»Obwohl ich kein ›engagierter Künstler‹ sein möchte, habe ich in diesen Texten versucht, meine Leser von der Gültigkeit meiner Standpunkte zu überzeugen. Dabei geht es selten um Politik, ab und an um Literatur, meist um ›gesellschaftlich Relevantes‹. Eine weitere Ausgabe wird es nicht geben. Ich verspreche nicht unbedingt, mit dem Denken aufzuhören, aber zumindest damit aufzuhören, meine Gedanken und Meinungen der Öffentlichkeit mitzuteilen, es sei denn, es besteht eine ernsthafte moralische Dringlichkeit.« Gemäß seiner Aussage äußert sich Houellebecq u.a. zum französischen Staat, zu Donald Trump, zur Corona-Pandemie und stellt, präzise und provokant wie immer, seine Haltung dazu dar. Neben intellektuellen Texten stehen aber auch so persönliche Gespräche wie das mit seinem Freund Fréderic Beigbeder, in denen die Person Michel Houellebecq sichtbar wird.
Michel Houellebecq (born Michel Thomas), born 26 February 1958 (birth certificate) or 1956 on the French island of Réunion, is a controversial and award-winning French novelist. To admirers he is a writer in the tradition of literary provocation that reaches back to the Marquis de Sade and Baudelaire; to detractors he is a peddler, who writes vulgar sleazy literature to shock. His works though, particularly Atomised, have received high praise from the French literary intelligentsia, with generally positive international critical response, Having written poetry and a biography of the horror writer H. P. Lovecraft, he brought out his first novel Extension du domaine de la lutte in 1994. Les particules élémentaires followed in 1998 and Plateforme, in 2001. After a disastrous publicity tour for this book, which led to his being taken to court for inciting racial hatred, he went to Ireland to write. He currently resides in France, where he has been described as "France’s biggest literary export and, some say, greatest living writer". In 2010 he published La Carte et le Territoire (published the same year in English as The Map and the Territory) which won the prestigious Prix Goncourt; and, in 2015, Submission.
A new essay collection by Houellebecq? Yes, please. This book is all the rage in the media, placed prominently on the shelves of bookstores and hey, nothing says "peaceful holiday season" like the newest output by the French agent provocateur extraordinaire. The collection contains ten text, written between 2003 and 2020, and the title "A Little Worse" does indeed refer to an essay that ponders the pandemic we all currently live through. Overall, the topics Houellebecq addresses are varied while still frequently connecting to this author's classic concerns: Religion, tourism, conservatism, sex, (assisted) suicide, AI, spiritual emptiness,...well, you read his novels (if not: you should! Start with The Map and the Territory!).
Maybe I read too much Houellebcq by now (I'm a completist when it comes to his fictional writing) and thus spent too much time contemplating his positions, public persona and the way he plays with public outrage, but it gets harder and harder for me to understand the upset this writer manages to cause. Houellebecq, the trained agricultural engineer, loves animals and craves spirituality, he is a disappointed romanticist - when he writes "I believe in love", he is dead serious. Are some of his positions founded on a surprising degree of intellectual laziness, e.g. his anti-EU stance, his argument that Trump promotes the interests of the working class (does that mean that the working class dreams of dying of Covid and ending up in a cold-storage truck?), his pro-Brexit position? Oh yes, that's all less than smart. But then again, even these texts have a degree of nuance, and when it comes to his ponderings on loneliness and spiritual emptiness, this guy is on to something.
What does it mean to exist, as opposed to simply being alive? This question of agency, of being able to have an impact on the world, is central to Houellebecq's work, and it's what makes reading him so exciting. In a time of cancel culture and activism carried out in 240 characters, a complex, elusive, contradictory, challenging writer like Houellebecq seems to be a provocation to quite some people on both sides of the political spectrum (apparently, he never really recovered from his role in the Charlie Hebdo terror attack).
So while this is not the book to start your Houellebecq journey with, it's an interesting publication for everyone who already has a decent knowledge of his major topics. Houellebecq is already a monolith in French literaure, and he will remain an integral part of the literary canon.
You can learn more about the book on the podcast (in German).
Essays contained in the book: - Der Konservatismus, Quelle des Fortschritts, in: Le Figaro, 8. November 2003 - Der verlorene Text, Vorwort zu: Rachid Amirou, L’imaginaire touristique, Paris: CNRS Éditions, 2012. - Gespräch mit Frédéric Beigbeder, in: Lui Nr. 7, Paris, April 2014. - Ein Heilmittel gegen die Daseinserschöpfung, Vorwort zu: Marc Lathuillière, Musée national, Paris: Éditions de La Martinière, 2014. - Interview mit Marin de Viry und Valérie Toranian, in: Revue des deux mondes, Paris, Juli 2015. Gespräch mit Agathe Novak-Lechevalier, April 2017. - Emmanuel Carrère und das Problem des Guten, in: Laurent Demanze und Dominique Rabaté (Hg.), Emmanuel Carrère. Faire effraction dans le réel, Paris: Éditions P.O.L, 2018. - Donald Trump ist ein guter Präsident, in: Harper’s Magazine, New York, Januar 2019. - Gespräch mit Geoffroy Lejeune, erstmals veröffentlicht in: First Things, Mai 2019; erneut veröffentlicht in: Revue des deux mondes, Paris, Oktober 2019. - Ein bisschen schlechter. Erwiderung an einige Freunde, Brief, verlesen auf France Inter, Mai 2020. - Den Fall Vincent Lambert hätte es nicht geben dürfen, Vorwort zu: Emmanuel Hirsch, Vincent Lambert, une mort exemplaire?, Paris: Éditions du Cerf, Juni 2020.
