«Je l'ai fait pour qu'on m'arrête», répond Emma après avoir volé des biscuits dans un supermarché. Que se cache-t-il derrière ses mots, sa maigreur extrême, sa beauté douloureuse ? Quelle est l'origine de son anorexie : l'indifférence de ses parents, le silence, les mensonges savamment entretenus ? Emma veut savoir. Emma veut comprendre son mal-être, débusquer ce secret enfoui au fond d'elle-même. La découverte d'un vieux cahier, à la mort de sa grand-mère, fera bientôt surgir du passé d'épouvantables secrets sur le rôle de ses grands-parents au camp d'extermination de Sobibor...
Sobibor is one of those books that grips you from the very first sentence and never lets you go. You feel unable to take your eyes off the pages, nor hide what you are feeling by closing the book. The raw images and situations are laid in front of the reader’s eye for him/her to discover what he/she never dared think about and try to understand.
The book is divided by two plots. The first one sees Emma progressively destroy herself. She has been anorexic since the beginning of puberty where her body started to change into one of a woman. She is deeply disturbed and prefers isolating herself from all the others rather than change herself. The book begins when Emma is caught stealing in a supermarket. The manager of the shop reveals to be a nice man wanting to help rather than an accuser. The second plot is in the form of a journal written by French man Jacques Desroches during the Second World War where he joins the German forces in an extermination camp in Poland called Sobibor. The diary was found by Emma in her grandmother home after her death. Emma is haunted by that journal and the acts of cruelty described in it.
The description Emma makes of herself and of her body are incredibly powerful. I was deeply shocked and disturbed by how she perceived the changes in her body. She says that she is not the same person anymore, that she can’t bear to have curves. She says “to be in control”. She refuses to eat or stuffs herself and vomits. She is afraid to grow up and become a woman. Her story is heart-breaking and acts as a complete electroshock.
One of the strongest points of Sobibor is the intensity of the writing. May it be in the cold descriptions of the extermination of the Jewish people or in Emma’s description of her body and what she inflicts on herself.
I am disturbed by Emma’s parents who don’t react to their daughter’s illness and behaviour, but I come to realize that, sometimes, the ones closest to you don’t see you. They don’t see you for who you are but for what they think you are, not bothering with the specifics. It is also much easier to choose not to see things. On the contrary, Emma’s boyfriend Julien recognizes the first signs of the disease and tries to help. Emma’s raw emotions are described with such clarity that it is hard not to find it sick at times. But her illness isn’t something you can gloss over with beautiful and poetic descriptions. Jean Molla’s way of describing Emma’s state of mind are truly amazing.
I was very interested and touched by the character of the supermarket manager. His take on life, his job and all the people coming in his shop with their histories, their miseries and needs is fascinating.
The whole part of the journal is also fascinating. Collaboration is a taboo subject in France. Kids learn at school the importance of Resistance and that the French, under Charles de Gaulle, were among the winners of the war. Unfortunately, anti-semitic and superior race ideas did exist in France as well, and many actors in the French political scene weren’t against German ideas (though I am not saying they were for extermination camps either). This book shows how a despicable (there is no other word) human being justified his actions. The book is studied in schools and has indeed received many children/student awards in France.
The book is as much about anorexia and body image as the sense of history and transmitting one’s ideas. It is also about secrecy and choosing to see things and ignore others. In his postscript, Jean Molla says that there is no evident link between anorexia and the extermination camps except that sometimes, big stories intertwine with smaller ones to create another Story. He explains that “this book is an attempt to dispel those secrets” that keep building up in people’s lives, and the need to talk about them.
An interesting story, powerful for all its brevity. I've never read anything quite like this before, and I thought the author did a good job integrating Emma's problems, her eating disorder etc., with her revelations about her grandmother from fifty years ago.
I did think the "diary" part of the story was way too detailed, but that's a very common problem in fiction. It's very easy to tell the difference between fictional diaries and real diaries (I've read plenty of both), because the fictional ones describe things in great detail, write down conversations exactly, etc., when in real diaries the writer doesn't do this because they already know what happened. I also thought some of the dialogue, especially in Emma's confrontation with her grandfather, was a bit melodramatic, a bit speechified. But again, that's a common problem in fiction.
I would recommend this to people interested in Holocaust fiction. You don't see a lot of literature, fiction or otherwise, about the extermination camps.
