Tout a commencé par un mensonge. Un tout petit mensonge...
Jane et Marnie sont inséparables depuis l'enfance. Et si Jane avait été honnête depuis le début – si elle n'avait pas menti cette toute première fois –, alors peut-être que les choses auraient pu tourner autrement. Peut-être que le mari de sa meilleure amie serait encore en vie. Le temps est venu pour Jane de dire la vérité, enfin... sa vérité. Tandis qu'elle se confie et décortique les sept mensonges qu'elle a racontés à Marnie, chacun plus terrible que le précédent, elle révèle les couches de noirceur qui ont infiltré leur amitié et les secrets toxiques qui remuent sous la surface. Mais une vérité peut toujours en cacher une autre...
"En résumé, un thriller pas comme les autres, qui détonne de ce que j'ai l'habitude de lire. Mais sortir de sa zone de confort permet également de faire des découvertes étonnantes. Et ce roman en fait partie. On s'attache aux personnages, l'intrigue nous prend dans ses filets et les pages défilent toutes seules. Bref, j'ai passé un bon moment !"
Vous pourriez être séduit(e) par la couverture, ou le résumé, mais SURTOUT, vous ne pourrez rester indifférent(e) devant l'objet-livre en lui-même ; magnifique et bien pensé ! Chaque mensonge est symbolisé par un intercalaire, voilà de l'originalité qui annonce du bon ! Pour un premier roman édité, un thriller de surcroît, Elizabeth Kay démontre sa maîtrise avec une écriture prenante accompagnée d'une touche de mystère dès le départ : la narration est laissée à Jane, la femme qui va nous raconter sa vie, cependant, on ignorera jusqu'à la fin à qui elle s'adresse. Un mystère accordé à une pincée de malsain, quelque chose au-dessus de notre tête, un pressentiment que quelque chose ne va pas pas.
Je ne vais pas vous mentir, le format a des défauts. Il est vrai que l'on va suivre la vie de Jane depuis le début, son amitié infaillible avec Marnie puis les chemins qu'elles ont pris, les souffrances et les joies… vous ne pourrez pas faire l'impasse sur des passages bien écrits mais longs, voire lassants, et des détails que vous jugerez peut-être même inintéressants. Vous aurez sûrement l'impression que certaines pages sont là pour remplir. En effet, Sept mensonges est avant tout un thriller psychologique porté sur une amitié qui s'effiloche, et on tente de comprendre le pourquoi du comment Jane et Marnie en arrivent à cette situation présente. N'attendez pas de scène d'action, de police aux trousses d'un meurtrier ou d'interrogatoire douteux, mais plutôt des questionnements, un récit d'une femme qui s'est embourbée dans ses mensonges. Découvrez les conséquences de sept mensonges, petits d'abord, puis plus grands, forcément. Mais manque d'action, ça veut dire lâcher le roman ? Surtout pas ! Car s'il y a relativement peu de tension sur la première moitié, la deuxième va tout chambouler. Il aura fallu un peu de temps pour rentrer dans l'histoire en elle-même, et soudainement, on se surprend à avoir le cœur serré en lisant les mots de Jane.
Vous pourriez râler devant cette fin. Mais vous pourriez être, comme moi et d'autres, enchantés d'une fin en réalité si parfaite. Inattendue, oui. Risquée ? Absolument, il suffit de voir nos réactions à nous, lecteurs ! Audacieuse ? C'est justement cette fin qui relève les longueurs observées un peu plus tôt, et qui change la vision du roman. Lorsqu'on a enfin la vision d'ensemble, lorsque l'on prend conscience des implications… une dernière partie magistrale, bien qu'inégale avec la première moitié. Dans les malheurs et les épreuves, Sept mensonges nous amène aussi à réfléchir, à grincer des dents lorsqu'on rencontre une journaliste qui va nous mener la vie dure, à Jane et à nous ! Une façon pour l'auteure de nous rappeler qu'une partie des médias prend les drames comme un jeu ; du sensationnalisme en continu, des fouteurs de troubles qui cherchent à tout prix un scoop pour faire avancer leur carrière, sans empathie pour les personnes qu'ils vont parfois jusqu'à harceler. Il y a bien plus, cependant : la maladie mentale, l'anorexie et la mémoire avec la sœur de Jane et leur mère. L'amitié que l'on croit indestructible, l'amitié qui s'effrite, accepter de lâcher la main des personnes qui prennent un chemin différent du nôtre. Des sujets profonds qui, forcément, toucheront le lecteur à un moment donné, tant on les vit au quotidien.
