’on suit ses aventures, il a vieilli notre requin ! Il fait moins de terrain, et ça le mine. Quitter ses repères au 36, ça aussi, ça lui a foutu un coup ; il a vécu cela comme un horrible déracinement. Bref, notre Sharko a le moral en berne ! Nostalgique des méthodes de travail traditionnelles, il ne supporte pas l’évolution du métier, l’apparition du flic 2.0. Peut être que cette enquête arrive à point nommé pour lui insuffler une nouvelle énergie, et pour qu’il retrouve sa combativité ! Ajoutez à cela une Lucie bien trop effacée à mon goût, et je me dis que c’était mal parti !
Le personnage de Nicolas était vraiment intéressant. Nous suivons sa thérapie organisée autour d’un travail passionnant sur les parties sensorielles et émotionnelles du souvenir, afin de pouvoir continuer à vivre avec cette plaie béante qui le ronge : la disparition de Camille, l’amour de sa vie, dans des conditions abominables.
L’arrivée de la jeune Audra Spick, avec sa fougue, son entrain et ses zones d’ombre va apporter ce dynamisme qui manquait cruellement aux troupes au départ. Ne vous inquiétez pas, ça va bouger !!
Franck (Thilliez, hein, pas Sharko…) nous harponne dès le prologue, vous vous en doutiez ? Son écriture est toujours aussi incisive et addictive. Le rythme reste rapide en permanence, accompagné de pointes d’adrénaline posées comme des balises, avec la régularité d’un métronome.
Chaque indice, chaque explication vaut son pesant d’or pour les lecteurs assoiffés que nous sommes. Les thèmes abordés sont pile dans notre quotidien et notre vie. Facebook, Google, les GAFA qui nous traquent sans qu’on le veuille. La numérisation de nos vies, où chaque clic a ses conséquences, bonnes ou mauvaises. Croyez-moi, tout le long de votre lecture, vous vous poserez des questions sur l’usage que vous faites d’internet, de ces milliards de données que vous fournissez aux réseaux chaque jour inconsciemment. Tout tombe dans le chaudron d’internet, et ça se mélange, pour nous voler peu à peu nos identités. Si vous êtes ultra connectés comme moi, vous en aurez des frissons. Il faut vivre avec son temps certes. Le Punisseur parle de chimpanzés, moi j’opterai plutôt pour moutons. Pour autant, le retour en arrière est impossible, faut bien se l’avouer, on est tous addicts à notre smartphone !
C’est une enquête qui fait frémir, tellement réaliste, qui s’appuie sur de nombreux faits réels (là encore, le travail de recherche a dû être considérable). Tout s’imbrique, les liens se font quasi naturellement, pourtant, ça part dans diverses directions toutes plus improbables les unes que les autres. Et oh magie, à la fin, tout s’illumine, tout s’explique, le raisonnement sonne juste, l’équation à trouvé sa réponse, ses réponses.
Le maître du thriller, il est là ! La construction est implacable, maîtrisée au micron près. Rien n’est laissé au hasard. Franck nous balance un puzzle de 50 000 pièces sur la table, et il repose chaque morceau au bon endroit, les uns après les autres, pour nous offrir un roman passionnant, où tous les codes du thriller sont réunis pour nous faire passer des heures de lecture de pur bonheur.
« La vie est précieuse et le temps passe trop vite ». Je suis tout à fait d’accord avec toi Sharko ! Et ma lecture est passée trop vite, elle aussi. Pourtant, j’ai tenté de faire durer le plaisir le plus longtemps possible…
Je ne peux que vous conseiller ce nouveau roman !!!
June 24, 2019
Une excellente lecture, ficelée comme le rôti du dimanche sur la table des parents. On a certes déjà lu plus sanglant mais l'enquête exploite toujours plus loin les nouvelles pistes médicales ou technologiques comme les darknets.
Sharko est dépassé mais ne cherche plus à tirer la vedette. Il s'appuie enfin sur son équipe pour monter ses dossiers (et trouver des réponses). Par contre Lucie est de plus en plus dans son ombre. Nicolas me gonfle... et la nouvelle s'invite comme une fleur. Était-ce utile ?
Je suis une grande nostalgique des débuts - les enquêtes palpitantes et menées à un train d'enfer... J'ai d'ailleurs toujours eu un faible pour Lucie. Que d'émotions à suivre son parcours ! Les nouveaux romans de Thilliez sont désormais dans un autre formatage - c'est plus dense, ça force la réflexion et c'est très sombre et déprimant. Au final, on ne s'ennuie pas un instant et ça reste incontournable.
Sharko est dépassé mais ne cherche plus à tirer la vedette. Il s'appuie enfin sur son équipe pour monter ses dossiers (et trouver des réponses). Par contre Lucie est de plus en plus dans son ombre. Nicolas me gonfle... et la nouvelle s'invite comme une fleur. Était-ce utile ?
Je suis une grande nostalgique des débuts - les enquêtes palpitantes et menées à un train d'enfer... J'ai d'ailleurs toujours eu un faible pour Lucie. Que d'émotions à suivre son parcours ! Les nouveaux romans de Thilliez sont désormais dans un autre formatage - c'est plus dense, ça force la réflexion et c'est très sombre et déprimant. Au final, on ne s'ennuie pas un instant et ça reste incontournable.
July 23, 2019
4,5/5 pour être plus précis.
Un nouveau Thilliez que je dévore. Celui-ci repousse les limites du sombre en abordant la technologie quotidienne et leurs possibilités qu'on ne réalise pas, un peu à la Black Mirror.
Bref, jusqu'où peuvent aller Internet et la science si les barrières éthiques sautent...? (pour citer le roman)
Un suspense glauque et enlevant!
Un nouveau Thilliez que je dévore. Celui-ci repousse les limites du sombre en abordant la technologie quotidienne et leurs possibilités qu'on ne réalise pas, un peu à la Black Mirror.
Bref, jusqu'où peuvent aller Internet et la science si les barrières éthiques sautent...? (pour citer le roman)
Un suspense glauque et enlevant!
