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« Il y a des ténèbres qu’aucun soleil ne peut dissiper »…

Sous le halo de la pleine lune, un cerf surgit de la forêt. L’animal a des yeux humains. Ce n’est pas une bête sauvage qui a été chassée dans les forêts de l’Ariège…

Dans ce thriller implacable au final renversant, Bernard Minier s’empare des dérives de notre époque. Manipulations, violences, règlements de comptes, un roman d’une actualité brûlante sur les sentiers de la peur.

Une enquête où Martin Servaz joue son honneur autant que sa peau.

472 pages, Paperback

First published April 1, 2021

60 people are currently reading
759 people want to read

About the author

Bernard Minier

46 books619 followers
Bernard Minier grew up in the foothills of the French Pyrenees. He had a career as a customs official before publishing his first novel, The Frozen Dead, in 2011. The novel has been translated into a dozen languages and has garnered critical acclaim as well as several literary prizes in France. Minier lives in the Essonne, south of Paris.
(source www.bookbrowse.com)

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89 (5%)
1 star
16 (1%)
Displaying 1 - 30 of 140 reviews
Profile Image for Tanja Berg.
2,279 reviews568 followers
March 24, 2023
I love this series and the author, who always deliver consistently on a very high level. I am so lucky that the series has been a hit in Norway, meaning that this novel was released in Norwegian before any other language I could read. So many times with this series, I've seriously considered learning French.

There is a lot of civil unrest in France. The police have their hands full. An adolescent running through the woods at night is hit by a car. The young man had a deer's head attached to his own with straps and he was clearly being hunted. He has the word "justice" etched into his breast.

[aside: I'm on a train and every time I have five minutes that I enjoy myself and think this was a great choice instead of driving, somebody starts eating something. WHAT IS WRONG WITH PEOPLE?]

Martin Servaz investigates. At the same time he has problems at home, his girlfriend and the only mother Gustav has ever known, wants to leave. Not him, not technically, but she wants to take on a job for Doctors without borders, in Africa.

In the deer hat the run over boy had on, they found a hair of somebody else. Turns out it's another juvenile delinquent that nobody has heard of in two days. The race is on to find him before it's too late. Then evidence disappears - someone or someones in the police force is sabotaging the investigation.

This is an intense thriller and whodunnit, along with a great commentary on justice and people who take it into their own hands.
Profile Image for teach_book.
434 reviews633 followers
November 18, 2021
4,5 ⭐

Świetnie skonstruowana historia kryminalna. Wciągnęła od pierwszego zdania i nie puściła do samego końca...
Profile Image for Quoilire.
513 reviews7 followers
May 11, 2021
Dans La chasse je n'ai pas retrouvé la magie littéraire de Bernard Minier comme il se fut le cas dans Soeurs ou les premiers épisodes de la série Servaz. Bien que l'histoire soit intéressante, elle n'est pas aussi captivante et originale que ses prédécesseuses.

Déjà le concept de chasse à l'homme nous fut gratifié par Jean-Christophe Grangé dans La dernière chasse; et le livre sort quasiment en même temps que son homonyme de Gabriel Bergmoser.

Enfin, par moment on se demande si l'auteur en manque d'inspiration, à force de vouloir rendre réaliste et véridique son récit, n'a pas seulement transposer (pour ne pas dire copier/coller) des faits divers (voir l'énumération des villes ou les tribunes des militaires).

Les fidèles trouveront essentiellement leur plaisir dans l'évolution du personnage principal et de son équipe.
https://quoilire.wordpress.com/2021/0...
Profile Image for Binta Colson.
146 reviews11 followers
June 13, 2022
Dit 7de boek van Minier heeft een ijzersterk begin als een naakte jongeman wordt aangereden en nadien ook nog blijkt dat hij opgejaagd werd als wild en op zijn lichaam het woord "gerechtigheid" gebrand staat.
Servaz en zijn team staan voor een uiterst moeilijke opdracht, zeker als er na korte tijd nog een 2de slachtoffer opduikt.
Het team wordt trouwens versterkt met een nieuweling.Of hij in het team past, dat moeten we nog zien.
Servaz vraagt zich intussen ernstig af of er sprake is van corruptie, van een complot , zelfs van een mol binnen het politiekorps.
Alles zal zich op het einde van het boek uitwijzen.
Dan is er gerechtigheid....
Het is trouwens geschreven vanuit verschillende standpunten en bestaat uit korte hoofdstukken. Alles is zeer beeldend en je kunt het als het ware zo voor je zien. Zelfs corona speelt een rol in het verhaal, getuige de mondmaskertjes.
Ook ditmaal heeft Minier weer een goed verhaal afgeleverd. Op naar het volgende.
9 reviews
March 7, 2022
Une chose est certaine avec Bernard Minier: il sait ménager son suspens, faire trépigner son lecteur et nous plonger au plus profond de la noirceur humaine. Alors, malgré toutes ces qualités essentielles à un bon thriller, pourquoi seulement 3 étoiles ?