Après plusieurs semaines, me voici à présent confrontée à la question suivante, que je vous invite aussi à contempler : que ressentez-vous pour Jane, une fois le livre refermé, une fois que vous avez écouté son histoire ? Ressentez-vous de l'empathie pour cette femme, ou du dégoût ? Qu'est-ce Jane, pour vous ? Sur ces interrogations, je vous laisse à vos découvertes et je vous recommande grandement de tenter votre chance. On a frôlé le coup de cœur, il s'en est fallu de peu ! Un peu moins de longueurs et Sept mensonges finissait dans mon autel des Amours Suprêmes…
J’avais repéré ce roman à sa sortie, c’est son côté spécial qui m’a attiré l’oeil. J’aime beaucoup la mise en page, le fait que le roman soit découpé en sept mensonges, comme un répertoire. Et ce petit détail a attisé ma curiosité. Au vue du résumé, j’avais hâte de découvrir ce roman. C’est vraiment le genre de résumé qui donne envie de se plonger dans cette lecture. Lorsque je l’ai enfin trouvé d’occasion à un prix raisonnable, je n’ai pas hésité une seule seconde. J’avais hâte de le lire mais malheureusement ce fut une lecture décevante.. J’en attendais beaucoup et la déception a été tout de même très grande…
On va suivre l’amitié entre Jane et Marnie. Ces deux femmes sont inséparables depuis l’enfance. Des années plus tard, elles sont toujours amies et leurs deux maris sont morts.. Jane se dit que si elle avait été honnête dès le début, si elle n’avait pas menti cette toute première fois peut être que les choses auraient pu tourner autrement. Jane se confie sur leur passé commun et dissèque les sept mensonges qui sont à l’origine du drame. Chaque mensonge est plus terrible que le précédent..
Déjà, si il y a bien une chose à laquelle je n’ai pas accroché c’est le style du roman. En fait le rythme est super lent, il ne se passe pas grand chose, il n’y a pas tellement de dialogues.. Je trouve que c’est tellement lent qu’en fait on s’ennuie la plupart du temps. Pas une seule fois je me suis dis « oh wow quel retournement de situation inattendu ». Je suis resté stoïque pendant tout le long de ma lecture. Je suis restée de marbre et je n’ai rien ressenti du tout durant ma lecture. Mais en même temps, et ça c’est assez étrange, on a ce côté addictif qui donne envie de savoir la fin et qui nous tient en haleine pendant tout le long du roman. Je sais que c’est très contradictoire comme sensation, c’est ennuyant et en même temps addictif..
En plus d’avoir eu du mal à rentrer dans l’histoire, je ne me suis pas du tout attaché aux personnages. Que ce soit Jane ou Marnie. Vraiment je suis resté complètement hermétique à tout ce qui se passe dans ce roman. Je n’ai pas aimé du tout le personnage de Jane même. Je trouve son amitié avec Marnie tellement toxique, du moins de son côté à elle. Elle a ce côté possessive qui m’a vraiment mise mal à l’aise en fait. Je n’ai pas vraiment aimé Marnie non plus à vrai dire. Enfin comme je le dis je suis vraiment resté hermétique à ce roman et ses personnages. Et je trouve ça bien dommage d’ailleurs. En soi l’histoire avait du potentiel mais malheureusement bien mal exploité et c’est bien dommage.
Concernant les sept mensonges promis dans le résumé, je les ai trouvés assez médiocre en fait. Je m’attendais à des secrets assez fou alors que là ce sont des petits mensonges. Le roman nous montre au final comment un simple petit mensonge peut changer le court d’une vie, avec ça je suis d’accord. Mais, comme je ne cesse de le dire depuis le début, ça reste mal exploité et c’est plat. Même les mensonges ne sont pas à la hauteur. C’est vraiment une grosse déception cette lecture. Peut être que j’en attendais bien trop, je ne sais pas mais au final je n’ai pas aimé grand chose dans cette histoire. De plus les longs monologues de Jane m’ont vraiment fatigués, c’est long et ennuyant. Et puis j’ai eu l’impression que tout partait un peu dans tous les sens..
Bon, je pense que vous l’aurez compris, cette lecture ne fut pas très bonne. J’en attendais tellement et j’ai fini par être très déçue. Les personnages ne sont pas intéressants, ils sont même ennuyeux. L’histoire n’est pas très bonne, le rythme est lent, on n’a pas d’actions, c’est plat il ne se passe rien. Même la fin m’a énormément déçue, en fait je me suis dis « donc tout ça pour ça en fait? ». Je m’attendais à une fin « explosive » pas à une fin et bien plate comme tout le reste du roman en fait. J’ai mis tellement de temps à rentrer un minimum dans l’histoire que j’ai bien failli l’abandonner plus d’une fois. J’ai tenu malgré tout à le finir pour voir si la fin remontait le niveau mais finalement non. Dommage pour cette histoire qui avait du potentiel mais que je trouve très mal exploité..
