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Térébenthine
"Certains, ou plutôt devrais-je dire certaines, se sont étonnés du peu d'artistes femmes citées dans notre programme d'histoire de l'art. Je leur ai donné carte blanche aujourd'hui. Mesdemoiselles, c'est à vous ! "Quand la narratrice s'inscrit aux Beaux-Arts, au début des années 2000, la peinture est considérée comme morte. Les professeurs découragent les vocations, les galeries n'exposent plus de toiles. Devenir peintre est pourtant son rêve. Celui aussi de Luc et Lucie, avec qui elle forme un groupe quasi clandestin dans les sous-sols de l'école. Un lieu de création en marge, en rupture. Pendant ces années d'apprentissage, leur petit groupe affronte les humiliations et le mépris. L'avenir semble bouché. Mais quelque chose résiste, intensément.
- GenresArt
176 pages, Paperback
Published August 20, 2020
3 people are currently reading
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Community Reviews
Displaying 1 - 30 of 30 reviews
August 6, 2020
J'ai passé un très bon moment de lecture, et j'ai surtout appris PLEIN de choses sur l'art contemporain de ces dernières décennies. Cependant, l'intrigue n'est pas au même niveau mais reste sympathique. A lire plus pour son ambiance et ses nombreuses infos que pour son histoire, qui aurait pu être plus développée.
June 5, 2025
« Et toi, qu'as-tu envie de peindre? Qu'as-tu envie de raconter? Tu ne sais par où commencer, tu as dix-huit ans et les sujets se bousculent: le désir, le corps, la souffrance d'être née femme dans un monde bâti pour les hommes, où les femmes, que ce soit dans les arts plastiques ou le cinéma, la littérature ou la musique, se perçoivent encore et toujours comme des objets du désir, jamais des sujets. L'urgence de devenir sujet. »
November 11, 2024
Quelle force ce roman.
June 2, 2024
https://imaginelec.blogspot.com/2024/...
J'ai envie de diversifier un peu mes lectures en termes de genre, du coup c'est avec curiosité que j'ai pioché à la médiathèque ce court roman mis en en avant sur une table.
Début des années 2000, nous suivons 3 étudiants aux Beaux Arts qui sont passionnés par la peinture, c'est à dire totalement à contre courant de ce qui se fait à cette période où la peinture est vue comme totalement dépassée et sans avenir.
On suit donc le parcours de Luc, Lucie et la narratrice au court de leurs 3 années dans cette école, à subir mépris et brimade, à s'accrocher à leur passion, à grandir dans leur art et à trouver leur voie puis après l'école.
J'ai aimé :
Découvrir un monde artistique qui m'est très étranger.
Le regard sans concessions de l'autrice sur la violence du milieux dès l'école.
Le regard féministe sur la non présence des femmes artistes dans les cursus.
La dépiction critique de l'art contemporain, son hypocrisie.
J'ai moins aimé :
Le roman est court, très court, plutôt une novella, pleine d'ellipses, et c'est dommage car il gagnerait à être étoffé.
La narration à la deuxième personne. Un procédé qui ne fonctionne pas souvent avec moi et qui perturbe mon immersion dans le roman.
Les personnages trop peu caractérisé, presque utilitaires.
Au final c'était court et intéressant, je ne regrette pas ce choix à l'aveugle qui m'a changé de mes habitudes et m'a fait passer un bon moment de lecture. Le texte à des qualités et les défauts cités n'entache pas l’intérêt.
J'ai envie de diversifier un peu mes lectures en termes de genre, du coup c'est avec curiosité que j'ai pioché à la médiathèque ce court roman mis en en avant sur une table.
Début des années 2000, nous suivons 3 étudiants aux Beaux Arts qui sont passionnés par la peinture, c'est à dire totalement à contre courant de ce qui se fait à cette période où la peinture est vue comme totalement dépassée et sans avenir.
On suit donc le parcours de Luc, Lucie et la narratrice au court de leurs 3 années dans cette école, à subir mépris et brimade, à s'accrocher à leur passion, à grandir dans leur art et à trouver leur voie puis après l'école.
