New York City, quartier de Wall Street. Un jeune homme est engagé dans une étude de notaire. Il s'appelle Bartleby. Son rôle consiste à copier des actes juridiques. Les premiers temps, Bartleby se montre irréprochable. Consciencieux, efficace, infatigable, il abat un travail colossal, le jour comme la nuit, sans jamais se plaindre. Son énergie est contagieuse. Elle pousse ses collègues, pourtant volontiers frondeurs, à donner le meilleur d'eux-mêmes. Un jour, la belle machine se dérègle. Lorsque le patron de l'étude lui confie un travail, Bartleby refuse de s'exécuter. Poliment, mais fermement. I would prefer not, lui répond-il. Soit, en français : je préfèrerais ne pas. Désormais, Bartleby cessera d'obéir aux ordres, en se murant dans ces quelques mots qu'il prononce comme un mantra. Je préfèrerais ne pas. Non seulement il cesse de travailler, mais il refuse de quitter les lieux...
José Luis Munuera s'empare de la nouvelle d'Herman Melville dans une adaptation magistrale et porte un regard original sur ce texte, réflexion stimulante sur l'obéissance et la résistance passive.
I'm going to be very straight: This is a book that I most likely would not have bought by the simple fact that it passed right through me, but I'm very glad I had the opportunity to read it because it's a hidden gem.
With so many books being released constantly, which is great, readers need to quickly filter out some options in order to focus on the ones that seem more attractive. Specially, if you can read a couple of languages, the offer can be huge. "Bartleby, the scriber" is not exactly a book that sells by its title. Although, having Herman Melville (the author of Moby Dick) in the cover, should have told me that there was more to it than what it seemed.
José-Luis Munuera knows how to make comics, that much is clear to me after reading 2 of his works and it's definitely a name a I'll keep my eye on.
Here we have a very interesting story from the get go. Obviously, being an adaptation, the main credit belongs to the original author, but still, Munuera seems to adapt the original story essence very well.
Don't expect a story with a close ending. This is one of those stories that won't give you all the answers, far from it, it will actually leave you with a lot of questions. It will leave you wonder what is the message the author is trying to transmit.
Overall, a good read, one I recommend if you like mature topics.
Bartleby, skriveren er en novelle, Herman Melville fik udgivet i 1853 (to år efter Moby Dick).
Jeg havde aldrig hørt om historien, før jeg stod med tegneserien i hånden, men jeg var fuldstændig betaget fra første side😍👏
Hovedpersonen arbejder på Wall Street og har rygende travlt. Derfor ansætter han den nydelige og pligtopfyldende unge mand, Bartleby, som ekstra skriver.
Det går også glimrende i starten, indtil vores hovedperson giver ham en mindre opgave, hvortil Bartleby siger: “Jeg foretrækker at lade være”.
José-Luis Munuera står bag denne fremragende fortolkning til tegneserie. Han er bl.a. kendt for Splint & Co., som jeg kværnede igennem i min barndom.
Historien er både satirisk og trist og den giver læseren stof til eftertanke. Bartleby opfører sig ydmygt, men er også vanvittig stædig og som det også sker for hovedpersonen, så sad jeg selv med en følelse af frustration over Bartlebys sære opførsel.
Det er en historie med en del temaer - at gå imod systemet, at være den eneste, der afviger fra normen og så er det heller ikke tilfældigt, at rammerne er Wall Street, hvor ordet ‘mur’ kan tages bogstaveligt.
