Il y a sept ans, les valeureux chevaliers de l’Ordre du Cygne tombaient au combat. Leur sacrifice offrait une victoire inespérée au royaume des Lacs d’Argent alors en guerre contre celui de Malebrune. Depuis, une paix endeuillée et instable s’est établie sur le territoire.
Sous la tutelle exigeante de l’enchanteur Walgrïn, les jeunes chevaliers et écuyers du nouvel Ordre du Cygne peine à égaler les glorieux héros du passé. En mission, des vents contraires soufflent entre contretemps et périls. Mnéfeth, le sorcier de Malebrume avide de revanche, cherche à anéantir l’Ordre par tous les moyens. Face au danger, le Grand Chevalier Oswald de Hohen exhorte ses frères et sœurs d’armes à gagner en discipline. Malgré toute sa volonté, sa troupe se distingue par ses querelles puériles et ses maladresses, tandis que son écuyère, la rebelle Alix, met ses nerfs à rude épreuves. Bientôt, la menace d’une seconde guerre se profile. Cette génération de novice devra faire ses preuves, car désormais tous les espoirs du royaume reposent sur elle.
http://www.unbrindelecture.com/2021/0... Un premier tome qui démarre tranquillement , il faut parfois s'accrocher pour poursuivre la lecture un peu trop lente , cependant cela vaut le coup car les chevaliers et leurs aventures s'améliorent au fil des pages et on se prend au jeu entre machinations politiques, trahison et stratégies militaires. La magie est bien présente mais l'auteure ne lui donne peut être pas encore la place qu'elle mérite mais qui sait , à suivre au prochain tome.
Chevaliers, écuyers, reines, rois, châteaux, sorciers, créatures mystérieuses, et batailles militaires sont des éléments-clés fréquents dans la littérature fantastique. Et dans cette série intitulée L’Ordre du Cygne, ce premier volume amorçe merveilleusement cette trilogie; dont le premier tome s’appelle Les Chevaliers de Camelote
Jeu de mots référant la mythologie arthurienne, le terme camelote fait référence aussi aux déboires des nouveaux chevaliers peuplant cet ordre. Étant une nouvelle recrue pour cet ordre tombé durant une guerre entre leur Royame des lacs d’argent et celui de Malebrume; ces membres tentent de faire régner la paix et l’ordre dans leur royaume désormais geré par la reine Myriel d’Ambremont, qui est secondé par leur supérieur, l’enchanteur Walgrïn. Car étant donné que les tensions avec Malebrume sont fragiles, une nouvelle guerre est toujours possible. Parmi ces chevaliers de l’Ordre du cygne se retrouvent Oswald de Hohen (Grand chevalier), Elanor d’Aslö, Cillien de Bellegarde, Lancelin Charron, Hermine Couturier, Gaubert Duchesne, Enguerrand de Montbard, Rosamonde Laforest et Edwin Paillefer. Chacun et chacune étant accompagné de leurs écuyers, c’est dans un troupeau de dix-huit personnes que leurs aventures et déboires se déroulent. Surtout entre Oswald et son écuyère, Alix Lefaucheur. En effet, ces deux là ont un tempérament vif, colérique et tendu. Surtout qu’Alix est gaffeuse et entêtée durant leurs aventures, au point que les réprimandes d’Oswald finissent par devenir virulentes. Et si Alix continue à négliger ses devoirs, elle risque de perdre son poste et de ne pas devenir chevalière, son plus grand rêve. Alors quand la guerre éclate de nouveau entre le royaume des Lacs d’Argent et celui de Malebrume, tous et toutes devront mettre de côté leurs différends et se parer au combat.