J'ai aimé :
Découvrir un monde artistique qui m'est très étranger.
Le regard sans concessions de l'autrice sur la violence du milieux dès l'école.
Le regard féministe sur la non présence des femmes artistes dans les cursus.
La dépiction critique de l'art contemporain, son hypocrisie.
J'ai moins aimé :
Le roman est court, très court, plutôt une novella, pleine d'ellipses, et c'est dommage car il gagnerait à être étoffé.
La narration à la deuxième personne. Un procédé qui ne fonctionne pas souvent avec moi et qui perturbe mon immersion dans le roman.
Les personnages trop peu caractérisé, presque utilitaires.
Au final c'était court et intéressant, je ne regrette pas ce choix à l'aveugle qui m'a changé de mes habitudes et m'a fait passer un bon moment de lecture. Le texte à des qualités et les défauts cités n'entache pas l’intérêt.
September 16, 2020
« Térébenthine » est le surnom donné aux étudiants apprenti – peintres. De plus, dans les années 2000, plus personne n’utilise la peinture pour peindre ! Et Luc, Lucile et la narratrice font partie des derniers attachés à cette technique. Alors lorsqu’ils font connaissance sur les bancs de l’école des Beaux-Arts de Lille pour leurs trois ans d’étude, ils comprennent que le chemin sera long vers leur existence d’artiste et encore plus vers leur reconnaissance.
A travers son expérience, Carole Fives bâtit son récit autour de sa narratrice qui avec la mise à distance du tutoiement raconte les relations entre les groupes d’étudiants selon leur technique utilisée, la nature du marché d’art contemporain, les difficultés de la création, les désappointements de l’isolement et le manque de soutien.
Mais, Térébenthine » décrit aussi les méthodes d’enseignement dans cette école du second millénaire qui continue à enseigner l’histoire de l’art contemporain en ne présentant que des artistes masculins alors que les étudiants sont féminines à plus de 75 %. C’est une palette d’artistes féminines quie nous présente Carole Fives de Nikki de Saint Phalle qui utilise une carabine pour « tuer la peinture » jusqu’à Annette Messager et ses « pensionnaires » et « Les enfants aux yeux rayés »en passant par Miss Tic et Agnès Marti.
La suite ici
https://vagabondageautourdesoi.com/20...
A travers son expérience, Carole Fives bâtit son récit autour de sa narratrice qui avec la mise à distance du tutoiement raconte les relations entre les groupes d’étudiants selon leur technique utilisée, la nature du marché d’art contemporain, les difficultés de la création, les désappointements de l’isolement et le manque de soutien.
Mais, Térébenthine » décrit aussi les méthodes d’enseignement dans cette école du second millénaire qui continue à enseigner l’histoire de l’art contemporain en ne présentant que des artistes masculins alors que les étudiants sont féminines à plus de 75 %. C’est une palette d’artistes féminines quie nous présente Carole Fives de Nikki de Saint Phalle qui utilise une carabine pour « tuer la peinture » jusqu’à Annette Messager et ses « pensionnaires » et « Les enfants aux yeux rayés »en passant par Miss Tic et Agnès Marti.
La suite ici
https://vagabondageautourdesoi.com/20...
February 7, 2021
J’ai beaucoup aimé ce court roman dans lequel on suit 3 étudiants aux Beaux Arts, spécialisés en peinture d’où leur surnom « Térébenthine ». Dans ce livre, on dénonce entre autres le non-enseignement des artistes femmes, très intéressant.
May 28, 2025
Térébenthine met en scène trois élèves des Beaux-Arts de Lille durant leurs trois années d'études communes. Lucie, Luc et la narratrice (sans prénom) entrent à l'Académie avec l'espoir de pouvoir redonner vie à leur médium de prédilection : la peinture. Mais la peinture est morte, paraît-il, et les trois compères sont la risée des collègues qui les surnomment les "Térébenthine".
Que faire d'un.e peintre lorsque la peinture est passée de mode ? Que peindre après l'avènement de la pellicule et du numérique ?