October 16, 2021
Ca part encore dans tous les sens. On aborde encore une fois tous les sujets du monde... Excessivement long. Bof.
June 2, 2019
Je viens de terminer Luca, de Thilliez. C'est pas encore avec celui-là que je vais me faire enterrer.
J'étais super contente de le terminer, encore plus que de le commencer et je m'interroge sur l'utilité de continuer à lire cet auteur. Neuf fois sur 10, je suis enchantée du début, surtout quand, comme celui-ci, je sors d'une longue série de livres que je n'ai pas aimé ou que je n'ai pas terminés tellement c'était une souffrance. Donc, disais-je, ça commence bien, même si le thème principal (l'intelligence artificielle) a un petit côté "à la mode" déjà un peu dépassé. Passons. C'est Thilliez, donc c'est bien écrit, ça démarre de manière très prometteuse. On retrouve des personnages qu'on connait à défaut de les aimer. Et puis, et puis à partir de la fin du premier tiers, ils m'énervent. Sharko, gros pépère qui ne supporte pas le changement, Lucie, complètement effacée, qui se fait rembarrer méchamment et vient lécher la main qui l'a frappée, Nicolas qui pigne, Audra qui est teeeeeelllement pleine de mystère. Ce qui m'a vraiment gênée dans ce livre, par ailleurs, je le répète, bien écrit et bien construit, bien mené, c'est un pro pas de souci, c'est : - l'habitude de Thilliez de ne pas choisir de personnage point de vue : on est tantôt dans la tête d'un protagoniste l'espace d'une pensée ou d'un ressenti et tantot dans la tête d'un autre. Comme une scène avec une caméra qui saute d'un personnage à l'autre, ça me donne le tournis et c'est (peut-être) une raison de mon problème numéro 2 - ZERO émotion. Mais alors, zéro de chez zéro. Il n'a pas réussi à m'embarquer, à aucun moment je n'ai ressenti, souffert, aimé, désiré, pleuré, eu peur avec un de ses personnages. Ce livre me fait l'effet d'une espèce de mécanique froide qui applique des recettes, mais sans le coeur qui bat derrière. Un comble pour celui qui (on en arrive à mon numéro 3) - l'intelligence artificielle, les big data, les GAFA, etc. Oui, il dénonce beaucoup, beaucoup de choses, ça part un peu dans tous les sens et ça se mélange. Miniez s'est contenté de dénoncer l'intelligence artificielle. Thilliez a vu grand, mais qui trop embrasse mal étreint et du coup, c'est un peu brouillon, surtout à la fin. Et surtout, surtout, (on en arrive au 4) - il juge. Normalement, quand un auteur dénonce, il le fait subtilement en mettant en scène des opinions différentes, en donnant des arguments pour que son lecteur "se rende compte" à défaut de se mettre à partager les opinions de l'auteur. Là, on n'a pas le choix : les big data, Facebook, internet, les techniques anti-vieilissement, la recherche en bio-technologie, tout ça, c'est MAL. Il utilise en permanence des affirmations, contrevenant au fameux "Show, don't tell" (montre au lieu d'affirmer). Du coup, moi, qui ait une sainte horreur qu'on me dise quoi faire et surtout quoi penser, ça m'a hérissée. - enfin, des petites incohérences qui sont assez peu pardonnables à ce niveau de professionnalisme : le pêcheur qui explique à une inconnue une technique d'implantation in vitro euh, parle d'ovules et de compatibilité immunitaire (je ne donne pas plus d'exemple pour ne pas divulgacher) juste après avoir expliqué qu'il avait les mains coupées par le nylon des filets de pêche... euh, j'ai fréquenté les bars de marin tôt le matin et peut-être que l'auteur devrait sortir de ses salons parisiens ou de ses plaines du Nord... Je passe sur le mépris pour les bretons, il n'aime pas la Bretagne, bon, pas de bol, c'est le seul endroit de France qui me plait 🤣, Thilliez n'a pas arrangé ses affaires. Le bébé qui nait avec 15 jours d'avance en couveuse, ben pareil. Un bébé qui nait avec 15 jours d'avance et même trois semaines, il est terminé, pas de couveuse, même à Auxerre 🤪. Les flics qui ne savent pas qu'on peut implanter une puce sous la peau au début... Un, mais tous euh non, j'achète pas, y en a au moins un qui est obligé de savoir. Bref, j'ai passé un bon moment au début, et puis ça s'est mis à faire comme le type super beau avec qui tu as un rencard qui s'avère être une coquille creuse, avec un avis définitif sur plein de choses et des propos qui partent dans toutes les directions. Verdict: on ne prendra pas le petit déjeuner ensemble 🤣
J'étais super contente de le terminer, encore plus que de le commencer et je m'interroge sur l'utilité de continuer à lire cet auteur. Neuf fois sur 10, je suis enchantée du début, surtout quand, comme celui-ci, je sors d'une longue série de livres que je n'ai pas aimé ou que je n'ai pas terminés tellement c'était une souffrance. Donc, disais-je, ça commence bien, même si le thème principal (l'intelligence artificielle) a un petit côté "à la mode" déjà un peu dépassé. Passons. C'est Thilliez, donc c'est bien écrit, ça démarre de manière très prometteuse. On retrouve des personnages qu'on connait à défaut de les aimer. Et puis, et puis à partir de la fin du premier tiers, ils m'énervent. Sharko, gros pépère qui ne supporte pas le changement, Lucie, complètement effacée, qui se fait rembarrer méchamment et vient lécher la main qui l'a frappée, Nicolas qui pigne, Audra qui est teeeeeelllement pleine de mystère. Ce qui m'a vraiment gênée dans ce livre, par ailleurs, je le répète, bien écrit et bien construit, bien mené, c'est un pro pas de souci, c'est : - l'habitude de Thilliez de ne pas choisir de personnage point de vue : on est tantôt dans la tête d'un protagoniste l'espace d'une pensée ou d'un ressenti et tantot dans la tête d'un autre. Comme une scène avec une caméra qui saute d'un personnage à l'autre, ça me donne le tournis et c'est (peut-être) une raison de mon problème numéro 2 - ZERO émotion. Mais