Tegneserien er hurtigt læst, men det er nemt at fordybe i de pragtfulde illustrationer. Jeg er helt forgabt i tegnestilen og særligt farvelægningen er helt enestående😍👏👏
New York, années 1850. Un homme de loi tenant un bureau à Wall Street voit arriver un jeune scribe, envoyé par la ville à sa demande de personnel supplémentaire. Alors que les deux autres employés effectuent plus ou moins volontiers et plus ou moins brillamment leur travail, Bartleby, le nouvel arrivant, est efficace, rapide, précis mais sans enthousiasme. Mais quand un jour, le directeur demande à Bartleby de collationner les écritures en compagnie des autres scribes, ce dernier répond « je préfèrerais ne pas le faire » ! Et malgré l’insistance de son patron, le jeune homme s’entête mais sa réponse invariable, qui n’est pas vraiment un non mais pas non plus un oui laisse tout le monde perplexe … C’est le graphisme qui m’a séduit dans cet album trouvé par hasard à la médiathèque. Le dessin est délicat, tout en finesse et en réalisme, avec de superbes décors d’un New York encore jeune et des personnages très expressifs. On peut d’ailleurs voir des tas de choses dans le regard de Bartleby qui m’a fasciné ! Les couleurs assez foncées créent une atmosphère un peu surannée, comme arrêtée dans le temps. J’ai passé de longs moments à admirer les vignettes tout en réfléchissant à cette histoire étrange, adaptée d’une nouvelle d’Herman Melville dont je connaissais le titre mais pas du tout le sujet. L’ensemble m’a fait penser à un conte philosophique qui reste plus que jamais d’actualité car ce Bartleby, par son entêtement passif, son refus de s’affirmer dans un sens ou dans l’autre, est comme un grain de sable dans la machine bien huilée de la société et du travail. Personne ne sait comment réagir, comment le faire changer et on voit bien l’impuissance de tous face à un seul homme déterminé dans son effacement, sa fuite. Au fil des pages, je me suis demandée comment j’aurais moi-même réagi, jusqu’où irait Bartleby et pourquoi il faisait cela. Cela pose énormément de questions qui sont toujours valables (voire même encore plus !) dans notre monde actuel, où l’obéissance, le travail, et la non-rébellion restent toujours très prisées (on a eu plusieurs exemples ces dernières années où certains ne voulaient pas rentrer dans le moule que d’autres avaient préparé pour eux !). Un vrai coup de cœur, tant au niveau du visuel que du contenu, complété par une excellente préface de Philippe Delerm et une postface encore plus passionnante d’Alex Romero !
Como conheço a história original, é-me impossível achar esta versão resumida tão boa quanto. Relativamente ao desenho, talvez teria sido preferível um outro rosto para o Bartleby (problemas de quem conhece o primeiro Bartleby), mas, tirando isso, não há motivos para mal dizer. A cor, os traços e a profundidade aliados ao texto impecável e ainda a uns bons prefácio e posfácio, tornam o livro uma relíquia. Fiquei um bom tempo a segurar no livro, parada, a pensar, a confabular hipóteses e explicações, o que prova que a adaptação cumpriu o seu papel. O ser humano precisa de explicações e a sociedade precisa de pessoas que entrem na engrenagem, se não for assim, resta-nos o nada.
Beaux dessins qui dessinent parfaitement l'atmosphère. Le comportement de Bartleby fait réfléchir dans cette société où on doit simplement suivre les ordres sans se poser plus de question. Le fait que le personnage exprime son rejet du travail, travaille le patron et on voit bien que sa vision du monde a changé après sa rencontre. Il devient de plus en plus humain au fur et à mesure de l'histoire et les autres hommes nous paraissent encore plus vils et cruels (étonnant venant des PDG richous ?) Je conseille
Merci aux éditions Dargaud et à Netgalley de m'avoir permis de lire ce titre.
J'avais lu l'histoire d'Herman Melville lors de mes études mais j'avoue qu'elle n'avait pas été un coup de cœur. J'ai par contre, beaucoup aimé l'adaptation en BD. Les illustrations sont très jolies et reflètent bien l'atmosphère de l'époque. Je me suis beaucoup plus attachée aux personnages et à l'histoire de Bartleby sous cette forme. José Luis Munuera a fait un très bon travail d'adaptation et m'a permis de voir cette histoire sous un angle différent.
Een stripbewerking van het bekende verhaal van Herman Melville. De toegevoegde waarde bestaat vooral uit de sfeervolle plaatjes van het grauwe, negentiende-eeuwse Manhattan. De pagina-indeling is streng en afgemeten, precies zoals de wereld waarin de personages leven.
