En 1936, la guerre civile éclate en Espagne. Elle fera plus de six cent mille morts. Bernanos, d'abord séduit par le franquisme, est très vite révolté par la violence de la répression anti-républicaine. De cette révolte naîtront Les grands cimetières sous la lune. Sous la plume de l'auteur du Journal d'un curé de campagne, la tragédie de l'Espagne devient le symbole de la Tragédie du monde. D'un écrit de circonstance, son génie a fait une œuvre universelle.
Georges Bernanos était un écrivain français, gagneur du Grand Prix du Roman de l'Académie française en 1936 avec Journal d'un curé de campagne.
George Bernanos was a French writer. His 1936 book, Journal d'un curé de campagne (Diary of a Country Priest), won the Grand Prix du roman de l'Académie française.
« Les grands cimetières sous la lune » a été pour moi une énorme déception. Je m’y attendais à une analyse de la guerre civile de l’Espagne par un des plus grands auteurs français du 20e siècle. J’y ai trouvé une diatribe contre les intellectuels français qui appuyaient Franco de la main d’un écrivain totalement incapable de contrôler sa colère. Le fait que Bernanos avait raison sur toute la ligne n’était pas suffisamment pour moi pour lui pardonner la qualité lamentable de son texte. Malgré tout ce livre mal organisé et incohérent m’a appris des choses. Bernanos était très fier d’être connu comme un ultra-catholique et un royaliste qui détestait la démocratie. Ce qui ne pouvait pas accepter est que les autres intellectuels de la droite française appuyaient Franco parce qu’il véhiculait les mêmes causes qu’eux. À l’avis de Bernanos les intellectuels auraient dû condamner Franco pour des atrocités de guerre (telles que Bernanos a vu de ses propres yeux pendant 18 mois à Majorque). Les trois principales cibles de Bernanos étaient : Charles Maurras, Paul Claudel et Léon Daudet. Maurras était un des dirigeants de « L’Action Française » un journal qui parmi bien autres choses étaient anti-Dreyfusard, anti-communiste et pour le régime de Pétain. Paul Claudel écrivait des poèmes à la gloire de Franco. Quant à Léon Daudet (le fils du célèbre Alphonse), il qualifié le mouvement Nazi de « La Seconde Reforme Allemande ». Il faut reconnaitre Bernanos avait des très bonnes raisons pour critiquer ce trio. Bernanos était conscient du fait que son opposition au fascisme menait éventuellement à une alliance avec les communistes. « Je crois assurément peu désirable une collaboration des catholiques et des communistes » (p. 146). Néanmoins, il a persisté. La suite des choses après la publication du « Les grands cimetières sous la lune » a été assez prévisible. Maurras, Claudel et Daudet ont tous pour un plus ou moins long temps appuyé le régime Vichyssois. Pour sa part, Bernanos s’est exilé après la chute de la France. Ses deux fils se sont enrôlés dans les Forces françaises libres. « Les grands cimetières sous la lune » offre la preuve que Georges Bernanos était un homme de principe. Malheureuse il n’ajoute rien à sa gloire littéraire.
Lido há alguns anos, e recordado por acaso, ficou ainda a memória de como foi bela esta leitura. As atrocidades da guerra civil espanhola (1936-39), indispensável para a compreensão da genealogia da tragédia.
Nel 1936 in Spagna scoppia la guerra civile che durerà 3 anni provocando un numero di morti che alcuni indicano in mezzo milione, altri in un milione; altri ancora in 300.000.
Allo scoppio del conflitto lo scrittore francese Georges Bernanos è nell’isola di Majorca, e in principio appoggia con convinzione i nazionalisti del dittatore Francisco Franco. Ben presto cambierà idea.
“I grandi cimiteri sotto la luna” è il libro che Georges Bernanos scrisse per ricordare che cosa accadde in Spagna. L’editore è SE mentre il traduttore è Giacinto Spagnoletti. Questa edizione contiene anche una lettera che la grande filosofa e mistica Simone Weil scrisse allo scrittore francese.
Un libro importante per questo scrittore che si era sempre dichiarato monarchico e fiero avversario della democrazia, e tale resterà sino alla fine dei suoi giorni. Dopo la fine della Seconda Guerra Mondiale, da lui vissuta in esilio in Brasile da cui aveva comunque collaborato con la resistenza francese, il generale De Gaulle cercherà di convincerlo a entrare a far parte del Parlamento. Senza successo.