Jane connaît Marnie depuis l'enfance. C'est une véritable amie sur laquelle elle peut compter, elle l'aime comme sa sœur, comme un âme-sœur, comme son double. Elles ont grandi et son toujours restées comme les deux doigts de la main, inséparables. Bien sûr, elles ont une vie privée. Jane s'est même mariée et a connu le bonheur avec Jonathan. Non, le problème c'est Charles. Le compagnon de Marnie ne trouve pas grâce aux yeux de Jane. Ce qui est fou, c'est que personne ne semble partager son avis. Alors Jane nous raconte comment un petit mensonge en a entraîné un autre. Un petit mensonge, ce n'est rien du tout, enfin... en théorie. Parce que s'il n'y avait pas eu cette entorse à la vérité, Charles serait encore en vie...
Voilà un thriller psychologique surprenant! Non seulement la présentation est magnifique et très originale, avec ces intercalaires pour chaque mensonge, mais en plus la narration est assez surprenante. En effet, c'est Jane qui est la narratrice et elle s'adresse à un "tu" dont on ignore s'il s'agit de nous, lecteurs, ou de quelqu'un d'autre. Nous n'avons pas d'autres choix que de suivre ce que nous raconte Jane puisque nous somme pris à partis, non? J'ai dévoré ce livre en une après-midi! Impossible de le lâcher! Je voulais savoir, je voulais comprendre. On sait très vite que Charles est mort. On sait qui l'a tué mais on ne sait pas pourquoi, ni comment, ni pour quel motif. L'amitié entre Marnie et Jane prend des tournants particuliers. Les deux femmes ressentent-elles la même chose l'une pour l'autre? Jouent-elles franc jeu? Jane n'a pas une vie facile. Parents séparés, une sœur fragile (je ne vous spoilerai pas en quoi), une mère en maison (je ne vous dirai pas pour quel motif) et d'autres coups du sort que l'on découvre à mesure de notre lecture, oui Jane est un sacré personnage. J'ai aimé me laisser guider jusqu'à ce dénouement très particulier, même si une des hypothèses que j'avais émises s'est révélée exacte et que la surprise n'a pas été totale. C'est une lecture forte, déroutante où chaque détail compte où l'un des personnages est vraiment particulièrement détestable. COUP DE CŒUR!
Jane et Marnie, c’est une amitié qui dure depuis plus de dix-huit ans : elles se sont rencontrées le premier jour de leur entrée en sixième et ont ensuite toujours été très liées. Pourtant, Charles est venu qui les a séparées. Mais Charles est mort maintenant. C’est de cette mort que Jane tient à entretenir sa mystérieuse interlocutrice, à laquelle elle révèle comment son premier mensonge à Marnie devait en entraîner bien d’autres et les événements qui les accompagnèrent …
Récit-confession, « Sept mensonges » suit en mode rétrospective le cours de la vie de deux jeunes femmes, Marnie la lumineuse et Jane la sombre. « Jusqu’où seriez-vous prêt à aller par amitié ? » pourrait être le sous-titre de ce roman où tout est vu et raconté par une narratrice unique, Jane, que le lecteur va apprendre à connaître dans son indicible vérité. Blessée par la vie (une mère et une sœur atteintes chacune d’une grave maladie, plus un drame personnel que je la laisse vous exposer), Jane a des raisons de vouloir maintenir à tout prix la force des liens qui la rattachent à Marnie. Est-ce à dire que le lecteur sera enclin à l’absoudre des fautes qu’elle avoue ou plutôt qu’il espèrera la voir enfin percée à jour, lorsque que quelqu’un s’approchera de trop près de ses inquiétantes zones d’ombre ? Il l’écoute, en tout cas, avec un intérêt où la curiosité le dispute à une certaine fascination morbide. « Sept mensonges » nous immerge dans la psyché d’une femme complexe, attentive à ses proches mais aussi animée des pulsions nées de ses frustrations, victime capable de se transformer en bourreau : on scrute ses faits et gestes, décortiqués au fil d’un quotidien ordinaire, en tentant de comprendre comment il a pu déraper. Un roman noir sous tension, pour les amateurs de suspense psychologique.
N.B. : lu en numérique (via NetGalley), mais l’objet-livre mérite le coup d’œil, original avec ses sept onglets-mensonges.