alors, zéro de chez zéro. Il n'a pas réussi à m'embarquer, à aucun moment je n'ai ressenti, souffert, aimé, désiré, pleuré, eu peur avec un de ses personnages. Ce livre me fait l'effet d'une espèce de mécanique froide qui applique des recettes, mais sans le coeur qui bat derrière. Un comble pour celui qui (on en arrive à mon numéro 3) - l'intelligence artificielle, les big data, les GAFA, etc. Oui, il dénonce beaucoup, beaucoup de choses, ça part un peu dans tous les sens et ça se mélange. Miniez s'est contenté de dénoncer l'intelligence artificielle. Thilliez a vu grand, mais qui trop embrasse mal étreint et du coup, c'est un peu brouillon, surtout à la fin. Et surtout, surtout, (on en arrive au 4) - il juge. Normalement, quand un auteur dénonce, il le fait subtilement en mettant en scène des opinions différentes, en donnant des arguments pour que son lecteur "se rende compte" à défaut de se mettre à partager les opinions de l'auteur. Là, on n'a pas le choix : les big data, Facebook, internet, les techniques anti-vieilissement, la recherche en bio-technologie, tout ça, c'est MAL. Il utilise en permanence des affirmations, contrevenant au fameux "Show, don't tell" (montre au lieu d'affirmer). Du coup, moi, qui ait une sainte horreur qu'on me dise quoi faire et surtout quoi penser, ça m'a hérissée. - enfin, des petites incohérences qui sont assez peu pardonnables à ce niveau de professionnalisme : le pêcheur qui explique à une inconnue une technique d'implantation in vitro euh, parle d'ovules et de compatibilité immunitaire (je ne donne pas plus d'exemple pour ne pas divulgacher) juste après avoir expliqué qu'il avait les mains coupées par le nylon des filets de pêche... euh, j'ai fréquenté les bars de marin tôt le matin et peut-être que l'auteur devrait sortir de ses salons parisiens ou de ses plaines du Nord... Je passe sur le mépris pour les bretons, il n'aime pas la Bretagne, bon, pas de bol, c'est le seul endroit de France qui me plait 🤣, Thilliez n'a pas arrangé ses affaires. Le bébé qui nait avec 15 jours d'avance en couveuse, ben pareil. Un bébé qui nait avec 15 jours d'avance et même trois semaines, il est terminé, pas de couveuse, même à Auxerre 🤪. Les flics qui ne savent pas qu'on peut implanter une puce sous la peau au début... Un, mais tous euh non, j'achète pas, y en a au moins un qui est obligé de savoir. Bref, j'ai passé un bon moment au début, et puis ça s'est mis à faire comme le type super beau avec qui tu as un rencard qui s'avère être une coquille creuse, avec un avis définitif sur plein de choses et des propos qui partent dans toutes les directions. Verdict: on ne prendra pas le petit déjeuner ensemble 🤣
January 25, 2024
Un autre tome des aventures de SHARKO, dans ce roman deux histoires en parallèle, une femme et un homme kidnappés et enfermés dans des cylindres. Ils sont filmés et diffusés en Live et tous le monde su internet regardent leurs souffrance et leurs mort effroyable en direct.
Au meme moment un couple fait confiance à une femme comme une femme porteuse de leurs future bébé sachant que cette affaire est contre la loi, le bébé Luca naît le 17 mars 2017 à 9h10, ce bébé est spécial et son anonymat lui protège de tout risque, le mois de Novembre de la meme année 2017 un homme trouvé cruellement assassiné et défiguré sauvagement.
Équipe SHARKO prend en charge la résolution de tous ces crimes, et exploitent des pistes dangereuses et des sujet discutés par Franck Thilliez dans ce tome sont divers essentiellement les mutations génétiques et l eugénisme, trans-humains , et bio-hacking.
un très bon roman.
Au meme moment un couple fait confiance à une femme comme une femme porteuse de leurs future bébé sachant que cette affaire est contre la loi, le bébé Luca naît le 17 mars 2017 à 9h10, ce bébé est spécial et son anonymat lui protège de tout risque, le mois de Novembre de la meme année 2017 un homme trouvé cruellement assassiné et défiguré sauvagement.
Équipe SHARKO prend en charge la résolution de tous ces crimes, et exploitent des pistes dangereuses et des sujet discutés par Franck Thilliez dans ce tome sont divers essentiellement les mutations génétiques et l eugénisme, trans-humains , et bio-hacking.
un très bon roman.
July 14, 2019
J'ai vraiment beaucoup aimé ce nouveau thriller de Thilliez. L'intrigue nous tient en haleine du début à la fin des 550 pages!
November 17, 2021
Avec Luca on retrouve la pate de Thilliez et plus particulièrement celle utilisé dans la série Sharko Hennebelle. En effet, Luca est un thriller scientifique qui aborde le thème glaçant de la modification génétique.
Pour moi ce n'est pas le meilleur de Thilliez mais ça reste du bon. Je déplore le manque de connexion entre le couple d'enquêteur que j'ai trouvé très éloigné. Alors certes, ils ont une grande part d'ombre chacun mais leur complicité m'a vraiment manqué dans ce roman. Gros point positif par contre sur l'histoire de Nicolas Bellanger, un personnage que j'apprécie énormément. Qui plus est sa storyline est laissé en suspense ce qui me permet de croire que l'auteur développera encore plus son personnage !
Mention spéciale pour Audra qui m'a intrigué et que j'espère revoir dans le futur !
Malgré ses 600 pages je n'ai pas sentie trop de longueurs, Thilliez effleure l'horreur et s'en amuse. Comme à son habitude l'auteur nous donne les notions scientifiques nécessaires à la compréhension de l'histoire sans nous ennuyer ou nous perdre dans du jargon scientifique lourd.
L'histoire était intéressante, mais je l'ai trouvé parfois brouillon et peu dynamique. Les univers auxquelles s'intéressent les enquêteurs sont effleurés et il m'a manqué un peu plus de profondeur. On sent vraiment le changement d'ambiance entre la partie 1 et la partie 2 et j'ai vraiment préféré la première.