Un libro che alcuni prelati cattolici (Bernanos era cattolicissimo) cercheranno di proibire, ma ci vorrà il Papa per mettere a tacere queste richieste.
Bernanos, che aveva avuto simpatie per l’estrema destra francese, scrive questo libro per mettere sul banco degli imputati anche il clero spagnolo.
Le persone “sparite”, e poi ritrovate il mattino dopo con la testa fracassata sulla strada, non possono essere considerate come morti necessarie per riportare la Spagna al cattolicesimo. I preti che si compiacciono dell’altissima partecipazione ai sacramenti degli spagnoli, quando ormai tutto è finito, non stanno servendo, dice Bernanos, la Chiesa. Ma solo il generalissimo Franco.
Tra i tanti episodi descritti da Bernanos, ce n’è uno che forse merita una menzione particolare. Bernanos cita un’intervista ad alcune suore che avevano un educandato per ragazze, vuoto perché quando accadono questi avvenimenti è estate. L’edificio viene occupato dai “rossi”, i comunisti insomma, e lo trasformano in un ospedale.
Tra di essi c’è un sudamericano, che si dichiara sì comunista, ma cattolico, e le rassicura. A loro non accadrà nulla di male, e sparerà al primo che ci proverà. Per due giorni quest’uomo le aiuta, provvede a loro e alle loro necessità, si fa in quattro per servirle nella cura dei feriti.
All’alba del terzo giorno si sentono degli spari. I comunisti fuggono abbandonando i feriti. Sono i “liberatori” che stanno arrivando, quelli di Franco. E questi non perdono tempo: regolano i conti con i feriti. Vale a dire li uccidono tutti. Il sudamericano che aveva protetto le suore è l’ultimo a essere trucidato. E le suore? Pregavano il cielo perché aiutasse i liberatori nella loro opera.
Bernanos racconta inoltre di aver incontrato il giornalista che aveva raccolto questa testimonianza, e di aver chiesto spiegazioni. Costui, dopo qualche giorno, aveva scritto un nuovo articolo che attaccava le “anime generose” come Bernanos (adesso si direbbe: i buonisti), indignate per la guerra definita “santa”. Non bisogna andare tanto per il sottile, era il messaggio finale. In guerra: Guai ai vinti!
Un libro da leggere, anche per scoprire una pagina di storia europea che abbiamo velocemente dimenticato. Europa vuol dire anche: non voltare le spalle alla nostra storia. E poi per riscoprire un autore francese che molti anni fa avevo letto, poi abbandonato, e che forse merita qualche approfondimento ulteriore. Che ne dici? Conosci Georges Bernanos?
E ribadisco: al termine del libro, che io ho in versione elettronica, c’è una lettera di una delle menti, delle donne più enormi del Novecento: Simone Adolphine Weil.
No me ha gustado demasiado. Pero lo que me ha resultado curioso es la poca intuición del autor cuando se refiere a Hitler y Mussolini en el apartado IV de la primera parte del libro. Recordemos que este libro se escribió, al parecer, hacia 1938, por lo que aún faltaba un año para que comenzara la segunda guerra mundial. Pero me ha resultado curioso lo ingenuamente que habla de Hitler en esa parte del libro, calificándolos de señores que jamás permitirían matanzas en sus propios países:
Todos los Terrores se parecen, todos son equivalentes; no me haréis distinguir entre ellos, he visto demasiadas cosas, conozco demasiado bien a los hombres, soy demasiado viejo. El Miedo me repugna en todo el mundo, y tras las bellas palabras de los asesinos no hay más que eso. Solo se mata por miedo, el odio no es más que una coartada. No creo que el señor Hitler y el señor Mussolini sean semidioses. Pero hago simplemente honor a la verdad si digo que son hombres sin miedo. Jamás habrían permitido que en sus países se perpetraran matanzas, jamás habrían presidido, con uniforme de soldado, esos grandes Tribunales del Miedo. (Primera Parte, Capítulo IV)
Grande dénonciation de la montée des extrêmes-droite, de la prise de pouvoirs des "imbéciles" et de l'hypocrisie de l'épiscopat de Palma, cet ouvrage reste essentiellement polémique, ironique et s'adresse directement aux personnes dénoncées à la veille de la seconde guerre mondiale alors que les puissances fascistes sont au faît de leur puissance. La partie la plus intéressante est à mon avis son témoignage sur la répression des rebelles espagnols à Majorque.