3 étoiles parce que ce livre est empli de moralisation politique mal placée, lourde et désagréable. Empreinte d'un amour de la "vieille France" qui devient rapidement le prisme au travers duquel Minier nous force à lire. 3 étoiles aussi pour l'hyper-sexualisation de Michèle Saint-Hamon ("sa poitrine avançant comme la proue d'un navire") , pour les clichés à répétition.

En fait, La Chasse c'est un superbe thriller rédigé à l'encre réactionnaire. Un chef d'œuvre dans son scénario, un manqué dans la réalisation.
Profile Image for Aude Bouquine Lagandre.
725 reviews217 followers
April 12, 2021
Vous cherchez un roman qui « évolue en permanence à la frontière entre réalité et fiction » ? Un récit qui progresse sur une semaine en mettant la lumière sur notre société actuelle, tout en offrant une intrigue prenante, bien construite, avec des personnages emblématiques et attachants ? Je ne peux que vous encourager à découvrir « La chasse » de Bernard Minier, dernier opus en date des aventures de Martin Servaz, son héros récurrent. Une chasse à l’homme au milieu de la forêt. « La forêt recouvrait les collines, la nuit recouvrait la forêt, la peur recouvrait ses pensées. Sa peur avait un son — celui de sa propre respiration terrorisée et de son cœur qui battait —, elle avait une odeur — celle de sa transpiration et de cette chose puante sur la tête —, elle avait une couleur : noir, noir de la forêt, noir de l’âme de ces hommes, noir de sa propre peau. » Vous y êtes ? La semaine n’a même pas encore commencé…

Lundi 26 octobre, un corps nu coiffé d’une tête de cerf est retrouvé dans la forêt. Commence alors une semaine chargée pour Servaz et son équipe. Sauf que le monde ne s’arrête pas de tourner pour autant, que les atrocités humaines inhumaines croissent.

Un thriller doit-il être un simple divertissement ? Peut-on demander à un auteur de se préoccuper uniquement de nous offrir un « ailleurs » où rien des problématiques de notre société ne seraient susceptibles de nous heurter du fond de notre canapé où nous sommes blottis à l’écart du monde ? Exit « Impact » d’Olivier Norek, « De mort lente » de Michaël Mention, « Et le mal viendra » de Jérôme Camut et Nathalie Hug, « Du poison dans la tête » de Jacques Saussey, ou même « M, le bord de l’abîme » du même Bernard Minier ? Je prends le parti d’évoquer cette problématique dans cette chronique parce que je lis des retours sur ce roman que je ne comprends pas. Je cite : « réflexions simplistes de bistrot parfois caricaturales, ton donneur de leçon, intrigue maigre, mais remplie de considérations sociales, personnages caricaturaux, situations invraisemblables, insistance sur le port du masque pour rappeler que nous sommes en période COVID, étalages de faits divers, paresse dans l’écriture, complaisance, manque de finesse, et surtout remarques répétées sur la société française. » Évidemment, je respecte le ressenti de chacun même si je reste étonnée de voir que ceux qui lisent Minier n’ont pas réellement conscience que l’écrivain évoque toujours des problématiques sociétales dans ses romans et que le thriller sert de prétexte pour mettre l’accent sur des sujets plus profonds. Peut-on réellement reprocher à un auteur de raconter l’actualité sans l’accuser de surfer sur son côté anxiogène ? Certes, nous sommes confinés, mais nous ne vivons pas dans une grotte ! La littérature a vocation de tout exprimer, du récit totalement imaginé aux réalités les plus sordides. Il appartient à chacun de lire ce qui lui plaît au moment où il le désire, mais aussi au moment où il peut l’encaisser. Quand je choisis de lire Minier, Norek, Collette et d’autres, je sais où je mets les pieds.