Sobibor est un roman écrit par Jean Molla, qui traite de la vie d’une jeune fille anorexique, en racontant les ombres qui se cachent derrière sa maladie. Au fur et à mesure, l’auteur dévoile le thème principal de l’histoire : celui du rôle de la mémoire et du passé dans la construction de l’identité et la lutte contre l'oubli. L’auteur présente son message sans jamais dire au lecteur en quoi penser, et laisse ses paroles parler pour elles-mêmes. Le livre est sombre, en abordant des sujets très durs et parfois tabous, comme ceux des crimes de guerre et le manque d’humanité qu’existe dans nombreux humains. Toutefois, le point du message n’est jamais éclipsé par ces sujets mentionnés ci-dessus : au contraire, l’auteur les utilise pour renforcer le thème principal, et on finit le roman en se rendant compte du pouvoir du passé dans la formation du présent.
Au début, l’histoire semble être une critique envers les jeunes filles adolescentes et leur vanité, une critique presque exploiteuse. J’avoue que, personnellement, j’ai presque fermé le livre parce que je me demandais, pour qui se prend cet homme, qui ose critiquer les jeunes filles ? Mais, comme c’était une recommandation de ma copine, j’ai continué ma lecture. J’ai eu une immense surprise lorsque l’auteur m’a plongée sur l’intrigue principale du livre, qui n’était pas celle que je pensais auparavant : la maladie du personnage principal, Emma, ne sert pas comme un avertissement présomptueux mais plutôt comme une accusation des traumatismes non traités intergénérationnels. Dans ce cas, on parle des grands-parents d’Emma, ceux qu’elle aimait jusqu’à ce qu’elle est tombée sur un journal caché par sa grand-mère : le journal d’un homme appelé Jacques Décroches. Emma n’avait jamais entendu ce nom, alors que, par curiosité, elle a commencé à lire le journal. Et elle a trouvé un cauchemar.
Le nom du roman, Sobibor, vient d’un champ de concentration de la seconde guerre mondiale : et oui, le pire s’est passé dans ce camp aux mains de Jacques Décroches et compagnie. La narration de Jean Molla est détaillée seulement au point de ne pas cacher la terrible vérité qui a eu lieu à cette époque, mais pas au point de devenir morbide. Petit à petit, on prend conscience que Jacques Décroches est le grand-père d’Emma, et qu’après la guerre, il a consacré toute sa vie en essayant d’oublier son passé abominable. La confrontation entre Emma et son grand-père à la fin est dure à lire, mais très importante pour comprendre comment l’oubli résonne dans le présent. Le grand-père d’Emma a enterré une vérité terrible, et n’a fait aucun effort pour se racheter, ce qui a affecté toutes les générations suivantes, et qui a arrivé au point de voir à sa petite-fille maigre et faible, comme ces gens qui avaient été torturés et tués dans ce champ. L’idée n’est pas de comparer ce que les juifs ont subi lors de la guerre avec l’anorexie d’Emma. Plutôt, il s’agit de montrer comment on ne peut pas oublier nos péchés anciens, car ils vont resurgir d’une manière ou d’une autre. Si on ne fait pas le travail d’affronter nos démons et d’assumer notre culpabilité, ils vont nous suivre pour toujours.
Je viens, comme la plupart des gens, d’une famille avec démons et péchés ignorés et enterrés. À cause de la honte, du deuil, ou juste car mes ancêtres n’ont jamais eu l’opportunité ni l’espace de prendre soin de leurs émotions. Sobibor m’a rappelé l’importance de se souvenir du passé, soit le nôtre ou celui des autres. La déconstruction, la réflexion des anciens traumatismes est la seule manière de guérir les blessures intergénérationnelles, et de plus en plus, cela devient pertinent à mesure qu’on comprend la psychologie humaine. C’est encore plus important de faire face à ces genres de choses, surtout dans le contexte politique et social qui se dévoile à notre actualité. Maintenant, on n’a plus le luxe d’ignorer la phrase qui dit : those who forget history, are doomed to repeat it.
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J’ai trouvé ce texte prenant et fort. Des romans sur la 2e guerre mondiale, j’en ai lu beaucoup. Mais celui ci est marquant, il évoque une histoire de famille, une jeune fille qui perd pied et devient anorexique… tout en évoquant le camp de Sobibor, si peu connu alors que de si nombreuses personnes y ont perdu la vie. J’ai aimé ce parallèle entre la vie d’aujourd’hui et cette époque affreuse. Pour des adolescents, je pense notamment à mes élèves de 3e, ce peut être une lecture poignante !