Luca est un bon thriller de Thilliez, qui reprend à la lettre les codes de l'auteur mais qui manque cruellement de passion et reste plat sans pour autant tomber dans l'ennuie.
Pour moi ce n'est pas le meilleur de Thilliez mais ça reste du bon. Je déplore le manque de connexion entre le couple d'enquêteur que j'ai trouvé très éloigné. Alors certes, ils ont une grande part d'ombre chacun mais leur complicité m'a vraiment manqué dans ce roman. Gros point positif par contre sur l'histoire de Nicolas Bellanger, un personnage que j'apprécie énormément. Qui plus est sa storyline est laissé en suspense ce qui me permet de croire que l'auteur développera encore plus son personnage !
Mention spéciale pour Audra qui m'a intrigué et que j'espère revoir dans le futur !
Malgré ses 600 pages je n'ai pas sentie trop de longueurs, Thilliez effleure l'horreur et s'en amuse. Comme à son habitude l'auteur nous donne les notions scientifiques nécessaires à la compréhension de l'histoire sans nous ennuyer ou nous perdre dans du jargon scientifique lourd.
L'histoire était intéressante, mais je l'ai trouvé parfois brouillon et peu dynamique. Les univers auxquelles s'intéressent les enquêteurs sont effleurés et il m'a manqué un peu plus de profondeur. On sent vraiment le changement d'ambiance entre la partie 1 et la partie 2 et j'ai vraiment préféré la première.
Luca est un bon thriller de Thilliez, qui reprend à la lettre les codes de l'auteur mais qui manque cruellement de passion et reste plat sans pour autant tomber dans l'ennuie.
June 1, 2019
Waouw, ça faisait longtemps que ça n'était pas allé aussi vite. On retrouve le rythme tellement intense de Thilliez. On peut y aller un peu les yeux fermés.
J'ai adoré cette nouvelle aventure de Sharko et Bellanger et encore d'autres puisqu'on retrouve les mêmes personnages (qui d'ailleurs me font pitié à force de ramasser).
J'adore les romans de Franck Thilliez mais alors celui-ci a les qualités de ses meilleurs romans sans les défauts et je retrouve l'immense plaisir non seulement des rebondissements à tout va mais en prime sans anticipation. Je trouve que ce qui le caractérise c'est: primo, un démarrage sur les chapeaux de roue ; secundo, des rebondissements à tout va et une forte intensité ; tertio, des fins décevantes après ce roller coaster émotionnel. Mais là ça se maintient tout du long.
Il y a tellement de pistes qui se recoupent, qui se dévoilent et des trucs qui s'emboîtent. C'est une vraie histoire qui se tient bien et pourtant diablement tirée par les cheveux. J'adore ça. C'est le meilleur pour ça. Franchement quand je suis les booktubers qui se prennent des trips sur les livres des auteurs de thrillers domestiques américains, j'ai pitié qu'ils ne connaissent pas Franck Thilliez. C'est tellement mieux. Peu d'auteurs lui arrivent à la cheville dans son registre.
L'auteur explore ici des thématiques modernes avec l'informatique, le transhumanisme et c'est plutôt bien mené. On a un corps plus ou moins dévoré dans une forêt, des enlèvements, des gens qui se modifient, des gros toutous, des inondations et une pincée de choléra, un bébé qui sort de l'ordinaire, des adeptes de SM très inquiétants, des gens à qui ils manquent des doigts. Par contre c'est un peu plus trash que d'habitude, enfin je trouve. On se pose des questions sur nos usages des outils modernes.
Je n'ai pas lu les autres commentaires vu que de toute façon je lis toujours le Thilliez annuel mais vraiment j'en ressors enthousiasmée. Ce type a un don pour tenir en haleine, pour vraiment avoir une histoire fouillée et construite et non faire des longueurs inutiles comme d'autres auteurs et ça se dévore en un rien de temps.
J'ai adoré cette nouvelle aventure de Sharko et Bellanger et encore d'autres puisqu'on retrouve les mêmes personnages (qui d'ailleurs me font pitié à force de ramasser).
J'adore les romans de Franck Thilliez mais alors celui-ci a les qualités de ses meilleurs romans sans les défauts et je retrouve l'immense plaisir non seulement des rebondissements à tout va mais en prime sans anticipation. Je trouve que ce qui le caractérise c'est: primo, un démarrage sur les chapeaux de roue ; secundo, des rebondissements à tout va et une forte intensité ; tertio, des fins décevantes après ce roller coaster émotionnel. Mais là ça se maintient tout du long.
Il y a tellement de pistes qui se recoupent, qui se dévoilent et des trucs qui s'emboîtent. C'est une vraie histoire qui se tient bien et pourtant diablement tirée par les cheveux. J'adore ça. C'est le meilleur pour ça. Franchement quand je suis les booktubers qui se prennent des trips sur les livres des auteurs de thrillers domestiques américains, j'ai pitié qu'ils ne connaissent pas Franck Thilliez. C'est tellement mieux. Peu d'auteurs lui arrivent à la cheville dans son registre.
L'auteur explore ici des thématiques modernes avec l'informatique, le transhumanisme et c'est plutôt bien mené. On a un corps plus ou moins dévoré dans une forêt, des enlèvements, des gens qui se modifient, des gros toutous, des inondations et une pincée de choléra, un bébé qui sort de l'ordinaire, des adeptes de SM très inquiétants, des gens à qui ils manquent des doigts. Par contre c'est un peu plus trash que d'habitude, enfin je trouve. On se pose des questions sur nos usages des outils modernes.
Je n'ai pas lu les autres commentaires vu que de toute façon je lis toujours le Thilliez annuel mais vraiment j'en ressors enthousiasmée. Ce type a un don pour tenir en haleine, pour vraiment avoir une histoire fouillée et construite et non faire des longueurs inutiles comme d'autres auteurs et ça se dévore en un rien de temps.