Comme mentionné auparavant, le récit est chevaleresque, mais se déroule dans un univers parallèle; déconnecté du nôtre. Un monde référant la mythologie arthurienne, avec des auteurs classiques comme Chrétien de Troyes, mais aussi des légendes littéraires dont JRR Tolkien et JK Rowling avec son incroyable saga Harry Potter. Une belle lettre d’amour à la littérature fantastique, Les chevaliers de camelote explore les rapports humains entre écuyers et chevaliers, mais aussi entre chevaliers et leurs supérieurs (monarques ou mages). Ainsi, l’humain prend beaucoup de place dans la prose et on y présente le quotidien de tous ces chevaliers et écuyers. Bien sûr, il y a des combats d’épées et des conflits militaires dans ce texte, mais la psychologie et les tourments de tous ces individus sont explorés; notamment leurs angoisses face à leur carrière, leur mission, face à la vie et la mort, mais aussi face à l’amour. Toutefois, une approche très manichéenne reste pour les personnages de Malebrume. Aucune nuance de gris n’est explorée pour le moment avec eux. L’emphase narrative est portée pour le royaume des lacs d’argent, dépeints comme des héros purs et nobles, mais humains; avec leurs qualités et défauts. Reste à savoir si les tomes suivants exploreront justement cette humanité chez les gens de Malebrume.
Ainsi, si le récit est humain, il présente de nombreux personnages. Et en effet, nous en sommes bien servis dans ce livre. En calculant ceux du royaume des lacs d’Argent, du nnouvel Ordre du Cygne, de Malebrumbe, du duché de Sanster et du duché de Mortemaure, trente-sept personnages sont présentés. Bref, un beau troupeau qui peut être désorientant pour des lecteurs qui ne savent plus qui est qui et qui fait quoi. Heureusement, un lexique des personnages est présenté au début du roman et celui-ci est bénéfique. En son absence, nous pourrions nous perdre dans tout cette lecture qui est riche et dont l’univers doit être présenté attentivement.
Toutefois, comme ces individus vivent sur des grands régions, dans des royaumes peuplés de forêts, de landes, de rivières et de châteaux, la présence d’une carte aurait été bénifique pour les lecteurs et lectrices. Avec un tel outil, présent dans de nombreux romans fantastiques, tous et toutes pourraient mieux s’orienter dans ce royaume dont les terres sont si impressionnantes.
Divisé en 46 chapitres, ce premier volume rassemble son intrigue dans 383 pages. Chaque partie faisant 5 à 10 pages en moyenne, cela permet au lecteur de plonger attentivement dans ce récit, réduisant le risque pour un lecteur peu habitué aux gros volumes briques de se sentir submergé par cette taille. Omniscient, le narrateur explore le point de vue de multiples personnages, autant les antagonistes que les protagonistes. Et pour les antagonistes, cela est bénéfique puisque cela offre des ironies dramatiques importantes pour le lecteur, qui sait des choses que les Cygnes d’Argent ignorent. Quant à la prose, elle est écrite au passé simple et à l’imparfait, dans un registre de langue accessible à des lecteurs modernes. Autant pour des étudiants de collège que de lycée (école secondaire au Canada) que pour des lecteurs plus âgés. Le vocabulaire est chevaleresque, mais ne tombe pas dans des tournures antiques. Quant aux didascalies pour les dialogues, je les ai trouvé un peu surchargées. En effet, certaines descriptions étaient inutiles et auraient pu être omises. C’est un détail très présent chez des auteurs qui veulent s’assurer que tous et toutes perçoivent bien la tension émotionnelle du récit. Mais personnellement, ces didascalies de dialogues ne méritaient pas autant de détails.
Accompagné d’une très belle couverture monochrome bleu, avec des ornements et des ailes peintes en gris métallique, les éditions Gulf stream ont fait un superbe travail dans la présentation visuelle de ce livre. Un roman qui m’a si impressionné que j’ai envie de lire le second tome. Qui continue l’intrigue de ce premier volume.
Car en effet, la fin du quarante-sixième chapitre indique la mention à suivre dans sa dernière page. Ce qui veut dire que ce premier roman n’est pas un récit complet, mais l’introduction à une grande saga qui présente dans ce tomes les individus-clés et l’élément déclencheur. Une guerre entre deux royaumes dont l’intrigue continuera au second volume et se conclura au troisième. Et de ce que j’ai lu, je suis impatient d’en découvrir le reste. Car c’est un roman que j’ai eu beaucoup de plaisir à lire et que je recommande à tous ceux et celles qui voudraient s’immerger dans la littérature fantastique.
Un roman de chevalerie pas très subtil, qui hésite entre la parodie et l’hommage aux grands textes médiévaux de chevalerie. Le message d’égalité hommes-femmes est vraiment trop appuyé.