'« Les eaux glacées du calcul égoïste », nous y barbotons maintenant depuis notre plus tendre enfance. On peut s'en accommoder, essayer d'y survivre ; on peut aussi se laisser couler. Mais ce qu'il est impossible d'imaginer, c'est que la libération des puissances du désir soit à elle seule susceptible d'amener à un réchauffement.'
- Le Mirage, de Jean-Claude Guiguet, p.13
- Approches du désarroi p.19
'L'architecture contemporaine se donne donc implicitement d'un programme simple, qu'on peut résumer ainsi : construire les rayonnages de l'hypermarché social.'
'Les distinctions antérieures entre films, clips, actualités, publicité, témoignages humains, reportages tendirent à s'effacer au profit d'une notion de spectacle généralisé.'
'Comme tous les historicismes avant lui, le libéralisme se posait comme assomption et dépassement du sentiment éthique simple au nom d'une vision à long terme du devenir historique de l'humanité. Comme tous les historicismes avant lui, le libéralisme promettait dans l'immédiat des efforts et des souffrances, reléguant à une ou deux générations de distance l'arrivée du bien général.'
- Le regard perdu, éloge du cinéma muet p.47
- Entretien avec Jean-Yves Jouannais et Christophe Duchâtelet p.53
'Quelle est l'unité ou la ligne directrice, obsessionnelle [de l'oeuvre de Michel Houellebecq]? Avant tout, je crois, l'intuition que l'univers est basé sur la séparation, la souffrance et le mal [...].'
'Je suis quand même un peu surpris quand on me dit que j'effectue des portraits psychologiques réussis d'individus, de personnages : c'est peut-être vrai, mais d'un autre côté j'ai souvent l'impression que les individus sont à peu près identiques, que ce qu'ils appellent leur moi n'existe pas vraiment, et qu'il serait plus facile en un sens de définir un moment historique.'
Compte tenu du système socio-économoque mis en place, compte tenu surtout de nos présupposés philosophiques, il est visible que l'humain se dirige vers une catastrophe à brève échéance, et dans des conditions atroces ; nous y sommes déjà. La conséquence logique de l'individualisme, c'est le meurtre, et le malheur. [...] En tout cas, tant que nous resterons dans une vision mécaniste et individualiste du monde, nous mourrons.'
- L'art comme épluchage p.67
'la poésie s'écarte du langage usuel, et elle s'en écarte de plus en plus. [...] si la poésie est vraiment plus qu'une recherche ou qu'un jeu sur le langage, si elle vise vraiment à établir une parole différente sur la même réalité, alors on a affaire à deux visions du monde, irréductibles.'
'En effet, la mécanique quantique invalide toute possibilité d'une métaphysique matérialiste, et conduit à revoir de fond en comble les distinctions entre l'objet, le sujet et le monde.'
- L'absurdité créatrice p.73 - La fête p.85 - Temps morts 93 - Que viens-tu chercher ici ? p.95 - L'Allemand p.99 - L'abaissement de l'âge de la retraite p.103 - Calais, Pas-de-Calais p.107 - Comédie métropolitaine p.111 - Juste un coup à prendre p.115 - A quoi servent les hommes ? p.117 - La peau de l'ours p.123 [à propos de la vie sur Mars] - Opera Bianca p.127
- Lettre à Lakis Proguidis p.153
'La poésie ne précède pas seulement le roman : elle précède aussi, et de manière plus directe, la philosophie.'
- La question pédophile p.163 - L'Humanité, second stade p.169
'S'agit-il d'une limitation des pensées politiques occidentales qui, de Hobbes à Rousseau, incapables de penser la société autrement que comme une collection d'individus, auraient trouvé leur apogée dans la conception classique des « droits de l'homme » et de la « démocratie » ? D'une obscure et infantile nostalgie à l'égard du stade tragique, de la « philosophie de l'absurde », voire du hasard comme divinité régressive ?
- Cieux vides p.179 - J'ai un rêve p.185 - Neil Young p.191
- Entretien avec Christian Authier p.199
'On fait tout pour que l'Occident en soit là. Par exemple, Berlusconi fait une remarque et l'on dit aussitôt que c'est idiot de classer les civilisations selon une échelle de valeur... Non, ce n'est pas idiot. On veut nous décourager de penser que la civilisation occidentale a pu être supérieure sur certains points ; du coup, elle se dissout dans le cynisme. Longtemps il y a eu cette cette idée que le bien des générations futures était une chose importante. Sûrement qu'aujourd'hui les gens se projettent moins. La vie est de plus en plus réduite à des valeurs d'usage.'
'Il y a dans le fond quelque chose de plus bizarre : les gens ont envie de se battre, ils ont envie de violence. J'ai l'impression qu'il y a de moins en moins de compromis, même sur des oppositions très légères. [...] l'individualisme hédoniste pur donne naissance à la loi de la jungle.'
'J'accepte l'idée que l'humanité naisse exempte de mauvaises pensées. Je peux discuter de la globalité du projet, mais le problème est que l'humanité naît avec de mauvaises pensées. Pour prendre un exemple simple, je veux bien naître génétiquement modifié, de telle manière que l'envie de fumer devienne inexistante chez moi. C'est un projet qui se tient : une humanité indifférenciée, lisse. Sauf que là, on essaie de le faire par castration, par contrainte, et que ça ne peut pas marcher. Je ne sais pas ce que peut être l'humanité, mais à l'heure actuelle, on a imposé des normes excessives sans apporter de réelles satisfactions en échange.'
- Consolation technique p.215
'La philosophie occidentale est un long, patient et cruel dispositif de dressage qui a pour objectif de nous persuader de quelques idées fausses. La première, que nous devons respecter autrui parce qu'il est différent de nous ; la seconde, que nous avons quelque chose à gagner à la mort.'