J'ai adoré le dessin de cette BD. L'histoire de Melville est bien reprise et m'a rappelé de bons souvenirs de mes études. J'ai été très enthousiasmée par cette lecture. Je recommande.
Une histoire très intrigante et qui demande une réflexion. J’ai adoré les dessins et j’ai beaucoup aimé la préface et l’article présent à la fin de la BD
Despejar alguna duda sobre mi parecer ante la sociedad. Esa está siendo mi semana. Vuelta a rehabilitación y bajada de temperaturas. Ni la Champions lo endereza, lo digo porque el Madrid va a ganar al PSG… Y todo seguirá igual. Pero preferiría que no fuera así. Bartleby, el escribiente relato de Herman Melville (el de Moby Dick), adaptado en una versión en cartoné excelente. El dibujo, los tonos, el tema, el asunto, el modo de tratarlo, la ambientación, el epílogo, el prólogo, el entorno, la semana que me estoy dando, y que José Luis Munuera ha encumbrado con esta excelente adaptación. Acabo de conseguir el relato original y lo leeré, pero con la novela gráfica he entendido todo. ¡Siempre gana la banca! Walt Street, o cómo quiera llamarse, pero no vale cruzarse de brazos. Basta con decir: “Preferiría no hacerlo” Parece fácil, pero ¿quién es el guapo que hace sólo su trabajo? He escuchado que nos están haciendo autónomos a sueldo. Es decir, ganamos lo de siempre, pero somos “fundamentales” para que todo salga adelante. Eso sí, en silencio, porque si no te sueltan el típico: “No te pagamos para pensar” El cómic (por abreviar) tiene un calado enorme, un trasfondo que suspira posmodernidad, actualidad, a pesar de estar escrito en 1856 el original. Es tan presente, porque siguen ganando. A pesar de las negativas, de los sindicatos, del posicionamiento contrario al liberalismo… La resistencia pasiva sirve para que la honestidad de Bartleby no sucumba, pero no es rival para un coloso que despieza a sus contrincantes sin paliativos. Ese coloso está encarnado por un personaje en el cómic que me gusta mucho. Que dice lo que hay, sin pelos en la lengua, por encima del bien y del mal; me refiero al confidente del jefe del copista. La cruda realidad. Te sientas y lo lees en quince minutos, luego te deja toda la tarde tocado y hundido. Tiene más matices, pero es mejor acercarse a la librería y comprarle. Yo lo pillé de la biblioteca de Parque Alameda (Valladolid) y posiblemente lo ojeé otro ratito más antes de devolverle, tengo tiempo. Se disfruta, a pesar de que el tema es jodido… No va a ser todo Decadencia y afianzar las ideas que ninguno ha visto en mi comunidad.
(PT) Estamos em Wall Street, o coração financeiro de uma América em ascensão imparável, no meio do século XIX. Num escritório de notário, um jovem é contratado para um escritório de notário. O seu nome é Bartleby e o seu trabalho consiste em copiar documentos legais.
No início, ele revela-se irrepreensível: consciente, eficiente, incansável, faz um trabalho colossal, dia e noite, sem nunca se queixar. A sua energia é contagiante. Leva os seus colegas, muitas vezes rebeldes, a darem o seu melhor. Contudo, um dia, tudo se altera. Quando o patrão lhe dá um trabalho, Bartleby recusa-se a fazê-lo. Educadamente, mas com firmeza, afirma: "Prefiro não o fazer", responde.
Essa frase se transformará num mantra, e causa perplexidade e confusão entre ele e os outros colegas, sem saber se ficou louco ou a sua desobediência é consciente.
Hermann Melville publicou isto em 1853 como conto, dois anos depois de "Moby Dick". Baseado na sua juventude, quando foi funcionário bancário em Nova Iorque, onde conheceu o ambiente de Wall Street, também fala dos trabalhos repetitivos e de como isso pode afetar a mente, especialmente as mais criativas. Também fala das hierarquias, e, inspirado dos escritos de Thoreau, numa forma de desobediência aos superiores, do qual, aliás, há referências no livro, nomeadamente "A Desobediência Civil".