June 24, 2019
On ne peut pas dire que Franck Thilliez écrit le même livre à chaque fois ! Et pourtant, il s’agit d’un thriller scientifique, avec des thèmes similaires aux précédents romans de l’auteur, la même équipe d’enquêteurs, le tout parsemé de petits détails gores… et une course contre la montre pour délivrer (ou pas) victimes et héros. Mais c’est avec la construction que l’on prend la tangente ici. Le roman est découpé en deux parties… avec une diabolique succession d’énigmes pour parvenir à déjouer les plans mystérieux d’un assassin, et soudain, nous voici avec une enquête plus classique, nettement moins haletante, mais beaucoup plus réfléchie, comme si Franck Thilliez voulait nous offrir les deux possibilités de mises en abîme d’un thriller.
Ce que j’apprécie avec ses romans actuels, c’est que cet auteur prend le temps de bûcher son sujet, d’explorer les méandres des actuels sujets brûlants et controversés et de mettre en exergue les dérives possibles, extrêmement dangereuses, des vertigineux progrès scientifiques. Cela sonne si juste que cela en est glaçant. Parallèlement, nous suivons Franck, Lucie et aussi Nicolas, deux ans après l’affaire qui les a mené si près du gouffre. Le monde moderne est en train de chasser les hommes comme Sharko. Et oui, on abandonne le 36, pour migrer au Bastion… Et pour un homme de terrain, il n’est pas facile de prendre des galons ! Une nouvelle enquêtrice « à problèmes » vient elle-aussi mettre son grain de sel. Et la sauce prend !
Une fois encore, c’est une vraie réussite… thriller bluffant, auquel on pense plusieurs jours après l’avoir terminé !
Ce que j’apprécie avec ses romans actuels, c’est que cet auteur prend le temps de bûcher son sujet, d’explorer les méandres des actuels sujets brûlants et controversés et de mettre en exergue les dérives possibles, extrêmement dangereuses, des vertigineux progrès scientifiques. Cela sonne si juste que cela en est glaçant. Parallèlement, nous suivons Franck, Lucie et aussi Nicolas, deux ans après l’affaire qui les a mené si près du gouffre. Le monde moderne est en train de chasser les hommes comme Sharko. Et oui, on abandonne le 36, pour migrer au Bastion… Et pour un homme de terrain, il n’est pas facile de prendre des galons ! Une nouvelle enquêtrice « à problèmes » vient elle-aussi mettre son grain de sel. Et la sauce prend !
Une fois encore, c’est une vraie réussite… thriller bluffant, auquel on pense plusieurs jours après l’avoir terminé !
November 25, 2019
Fan de Thilliez, j’étais pressée de lire son nouveau livre et je ne suis pas déçue!
La plongée en profondeur dans un univers particulier, cette fois-ci les nouvelles technologies (grandes ressemblances avec la série Black mirror qu’il cite d’ailleurs), la logique et la progression de l’enquête dans divers lieux qui s’entrecoupent et les parties sombres parfois violentes sont pour moi le point fort de l’écriture de Thilliez, et c’est encore une fois réussi!
Je donnerai quand même plutôt un 4,5 car j’ai trouvé le livre moins palpitant dans sa deuxième partie et parce que j’ai deviné plusieurs éléments en avance, ce qui est toujours un peu frustrant. J’étais aussi pressée de retrouver le fameux duo Sharko/Lucie mais que finalement on suit beaucoup moins au profit de Nicolas et Audra, nouveau personnage avec lequel j’ai quand même bien accroché... nouveau duo?
A noter que je me suis de nombreuses fois promenée dans la forêt de Bondy du côté des lacs... ça vous fait encore plus froid dans le dos!
La plongée en profondeur dans un univers particulier, cette fois-ci les nouvelles technologies (grandes ressemblances avec la série Black mirror qu’il cite d’ailleurs), la logique et la progression de l’enquête dans divers lieux qui s’entrecoupent et les parties sombres parfois violentes sont pour moi le point fort de l’écriture de Thilliez, et c’est encore une fois réussi!
Je donnerai quand même plutôt un 4,5 car j’ai trouvé le livre moins palpitant dans sa deuxième partie et parce que j’ai deviné plusieurs éléments en avance, ce qui est toujours un peu frustrant. J’étais aussi pressée de retrouver le fameux duo Sharko/Lucie mais que finalement on suit beaucoup moins au profit de Nicolas et Audra, nouveau personnage avec lequel j’ai quand même bien accroché... nouveau duo?
A noter que je me suis de nombreuses fois promenée dans la forêt de Bondy du côté des lacs... ça vous fait encore plus froid dans le dos!
May 10, 2019
Un opus de génie absolument savoureux. Un cru d'autant plus excellent si l'on a lu tous les tomes précédents. L'histoire est très dense et captivante. Le couple Sharko/Lucie, bien qu'un peu plus effacé que d'accoutumé, ainsi que le reste de l'équipe du 36 sont d'une profondeur exceptionnelle, faisant du groupe une seule entité protagoniste. Les sujets traités sont passionnants. Un gros coup de cœur et ça fait du bien.
May 20, 2019
Superbe !
May 22, 2019
Tout simplement génial !
July 6, 2019
Un Thriller complètement dingue ! Il fait beaucoup réfléchir sur beaucoup de sujets. On ne comprend pas tout jusqu'à la fin est le résultat est glaçant 😱
February 22, 2021
Je pense que l'on peut dire que Franck Thilliez est un de mes auteurs favoris en matière de thriller, peut-être même en passe de devenir mon auteur favori dans le genre. En tous cas, j'ai dévoré Luca en quelques jours, comme je l'ai fait avec tous les autres romans de l'auteur que j'ai lu par le passé.
L'intrigue est admirablement bien menée. Au départ, j'étais loin d'imaginer qu'elle aurait une portée si large : l'évènement qui semble majeur au début du roman n'est en réalité que le point de départ, l'arbre qui cache la forêt, en quelque sorte. Même si vers la fin, quelques dénouements étaient prévisibles (tout du moins je les avais devinés à l'avance), le rebondissement principal au milieu du roman m'a vraiment surprise.