- Ciel, terre, soleil p.223
- Sortir du XXe siècle p.227
'Quand on considère le fait presque incroyable que Malraux a pu - ne fût-ce que très brièvement - être considéré comme un « grand écrivain », on mesure le degré d'abrutissement auquel nous aura mené la notion d'engagement politique [...].'
- Philippe Murray en 2002 p.235
- Vers une semi-réhabilitation du beauf p.247
- Le conservatisme, source de progrès p.253
'Une théorie est chose précieuse, acquise de haute lutte, et un scientifique ne se résignera à l'abandonner que si les faits expérimentaux, décidément, l'y obligent. Ne renonçant à sa théorie que pour des raisons sérieuses, il ne sera jamais tenté d'y revenir. Ce conservatisme de principe a donc pour corollaire la possibilité de progrès effectifs, voire, si les circonstances y obligent, d'authentiques révolutions.'
- Préliminaires du positivisme p.261
'[A propos d'Auguste Comte et du passage, non encore achevé aujourd'hui, de l'âge métaphysique, à l'âge positif]
'Il suffit également de rappeler la popularité persistante des théories du « contrat social », basées sur la fiction d'individus libres préexistants à la collectivité, et sur la notion de « droits de l'homme », indépendants de tout devoir, qui en découle.'
- Je suis normal. Ecrivain normal p.273
- J'ai lu toute ma vie p.283
- Coupes de sol p.291
'Argumentant davantage, Auguste Comte conclut que sans une théorie préalable, même très approximative, l'observation, condamnée à un empirisme sans projet, se réduit à une compilation fastidieuse et vide de sens de données expérimentales.'
- Le texte perdu p.299 - Entretien avec Frédéric Beigbeder p.307 - Un remède à l'épuisement d'être p.323
- Entretien avec Marin de Viry et Valérie Toranian p.331
'Je ne sais pas si je suis conservateur, mais je ne crois pas que l'être humain – pas plus qu'un autre animal – soit fait pour vivre dans un monde constamment variable. Donc l'absence d'équilibre, de projet d'équilibre, et en soi invivable. L'idée de changement permanent rend la vie impossible.'
'Daech est clairement hérétique. C'est quand même étonnant que l'hérésie ne soit pas combattue, qu'il n'y ait pas de fatwas anti-Daech...'
- Entretien avec Agathe Novak-Lechevalier p.363
'Oui, je maintiens que tout bonheur est d'essence religieuse. La religion offre la sensation d'être relié au monde, de ne pas être un étranger dans un monde indifférent - ça, Pascal l'a dit mieux que moi.' Enoncé de la sorte, l'argument paraît fallacieux... La note est de moi.
- Emmanuel Carrère et le problème du bien p.385
- Donald Trump est un bon président p.401
'Nous n'avons en Europe ni langue commune, ni valeurs communes, ni intérêts communs, en résumé : l'Europe n'existe pas, elle ne constituera jamais un peuple, encore moins le support d'une démocratie possible (cf. l'étymologie du terme), et cela avant tout parce qu'elle ne veut pas constituer un peuple.'
- Conversation avec Geoffrey Lejeune p.413
'Profondément décentralisée, divisée en quinze Eglises autocéphales [...], l'Eglise orthodoxe a réussi à éviter en son sein toute grave dissension, tout schisme. Comment y est-elle parvenue ? Il me semble que c'est, simplement, en étant orthodoxe [...]. L'Eglise orthodoxe s'est contentée, au fil des siècles, de maintenir inchangés la liturgie et la doctrine ; elle a refusé de se mêler des affaires du monde.
'J'aime beaucoup l'idée de « foi du charbonnier » parfois décrite par Balzac comme le fait « d'aimer la Sainte Vierge comme on aime sa femme » ; une piété filiale, un attachement dénué de réflexion théologique ou philosophique, une fidélité à une histoire et à des racines davantage qu'une révélation mystique.'
- En un peu pire. Réponse à quelques amis p.445
'Le coronavirus [...] devait avoir pour principal résultat d'accélérer certaines mutations en cours. Depuis pas mal d'années, l'ensemble des évolutions technologiques, qu'elles soient mineures (la vidéo à la demande, le paiement sans contact) ou majeures (le télétravail, les achats par Internet, les réseaux sociaux) ont eu pour principale conséquence (pour principal objectif ?) de diminuer les contacts matériels, et surtout humains.'
'[Jean Rostand] semble bien avoir pressenti les dangers qui nous menacent aujourd'hui lorsqu'il écrivait, en 1970, dans Le Courrier d'un biologiste:
« Je pense qu'il n'est aucune vie, si dégradée, si détériorée, si abaissée, si appauvrie soit-elle, qui ne mérite le respect et ne vaille qu'on la défende avec zèle. »'
- L'affaire Vincent Lambert n'aurait pas dû avoir lieu p.453
Houellebecqs jüngster Essayband polarisiert natürlich auch diesmal wieder, der Leser wird nicht immer seiner Meinung sein, aber er wird auf jeden Fall darüber nachdenken, von vornherein strikt ablehnen kann man ihn nicht. Mit Sprüchen wie "Faulheit ist die Mutter der Effizienz" entlockte er mir mehrfach auch ein Schmunzeln.