J'ai apprécié cette jolie lecture. Le résumé avait piqué ma curiosité, notamment lorsqu'il avait été mention de chevaliers. J'ai aimé pas mal de points dans ce roman. Par contre, il y a eu d'autres points qui m'ont dérangée à tel point que cette lecture fut seulement sympathique. ¤ "Il y a sept ans, les valeureux chevaliers de l’Ordre du Cygne tombaient au combat. Leur sacrifice offrait une victoire inespérée au royaume des Lacs d’Argent alors en guerre contre celui de Malebrume. Depuis, une paix endeuillée et instable s’est établie sur le territoire." Sous la tutelle exigeante de l’enchanteur Walgrïn, les jeunes chevaliers et écuyers du nouvel Ordre du Cygne peinent à égaler les glorieux héros du passé. En mission, des vents contraires soufflent entre contretemps et périls. Mnéfeth, le sorcier de Malebrume avide de revanche, cherche à anéantir l’Ordre par tous les moyens. Face au danger, le Grand Chevalier Oswald de Hohen exhorte ses frères et soeurs d’armes à gagner en discipline. Malgré toute sa volonté, sa troupe se distingue par ses querelles puériles et ses maladresses, tandis que son écuyère, la rebelle Alix, met ses nerfs à rude épreuve. Bientôt, la menace d’une seconde guerre se profile. Cette génération de novices devra faire ses preuves, car désormais tous les espoirs du royaume reposent sur elle. ¤ J'ai eu de la difficulté à commencer ma lecture. La relation entre Alix et Oswald m'a fait tellement lever les yeux au ciel ou écarquiller les yeux que j'en ai eu des picotements. C'était toxique, c'était rempli de provocation, d'impulsivité et d'immaturité. Les membres de l'Ordre du Cygne sont des jeunes adultes et pourtant, j'ai eu l'impression de voir des adolescents. Ce qui m'a surtout dérangé, c'est encore la présence de sexisme, la discrimination envers les femmes et l'abus de pouvoir dans une hiérarchie. Et on ne parlera pas du fait qu'il ait fallu rendre Alix misérable, parce que c'est une enfant d'un viol, pour qu'Oswald devienne moins sévère... Là, j'ai failli éteindre mon téléphone pour ne plus jamais le rallumer. Quand bien même qu'on se retrouve dans une histoire de chevaliers, dans une époque où oui, les hommes dominaient sur les femmes, autant dans les interactions que dans la hiérarchie... Ça a été usant de lire ça. Surtout au XXIe siècles. Usant jusqu'à que ça commence à changer dans la deuxième partie du roman. ¤ La deuxième partie du roman a été entraînante. Je l'ai lu d'une traite, c'était génial. Le rythme s'accélèrent, les intrigues se mettent en place et se concrétisent. Il y a de l'action, des combats... Et les personnages d'Alix et d'Oswald ont gagné en maturité. Les interactions entre chacun des personnages étaient intéressantes. Les derniers chapitres du roman laissent entrevoir qu'il y a encore plus qui devrait arriver dans la suite de cette saga. Et je suis curieuse !
Enfourchez votre destrier et galopez, dons au vent, vers ce premier volet d'une trilogie qui promet d'ensorceler les lecteurs.
Nous nous retrouvons, jeunes écuyères et écuyers, propulsés dans le royaume des Lacs d'Argent, foisonnant de magie et de rivalités, sur fond duquel se forme un nouvel Ordre du Cygne, composé de chevaliers et chevalières ayant juré de défendre les duchés contre la pire âme des cinq royaumes.
Le style d'écriture de Virginie Salobir est fluide et immersif, plongeant le lecteur dans un monde détaillé, avec un vocabulaire médiéval précis, et une histoire riche en émotions portée par cet ordre, où chevaliers de camelote et écuyers de pacotille, jouvenceaux et donzelles, pucelles et chevaliers au berceau forment une véritable famille devant défendre sans faillir leur reine et les Lacs d’Argent ...
Cette compagnie où les serments se font tête haute, les yeux dans les yeux, nous emmène notamment à la rencontre d’un géant et d’un farfadet : Oswald de Hohen, grand chevalier, main sur la nuque et joue contre celle d’Alix, son écuyère rebelle, fragile, vibrante, qui voit s’ériger entre elle et son rêve, une montagne de règles, de contraintes et d’exigences qui lui feront parfois poser le genou à terre. Mais difficile dans ces conditions de combattre ou de monter un destrier comme tout chevalier qui se respecte !