Dans ce roman, l'auteur aborde à nouveau des thèmes scientifiques, comme il en a l'habitude. Cette fois, c'est sur le transhumanisme qu'il se penche, mais plus généralement, le roman est l'occasion d'une réflexion sur les dérives des nouvelles technologies, du Big Data et des intelligences artificielles qui prennent de plus en plus de place dans nos vies. Clairement, j'ai eu plus d'une fois envie de détruire mon smartphone ou mon ordinateur en lisant Luca ! (chose que je n'ai évidemment pas fait puisque que je suis actuellement en train d'utiliser le-dit ordinateur).
Cette série de romans met en scène les mêmes personnages (le commissaire Franck Sharko et son équipe) à chaque fois, et même si je ne lis pas les tomes dans l'ordre (chacun a une intrigue unique donc ce n'est pas très gênant) et qu'il me manque de ce fait certains éléments-clé parfois de la vie de chaque personnage, j'ai quand même plaisir à les retrouver. Luca est un peu moins focalisé sur Franck Sharko que les autres tomes, mais plus sur son collègue Nicolas Bellanger, que j'ai beaucoup apprécié découvrir un peu plus.
Je recommande vivement si vous êtes à la recherche d'un thriller bien ficelé, et questionnant des sujets de société.
L'intrigue est admirablement bien menée. Au départ, j'étais loin d'imaginer qu'elle aurait une portée si large : l'évènement qui semble majeur au début du roman n'est en réalité que le point de départ, l'arbre qui cache la forêt, en quelque sorte. Même si vers la fin, quelques dénouements étaient prévisibles (tout du moins je les avais devinés à l'avance), le rebondissement principal au milieu du roman m'a vraiment surprise.
Dans ce roman, l'auteur aborde à nouveau des thèmes scientifiques, comme il en a l'habitude. Cette fois, c'est sur le transhumanisme qu'il se penche, mais plus généralement, le roman est l'occasion d'une réflexion sur les dérives des nouvelles technologies, du Big Data et des intelligences artificielles qui prennent de plus en plus de place dans nos vies. Clairement, j'ai eu plus d'une fois envie de détruire mon smartphone ou mon ordinateur en lisant Luca ! (chose que je n'ai évidemment pas fait puisque que je suis actuellement en train d'utiliser le-dit ordinateur).
Cette série de romans met en scène les mêmes personnages (le commissaire Franck Sharko et son équipe) à chaque fois, et même si je ne lis pas les tomes dans l'ordre (chacun a une intrigue unique donc ce n'est pas très gênant) et qu'il me manque de ce fait certains éléments-clé parfois de la vie de chaque personnage, j'ai quand même plaisir à les retrouver. Luca est un peu moins focalisé sur Franck Sharko que les autres tomes, mais plus sur son collègue Nicolas Bellanger, que j'ai beaucoup apprécié découvrir un peu plus.
Je recommande vivement si vous êtes à la recherche d'un thriller bien ficelé, et questionnant des sujets de société.
May 4, 2019
Juillet 2016, Hélène et Bertrand décident d’accorder leur confiance à Natacha pour porter leur bébé. Bien qu’ils se sachent hors la loi, bien qu’ils soient conscients de prendre des risques, leur désespoir est plus fort que leur peur. Luca naît le 17 mars 2017 à 9h10. « Il est spécial, ce bébé. Votre anonymat sera sa meilleure protection. » Novembre 2017, un cadavre atrocement mutilé et totalement défiguré est découvert en forêt de Bondy. Un homme meurt, les yeux injectés de sang, devant le nouveau 36 en voulant remettre une lettre aux autorités à 17h02 précises. Parallèlement, une femme et un homme sont enlevés et enfermés dans des cylindres. Ils y sont filmés. Leur calvaire circule en live sur internet. Le compte à rebours est lancé « par notre façon de consommer du vide. Par nos yeux rivés sur ces écrans. Par nos clics et nos saloperies de hashtags. » Nous sommes en présence de terroristes 2.0, ceux qui utilisent les nouvelles technologies….Pour Sharko et son équipe, l’enfer ne fait que commencer…
Prise de conscience ? Peur ? Pertes des libertés individuelles ? Flicage en line ? Progrès scientifiques qui dépassent la Morale ? Réelle tendance à l’eugénisme ? Après le dernier Bernard Minier qui développe la tragédie des brevets de nouvelles technologies en cours de développement, le dernier Céline Denjean qui nous plonge dans les progrès médicaux permettant d’effacer la mémoire, Franck Thilliez construit son enquête dans un univers où les libertés individuelles ne sont plus qu’illusions, ou la vie privée n’existe plus et se retrouve « en ligne » avec notre consentement, où les nouvelles technologies et les GAFA prennent le pouvoir, mais pas seulement….Il fait souvent référence au mythe de la Caverne de Platon. La Caverne représente le monde sensible, celui des émotions, celui dont il faut donc se détourner parce qu’il fausse notre jugement. L’extérieur de la caverne représente le monde des idées, le raisonnement, c’est le monde de la vérité vers lequel l’Homme doit tendre. La description de notre monde 2.0 façon Thilliez est cette caverne, nous sommes dans la caverne ! « La neuro dictature et l’emmurement définitif de la caverne sont en route. »
Tout part d’un simple constat sociétal : le désespoir d’un couple incapable de concevoir, les contradictions de notre société qui transforment l’adoption en chemin de croix, et donc l’obligation de recourir à des solutions « alternatives » pour satisfaire un désir d’enfant. Après ce prologue, Franck Thilliez entame une première partie dans laquelle 2 mondes s’affrontent : le nôtre et celui de Franck Sharko, mythique flic du 36 quai des orfèvres obligé de déménager au Bastion, nouveau 36, plus moderne, mieux équipé, plus dans l’air du temps. On le retrouve plus ombrageux, nostalgique du flic qu’il était où son métier d’avant consistait surtout à « courir » après les voyous. La culpabilité fait toujours partie intégrante de sa personnalité, il faut dire que son créateur lui en a fait voir de toutes les couleurs. Pourtant, il s’efface progressivement, comme son épouse Lucie pour laisser place exclusivement à l’enquête, et à une description acerbe de notre monde.