Van az a mítosz, hogy az író, ha megszólal, szájából csak okos szók jőnek, mintha megkenték volna homlokát a Bölcsesség Szent Olajával, vagy mittomén. Hát, ez nem igaz. Tény persze, hogy az íróról feltételezzük, olvasott már ezt-azt, és többnyire rutinja van abban, hogy összefüggő mondatokban fejezze ki magát (legalábbis írásban – és kivéve persze egyes posztmoderneket), de némelyikük olyan dermesztően hülye tud lenni, hogy hihetetlen. És nem csak a rossz írók, mert azzal még meg lehet békülni, hanem a jók is. Elámulsz egy író tökéletesen kiegyensúlyozott prózáján, aztán meghallod, amint filozofálgat egy interjúban, és legszívesebben lekaparnád az arcod a szekunder szégyentől. Ki érti ezt? Gondolom, ez azért van, mert írni tudni, nos, az másfajta képességeket kíván, mint okosnak lenni. Nem intelligencia kérdése, hanem érzéké, ízlésé, vagy, ha spirituális akarok lenni: az író médiuma csak a Múzsának, aki belőle beszél.
Nos, nyilván most nem Houellebecqről beszélek. Bocsánat, ha valakit félrevezettem volna. Houellebecq igenis egy okos pacák – azzal együtt, hogy (szerintem) okosságának világos határai vannak, vagy, mondjuk úgy, egyes nézetei számomra a marhaság határait pedzegetik. Megjegyezném amúgy, hogy én hamvas ifjúságomban – talán nem egyedül – abban a hitben éltem, hogy Houellebecq egy radikális író, pedig ez nem igaz: tőről metszett konzervatív ő. És úgy vélem, nézetkülönbségeinknek ez a magva. Houellebecq konzervativizmusa ugyanis abban nyilvánul meg, hogy valami rezignált reménytelenséggel konstatálja újra meg újra, hogy a nyugati civilizáció alapjai végzetesen erodálódnak. Úgy vélem, majd az összes tikkje erre az alapállásra vezethető vissza: a baloldal-ellenessége (hisz ők aknázták alá ezeket az alapokat*), a megkapóan meddő szimpátiája a katolicizmus iránt**, erős EU-szkepszise, vagy épp a bevándorlókkal kapcsolatban megfogalmazott sarkos véleményei is. (Hogy a szexualitás átalakulásával, az intimitással kapcsolatos masszív félelmei következményei vagy okozói-e konzervativizmusának, abba nem mernék belemenni. Viszont ezek a félelmek teszik őt az utolsó minőségi romantikussá.) A világ változása benne szorongást okoz (ami persze érthető), mert a változást valamilyen szinten a „vég” szinonimájának tartja – így lesz egy sokak számára valóban válságos, de történelmi léptékkel mindennapos paradigmaváltás értelmezésében a Jelenések Könyvének remake-je.
No most én nem tudom, mi vagyok pontosan, de konzervatív biztosan csak mértékkel. Amikor H.-kel elvitatkozgattam magamban, az mindig azért volt, mert a fenn említett társadalmi alapok kérdésében nem értettem egyet vele. Szerintem ugyanis egyáltalán nem egyértelmű, milyen alapokat is sírunk vissza a régmúltból, és hogy ezek valóban léteztek-e. Sok ún. „hagyományunk” csak azért tűnik körvonalazottnak, többé-kevésbé egzaktnak, mert társadalomtudósaink az elmúlt száz évben sikeresen körülírták és definiálták azokat, így olybá tűnik, mintha valóban általános megtartó erejük lett volna. Mert amit megfogalmaznak, az onnantól létezik. Másfelől: ha léteztek is ezek az „alapok”, már nem léteznek, úgyhogy ahelyett, hogy szomorú labradorszemekkel tekintünk vissza a régmúltba, próbáljunk meg új alapokat teremteni. Szerintem ez nem is ördöngösség, legalábbis elméletben. Egyszerűen szolidaritásra van szükség. Ez tart össze egy társadalmat, ez akadályozza meg, hogy megegyük egymást*** - maga az államforma, meg a hagyományháló csak a jól-rosszul összetákolt kereteket kínálja ehhez. A feudalizmus, a monarchizmus pedig minden volt, csak nem szolidáris. A királyoknak eszükbe sem jutott, hogy a paraszttal egy nemzetet alkotnak, a hierarchia csak a saját szintjét (meg a fölötte állókat) tartotta említésre érdemesnek, a többiek dögöljenek meg ott, ahol vannak. Persze csak miután betakarították a termést. Különösen, ha eretnekek.
Szerintem a szolidaritás, az empátia, a közös társadalmi (sőt, globális****) felelősségvállalás olyasmi, amit meg lehet, meg kell valósítani. Csak van ezzel egy kis baj: jókora naivitás szükségeltetik hozzá. Hogy azt ne mondjam, némi butaság. Az kell, hogy ne akarjuk mindig, hogy igazunk legyen. Hogy ne féljünk a szeretetből, a jóságból elkövetett kapitális hibáktól. Meggyőződésem, hogy Jézus, de talán még Buddha is ilyesmit kért tőlünk. És itt álljunk meg egy kicsit: valójában ez, a jóság felértékelése tulajdonképpen ugyanaz, mint amit Houellebecq is óhajt. Ugyanakkor azt is érzi, hogy ezt a jóságot ő képtelen elérni. Képtelen vállalni a naivitás terhét, pedig akarja. Emberileg nem alkalmas rá, ahogy arra sem alkalmas, hogy katolikus legyen. Ez van. És ebben van valami megkapóan tragikus vonás, ami számomra végtelenül szimpatikus – talán azért is, mert a magam korlátait is ki tudom tapintani közben.
Na, hát ez az egyik dolog, amiért szeretem Houellebecqet.
(A másik a humora. A harmadik pedig, hogy legszívesebben olvasással töltené az életét. A negyedik helyre elég csak, hogy remekül ír.)