Nem szívesen húzok le holokauszt témájú könyvet, de rossz szájízzel tettem le ezt az olvasmányt. Minden érintettnek joga van feldolgozni a a saját vagy felmenői múltját, vállalva, hogy remekművekkel kell állnia az összehasonlítást. Reméltem, hogy a különleges nézőpont, az eredetinek tűnő napló, a tinédzser szemszög és az evészavar a művet is egyedivé teszi, de csak a demagógiát érzékeltem. Ebből az alapanyagból sokkal-sokkal jobb regényt lehetett volna írni. Kidolgozatlan és felszínes lett, amit szörnyen sajnálok.
EMMA tiene 17 años, tiene anorexia, y unos padres con los que no se lleva, una abuela confidente y un abuelo al que admira... Luego de la muerte de su abuela descubre entre sus pertenencias el diario de un nazi y con él un secreto familiar que avergonzaría a todos que saliera a la luz, quizás por ello encuentra en su extrema delgadez la forma de develar ese secreto, una forma de exponer el horror que se asoma desde el pasado como los huesos detrás de su piel. Emma nos muestra que el pasado no puede ser silenciado. Un libro corto, interesante, muy adecuado para jóvenes y adolescentes que quieran iniciar éste tipo de lecturas que tienen que ver con el holocausto y el nazismo.
Ce roman raconte l’histoire d’une jeune femme anorexique. Ce roman raconte l’histoire d’un officier allemand lors de la seconde guerre mondiale. J’ai trouvé que cet ouvrage était assez dur et traitait de sujet plutôt lourds. L’écriture n’est pas mal. Sans plus pour moi.
Es el primer libro que leo en una solo día, me atrapó tan fácil, es un libro muy sencillo y fácil de leer. La forma en que te da el mensaje sobre el Holocausto, las mentiras y todo lo acontecido es sorprendente, la autora me transmitió su mensaje tan bien y me hizo sentir todo lo que Emma llega a sentir al final. Excelente.
Lu il y a des années, ce livre a été une révélation et est pour moi l'étalon de l'excellence en matière de roman pour adolescent. Il aborde sans maniérisme l'existence du mal chez l'être humain. C'est d'abord un livre sur les camps de concentration et sur ceux qui les ont fait fonctionner. C'est ensuite un livre sur les secrets de famille et leur douloureux et dangereux impact. C'est surtout un livre courageux qui prend très au sérieux les jeunes lecteurs et leur livre la vérité des êtres et non une version romancée et rassurante.
Un livre sur la Shoah et la collaboration au passé et l'anorexie au présent. Pas très subtil, mais je vois pourquoi il en existe des versions à faire lire à l'école. Il pose des pistes de réflexion intéressantes sur la mémoire et la postérité d'événements historiques qu'on ne devrait pas oublier.
La prosa del autor es muy hermosa, hasta le podría pisar los talones a la de Emily Brontë. La carga emocional que se acumula en el capítulo diecinueve simplemente me superó.
Great narrative and its main character story was deep and poignant. This is a short but worthly book that the author mixs in an amazing and respectful way the World War II with a tiny girl who only wants to know the truth.
This is not the kind of book to read quietly by the fireplace. It's not cheerful and light. This book deals with two hard and upsetting, but real themes. It upset me, troubled me. But this story encourages questioning and reflection on a significant part of history and more specifically on the "after". I liked this book and would recommend it to anyone who wants to read it, though you won't go unhurt from this story.
Sobibor est un roman de Jean Molla, publié par les Editions Gallimard. En vente dès 5,20€, ce roman de 200 pages est un livre magnifiquement horrible.
C’est un livre que j’ai lu quand j’étais adolescente et que je relis donc 10 ans après (mon dieu le coup de vieux !) dans le cadre de mes études.
Nous rencontrons Emma, une jeune fille atteint d’anorexie, qui doit faire face au décès de sa grand-mère. Celui-ci va entraîner la découverte d’un vieux cahier et avec ça, la découverte d’un lourd secret. Emma est un personnage complexe, perdue mais authentique. Adolescente mal dans sa peau, se sentant abandonnée par sa famille, elle est attachante malgré tout.
Quand je l’avais lu ce roman auparavant, la fin surtout, m’avait beaucoup marqué. Le livre entier est marquant, addictif et assez dur à lire quand même. Mais surtout la fin, que j’avais trouvé inhumaine et que je n’avais vu que sur un seul angle. La relecture de ce livre plusieurs années après ne fait que confirmer la splendeur de ce roman, très humain, certes dur mais magnifique. Et je vois cette fin différemment désormais.