Hoje, quase 200 anos depois, o conto é menos conhecido que as suas obras maiores, mas graças a José Luis Munuera, a novela gráfica transmite bem o espirito da obra e do autor, e quando se lê, não deixamos de pensar outras obras de autores seus contemporâneos, como Charles Dickens e Victor Hugo. Francamente, gostei de ler, ideal para uma tarde de fim de semana.
Cómic que recrea el relato de Bartleby, el escribiente. Un relato muy interesante que te deja pensando en que hay detrás de la postura de Bartleby y cuál sería la forma de abordarla. Hay una respuesta mejor que otra? O todo depende de lo que le pasa al protagonista? En este último caso, entonces, a veces unas acciones sería apropiadas y otras veces las contrarias. Es decir, la situación sería la misma, pero nuestro grado de tolerancia o respuesta sería muy distinta en función de qué la origina.
Lo que sí me queda claro es que para poder opinar, necesitamos saber, entender, y aquí no se sabe así que cada cual sacará unas conclusiones :)
Las imágenes acompañan muy bien la historia.
“La mayoría de los hombres sirve al estado no como hombres, sino como máquinas”
Gran adaptación de una obra que da para mucha reflexión. Me impresionó mucho la actitud pasiva-no-agresiva de Bartleby. Aparte de la obvia crítica al mundo del trabajo, me tomo este libro como una guía para pasar de las peticiones de la gente de manera educada.
« Je ne préfèrerais pas… ». C’est un ode magnifique à la différence, au désir de ne plus se conformer sottement, sans réfléchir, et au mal-être, à la dépression…
Quelle curieuse histoire ! Je connaissais le récit d'origine de loin, sans jamais l'avoir lu. Certains auteurs l'ont placé tout en haut de leur panthéon littéraire, en vantant la maitrise narrative d'Herman Melville et l'originalité de l'histoire. Mais c'est surtout l'attitude de Bartlby qui a suscité d'intenses réflexions et la création du mouvement philosophique de l'anti-pouvoir. Il faut dire que le refus de tout qui marque l'attitude de Bartleby a de quoi surprendre. Sa réponse "Je préfèrerais ne pas" dans la version originale, est poussé à l'extrême sans que jamais il ne se justifie. Il fuit plutôt que d'affronter le pouvoir de son patron qui n'a plus aucune prise sur lui, démontrant ainsi que le refus de toute action peut être pire que l'affrontement, notamment en laissant l'adversaire dans une position de vide et d'impossibilité de réagir.
Je ne ferai pas de comparaison entre la nouvelle et la bande dessinée puisque je n'ai pas lu la première mais il me semble qu'on a bien accès ici à l'attitude butée et incompréhensible de Bartleby, face au désarroi de son patron qui tombe progressivement dans une introspection provoquée par ce comportement. Cette introspection rejaillit sur le lecteur qui se voit placé dans la même position et est aussi amené à réfléchir à ce comportement.
Les choix narratifs de Munuera renforcent cette identification car on suit le narrateur dans ses discussions avec un ami dans les rues de New York. Il s'interroge sur la conduite à tenir sans jamais vraiment parvenir à choisir une action efficace.
L'esthétisme de l'album est très belle avec ces décors un peu flou mais dans des camaïeux de bleu ou de marron. Les images pleine page sont magnifiques et les personnages se détachent en traits nets sur ces fonds qui prennent parfois plus de place mais laissent aussi respirer. On peut aimer ou non le dessin des personnages, j'ai lu des billets qui le critiquait mais cela ne m'a pas dérangé. Ce sont des "types", des caractères et le trait marqué le renforce.
Vous l'aurez compris, j'ai beaucoup aimé et je vous conseille cet album pour découvrir Bartleby ou le relire si c'est déjà fait.