* Azt hiszem, a legtöbb konzervatív vagy jobboldali nem a gazdasági kérdések miatt érez zsigeri ellenszenvet a baloldal iránt (egy részüket nem érdekli a közgazdaságtan, más részük pedig még egyet is értene velük számos szociális kérdésben), hanem morális okokból. Azért, mert támadást intéztek a hagyományok ellen. Ugyanakkor egy mai szociáldemokratát felelőssé tenni a francia forradalom bűneiért pont akkora csúsztatás, mint egy mai random fehérembert felelőssé tenni a rabszolgatartásért. ** Halványan gyanakszom, hogy Houellebecq katolicizmus iránti vonzalma nem független attól, hogy francia. No most Franciaországban a szekuláris állami modell valóban helyenként agresszívan tereli vissza a vallást a magánszférába – ez felkeltheti a védelmező ösztönt valakiben, aki a kereszténységben a kulturális megtartó erőt látja. De kíváncsi lennék, hogyan értékelné Houellebecq mondjuk a mai Szent István műsort (minek nevezzem? Nemzeti Pride-nak?). Pogány és keresztény szimbólumokból összetákolt bazári giccs – ez lenne a kulturális hagyomány, aminek megtartó alapja a kereszténység? *** Elgondolkodtatok már azon, hogy miért nem esszük meg egymást gyakrabban? Hisz elméletileg lehetséges volna. Sőt, mondhatni, logikus. Hisz mindenevő emlősök vagyunk. Mi sem lenne természetesebb és praktikusabb annál, mint hogy egy háború végén a győztes megeszi a veszteseket, ezzel pótolván az elégetett kalóriákat. Vagy ha megéhezik valaki, megeszi a szomszédját. Nos, azért nem esszük meg egymást, mert a társadalom kötőszövete, hogy tisztában vagyunk nem csak a magunk, de a mások ember voltával is. Minden gyűlöletünk, xenofóbiánk ellenére. Erre lehetne építeni. **** A globalizáció következménye persze az, hogy a szolidaritásnak is globalizálódnia kell. Túl kell tekinteni a saját hordán. Ami persze szintén nem egy könnyű projekt, sokaknak beletört már a bicskája.
A Houellebecq miscellany. The interviews are the best part because he doesn't take himself too seriously and generally tries to help his interlocutor understand the concepts in his work. The exception to this is essay Parties Without Tears, which remains one of the funniest essays I've ever read and is the highlight of the book. Otherwise he goes a little too far up his own ass about Comte or whatever, his vision for the Catholic church is actually a little bit inspiring but of course it will never come to pass, and when he talks of Islam it's just vitriol without any of his usual contrarian takes. One of the interviews helped me to realize something about Submission that I'm now kind of embarrassed to admit I didn't get when I first read that book. A lot of filler material too, like the dialogue he wrote for some art installation. So a mixed bag.
Apreciez maniera nonconformistă a lui Houellebecq de a reflecta asupra diferitor realități. Deși nu rezonez cu toate viziunile sale (ceea ce e absolut normal dat fiind existența pluralității de opinii), admir felul său tranșant de exprimare, dar și profunzimea gândirii sale. Cât despre pesimismul său acut și ireconciliabil pot spune că îl împărtășesc în totalitate. Personalitatea lui îmi creează impresia unui geniu excentric care generează în rândul publicului atât admirație, cât și "îngrijorare" (ținând cont de zvonurile referitoare la unele dintre manifestările sale controversate). Deși Houellebecq chiar nu-și poate explica cauza acestor reticențe la adresa sa :
📖 "Să stabilim lucrurile în mod clar. De la începutul anilor 1990, public cu regularitate. Invitat la televiziune, am pălăvrăgit, pertinent, cu diverși prezentatori. Prezent cu ocazia târgurilor de carte, am intrat bucuros în jocul autografelor și al dedicațiilor. N-am insultat niciodată vreun fotograf; dimpotrivă, am cu unii dintre ei relații excelente. Nu înțeleg. Ce nu-i în regulă cu mine? De ce sunt bănuit? Accept distincțiile, onorurile, recompensele. Nu refuz jocul. Sunt normal. Scriitor normal."
După părerea mea i se pot reproșa multe lui Houllebecq, însă doza de umanitate pe care acesta o emană mi se pare admirabilă.
Alte câteva extrase ce merită citate :
📖 "Mi-am pierdut de curând cei doi părinți și câinele, într-un interval de timp relativ scurt. Nu m-am împăcat cu aceste morți. Dacă putem trăi trei sute cincizeci de ani, sunt pentru: mai avem încă atâtea cărți de citit."
📖 "(...) dacă mă uit la cărțile mele, pot spune că mai întâi observ, apoi fac proiecții, dar nu profeții... (...) nu predicția declanșează scrisul. Scriitorul - eu, Orwell sau altul - simte o angoasă la contemporanii lui și o exprimă într-o carte. Acesta este motorul."
📖 "Nu ne vom trezi, după izolare, într-o lume nouă; va fi la fel, doar că un pic mai rău."
(Un pic mai rău / Michel Houellebecq; Iași: Polirom, 2022)
ps. acestei compilații de eseuri și interviuri i-aș acorda 3,5 / 5, întrucât o parte din subiectele abordate nu au fost foarte relevante pentru mine
Un gran compendio de textos, ensayos y entrevistas que abarcan un arco temporal de unos treinta años y que nos presenta diferentes facetas en las que Houellebecq se mueve como pez en el agua hablando de diferentes temas: la crisis del covid,el Brexit, Donald Trump, las religiones,el sexo, el amor, Neil Young o Emmanuel Carrere son algunos de los temas sobre los cuales divaga en estos textos. Un libro para los fans del escritor francés donde podemos ver como la particular filosofía de vida presente en sus libros está a la orden del día en su realidad personal.