J'ai passé un très bon moment avec ce livre doté d'une bonne dose d'érudition sans élitisme, de beaucoup de références artistiques sans prise de tête, et d'une profondeur de champ très appréciable, surtout pour un livre aussi court. Lu en moins de 3h, Carole Fives m'a emportée très facilement dans ses réflexions d'artiste, dans le cheminement menant à la création ou à la destruction de carrières artistiques ; dans la tête d'une narratrice aussi commune qu'originale.
Carole Fives nous introduit dans un domaine qu'elle connaît bien puisqu'elle a elle-même obtenu son diplôme d'expression plastique aux Beaux-Arts de Paris. Originaire du Touquet, elle situe cette histoire d'art et d'amitié à l'académie de Lille, où elle a enseigné les arts visuels jusqu'en 2012. On se demande donc où commence la fiction, où se cachent les révélations et quelle part de cette autofiction dissimule une certaine réalité. A mon sens, la réalité réside sans conteste dans les réflexions de l'autrice très intéressantes et très abouties au sujet de l'art pictural, du marché de l'art visuel et de "la mort de la peinture".
Moi qui ne suis pas une grande adepte d'autofiction, j'ai été rapidement séduite par Térébenthine. J'ai apprécié le style travaillé et percutant de l'autrice. A travers l'apparente simplicité des textes, on entrevoit la qualité des réflexions et du langage artistique de Carole Fives. L'autrice a un don pour transmettre (et vulgariser) les émotions véhiculées par les artistes et leurs oeuvres, avec talent et sensibilité. En choisissant la deuxième personne du singulier pour nous immiscer dans la tête de la narratrice, l'autrice réussit à nous interpeller prestement et adroitement. Qu'il s'agisse d'amitié, d'art, d'ambition, d'agression ou d'abandon, les mots sont toujours extrêmement bien choisis.
Que faire d'un.e peintre lorsque la peinture est passée de mode ? Que peindre après l'avènement de la pellicule et du numérique ?
J'ai passé un très bon moment avec ce livre doté d'une bonne dose d'érudition sans élitisme, de beaucoup de références artistiques sans prise de tête, et d'une profondeur de champ très appréciable, surtout pour un livre aussi court. Lu en moins de 3h, Carole Fives m'a emportée très facilement dans ses réflexions d'artiste, dans le cheminement menant à la création ou à la destruction de carrières artistiques ; dans la tête d'une narratrice aussi commune qu'originale.
Carole Fives nous introduit dans un domaine qu'elle connaît bien puisqu'elle a elle-même obtenu son diplôme d'expression plastique aux Beaux-Arts de Paris. Originaire du Touquet, elle situe cette histoire d'art et d'amitié à l'académie de Lille, où elle a enseigné les arts visuels jusqu'en 2012. On se demande donc où commence la fiction, où se cachent les révélations et quelle part de cette autofiction dissimule une certaine réalité. A mon sens, la réalité réside sans conteste dans les réflexions de l'autrice très intéressantes et très abouties au sujet de l'art pictural, du marché de l'art visuel et de "la mort de la peinture".
Moi qui ne suis pas une grande adepte d'autofiction, j'ai été rapidement séduite par Térébenthine. J'ai apprécié le style travaillé et percutant de l'autrice. A travers l'apparente simplicité des textes, on entrevoit la qualité des réflexions et du langage artistique de Carole Fives. L'autrice a un don pour transmettre (et vulgariser) les émotions véhiculées par les artistes et leurs oeuvres, avec talent et sensibilité. En choisissant la deuxième personne du singulier pour nous immiscer dans la tête de la narratrice, l'autrice réussit à nous interpeller prestement et adroitement. Qu'il s'agisse d'amitié, d'art, d'ambition, d'agression ou d'abandon, les mots sont toujours extrêmement bien choisis.
August 11, 2025
Carole Fives s'est inspirée de ses propres expériences pour créer un court roman qui se lit aisément. Son caractère principale est une jeune étudiante qui fréquente l'école des Beaux-Arts à Lille dans le but de devenir peintre à une époque où la peinture a perdu de valeur.