Très contente de découvrir ce grand auteur du XXe siècle. Pas l’habitude de lire des écrits polémistes mais pour une première je suis pas déçue. Même si quand on a pas l’habitude, il faut parfois s’accrocher avec les références politiques et historiques, les pages tournent seules, on est emportés par les tirades de Bernanos, empreintes de colère mais aussi d’un certain humour.
Sa clairvoyance prophétique est frappante, c’est assez impressionnant, on pourrait presque croire qu’il avait une boule de cristal. Beaucoup de passages sont même d’une grande actualité. Sa critique et sa réflexion sont lucides et touchent tous les camps, en cela l’œuvre est remarquable quand on sait le milieu royaliste, catholique et malheureusement antisémite duquel il est issu.
Je recommande à tous ceux qui sont intéressés par l’histoire des idées politiques de manière générale !! :)
I picked up Georges Bernanos' A Dairy of My Times (1938), his response to the atrocities that took place on Majorca during 1936 and 1937, in an attempt to find perspectives on the events that took place in Catalonia during the Spanish Civil War. Bernanos, a self described French Conservative Catholic Royalist, with a son among the Catalan Phalangists, writes to condemn the atrocities and place the blame on the Spanish Catholic Church for providing absolution to all the pro-Catholic murderers before, during and after massacres. Anyone who was thought to be against the church was condemned to die without trial, without mercy. He sees the church as failing to heed the message of the New Testament.
He blames the conditions of Fascism, of communism, of Franco, Hitler, Mussolini and Stalin on the "avarice of the middle class".
While he speaks of a specific time and place so much of what he discusses reverberates in the world today. From all sides our lives are being [whirled from place to place and we are harried into a kind of a frenzy]. He says "The Wrath of the Stupid fills the world" - who are the stupid: the Masses, the Proletariat, Liberals, conservatives, 2nd Amendment advocates, gun control advocates - all of us have been harried into a frenzy.
I believe that he would suggest that we have submitted to injustice - all of us - submitted without understanding - a state of true damnation. He saw Fear combining with Hate and creating on of the most stable psychological conditions. Haven't we been whipped into a frenzy creating and doubling down on a Binary of Us and Them that forces us to submit to the very injustices we wish to fight.
Quelques moment de bravoure. Mais un peu chiant à lire pour être honnête. Même si il s'agit d'un moment important pour l'auteur catholique et de droite: il dit non à Franco et à tous les totalitarismes avec courage et talent.
Hacía mucho tiempo que no tenía tantos problemas con un libro.
Si la lectura me ha parecido farragosa, en ningún momento he conectado con la escritura de Bernanos ─es cierto que es un panfleto-alegato─, no quiero imaginar cómo habrá sido la experiencia de alguien que se adentre en el libro, movido por la sinopsis, y no esté familiarizado con la Europa ─y en especial Francia─ de fines del XIX y primeros cuarenta años del siglo XX. Rotundamente se puede afirmar que de ninguna manera la barbarie que se desató en Palma de Mallorca a inicios de la Guerra Civil, en mi caso la razón de que comenzara la lectura de la obra, sea el eje de la obra. Ocupa un espacio secundario. Él presencia horrorizado estos episodios de brutalidad, pero utiliza la guerra civil española como pretexto y paradigma de la decadencia, el vagar y, finalmente, la vorágine de violencia que vive Europa ─Bernanos combatió en la Primera Guerra Mundial─. Creo que un ejemplo claro de esto que expongo sea el hecho de que comienza a ¡contextualizar! el momento político que vive España en la página 60 y comienza a explayarse sobre su vida en la isla en la ¡página 72! Esto es un verdadero problema; su testimonio, repleto de desazón ante la inhumanidad y, en especial para él la enorme tristeza que le causó la respuesta de la Iglesia a los crímenes cometidos, son sólo unas páginas del texto.