Houellebecq a compilé dans ce livre 3 décennies de chroniques et d'échanges sur des thèmes littéraires ou de sociétés. On peut regretter que plus de le moitié soit issue du précédent opus mais pour ceux qui n'avaient pas lu le premier Intervention, cela n'a pas d'importance. Des réflexions avec lesquelles on est d'accord ou pas mais qui font réfléchir.
Un Houellebecq care se alintă uneori permițându-și afirmații scandaloase care altora le-ar pune presa în cap, alteori bătrânicios-didactic, vorbind despre laic și religios în Europa de azi. Un volum recomandat cititorilor literaturii sale, în altă ordine de idei găsești în paginile de aici același personaj schimbător, enervant, bufon uneori, dar în multe dintre intervențiile sale inteligent și tăios.
Let us begin by stating the obvious: for those who enjoy Houellebecq, it is a pleasure to have him talk to you in these interviews and essays. He is profound, clear and honest as always and the way he gives us insight on his world views is nothing short of great literature.
Therefore my criticism is not so much about what Houellebecq writes (his notions on Trump, Covid and the current situation on France are so spot on, it hurts) but rather about the collection itself, since this is not a buy for Houellebecq newcomers anyway. If you haven't read "Carte et territoire" or "Soumission" this collection is not for you, that is certain. But I assume you have or otherwise you would not be reading this message board text.
Here's my issue with this publication:
Conveniently released prior to Christmas, it barely contains any new texts. This is mostly the publication of texts previously released in the French press that were translated into your given language. Considering the hefty price for a read that you will manage to complete in some 2-3h, I am therefore somewhat disappointed.
Therefore, just be smart and wait until the book pops up on ebay and momox from people like myself who have paid the full price, so that you can get it for half.
Either way, Houellebecq remains a fantastic observer of our current times and simply does not bore - be it in his prose, his poetry or in his interviews and essays like here.
This, the first English edition of essays and articles constitutes the most complete and up to date collection of the Intervention series.
His fans will enjoy the content. Topics include his support for animal welfare, the stress of being photographed, why Trump is one of the better presidents (he is generally anti-war, pro-American workers, non-interventionist etc.), and his support for Britain leaving the corrupt European Union.
Also to be found here are reflections on the novel Submission and the Charlie Hebdo attacks that occurred on the day it was released. His character was ripe for submission to Islam as French/western culture offered no answers on how to live in the world.
He expresses admiration for Russia’s orthodox faith as a societal bulwark (it fills a nihilistic void) and expresses his feelings of being a Catholic writer, culturally if not as regards genuine belief. Hardened atheist Richard Dawkins has also described himself as culturally Christian. When it comes to true personal beliefs Houellebecq will instead speak of Comte and positivism.
“The author, who takes it upon himself to express it, obviously runs the risk of being identified with this negative part of the world. That’s what makes writing an at times difficult activity: taking on all the negative.”
“The conditions of breeding and slaughter are morally appalling. As for halal or kosher slaughter, it adds a little touch of exotic barbarism.”
Måske hører polemikeren Michel Houllebecq ikke ligefrem til i kategorien af intellektuelle, europæiske sværvægtere, men hans ekstreme belæsthed og "culture générale" (som jo vægtes så højt i gallernes hjemland) kan ikke bestrides. Her tages temperaturen på immigration, Islam, Donald Trump og det europæiske kontinents generelle helbredstilstand, hvor hans uimiskendeligt sylespidse og underspillede sarkasme gør hans essays ikke bare informative men også - til tider - yderst underholdende.
Ein neues Buch mit Essays von Michele Houellebecq oder wie er selbst dazu sagt: Interventionen. Der Titel „Ein bisschen schlechter. Neue Interventionen.“ - das fängt ja schon nicht sehr gut an. Wer an Houellebecq denkt, dem kommt zwangsläufig der Begriff Provokateur in den Sinn. Seine Interventionen sollen und wollen aber auch provozieren.
Wirklich neu ist an diesem Buch leider nicht viel. Fast alle der Essays waren entweder als Vorworte oder abgedruckte Gespräche in Zeitungen und Zeitschriften bereits abgedruckt. Der erste Text wurde bereist 2003 veröffentlicht.
Houellebecq arbeitet sich in seinen Essays an alt bekannten Themen ab: Islam, Religion, Philosophie, Trump, politische Korrektheit. Einzig das Essay über Covid-19 behandelt ein neues Thema. Das, was Houellebecq zur Pandemie zu sagen hat, ist aber nichts Bahnbrechendes: Er schreibt, dass er sowieso nicht gerne vor die Tür geht, dass die Corona-Pandemie Schwächen in der Politik und der Digitalisierung noch deutlicher hervorgehoben hat und dass sich auch nach der Pandemie eh nichts ändern wird.
„Wir werden nach der Ausgangssperre nicht in einer neuen Welt erwachen; es wird dieselbe sein, nur ein bisschen schlechter.“
Abseits der Essays beinhaltet das Buch vier lange Gespräche, die für mich das eigentliche Highlight dieses Buches sind. Denn sie geben einen aufschlussreichen Einblick in Houellebecqs Meinungs- und Gedankenwelt. Zudem wird in diesen Gesprächen deutlich, dass sich Houellebecq seiner Rolle als Provokateur und vermeintlicher Visionär nur allzu bewusst ist und gerne mit diesen Eigenschaften spielt.
Auch wenn viele der Texte schon älter sind und auch schon publiziert sind, ist „Ein bisschen schlechter“ dennoch ein lesenswertes Buch. Houellebecq, der mit teilweise sehr verqueren Gedanken und Theorien daher kommt, macht es dem Lesenden nicht gerade einfach, aber Spaß macht es trotzdem. Gerade die Interviews waren besonders spannend zu lesen und was dem Buch vermutlich nicht besonders gutgetan hat, waren die Kürzungen für die deutsche Ausgabe. Die französische Version ist fast doppelt so lang. Trotz alledem ist „Ein bisschen schlechter“ dennoch ein lesenswertes Buch.