Par le biais de l'humour, l'autrice non seulement par moments nous fait rire de bon coeur, mais elle peut aussi dénoncer et critiquer certains comportements arrogants, violents ou insensés de certains personnages.
Son écriture se distingue par des phrases courtes et incisives qui donnent un rythme rapide et percutant à ses textes. La ponctuation est utilisée de manière minimaliste, créant un effet de flux de conscience et d'urgence qui immerge le lecteur dans les pensées intérieures de ses personnages.
Le point de vue de la narration est autoscopique, une technique où la narratrice s'adresse à elle-même au "tu", ce qui donne un peu au texte le goût d'un scénario de film ou de pièce de théâtre et permet en même temps d'exprimer un dédoublement de soi.
Par le biais de l'humour, l'autrice non seulement par moments nous fait rire de bon coeur, mais elle peut aussi dénoncer et critiquer certains comportements arrogants, violents ou insensés de certains personnages.
Son écriture se distingue par des phrases courtes et incisives qui donnent un rythme rapide et percutant à ses textes. La ponctuation est utilisée de manière minimaliste, créant un effet de flux de conscience et d'urgence qui immerge le lecteur dans les pensées intérieures de ses personnages.
Le point de vue de la narration est autoscopique, une technique où la narratrice s'adresse à elle-même au "tu", ce qui donne un peu au texte le goût d'un scénario de film ou de pièce de théâtre et permet en même temps d'exprimer un dédoublement de soi.
February 24, 2023
Une jeune fille qui rêve de devenir artiste et essaie d’entrer au beaux-arts, à une époque où la peinture semble être un art révolu. J’ai beaucoup appris sur l’art de la peinture, toutes les références à certains artistes, certaines techniques artistiques que je ne connaissais pas du tout. Ce livre met en avant une époque à laquelle les peintres sont déconsidérés, d’autant plus qu’il est excrément difficile de se faire un nom dans le milieu, être artiste…
On retrouve également le sujet de l’écriture qui semble être récurent chez l’autrice, comment et pourquoi n’ait le besoin d’écrire. Un sujet qui me touche personnellement !
« L’écriture est l’expérience de la solitude absolue. »
C’est un bon livre mais je reste assez mitigée, je pense qu’il manque d’action, d’un quelque chose en plus. C’est dommage que tout arrive à la fin et qu’on ait d’énorme ellipse sur les deux derniers chapitres…
On retrouve également le sujet de l’écriture qui semble être récurent chez l’autrice, comment et pourquoi n’ait le besoin d’écrire. Un sujet qui me touche personnellement !
« L’écriture est l’expérience de la solitude absolue. »
C’est un bon livre mais je reste assez mitigée, je pense qu’il manque d’action, d’un quelque chose en plus. C’est dommage que tout arrive à la fin et qu’on ait d’énorme ellipse sur les deux derniers chapitres…
October 10, 2025
"PEINTURE ET RIPOLIN INTERDITS. C'est ce qui est inscrit à la bombe, en lettres fluo, sur la façade du bâtiment.
Début des années 2000, à l'Ecole des beaux-arts, on ne touche plus aux pinceaux ni aux pigments. Les étages ont été rénovés pour accueillir les ateliers vidéo, son et multimédia."
Dans ce court roman, il est question de 3 étudiants des Beaux-arts qui vont à l'encontre de l'orientation anti-peinture de leur école et des difficultés qu'ils doivent affronter vis-à-vis des professeurs, des autres étudiants et du milieu culturel.
J'ai beaucoup ri car j'ai retrouvé dans les anecdotes ce que j'ai moi-même vu lors de mes études d'histoire de l'art et ma fréquentation du milieu de l'art contemporain (un art qui est égratigné, au passage).
Début des années 2000, à l'Ecole des beaux-arts, on ne touche plus aux pinceaux ni aux pigments. Les étages ont été rénovés pour accueillir les ateliers vidéo, son et multimédia."