Résumé : Jane et Marnie se connaissent depuis le jour de la rentrée au collège, il y a une vingtaine d’années. Depuis, elles sont inséparables. Meilleures amies, pour le meilleur et pour le pire. Elles ont vécu toutes leurs premières fois ensemble : premier baiser, première déception amoureuse, premier boulot, premier deuil. Le problème, c’est que Jane a menti, sept fois, chaque mensonge étant plus gros que le précédant, afin de se rattraper. L’escalade, jusqu’au point de non-retour. Jusqu’au drame, inévitable. Jusqu’à ce que la mort s’en mêle.
Mon avis : J’ai refermé ce livre il y a quelques jours, le temps qu’il me fallait pour assimiler et mettre de l’ordre dans mes impressions. Et pouvoir tout simplement répondre à cette question : est-ce que j’ai aimé ? Je peux maintenant affirmer que oui, beaucoup ! C’est le genre de livre qui te fait ressentir un panel d’émotions très diverses et contradictoires. Le personnage principal, Jane, est tellement insupportable et mauvais qu’on le déteste. Mais quand c’est voulu par l’auteur, alors on est dans une ambiance malsaine et pesante très réussie ! J’ai finalement adoré ça, car ce sentiment monte crescendo... jusqu’à l’apothéose. C’est l’histoire d’une longue amitié, profonde mais toxique, où l’une des deux se sent en permanence inférieure. Jane est jalouse, envieuse et possessive. Jusqu’à l’extrême. On peut penser qu’une telle amitié est une bénédiction, mais ici c’est tout le contraire, Jane est un poison. Alors au début, Jane m’a énervée car je ne voyais en elle qu’une femme agissant comme une gamine capricieuse. Puis on comprend l’horreur de la situation. L’escalade. Je ne peux en dire plus sans spoiler, mais pour moi, c’est réussi. Si tu l’as aimé, je te conseille « La vie dont nous rêvions » de Michelle Sacks.
Mention toute particulière pour la couverture qui est juste sublime, j’ai littéralement craqué pour celle-ci.
Jane et Marnie se connaissent depuis leur entrée en 6ème, soit depuis 18 ans. Elles sont inséparables, les meilleures amies du monde.
Depuis le décès accidentel du mari de Jane, celle-ci s’est encore plus rapproché de Marnie et voit d’un très mauvais œil sa relation avec Charles. Et c’est avec cette relation qu’elle dira son premier mensonge : elle mentira en disant à Marnie qu’elle apprécie Charles.
C’est Jane qui raconte cette histoire, son histoire et ses sept mensonges. Mais on ne saura qu’à la fin à qui elle raconte celle-ci.
On comprend rapidement que Jane est jalouse, possessive, que l’amitié qu’elle ressent envers Marnie est toxique, malsaine.
Il y a tellement eux de longueurs dans ce roman, que j’ai vraiment pensé ne pas aller jusqu’au bout de cette lecture. Durant les premières pages, il ne se passe absolument rien. En lisant les divers avis, j’ai décidé de continuer tout de même pour savoir à qui Jane racontait son histoire.
Bon, au final, je n’ai pas ressentie de plaisir particulier à cette lecture, ni au début ni à la fin, je n’ai pas non plus détesté. Une lecture vraiment sans plus, que je vais rapidement oublier.
i loved it sm. it was a very introspective. i especially loved how i was reading from jane's pov, while being able to be in some sort of third person's perspective. like i read her thoughts, she doesn't think she is crazy and there are not much elements saying so, but you still realise that she is insane, u see why, u see how, while she doesn't. i like how her obsession is depicted and how many(if not all) elements in her life played a role in this while also being affected by it. how they were clearly separated but still heavily connected. how lonely she is while not making connections while people. how obsessive she is while seeming so detached. how sensitive while being so cold. i love how we have past and present but you don't get confused. how the story happens on a pretty wide time lapse (a year or so) and still remains so slow mon-ving, giving you time to digest everything. plus i love the ermh...scenery, aesthetic of it all. a rainy city, subways, luxury warm appartment, small cozy appartment.....yeah i loved it.i don't really like jane, but loved her character. loved being in her head, loved uncovering what was going on.