Parfait quand on est frustré car son écrivain préféré n’a plus publié de romans depuis plusieurs années .... et puis c’est agréable de savoir ce qu’il pense de livres ou d’évènements qu’on a aussi lu ou traversé. Je donnerai cher pour une conversation avec cet homme bien méconnu qu’on affuble des pires défauts alors qu’il est d’une humanité folle. Il y a évidemment beaucoup de pépites absolument Houellebecquiennes, on navigue entre le sarcasme et la morne acceptation de ce qui est et un spleen général assez caractéristique se dégage de ces « interventions ».
A lire, peut-être, si vous n’aimez pas Houellebecq pour des raisons qui ne sont pas vraiment les votres ... mais plutôt celles des journalistes qui l’ont mal lu; et que vous n’aimez pas les romans. A lire, évidemment, si comme moi le lire vous manque.
« Catherine Millet (normalement plutôt parisienne, mais se trouvant par chance à Estagel, Pyrénées orientales, au moment où l’ordre d’immobilisation est tombé). La situation présente lui fait fâcheusement penser à la partie « anticipation » d’un de mes livres, La possibilité d’une île. Alors là, je me suis dit que c’était bien, quand même, d’avoir des lecteurs. Parce que je n’avais pas pensé à faire le rapprochement, alors que c’est tout à fait limpide. D’ailleurs, si j’y repense, c’est exactement ce que j’avais en tête à l’époque, concernant l’extinction de l’humanité. Rien d’un film à grand spectacle. Quelque chose d’assez morne. Des individus vivant isolés dans leurs cellules, sans contact physique avec leurs semblables, juste quelques échanges par ordinateur, allant décroissant.»
Um livro para os fãs do escritor, para melhor entender a sua obra e a pessoa por detrás do artista, através de um conjunto de artigos, entrevistas, prefácios, enfim, intervenções suas.
Gosto de tudo o que MH escreve, mesmo que esteja em completo desacordo ou que me leve a pensar que é completamente louco. Gosto do estilo provocador, da estética, da aparente insanidade, do seu humor, da forma peculiar como expõe os seus pontos de vista, levando algumas vezes os leitores menos prevenidos a interpretar as suas mensagens ao contrário daquilo que realmente nos quer dizer.
Nenhum outro escritor me fez pensar tanto, nenhum outro me fez confrontar as minhas convicções e valores de forma tão violenta e introspectiva. É por isso que já li tudo o que existe dele traduzido para português e o considero não o melhor (porque não acredito nessa treta do melhor ou pior quando nem sequer vou conseguir ler na minha vida inteira 1% do que há para ler), mas o meu escritor favorito, absolutamente genial e desconcertante!
Am dat doar 2 stele deoarece nu suntem pe acceasi lungime de unda: pledeaza mult pentru revenirea Biserici Catolice, incearca sa-l "spele" de pacate pe Trump si in general este foarte nationalist. Este mai mult pentru cine este interesat de cum vad francezii evenimentele curente, considerand ca MH exprima viziunea majoritatii societatii franceze. Mi-a "placut" urmatoarea fraza din ultimul capitol: "Vincent Lambert era un individ liber, o fiinta umana in toate acceptiunile termenului (SI IN PLUS, CETATEAN FRANCEZ)".
Niewiarygodna hucpa Wydawnictwa Literackiego. 2/3 tej książki to wydane w 2016 „Interwencje 2”. Na końcu zostaje raptem kilka nowych wywiadów – felietonów. I tu szok. Houellebecq prezentuje się w nich jako zwolennik polityki międzynarodowej Trumpa (któremu zarzuca jedynie obrzydliwą postać zewnętrzną, że jest niestrawnym dla przeintelektualizowanych elit „żałosnym pajacem”), ale poza tym to wielki prezydent był (będzie znów?). UE jest guzik warta i powinna się jak najszybciej rozlecieć na kawałki. A przede wszystkim cały czas bredzi, że jako niewierzący jednak uważa, że wiara, ekumenizm jest największą wartością i nadzieją ludzkości. A największą tragedią Francji jest jej zeświecczenie po 2 WW. Houellebecq apologetą katolicyzmu. Koniec świata! Jak mu tak bardzo brakuje dominującej roli religii w polityce, to by sobie pomieszkał w Polsce, albo z talibami, którzy zapewnią mu jeszcze głębsze przeżycia duchowe. Zastanawiałem się, czy to nie jakaś zgrywa MH, by nie sprowokować fatwy, jak na Salmana Rushdiego, w związku z Uległością i wypowiedziami MH po Charlie Hebdo. Nie wiem co się dzieje z tymi pisarzami, ale to już n-ta pozycja, gdzie geniusz degeneruje się w późniejszym okresie twórczości. W ciągu roku zaliczyłem kompromitująco ekshibicjonistyczną „Zuzę” Pilcha, trylogię jezusową Coatzee’iego, czy „Król przyjmuje” Mendozy. No cóż, papier jest cierpliwy, a rynek wydawniczy znacznie mniej. Może dzisiaj to ghostwriterzy piszą nowe arcydzieła za sterane życiem sławy? Houellebecq był dotychczas dla mnie autorytetem. Pewnie skuszę się na nową powieść, o ile takową jeszcze popełni, ale na kolejne Interwencje – stanowczo nie. A jednak jakąś korzyść uzyskałem z Interwencji 2020. MH, jako kolejny już pisarz, zwrócił tu moją uwagę na Emila Ciorana. Dzięki Michelu ci za to.