Sobibor est un roman de Jean Molla, publié par les Editions Gallimard. En vente dès 5,20€, ce roman de 200 pages est un livre magnifiquement horrible.
C’est un livre que j’ai lu quand j’étais adolescente et que je relis donc 10 ans après (mon dieu le coup de vieux !) dans le cadre de mes études.
Nous rencontrons Emma, une jeune fille atteint d’anorexie, qui doit faire face au décès de sa grand-mère. Celui-ci va entraîner la découverte d’un vieux cahier et avec ça, la découverte d’un lourd secret. Emma est un personnage complexe, perdue mais authentique. Adolescente mal dans sa peau, se sentant abandonnée par sa famille, elle est attachante malgré tout.
Quand je l’avais lu ce roman auparavant, la fin surtout, m’avait beaucoup marqué. Le livre entier est marquant, addictif et assez dur à lire quand même. Mais surtout la fin, que j’avais trouvé inhumaine et que je n’avais vu que sur un seul angle. La relecture de ce livre plusieurs années après ne fait que confirmer la splendeur de ce roman, très humain, certes dur mais magnifique. Et je vois cette fin différemment désormais.
Este libro mezcla los problemas alimenticios que sufre la joven Emma, con un diario escrito por Jaques, uno de los encargados del campo de exterminio Sobibor, durante la segunda Guerra mundial. En este diario narra actos crueles, injustos e inhumanos, contados no solo con despreocupación e indiferencia, sino con orgullo por haberlos realizado. Mientras, en la historia de Emma nos cuenta acerca de su lucha contra la anorexia y bulimia, que comenzaron al enterarse que su abuela, a quien ella consideraba perfecta, le guardó secretos sobre la guerra durante toda su vida. La historia no es mala en si, pero siento que todo el asunto de la chica con bulimia y anorexia no tendría absolutamente nada que ver con el diario de un antiguo nazi y sus actividades en un campo de exterminio. Cuando el libro llega al final ésta relación entre las dos cosas se trata de justificar, pero en mi cabeza no hacía sentido, no era suficiente. Además de que no ayuda el que nuestra narradora (Emma) me parece insufrible, con cero criterio, una adolescente caprichosa con una visión muy limitada de la vida. ⭐⭐2
Alors, c'est un livre que j'ai lu pour mon examen de français. Franchement j'ai bien aimé (c'était peut-être parce que j'ai pu choisir). L'histoire parle d'une jeune fille anorexique qui perd sa grand-mère qui a eu un cancer puis en rangeant les habits de celle-ci avec sa mère. Elle découvre le journal de Jacques Desroches, nom qu'elle a déjà entendu quand sa grand-mère rêvait un jour, elle décide donc de le lire. Bon par contre le résumé... Moi en lisant le résumé j'ai cru que le roman parlait d'une jeune fille qui combat l'anorexie mais je me suis retrouvé avec un nazi qui racontait sa vie pendant la guerre. Donc oui attention si jamais vous n'aimez pas tous ce qui est en rapport avec la guerre ou l'anorexie (peut-être que vous avez eu cette maladie) il ne vaut mieux pas lire ce livre. Et cette fin, je ne m'y attendais pas. Sinon, la plume de l'auteur est plutôt facile, même si parfois je devais quand même dû aller voir des mots au dictionnaire :).
Je me souvenais avoir été très émue quand je l'avais lu au collège, c'est ce souvenir qui m'a poussée à le lire une deuxième fois.
L'écriture est toujours si juste et précise tout en restant volontairement vague par endroits. L'histoire est toujours tragique, les sujets choisis et abordés aidant. Le personnage principal, Emma, reste quelqu'un pour qui l'on développe rapidement de l'empathie. Et la fin reste (quelque peu) surprenante.
Ce livre offre une fenêtre importante sur Sobibor, le devoir de memoire et la responsabilité. Il en va de même pour les secrets de famille et le passé que l'on tente désespérément d'enfouir mais qui finissent toujours par avoir des répercussions, directes ou non.
Je regrette simplement que certains passages et aspects (qui m'ont semblé importants) ne soient pas plus développés.