No soy quién y pocas veces he hecho público mi calificación sobre la escritura de un autor/a. Realmente Bernanos tiene una escritura que no hay quien la entienda; una mezcla de, como él mismo hacía, conversación de barra de bar con lírica grandilocuente. Un divagar extraño. Y mira que uno ya tiene un cierto bagaje y no soy un lector que rehúya de la complejidad. Pero es que hay formas y formas de escribir un alegato. E insisto: en ocasiones, tenía gran dificultad para seguir la lectura siendo un buen conocedor, porque es a lo que me dedico, de la cronología histórica que atraviesa las páginas del libro de este escritor francés. Es un libro muy de su tiempo, pero a mi parecer 'Los grandes cementerios bajo la luna' no ha resistido bien el paso del tiempo ─sí, sé que en Francia es un libro que goza de buena estima─. No tengo inconveniente de que sea una obra profusa con los avatares del momento, ya que si me acerco a un escrito que fue actualidad de su tiempo es lo que busco: una cierta aproximación a un momento histórico. Estoy habituado a este tipo de libros, pero, simplemente, no ha sido una lectura provechosa para mí; no he obtenido grandes ideas o respuestas, y eso, por suerte, no pasa con múltiples obras que encuadraría como equiparables a lo que pretende hacer aquí Bernanos.
Bernanos muestra un hondo compromiso religioso y 'Los grandes cementerios bajo la luna' son los escritos de un hombre angustiado y decepcionado con personalidades de la Iglesia, política, cultura o sociedad. De admirar su beligerancia contra el fanatismo, la guerra y el odio ─aunque sería conveniente realizar algunas observaciones sobre el propio mirar el mundo de Bernanos─. El autor escudriña la política y sociedad de su tiempo y es alguien sumamente crítico con todos aquellos a los que responsabiliza del momento que vive Europa. Es alguien honesto en lo escribe, que vuelca todo lo que le preocupa y que hace públicas algunas sentencias que imagino que no serían fáciles de asumir y de hacer visibles. No negocia sus valores e ideas, y de ahí que a lo largo de su vida tomara distintas decisiones en su su militar político y civil. De la estructura de la obra ni hablamos: no existe; es un completo desaguisado. El problema es que este libro es una colosal columna de opinión de 254 páginas.
Con todo, no termino de ser del todo justo en la valoración de la obra. Me gustaría reproducir algunas citas que he ido recopilando, subrayando, pero más que fragmentos es un escrito que logra ─en más de una ocasión─ hilvanar toda una serie de páginas y reflexiones meritorias y que, paradójicamente con todo lo expuesto aquí, utilizaría en, por ejemplo, mis clases. Por eso quiero que este reconocimiento sea el cierre de mi reseña.
« L’idée totalitaire est encore servie librement par des hommes libres, leurs petits-fils ne connaîtront plus que la discipline totalitaire. »
La puissance du verbe allièe au courage de l’engagement personnel et une analyse remarquable d’humanisme tant de la terreur franquiste, que de la défaite morale du clergé espagnol. C’est également la compréhension sans équivoque de l’absolue similitude des projets hitlerien et stalinien. Bernanos a cette écriture épuisante pour le lecteur car elle force toutes ses lâchetés, toutes ses compromissions, toutes ses équivoques pruderies. On entent la voie de stentor d’un prophète ou d’un capitaine, l’exigence du la grandeur sur les ailes d’un cœur d’enfant. Son antisemitisme est dur à lire, surtout aujourd’hui, mais il y a dans son engagement humaniste un feu inextinguible.
Un libro de filosofía moral, un alegato contra el odio y contra la guerra, contra el fascismo y a favor del cristianismo primigenio que se ha perdido en la noche de los tiempos… El detonante de sus reflexiones es el comportamiento de las tropas franquistas e italianas en Mallorca al comienzo de la guerra civil española. Me ha resultado un libro muy difícil, que requiere un gran conocimiento de la historia de Francia y muy desesperanzado y lúcido sobre lo que le esperaba a Europa. Su frase “La ira de los imbéciles llena el mundo” sigue, desgraciadamente, más vigente que nunca.