Muito bom especialmente para quem já leu os romances do autor. Para além de falar sobre eles e sobre motivações pessoais que neles residem (é sempre bom saber…), o livro contém algumas crónicas e entrevistas que o autor escreveu/deu. Leitura deliciosa. Fiquei com vontade de voltar a ler os romances mais antigos.
Про такие книги принято высказываться в том духе, что их можно открыть на любой странице и начать читать главы в любой последовательности, и даже делать это целиком совсем не обязательно. Все эти рецепты должны подчеркнуть, с одной стороны, фрагментарность или необязательность книги, или, наоборот, последовательность мысли автора — на каждой странице он остаётся равным себе.
Но в случае рецензируемого актуального собрания публицистики великого французского писателя эти ритуальные формулы не работают. Эту книгу необходимо читать подряд, и только тогда она начинает по-настоящему раскрываться.
Вообще, классная идея — публиковать примерно раз в десять лет собрание своих эссе, журналистских статей и интервью, приплюсовывая накопившееся. И, конечно, с изданного в переломный проклятый 2020-й год сборника спрос особый.
И он полностью удовлетворяется. Перед нами, с одной стороны, духовная автобиография, а с другой, публичная история того, как менялось место Уэльбека во Франции и в мире. В начале перед нами уже уставший от жизни, немного за сорок французский клерк, превратившийся неожиданно в успешного романиста, исследующего проблемы коммерциализации секса, и любви, взаимоотношения полов и всепоглащающее одиночество. Но постепенно этот писатель фактически любовных романов об отсутствии любви постепенно превращается сначала в депрессивного старика. А потом он как будто вырывается из этой скорлупы жизненной усталости и становится буквально ветхозаветным пророком, вещающим как право имеющий о судьбах человечества, христианства, Европы и геополитике. В точке А перед нами автор, рассуждающий о том, что любовь умерла, а в точке Б он же убедительно объясняет, что католическая церковь должна многому научиться у православной. И каждый этап, каждая роль, примеряемая Уэльбеком смотрится в его исполнении удивительно гармонично.
Откуда такой эффект? Думаю, что дело в самых правильных на свете установках Уэльбека. Во-первых, жизнь — ещё тот кал, но боятся жить ещё хуже. Во-вторых, нужно постоянно думать — не давать себе спуску в интеллектуальной работе и саморазвитии. В-третьих, не бояться.
Вообще, если подумать, то Уэльбек — это пример удивительного бесстрашия. Земную жизнь пройдя до половины, он наконец-то решился стать, кем мечтал — писателем. Затем не боялся идти наперекор интеллектуальному мейнстриму, при этом сохранив не превзойденное чувство стиля. И, в конце концов, научился (был одарен Богом?) делать самые точные прогнозы о судьбах мира.
В его случае слово “пророк” — вообще не просто фигура. Книга пересыпана к месту и не к месту признаниями в любви к Достоевскому. И если русский классик предсказал XX век, но его не захотели слушать и вляпались в то, во что вляпались, то Уэльбек в режиме реального времени описывает для нас не менее мрачное и глупое нынешнее столетие: "Когда закончится самоизоляция, мы проснёмся не в новом мире. Мир будет прежним, только чуть хуже". Вопрос о том, слушают ли Уэльбека? — риторический.
I believe that Houellebecq is a repressed leftist, but not a liberal, and that this is why Islam, which agrees, bothers him so much. He is not conservative or reactionary. Actually, he says more good things about life under actually existing communism than most DSA members would dare. The same goes for his critiques of austerity.
The discussion with Lejeune (a freak, in my opinion) proves all this.
Je suis surpris par la profondeur intellectuelle d'un Houellebecq sur des sujets aussi divers que l'architecture contemporaine comme architecture rationalisée, utilitaire et accélératrice du changement (idéologie du progrès), de la poésie comme absurdité créatrice ou bien même de réflexions poétiques sur la mécanique quantique et sa mise en rapport avec le monde clos dans lequel les hommes vivent.
Houellebecq, indéniablement, non seulement tiens une plume littéraire mais aussi une plume empruntant une encre toute philosophique, je dirais même, pleinement métaphysique.
Very enjoyable collection of essays, interviews, introductions to things, etc. from the early '90s to 2020 - one of the last pieces is on Covid and MH's view of its likely long-term impact (at a time when everyone was saying "things will never be the same after this"): his view is "ce sera le meme, en un peu pire" - it'll be the same, just a bit worse, his suggestion being that the virus will have given a boost to all those already rising trends (online shopping, teleworking, "social" networks) that reduce the amount of direct contact between people.
Anyway, it's a fairly wide-ranging ragbag - probably not best consumed all at one go. I've only read novels of his before, and I found it interesting to get a sense of the reflective, perceptive and not unlikeable man behind the provocative works. Not that he's writing about himself all the time, but there is quite a bit on many of the themes so darkly presented in his novels.
Największą wadą tej książki jest to, że w pewnych momentach nie wiedziałem już, o czym czytam. Co gorsza, można było odnieść wrażenie, że autor też nie wie o czym pisze.
Interessant samling af Houellebecq tekster, som giver en bred indføring i forfatterens overvejelser omkring religion, ideologi, politik, sex mv. Læseværdig som supplement til Houellebecqs skønlitterære værker.
In seinen Essays und Interviews kann man sich wirklich gut verlieren und ist auf unterhaltsame Weise angeregt, sich selbst eine Meinung zu bilden und die Besonderheit: es hat seinen speziellen Reiz, darüber zu rätseln was er tatsächlich ernst meint und was er als provokativen Gedanken äußert.