Franck Thilliez explore de multiples sujets. Loin de les survoler, il les décortique et va au fond des choses et jusqu’aux conséquences qu’elles engendrent. J’ai rarement lu un récit d’une telle densité : c’est tentaculaire. Ça arrive de partout et ça vous frappe à chaque chapitre à peine remis du précédent. D’abord, en ligne de mire : les réseaux sociaux et Facebook en particulier. « Pauvres chimpanzés, votre vie appartient désormais à Google et Facebook ! Votre existence est construite sur des « j’aime » et sans eux, vous avez l’impression de n’être rien. » Puis internet dans sa globalité, les big datas collectés par les géants du Net « Google vous connaît mieux que n’importe quel psychologue », et le Darknet où toutes les atrocités se vendent et s’achètent. Suivent ensuite les thématiques des manipulations génétiques, de l’eugénisme compationnel, « la grande foire de la génétique », le transhumanime et le bio-hacking. Nous sommes dans un univers technologique intégral où l’Homme n’existe plus en tant que lui-même, il est la matière d’un robot en construction qui finira par prendre sa place.
Derrière ces thématiques tentaculaires, se cache pourtant un homme, écrivain. Par opposition à cet univers aux technologies de pointe, Franck Thilliez nous fait du nature writing, comme pour contrebalancer, avec ses 5 sens, ce monde immatériel qu’on ne peut ni sentir, ni voir, ni toucher. Pour ce faire, il utilise la crue de la Seine, des explorations en forêt ou en rase campagne, qui mettent toute la lumière sur les 5 sens. Je n’avais jamais autant senti l’odeur de la terre, de la pluie, entendu la nature qui bruisse, mais aussi le silence qui glace, contemplé l’eau qui déborde et qui recouvre tout. L’eau est d’ailleurs un personnage phare du roman qui prend une place énorme et sous bien des aspects. J’ai trouvé une réelle sensibilité poétique dans son écriture, un équilibre pondéré qui fait contrepoids aux scènes plus difficiles. Ces descriptions étaient des projections de lumière, donc d’humanité dans la nuit de son intrigue et c’est la forme d’espoir que j’y ai trouvé dans un roman globalement très sombre.
Comme d’habitude chez Thilliez, l’intrigue est construite de main de maître. La terminologie est précise, les procédures policières rigoureuses, les descriptions d’autopsie poussées. Le langage est adapté à chaque situation. Ce travail d’orfèvre apporte une crédibilité considérable à l’ensemble de son texte. Incontestablement, il n’écrit pas « juste » du polar. Le polar n’est qu’un prétexte pour aborder notre monde, ses problématiques, ses invraisemblances que nous ne voyons plus et qui ne nous révoltent donc plus. 550 pages d’une lecture hyper addictive, sans temps mort, pleines d’interrogations concernant notre futur, un besoin de se poser comme témoin d’une époque un peu folle qui prend lentement un tournant vers une modernité qui nous dépasse totalement.
Pour toutes ces raisons, j’ai trouvé ce roman brillant. Il est clair que Franck Thilliez, que je suis depuis le début en a encore largement sous le pied et réussit à nous surprendre à chaque fois ! Précipitez-vous, c’est excellentissime !
Prise de conscience ? Peur ? Pertes des libertés individuelles ? Flicage en line ? Progrès scientifiques qui dépassent la Morale ? Réelle tendance à l’eugénisme ? Après le dernier Bernard Minier qui développe la tragédie des brevets de nouvelles technologies en cours de développement, le dernier Céline Denjean qui nous plonge dans les progrès médicaux permettant d’effacer la mémoire, Franck Thilliez construit son enquête dans un univers où les libertés individuelles ne sont plus qu’illusions, ou la vie privée n’existe plus et se retrouve « en ligne » avec notre consentement, où les nouvelles technologies et les GAFA prennent le pouvoir, mais pas seulement….Il fait souvent référence au mythe de la Caverne de Platon. La Caverne représente le monde sensible, celui des émotions, celui dont il faut donc se détourner parce qu’il fausse notre jugement. L’extérieur de la caverne représente le monde des idées, le raisonnement, c’est le monde de la vérité vers lequel l’Homme doit tendre. La description de notre monde 2.0 façon Thilliez est cette caverne, nous sommes dans la caverne ! « La neuro dictature et l’emmurement définitif de la caverne sont en route. »
Tout part d’un simple constat sociétal : le désespoir d’un couple incapable de concevoir, les contradictions de notre société qui transforment l’adoption en chemin de croix, et donc l’obligation de recourir à des solutions « alternatives » pour satisfaire un désir d’enfant. Après ce prologue, Franck Thilliez entame une première partie dans laquelle 2 mondes s’affrontent : le nôtre et celui de Franck Sharko, mythique flic du 36 quai des orfèvres obligé de déménager au Bastion, nouveau 36, plus moderne, mieux équipé, plus dans l’air du temps. On le retrouve plus ombrageux, nostalgique du flic qu’il était où son métier d’avant consistait surtout à « courir » après les voyous. La culpabilité fait toujours partie intégrante de sa personnalité, il faut dire que son créateur lui en a fait voir de toutes les couleurs. Pourtant, il s’efface progressivement, comme son épouse Lucie pour laisser place exclusivement à l’enquête, et à une description acerbe de notre monde.
Franck Thilliez explore de multiples sujets. Loin de les survoler, il les décortique et va au fond des choses et jusqu’aux conséquences qu’elles engendrent. J’ai rarement lu un récit d’une telle densité : c’est tentaculaire. Ça arrive de partout et ça vous frappe à chaque chapitre à peine remis du précédent. D’abord, en ligne de mire : les réseaux sociaux et Facebook en particulier. « Pauvres chimpanzés, votre vie appartient désormais à Google et Facebook ! Votre existence est construite sur des « j’aime » et sans eux, vous avez l’impression de n’être rien. » Puis internet dans sa globalité, les big datas collectés par les géants du Net « Google vous connaît mieux que n’importe quel psychologue », et le Darknet où toutes les atrocités se vendent et s’achètent. Suivent ensuite les thématiques des manipulations génétiques, de l’eugénisme compationnel, « la grande foire de la génétique », le transhumanime et le bio-hacking. Nous sommes dans un univers technologique intégral où l’Homme n’existe plus en tant que lui-même, il est la matière d’un robot en construction qui finira par prendre sa place.