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Deux amies d'enfance inséparables , Jane et Marnie . Deux amies que tout oppose selon l'adage ' les contraires s'attirent ' Jane n'a pas eu une enfance heureuse , un foyer stable . Elle a une sœur qui souffre d'une forme grave d'anorexie , sa maman a une démence précoce , bref pas de chance . Jane , comme on l'annonce dans le titre ' sept mensonges ' est une menteuse pathologique , souvent le premier mensonge est assez banal et puis c'est l'engrenage . Très vite , on se rend compte que Jane est jalouse , maladivement possessive , son amie lui appartient , elle remplit littéralement sa vie , sans cette amitié sa vie est nulle . Alors le jour où Marnie rencontre Charles , la vie de Jane s'écroule , il faut absolument qu'elle agisse . Marnie est aveugle , ou pour être plus proche de la vérité , elle ne peut pas imaginer que son amie puisse lui faire autant de mal . Le roman est très visuel , on voit très bien une adaptation cinématographique.
Ce roman m'a plu. J'ai apprécié qu'Elizabeth Kay commence par évoquer des faits ordinaires. Je me mettais à la place de Jane, me demandais ce que j'aurais dit au moment du premier mensonge... Et puis le récit se corse un peu: la narratrice se raconte, et ce qu'elle dit sur sa famille et son mariage montre des faits plus graves. La romancière prend le temps de montrer Jane au lecteur: ses forces, ses failles, ses sentiments, etc. Cela fait que le lecteur éprouve des sentiments contradictoires vis-à-vis de la jeune femme. [...] Lien vers ma chronique : https://www.lalivrophile.net/sept-men...
C'était un bon roman! Je ne savais pas vraiment a quoi m'attendre, mais j'ai bien aimé! Quand l'amitié prend place à l'obsession, c'est fou! Tout au long, je me disais que c'est beaucoup trop intense de reprocher autant de chose a ta meilleure amie, alors qu'elle même n'était vraiment pas mieux!
Jane est une sorte de psychopathe selon moi, personne de sain d'esprit développe une obsession autant intense envers sa meilleure amie.
Certes, c'est différent comme style de lecture, on se demande a qui Jane conte son histoire tout au long. Et la fin laisse place a l'imagination que ça ne finira peut etre jamais!
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J'avais tellement entendu parler de ce premier roman d'Elisabeth Kay que je m'attendais certainement à mieux. Déjà que je ne suis pas friand des thrillers psychologiques mais celui-ci est d'une platitude, d'une longueur et d'une conformité affligeante.
Vous voulez vibrer, vous voulez être happé par une histoire : passez votre chemin.
La seule originalité de ce livre tient dans sa mise en forme d'onglet, à la façon d'un répertoire, pour chaque mensonge. https://quoilire.wordpress.com/2021/0...
I had such high hopes for this and got so disappointed. The concept is amazing as is the structure. But it was so flat, full of un necessary description and to be honest I was hoping for bigger lies, more suspense. I felt nothing and kind of hated Jane
J'étais très perplexe au début de ma lecture. Ce n'est pas le style d'écriture avec lequel je suis habituée mais au fil des pages ... j'étais de plus en plus intriguée.
Une fin qui m'a légèrement déçue mais sinon en soit le livre était bien. Les personnages ne sont pas vraiment attachants. Mais le sujet de l'amitié qui tourne à l'obsession est vraiment bien traité et les teasing, effets de suspense sont vraiment bien réalisés.
J'ai adoré la 4e de couverture. Ça annonçait une histoire excitante. Finalement, ce livre s'est avéré plat. Aucune tenue en haleine. Aucun suspense. J'ai vraiment eu du mal à le lire tellement je l'ai trouvé ennuyant. Vraiment dommage...
Je suis perplexe. J'ai lu la moitié rapidement avec une attente mais on dirait que ça se termine en queue de poisson. Ça ne donne pas le goût de lire les prochains
«Le chagrin n'a pas de logique. Il n'y a pas de chemin tout tracé que chacun doit suivre ; il y a simplement des moments où la peine est supportable et d'autres où elle ne l'est pas.»
J’avais repéré ce roman il y a un petit moment. Ce qui m’a le plus attiré, c’est sa mise en page assez spéciale. Le fait que le roman soit divisé en sept mensonges était très intéressant et surprenant, c’était intriguant. Malheureusement, la mise en page d'un roman ne fait pas tout et la lecture fut décevante. Le rythme est vraiment lent, il n’y a pas d’actions, pas de dialogues, c’était ennuyant…Les sept mensonges promis étaient réellement décevants, je m’attendais à des secrets bien plus sombres. Au niveau des personnages, c’était pareil, je ne me suis attaché ni à Marnie, ni à Jane (surtout pas à Jane). L’obsession de Jane pour sa meilleure amie est dérangeante et tellement toxique… L’histoire avait un super potentiel mais ce dernier n’a clairement pas été exploité.