Dans ce court roman, il est question de 3 étudiants des Beaux-arts qui vont à l'encontre de l'orientation anti-peinture de leur école et des difficultés qu'ils doivent affronter vis-à-vis des professeurs, des autres étudiants et du milieu culturel.
J'ai beaucoup ri car j'ai retrouvé dans les anecdotes ce que j'ai moi-même vu lors de mes études d'histoire de l'art et ma fréquentation du milieu de l'art contemporain (un art qui est égratigné, au passage).
October 9, 2023
Le livre se lit très rapidement, il est intéressant ce n’ai pas un livre que j’aurai choisis si je ne devait pas le lire dans le cadre du cours français mais je ne suis pas pour autant déçu de l’avoir lue c était enrichissant et plein de références dont pour ma par j’en connaissais quelque une. Ce n’est pas un coup de cœur mais pas une déception pour autant. J’ai trouvé également original le fait qu’il soit écrit à la deuxième personne du singulier. Au début cela est perturbant mais on s’habitue vite à l’écriture. Point négatif le soit disant plod twiste de la fin est trop cours est pas assez développé pour être suffisant intéressant.
April 11, 2022
هذه الرواية القصيرة، والتي هي ربما سيرة ذاتية للكاتبة و صديقيها لوك ولوسي عند دراستهم بمدرسة الفنون الجميلة بليل على مدى ثلاث سنوات، و نضالهم للاعتراف بهم كفنانين يستخدمون الطلاء للرسم في الوقت الذي لم يعد أحد يهتم بهذه التقنية.
بأسلوبها اليقظ والخفيف، تصنع كارول فايفز رواية/لوحة بديعة، تستمتع جدا بقرائته�� و تتعلم الكثير من الأشياء حول الفن المعاصر.
ا* "Térébenthine" "زيت التريبنتين" هو الاسم المستعار الذي يطلق على الطلبة االرسامين.
بأسلوبها اليقظ والخفيف، تصنع كارول فايفز رواية/لوحة بديعة، تستمتع جدا بقرائته�� و تتعلم الكثير من الأشياء حول الفن المعاصر.
ا* "Térébenthine" "زيت التريبنتين" هو الاسم المستعار الذي يطلق على الطلبة االرسامين.
April 22, 2022
C'est un livre à l'ambiance très particulière qui est destiné aux personnes qui aiment réfléchir sur l'art abstrait. Tellement particulier que j'imagine facilement des artistes ne pas l'apprécier. C'était une sacrée expérience, j'ai beaucoup aimé, ça m'a challengé, fait réfléchir, et l'usage de la deuxième personne du singulier m'a permis d'avoir l'impression de faire partie du groupe d'amis, de partager leur aventure et leurs émotions !
May 11, 2022
un très beau livre que je recommande à tout ceux qui ont une relation privilégiée à l’art (n’importe quel médium).
très informatif, surtout sur l’art actuel et sur celui des années 50 à 90.
seul bémol, j’ai trouvé la manière dont l’histoire est écrite très faible. concernant les dialogues, même chose, peu réaliste, des choses qui n’aurait pas été dites à l’oral, ou du mois pas avec ces constructions de phrases.
très informatif, surtout sur l’art actuel et sur celui des années 50 à 90.
seul bémol, j’ai trouvé la manière dont l’histoire est écrite très faible. concernant les dialogues, même chose, peu réaliste, des choses qui n’aurait pas été dites à l’oral, ou du mois pas avec ces constructions de phrases.