15 múltam, amikor Lengyelországban jártam. Középiskolásként egy építőtáborban vettem részt. Utcát sepertünk, teret rendeztünk, virágot ültettünk. Elvittek minket Auswitzba. Hogy lássuk a történelmet. A kísérőnk kezébe számok voltak tetoválva. Most újra emlékeztem az idős arcra. A kerítésre, amihez a felirata miatt nem mertem hozzáérni. A sínekre, ahol féltem, hogy jön a vonat. A falon függő fotókra, amiken nem akartam valaha létezett embereket látni. A felhalmozott szemüvegekre, kiscipőkre, bőröndökre. A kavics csikordulására a talpam alatt. A történelmét mesélő túlélőre. Mondták – mindent megnézhetünk. Most újra láttam. Mások emléke az én emlékem lett.
Es impresionante la gran comparación a la que se refiere el autor entre la anorexia y el holocausto, temas que uno creería que están muy alejados el uno del otro pero que en esta obra se encuentran muy relacionados. El final de la obra cambia totalmente tu perspectiva sobre no solamente el carácter y la fortaleza de Emma quien decide superar y afrontar sus miedos a través del pasado de sus abuelos pero también sobre la mentalidad que tenían los nazis de la época. Sin duda es un libro que no puedes dejar de leer y te deja con la curiosidad de indagar más sobre el campo de concentración de Sobibor en Polonia y sobre el destino de los personajes mencionados.
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Un livre déchirant qui m'a fait énorménet pleurer quand j'étais jeune, c'est un livre dur, qui fait mal, mais qui est tellement nécessiare pour ne pas oublier l'horreur de cette guerre. C'est uassi un livre dur car il parle d'anorexie, mais d'une façon presque douce, qui touche, qui nous peret de comprendre comment on peut en arriver là, tout en portant un message d'espoir : on peut s'en sortir, c'est possible et il faut y croire. il faut simplement accepter de se faire aider pour y arriver et en prler, car les secrets de famille ont des conséquences terribles sur les familles.
Muy interesante como con el libro podemos ver la otra perspectiva sobre lo que fue este hecho histórico, ya existiendo relatos como “El diario de Ana Frank”. Nos muestran la otra cara de la moneda desde un punto más cercano como lo fue Emma siendo nieta de un hombre tan cruel como Jacques, te da la sensación de que tú eres la protagonista leyendo el diario de tu propio abuelo. Aún así creo que faltó un poco más de enfoque en lo que fue la vida de Emma, los traumas por los que había pasado y su enfermedad, se que el enfoque principal no era ese pero lo sentí algo escaso.
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Casi, casi le pongo cinco estrellas. Digamos que tiene un 4.8.
El final es lo bueno. Es satisfactorio. Soltarle sus verdades a una persona y que se haga pedazos. Recién me entero de la existencia de Sobibor y quiero saber más.
Aparte de eso, encuentro el lenguaje un poco exagerado en lo dramático y no le veo sentido al paralelismo que el autor quiere trazar entre el trastorno alimenticio de la protagonista y el secreto de familia que descubre.
Novela juvenil que no lo logra del todo. El disparador me parece súper interesante: entrelazar el relato de una adolescente con bulimia, en el presente, y el de su abuela (que ella va descubriendo, con su abuela muerta, a partir de un diario) en la época nazi, en un campo de exterminio en Polonia. No aprovecha las temáticas al máximo y, si bien tiene pasajes descriptivos muy buenos, no termina de complejizar a sus personajes ni a sus historias, dejando un gusto algo insípido, pasajero.
Creo que sobibor es una historia que no sólo nos habla de lo que pasó hace ya tantos años, sino que también habla de temas del presente, y logra unirlos de una manera muy buena. Esta es una historia complicada, no porque no se entienda, sino por los temas que abarca. Cabe destacar que no me esperaba encontrar en un libro de este estilo giros en la trama, o descubrimientos, yo pensaba que sólo era una historia más sobre el holocausto, pero no. La verdad que me gustó bastante.🤍 3,5/5⭐
Une histoire très dramatique avec beaucoup de rebondissements et à la fois très bien écrite. Toutefois les réflexion de la jeune fille m'énerve, je trouve personnellement qu'elle n'a pas le droit de jugé son grand-père, certes ces affreux ce qu'il a fait mais elle n'a pas vécu à cette époque et ne peut comprendre les choix qui sont contrôle par la peur et le stress et surtout pour sauver sa femme.
Wow, este libro me dejo anonadado por que la verdad no esperaba mucho de él, ya que el tema ya ha sido bastante discutido, no obstante, el autor logró captivar con tanto la historia de un nazi en un campo de concentración y el problema de bulimia y anorexia que sufre la protagonista, es una mezcla muy curiosa, pero me parece que el autor logró mezclarlo y ejecutar la historia de una manera cautivadora y excelente, un gran libro