Dans cette compagnie hétérogène où escarmouches entre aînés et cadets rythment le quotidien, nous observons une galerie de personnages mémorables, terrassés par leurs doutes mais relevés par leurs sœurs et frères d’armes, parmi laquelle règne une fraternité de tous les instants qui vient illuminer le récit, tel une bougie chassant l’obscurité, dans un univers où il n’y a pas de meilleur maitre que la guerre pour calmer l’orgueil et l’impatience.
« Puisse dans mon corps pur, mon âme demeurer sans tâche » et puisse ce premier tome captivant, introduisant avec succès les personnages, le monde et les enjeux de la saga, vous offrir une entrée enchanteresse dans un monde de chevalerie, de conflits et de magie.
"Longtemps, à la lueur des bougies, Oswald et Alix se livrèrent à une étrange chorégraphie au centre de la salle. Leurs ombres dansaient sur les murs, celle d'un géant et d'un farfadet. Ils étaient seuls au monde, plus rien n'existait, ni la guerre ni la peur, juste le plaisir de transmettre et d'apprendre."
Un premier tome prometteur, qui sans être un coup de cœur, présente un univers riche et intéressant.
Au royaume des Lacs d'Argent, une paix fragile règne. Elle a été acquise difficilement face au royaume de Malebrune sept ans plus tôt, grâce au sacrifice des Chevaliers de l'Ordre du Cygne. Leurs successeurs peinent à trouver leur place, face au poids de ces héros défunts.
C'est le chevalier Oswald de Hohen qui a la dure tâche de former les nouvelles recrues et d'organiser l'ordre. Mais jeunes chevaliers comme apprentis sont récalcitrants et indisciplinés. C'est notamment le cas d'Alix. La jeune fille est l'écuyère d'Oswald, et le courant ne passe guère entre les deux. Las, la guerre menace et l'heure n'est plus aux chicanes... À Malebrune, le sorcier Mnéfeth a un plan pour conquérir les Lacs d'Argent.
De la chevalerie, de l'héroïsme, de la magie, de l'aventure - youpi ! Si on ajoute quelques fortes têtes, cela fait beaucoup d'ingrédients très sympathiques. Pourtant j'ai eu du mal au début à "entrer" dans l'histoire, il m'a fallu du temps pour apprécier l'univers et l'intrigue.
Nous sommes dans un royaume de type médiéval fantasy assez classique, avec une particularité qui m'a bien plu : l'ordre du Cygne est mixte ! Nous allons suivre ces chevalier.e.s et leurs écuyers dans leurs pérégrinations, leurs aventures et leurs combats. L'accent est mis sur la fraternité, sans laquelle la victoire n'est pas possible, l'importance de l'entraide.
Niveau personnages, j'ai beaucoup aimé le duo Oswald - Alix, (même si au début ils m'agacaient plus que tout avec leur comportement buté et puéril), j'ai apprécié l'évolution de leurs rapports et la naissance de leur complicité. On voit quelques histoires s'esquisser entre les autres, mais ce n'est que le balbutiement.
En bref, un premier tome introductif qui nous présente un univers de chevalerie intéressant, des personnages qui ne demandent qu'à s'améliorer, et qui donne envie de découvrir la suite !
<< Seuls les fous et les imbéciles n'ont ni peur ni doute >>
La claquasse livresque est toujours plus forte lorsque l'on ne s'y attend pas. Tome introductif ? Trop de personnages ? Niveau de langage trop élevé ? Ennuyeux ? Voici tout ce que j'ai pu trouver en critique pour ce roman, alors forcément on s'attend à être un peu déçu. Il vaut mieux amortir la chute en partant un peu défaitiste.... Et pourtant !
Des personnages forts et réalistes, un cadre qui reste tout à fait dans la lignée historique malgré les libertés prises. Que demander de plus à un roman sur la chevalerie ?