"Con umiltà, sopporto anche il ridicolo di aver finora solo imbrattato d’inchiostro il volto dell’ingiustizia: oltraggiarla incessantemente è il sale della mia vita." (p. 11)
"L’ottimismo m’è sempre apparso come l’alibi sornione degli egoisti, preoccupati di dissimulare il loro cronico compiacimento di sé. Sono ottimisti per dispensarsi dall’aver compassione degli uomini, della loro infelicità." (p. 37)
George Bernanos, a French Catholic author, was in Spain during the outbreak of the Spanish Civil War. This is a collection of his writings of the subject, mostly his unhappiness concerning the behavior of the Spanish Catholic church during said war, and his warnings to the French Right in regards to rise of Adolph Hitler. Christianity comes first for Bernanos, and it is clear he is no hypocrite. He's also a great writer, which I knew going in, and I was not disappointed with this collection
vale lo sforzo della lettura solo per quelle 20/30 pagine illuminanti, che ti fanno riflettere a fondo. Alcune parti sono veramente noiose e ripetitive, certe volte persino contraddittorie. In compenso la scrittura è ben elaborata, e ne risalta il talento estetico dell'autore per la composizione di testo. Indecisa tra dare 3 o 4 stelle :/
Libro un po' troppo ampioso per il mio gusto. Sono rimasto però piacevolmente sorpreso di leggere con quale feroce sarcasmo il cattolico e moralista (nel senso positivo della parola) Bernanos scrive dei crimini perpetuati e giusificati dalla chiesa cattolica spagnola.
Los grandes... es en esencia, un panfleto. Pero un panfleto muy bien escrito que narra la represión nacionalista en Mallorca, en particular la brutalidad de las autoridades y los fascistas italianos encabezados por Arnocobaldo Bonacorsi, cuya violencia y vesania quedó en este relato.
Importante testimonio de Georges Bernanos, católico y de derechas, cuando estuvo presente en Mallorca, en 1936 y Falange fusilaba a diestro y siniestro. Puso las manos en la cabeza ante los paseos y represión, lo demás un plomo total.
"Whatever happens from now onwards, the last stage of my life will not have disappointed me any more than the others. I never expected experience to bring me wisdom; I merely crave for a deepening of compassion, a delving deep enough for there to be no risk of the spring of tears ever drying up."
La Guerra Civil Española como excusa para escribir una diatriba desde un punto de vista monárquico y católico contra ciertos sectores de la derecha francesa que apoyaban a Franco. Las críticas al obispo de Palma y la visualización de los 15 asesinatos diarios que se produjeron en la isla de Palma sin que mediaran muertes previas del sector de izquierdas sentó ciertamente mal en la derecha pensante (este libro de Bernanos fue la chispa que indujo a José María Gironella a escribir "Los cipreses creen en Dios"). Sorprenden sus disparatadas aseveraciones sobre la Falange de José Antonio -por quien muestra evidentes simpatías-, y sobre el ejército español tildado de masónico y anticlerical (¿?), y lamentando asimismo que Alfonso XIII no hubiera fusilado a Sanjurjo por no sacar a la Guardia Civil en el advenimiento de la II República. No obstante, el contenido de las masacres nacionalistas sirve de pincelada anecdótica pero no forma parte del meollo del libro, que contiene perlas como:
"Cuando los métodos de la economía liberal tenían todo su valor educativo, toda su eficacia, antes de la deplorable invención de los sindicatos, el auténtico obrero, el obrero formado a vuestro cargo, estaba tan convencido de que debía redimir todos los días con su trabajo el deshonor de su pobreza"
"La clase media anhela un dictador, es decir, un protector que gobierne en su lugar y le dispense de gobernar".
"Entre las elecciones de marzo y el pronunciamiento del 19 de julio pasaron tres meses y medio. Hasta un niño comprendería que doce tristes semanas no habrían bastado para organizar una sublevación de la Guardia Civil y el ejército".
Assez déçue par ce texte, qui me paraît sans structure, sans but précis. Le style est agréable à lire, mais l'on a du mal à saisir l'objectif réel de Bernanos. J'ai eu envie de le lire après avoir fini "Pas pleurer" de L. Salveyre qui le côté à plusieurs reprises... Certes, Bernanos dénonce la position de l'église espagnole pendant la guerre civile des années 30, et met même en garde contre les totalitarismes (avec quelques belles pages adressées à "Cher monsieur Hotler"), mais les invectives et observations antisémites trop nombreuses pour être ignorées et le discours politique totalement embrouillé.
Impresionante testimonio de un cristiano sobre las atrocidades cometidas en el bando nacional. Una sacudida en la conciencia de los que se abrazaron a uno de los bandos solo porque huían desesperadamente del otro.