Cela étant dit, j’ai aimé la façon dont Bernard Minier a mélangé réalité et fiction. L’intrigue fictionnelle est à mon sens réussie et digne d’un vrai page turner. Le personnage de Servaz prend une réelle épaisseur au fur et à mesure des tomes et il est aussi le témoin d’une époque dans laquelle il évolue, qui fait vaciller ses certitudes, le fait douter, le rend plus cynique et plus désabusé. « Servaz songea que la vie était comme ces gyrophares : une lueur entre deux éternités de nuit. Elle brille un court moment puis s’éteint. Et la seule chose qui demeure, c’est le souvenir de cette lueur. Qui finit par s’éteindre, lui aussi. » Il ressemble étrangement à son lectorat, qui vieillit avec lui et perd aussi ses illusions. Les fragments consacrés à la réalité sont le reflet de notre monde actuel. Inutile de vouloir faire l’autruche : nous sommes bien dans une période de crise sanitaire « Époque de virus. Punitive, mortifère, purificatrice, qui avait trouvé son symbole : le masque. Posé comme un bâillon, comme le signe de reconnaissance d’une société muselée, hygiénisée, et aussi perdue et aux abois… » Nous sommes également face à des problématiques récurrentes qu’il est bon de rappeler comme la haine du flic « Partout dans le pays, c’était la même rage désinhibée, le même effondrement de l’autorité. Une vraie guerre, qui avait lieu tous les jours dans la rue. Une guerre perdue d’avance tant que les flics seraient livrés à eux-mêmes, méprisés et abandonnés à leur sort par les juges, sous-équipés, et honnis par certains de ceux qu’ils étaient censés protéger… »ou encore « Alors que l’impunité régnait chez les délinquants, à force d’interdictions et d’injonctions on infantilisait le reste de la société. » Est-ce vouloir être moralisateur que d’énoncer les faits ? Personnellement, j’en ai un peu assez de cette société bien-pensante et politiquement correcte où l’on ne peut plus rien dire sans se faire taxer de grand prêcheur.

Actuellement, je peux difficilement me contenter de lire un thriller sans qu’il me fasse réfléchir à des problématiques sociétales. De plus, lorsqu’un auteur met en scène un héros récurrent, j’adore le voir évoluer et vieillir en même temps que son lecteur, réfléchir à la société dans laquelle il vit, pointer du doigt ses incohérences et ses faiblesses. Il n’est pas choquant d’évoquer dans un roman se déroulant en 2020 la chasse aux homosexuels, la résurgence des fanatiques de la supériorité blanche, la décapitation de Samuel Paty à cause de sujets que les profs ne peuvent plus enseigner sans subir de menaces, ou 7 agressions au couteau en 48 heures, les difficultés du métier de flic, le découragement du personnel soignant. Oui, en ces temps difficiles, nous sommes plutôt face à une « tempête de merde » et c’est sain de le dire. La littérature doit un minimum nous bousculer et servir à décrypter l’évolution d’une société. Je salue la qualité d’écriture de Bernard Minier. « Servaz regrettait que les actes d’une aussi indicible sauvagerie suscitassent moins d’intérêt dans la presse et soulevassent moins d’indignation sur les réseaux sociaux et chez certains politiques et artistes que ceux de policiers racistes et violents, qu’il aurait personnellement envoyés en prison, tant leurs actions lui faisaient honte. » Autant sur le fond que sur la forme, Bernard Minier reste pour moi un pilier de la littérature noire qui ose aborder des sujets de fond en se servant de ses multiples personnages pour balayer différents points de vue. Cette épaisseur psychologique donne aussi de l’épaisseur à l’intrigue et un sens aux actes des « méchants ». Autant dire que le lecteur titube au milieu de tant d’émotions contradictoires, confronté à un monde très loin d’être manichéen. « La chasse » est un excellent cru profondément ancré dans notre époque.
Profile Image for denudatio_pulpae.
1,589 reviews34 followers
September 21, 2022
Okrutna zabawa w polowanie, a zwierzyną tym razem będzie człowiek.

Środek nocy, ciemny las, przed pędzące auto nagle wybiega jeleń, zderzenie było nieuniknione. Kiedy kierowca wysiada z auta, aby ocenić straty, dociera do niego, że ten koszmar dopiero się rozpoczyna. Zwierzęciem, które właśnie potrącił nie był jeleń. To młody chłopak z przymocowaną głową jelenia. Kto mógł wymyślić takie chore przedstawienie? Tylko Martin Servaz będzie w stanie rozwiązać tę sprawę, a nie będzie miał łatwego zadania.