Tout est dosé à la perfection selon moi : la langueur d'un premier tome qui introduit les personnages (nombreux, mais il y a un lexique, j'adore ça 😍), les lieux, les pouvoirs de chacun.e, qui invite à vouloir ouvrir le prochain tome : que demander de plus ? Et la couverture, bravo @barbarianfactory pour cette merveille ⚔️
Alors, certes le langage peut paraître un peu archaïque et complexe, mais on peut accéder très facilement au glossaire à la fin qui est très bien fourni. La seule chose que je pourrai relever c'est qu'effectivement certains adolescents de 13 ans n'auront pas la maturité émotionnelle pour lire ce genre de roman. Il y a de la violence : normal c'est un livre sur la chevalerie écrit par une passionnée.
Ne vous attendez pas à de l'amour à outrance ou des personnages qui n'ont d'attraits que par leur physique. Ici ça ne compte pas vraiment ils sont comme ils sont : dans la violence de l'époque, mais ils évoluent grâce à la bienveillance de la communion chevaleresque. Une pointe de magie très agréable sans partir totalement dans la fantasy. On reste a mi-chemin ce qui pour moi est la recette idéale.
Je ne suis pas fan de romans de chevalerie, mais je compte bien acheter les deux autres tomes pour les lire.
Avez-vous envie de découvrir cette saga de @virginie.salobir ? Quels sont vos romans de chevalerie préférés ?
Beaucoup de chamaillerie, les personnages ont 13 /18ans, je leur laisse leurs erreurs de jeunesse. 🤣 Un peu rebutée aussi avec d'un côté l'esclave noire (qui reste temporel à l'histoire mais tellement plus d'actualité !) D'autant que l'autrice a ajouté une touche de contemporain, de féminisme en incorporant des femmes en tant que chevalières ou écuyères.
Je dirai que l'action rattrape un peu la deuxième partie du roman. Franchement allez remplir sa gourde parce qu'on a soif , est ce un crime 🙈 Je préviens que la violence fais partie intégrante du récit et il y a quelques références , mal amené sur le viol. Tw ⚠
"Des chevaliers de camelote et des écuyers de pacotille", cette citation annonce la couleur.. Ils ont tous des travers même les chevaliers ne sont pas parfaits et je ne comprends pas pourquoi une seule va récolter tous les lauriers de la bêtise.
À sa façon Tyar est pointée comme le mouton noir (appelez Nanny Mcphee 🤣) L'enchanteur est vraiment antipathique aussi. C'est simple les défauts des personnages sont exacerbés. J'ai beaucoup aimé le personnage de Guillaume. Et pas de crédibilité par contre pour la pseudo romance Oswald 😒
J'espèrais voir Oyi et Tyar et un peu plus de magie mais apparemment ce sera pour le tome 2, j'avoue je ne sais pas si je continue.
Pas nulle mais pas incroyable. J'ai vraiment eu du mal à me plonger dans l'histoire. Il y a des moments assez lents mais parfois c'est prenant du coup il faut s'accrocher pour en arriver à bout.
Après avoir rencontré Virginie à Montreuil en décembre dernier, je me suis enfin motivé à le lire. S'est alors ouvert à moi un monde riche en émotion, en magie et surtout en chevalerie ! J'ai aimé et savouré chaque seconde de ma lecture.
J'ai apprécié par dessus tout l'écriture à la fois naturelle, réfléchie et maîtrisée de l'autrice. Elle a su me transporter dans son univers, aux côtés de ses personnages, leurs joies et leurs tourments.Virgine n'a pas fait le choix de l'histoire ou des personnages, mais a su trouver le parfait équilibre. Les personnages mènent l'histoire autant que celle-ci les guide vers leurs quêtes identitaires. Je ne me suis jamais ennuyé. Bien qu'il y ait - comme dans tout roman - des passages plus calmes que d'autres, c'est ce calme qui sait faire émerger les sentiments profonds des personnages et développer leurs relations. Relations qui, d'ailleurs, peuvent être autant harmonieuses que conflictuelles. On les désigne souvent comme des frères et des soeurs d'armes, mais l'image n'a d'après moi jamais été aussi bien employée ; il s'agit du genre de relation qui unit frères et soeurs au sein d'une même famille. Le genre de relation qui donne cette impression d'intimité et de lien que rien ni personne ne saurait rompre.
J'aime les histoires où s'entremêlent politique et intimité, deux dimensions que je retrouve dans ce premier tome de l'Ordre du Cygne. C'est donc pour moi un grand coup de coeur. 🥰