De klerk Bartleby, Een verhaal van Wall Street, naar de novelle van Herman Melville, door José-Luis Munuera
Een nee wordt niet aanvaard
Druk-druk-druk: een antwoord dat zonder problemen wordt aanvaard op de vraag: ‘Alles goed?’. Deze 3 woordjes worden in deze hectische tijden gemakkelijker aangenomen. Een volle agenda waarin elke minuut bezet is met een zinvolle beleving past nu eenmaal beter in het huidige YOLO (you only live once) klimaat. Geen zin hebben, even lekker niksen of zelfs ziek zijn tellen niet als excuus bij afwezigheid op het werk of het niet willen deelnemen aan een sociale activiteit.
Wat als we nu echt geen zin hebben in een afspraak met vrienden, een etentje bij familie of als de baas vraagt om die extra taak uit te voeren? Kunnen we dan eenvoudigweg nee zeggen zonder dat we daaraan een reden hoeven te koppelen? Volgens de klerk Bartleby is het eenvoudig, zijn antwoord luidt steevast: ‘Ik doe het liever niet.’ Of zoals er in het oorspronkelijke (engelstalige) boekvan Herman Melville staat: ‘I’d prefer not to!’. Bartleby’s antwoord stuit op veel onbegrip. Hoezeer zijn baas ook aandringt, hij kan geen antwoord uit Bartleby krijgen waarom hij de extra taken niet wil uitvoeren.
Wat gebeurt er als er één radartje in ons geoliede systeem niet meer wil meedraaien? Wat als we een simpele nee zeggen tegen het dagelijkse werk? Weigeren wordt in onze maatschappij als anti-sociaal en soms zelfs als egoïstisch beschouwd. Het verhaal van de klerk Bartleby opent onze ogen: het kan ook anders (ook al houdt dit verstrekkende gevolgen in).
Dit relatief eenvoudig verhaal bezit een hoge spanning door het pertinent weigeren van taken door Bartleby. Tot hoever kan hij zijn wil doordrijven? De striptekenaar José-Luis Munuera, gekend van de reeksen Betoveringen en De Campbells, maakt van deze klassieker een schitterende parel binnen de wereld van het beeldverhaal. Een stripverhaal niet enkel om te lezen maar zeker ook een verhaal om even bij stil te staan.
Bartleby , le scribe c’est au départ une nouvelle écrite par Herman Melville à qui on doit le célèbre roman Moby Dick . l’auteur José -Luis Munuera en fera un roman graphique dont il est l’auteur et le dessinateur . L’histoire est très , mais vraiment très étrange . Bartleby est engagé chez un notaire dans le quartier de Wall Street pour recopier des actes notariés . Les premiers jours il travaille sans relâche , jour et nuit , oui vous avez bien lu , évidemment il va commencer à énerver ses collègues qui voient d’un mauvais œil , ce personnage trop parfait . Et puis l’impensable arrive , un jour Bartleby prononce des mots étranges : je préférerais ne pas ...., et cette phrase il va la répéter inlassablement à chaque nouvelle tâche qu’on lui demande , sans la moindre émotion , sans donner la moindre explication , les jours passent , se succèdent et la mystérieuse phrase se répète à l’infini . Personne ne comprend , Bartleby est une énigme qui ne sera jamais résolue . Les dessins sont très beaux , très épurés pour représenter ce monde qui nous échappe .
Esta é uma história algo desconcertante, porque ficamos sem saber exactamente as razões para as atitudes de Bartleby... Talvez seja precisamente aí que resida a genialidade da obra de Melville, porque cada um de nós pode, assim, fazer uma leitura muito própria do que se está ali a passar... Quando um autor não nos apresenta uma resposta directa, fica aberta à interpretação pessoal de cada um...
《- Quer dizer que cada um deve fazer sempre o que lhe parecer melhor? - Não, só aquilo que se deve fazer. Só o que é justo. - Mesmo que vá contra a lei? - Se através da violação da lei se denuncia uma injustiça com o objectivo de a corrigir por meios pacíficos, sim. 》
Do ponto de vista gráfico (artístico), este livro é excelente, como de resto, Munera já nos habitou.
doesn't get the fourth star mainly because of the character design, which felt quite caricaturesque compared with the rest of the art, and also disjointed from the subject matter. i loved the backgrounds and the layout, the graphic design and colouring. and it was a beautiful first approach to the story, very accessible to an adult reader.