Derrière ces thématiques tentaculaires, se cache pourtant un homme, écrivain. Par opposition à cet univers aux technologies de pointe, Franck Thilliez nous fait du nature writing, comme pour contrebalancer, avec ses 5 sens, ce monde immatériel qu’on ne peut ni sentir, ni voir, ni toucher. Pour ce faire, il utilise la crue de la Seine, des explorations en forêt ou en rase campagne, qui mettent toute la lumière sur les 5 sens. Je n’avais jamais autant senti l’odeur de la terre, de la pluie, entendu la nature qui bruisse, mais aussi le silence qui glace, contemplé l’eau qui déborde et qui recouvre tout. L’eau est d’ailleurs un personnage phare du roman qui prend une place énorme et sous bien des aspects. J’ai trouvé une réelle sensibilité poétique dans son écriture, un équilibre pondéré qui fait contrepoids aux scènes plus difficiles. Ces descriptions étaient des projections de lumière, donc d’humanité dans la nuit de son intrigue et c’est la forme d’espoir que j’y ai trouvé dans un roman globalement très sombre.
Comme d’habitude chez Thilliez, l’intrigue est construite de main de maître. La terminologie est précise, les procédures policières rigoureuses, les descriptions d’autopsie poussées. Le langage est adapté à chaque situation. Ce travail d’orfèvre apporte une crédibilité considérable à l’ensemble de son texte. Incontestablement, il n’écrit pas « juste » du polar. Le polar n’est qu’un prétexte pour aborder notre monde, ses problématiques, ses invraisemblances que nous ne voyons plus et qui ne nous révoltent donc plus. 550 pages d’une lecture hyper addictive, sans temps mort, pleines d’interrogations concernant notre futur, un besoin de se poser comme témoin d’une époque un peu folle qui prend lentement un tournant vers une modernité qui nous dépasse totalement.
Pour toutes ces raisons, j’ai trouvé ce roman brillant. Il est clair que Franck Thilliez, que je suis depuis le début en a encore largement sous le pied et réussit à nous surprendre à chaque fois ! Précipitez-vous, c’est excellentissime !
July 14, 2021
Tarabiscoté, comme toujours avec Thilliez. Sur fond de la toute puissance maléfique des réseaux sociaux, des technologies magnifiques et terrifiantes visant à l'homme éternel, et de la dérive effrayante d'une secte adepte de la souffrance insoutenable infligée à des adeptes à la dérive, une histoire simple au départ, d'un homme désespéré. Manipulateur manipulé. Les personnages secondaires, avec leurs terreurs nées de la perte violente, brutale, subite, de leurs amours merveilleux, sont brossés avec un trait frôlant la perfection, une humanité qui ne peut que les faire aimer. Parfois un peu grandiloquent, le récit, sans doute, trop de lieux communs dans le paysage. Une touche de sobriété n'aurait pas été malvenue... Seule mini critique d'un récit plein de rythme...
June 14, 2020
Extrêmement déçue de ce livre, Monsieur Thilliez nous avait habitué à tellement mieux...
Je me suis ennuyée à mourir les 200 premières pages. Le sujet de fond part dans tous les sens et mélange beaucoup de choses et la forme n’est guère mieux. Des descriptions en longueur notamment au début sur le fonctionnement interne de la police (à trop vouloir faire réaliste ça devient assommant) et même les personnages que j’appréciais pourtant beaucoup dans les précédents livres m’ont laissée perplexes. Langage vulgaire et aucune profondeur émotionnelle...
Je me suis ennuyée à mourir les 200 premières pages. Le sujet de fond part dans tous les sens et mélange beaucoup de choses et la forme n’est guère mieux. Des descriptions en longueur notamment au début sur le fonctionnement interne de la police (à trop vouloir faire réaliste ça devient assommant) et même les personnages que j’appréciais pourtant beaucoup dans les précédents livres m’ont laissée perplexes. Langage vulgaire et aucune profondeur émotionnelle...
May 18, 2021
Un régal pour les amateurs de polar/thriller ! Thilliez a, comme Chattam, la recette magique qui marche à tous les coups. On lit à toute vitesse tant on a hâte de connaître la suite et de vérifier si notre théorie sur le coupable est la bonne. Accrochez votre estomac et chaussez vos lunettes de détective. Pour ma part je suis admiratif de cette capacité à monter de telles intrigues tarabiscotées, mais je trouve ce roman un peu trop fourre-tout. Du coup malgré sa densité il a eu tendance à me désintéresser par moment car j'étais trop balloté d'un sujet à l'autre. Le pari de faire un roman sur les dangers des biotechnologies et de l'IA, sujet à la mode et donc déjà ringard, est réussi malgré quelques gros sabots et des inévitables clichés (bouh les biotech c'est mal).
November 12, 2020
Je sais que je me répète à chaque nouveau roman de Franck Thilliez, mais le plaisir de retrouver Lucie et Sharko reste le même. Comme à son habitude, l'auteur entraîne son lecteur dans un tourbillon de sensations, en suivant une enquête difficile et une course contre la montre de l'équipe de Sharko qui maintiennent en haleine du début à la fin du livre.
September 26, 2023
WAR IS OVER
November 16, 2023
Très bon livre!
May 24, 2024
Sujet qui nous interpelle ! Ca fait reflechir
July 24, 2023
Je suis un peu déçu par ce livre.L’intrigue ne m’a pas tellement emporté, les personnages ne sont pas très attachants et la révélation finale n’est pas surprenante et ne m’a fait ni chaud ni froid. Le récit est également parsemé de nombreuses scènes assez glauques et sombres et je me suis ennuyé à plusieurs reprises. En revanche, l’auteur livre une réflexion intéressante sur l’intelligence artificielle et les nouvelles technologies.
August 19, 2022
Un bon Thriller, mais pas le meilleur de Franck Thilliez. On le lit tout de même rapidement pour connaître le dénouement final.
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