June 6, 2022
3,5/4 étoiles
J'ai bien aimé l'approche de l'auteur concernant la peinture, et l'apport des peintres et artistes femmes dans l'HDA
J'avoue qu'au début, le fait qu'elle utilise la 1ere personne quand il est question du narrateur m'a un peu déplu mais finalement on s'y habitue, et c'est très cohérent avec le reste du livre et l'histoire
Les personnages sont plutôt attachants, et on arrive bien a se plonger dans leur vie, environnement et relations
J'ai bien aimé l'approche de l'auteur concernant la peinture, et l'apport des peintres et artistes femmes dans l'HDA
J'avoue qu'au début, le fait qu'elle utilise la 1ere personne quand il est question du narrateur m'a un peu déplu mais finalement on s'y habitue, et c'est très cohérent avec le reste du livre et l'histoire
Les personnages sont plutôt attachants, et on arrive bien a se plonger dans leur vie, environnement et relations
January 4, 2021
Ce court récit évoque les trois années de formation de la narratrice et ses compagnons d'infortune à l'Ecole des Beaux Arts. C'est l'occasion pour l'autrice d'aborder des thématiques qui m'intéressent particulièrement telles que la place des femmes dans l'histoire de l'art, le monde de l'art, la cruauté de ce milieu, mais aussi les violences faites aux femmes et les réactions qu'elles suscitent. Rien d'inoubliable peut être mais un moment de lecture plaisant, que je conseille vivement !
May 26, 2022
Pleins de richesses culturelles! Simplement 3 étoiles parceque le développement de l'histoire est interressant quand on lit entre les lignes du roman, la vie des personnages est un peu énervante je ne saurais pas comment l'expliquer. Aussi le rejet de la peinture me semble incompréhensible mais l'histoire se passe dans les annees 2000 peut etre pour ca.
September 11, 2020
Un petit ouvrage féministe sur fond d’Arts, bien écrit et qui se lit très rapidement. Les anecdotes et analyses sur le milieu de la création sont vraiment intéressantes, mais le reste est plutôt décevant. Les personnages n’ont pas de relief et on oubliera vite leurs péripéties.
Read
August 29, 2020Un roman très bref autour de l'amitié de trois étudiants aux Beaux-Arts.
Pas tendre du tout avec le monde de l'art contemporain, entrecoupé de courts extraits de leçons d'histoire de l'art.
Pas tendre du tout avec le monde de l'art contemporain, entrecoupé de courts extraits de leçons d'histoire de l'art.
November 3, 2020
Parler de peinture , de sa formation aux beaux arts et devenir écrivaine.
Bel hommage aux femmes artistes mais aussi à la force de la peinture.
Bel hommage aux femmes artistes mais aussi à la force de la peinture.
June 19, 2021
lecture incroyable. j'étais perplexe par rapport à la narration mais elle fonctionne très bien. j'ai adoré ce trio auquel on s'attache
August 10, 2021
Très bon ! Un roman qui mélange Beaux-Arts et féminisme!
May 2, 2022
Désormais c'est ma bible
August 3, 2022
J’ai adoré ce livre. Ouvrage qui a raviver, encore, mon amour de l’art.
November 14, 2022
3,75 ⭐️
March 19, 2023
Devient mon livre préféré dès les premières pages ! en tant que passionnée d’histoire des arts c’est le roman parfait, très touchant.
April 14, 2024
Plutôt 3,5
February 3, 2025
aled je veux quitter cette école d’art
August 4, 2024
Ceci n'est pas un roman. C'est tout juste le premier jet d'un synopsis médiocre. L'auteur a fréquenté le genre d'école d'art dont elle parle, mais cela ressemble à un exposé niveau collège fait à la hâte sur ce que c'est que d'étudier là-bas... avec du name dropping peu convaincant qui n'impressionnera que les gens qui ne connaissent rien au sujet. Que Gallimard ait accepté un tel monceau de nullité est ahurissant. Une perte de temps pour moi et toutes les personnes impliquées.
This is not a novel. It's barely the first draft of a mediocre synopsis. The author attended the kind of art school she's talking about, yet it feels like a hastily researched, middle school level, report on what studying there was/is like... with unconvincing name dropping that will impress only people who know nothing about the subject matter. How Gallimard accepted such a thing is mind boggling. A waste of my time and everyone involved.
This is not a novel. It's barely the first draft of a mediocre synopsis. The author attended the kind of art school she's talking about, yet it feels like a hastily researched, middle school level, report on what studying there was/is like... with unconvincing name dropping that will impress only people who know nothing about the subject matter. How Gallimard accepted such a thing is mind boggling. A waste of my time and everyone involved.
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