Historia sama w sobie średnia, chociaż pewnie nie całkiem nieprawdopodobna. Obserwując sytuację na świecie, można wyczuć pewne nastroje, które mogą sprzyjać tego typu zachowaniom. Książka porusza również wiele problemów, które dotykają współczesną francuską policję. Temat jest wałkowany od początku do końca, momentami aż do znudzenia.
6/10
Profile Image for Marek Zákopčan.
Author 12 books29 followers
January 31, 2022
Dodnes si živo pamätám, ako som prvú časť série s Martinom Servazom Mráz čítal počas horúcich júnových dní na konci školského roka na Donovaloch. Preto vždy, keď sa púšťam do ďalšej knihy Bernarda Miniera, zasiahne ma mierna dávka nostalgie. Znie mi až neuveriteľne, že séria sa rozrástla už na sedem dielov. Ale keďže zločin nikdy nespí, niet sa čomu čudovať. Francúzsky triler navyše patrí medzi výrazných zástupcov žánru na európskej pôde a mená ako Minier, Thilliez či Beuglet sa stali synonymom kvalitného čítania. Trilery z krajiny galského kohúta majú totiž špecifický rukopis. Spája sa v nich zvláštna atmosféra jednotlivých regiónov so sociálnou kritikou a zobrazené zločiny nesúvisia iba s morálnym poklesom kriminálnikov, ale majú širší spoločenský či dokonca vedecký rozsah.

"Potiahol si z cigarety, započúval sa do toulouskej noci. Bolo v nej plno hlukov, čo nepripomínali savanu, a predsa tam všade navôkol blúdili šelmy: leopardy, gepardy, hyeny, levy... Aký druh šeliem poľoval na Moussu Sarra? Aký cieľ sledovali? A bol Moussa Sarr šelmou, na ktorú poľovali predátori väčší ako on, alebo bol len nevinným bylinožravcom? Jedna vec nedala Servazovi pokoj. Čo ak tie šelmy pochádzajú z ich vlastných radov? Čo ak sú niekde vnútri? Ako by reagovali, keby sa k nim Servaz priblížil?" (str. 93)

Lov je román, pri ktorom by ste pokojne mohli uveriť, že rúca fiktívnu stenu a inšpiruje sa skutočnosťou. A to napriek mysterióznym prvkom, typickým pre autorovu tvorbu. Fanúšikovia však dobre vedia, že Bernard Minier málokedy reálne pracuje s nadprirodzenom, všetky záhady sú napokon racionálne vysvetlené, a práve to ich robí ešte pútavejšími. V pondelok uprostred jesene je v temných lesoch Ariége objavené ľudské telo s hlavou jeleňa. Záhadný, priam rituálny úkaz privedie k vyšetrovaniu kriminalistu Martina Servaza, ktorý hneď tuší, že nepôjde o jednorazovú záležitosť a že na políciu čaká poriadne náročný týždeň. A, žiaľ, nemýli sa, pretože neľudské zverstvá - či skôr ľudia vo zvieracej koži? - pomaly pribúdajú. Trilery majú neopakovateľnú schopnosť vniesť do našich pokojných životov kúsok napätia, umožňujú nám nahliadnuť za oponu morálnych pokleskov a tie lepšie aj zamyslieť sa nad rôznymi problémami spoločnosti. Minier vo svojej novinke reaguje aj na aktuálnu situáciu ohľadom svetovej pandémie, čím mierne pichá do osieho hniezda. Správny autor neobchádza realitu a reflektovanie kovidu je podľa mňa prirodzeným literárnym vývojom. Už som sa však viackrát stretol s otvorenou - ba dokonca nenávistnou - kritikou spisovateľov, ktorí sa opovážili natiahnuť svojim hrdinom rúško alebo ich nebodaj nechať očkovať... Servaz má moju plnú podporu, vždy sa predsa snažil pristupovať k problémom rozumne a zodpovedne. No, ale aby som veľmi neodbiehal... Zápletka Lovu dokazuje, že Minier má stále na čom pracovať a že nesmie ani trochu poľaviť. Po šiestich predchádzajúcich prípadoch mi pripadá ako starý známy a je skvelé, že autor mu každou knihou dodáva potrebnú hĺbku. Vôbec sa pritom nečudujem, že postupne nadobúda väčšiu mieru cynickosti či rozčarovania. Hlavne po predošlej knihe, kde sa viac rozvinul aj motív ťahajúci sa celou sériou ohľadom Martinovej nezvestnej bývalej priateľky. Nemenej zaužívanou témou je aj nenávisť k policajným zložkám. Servaz opätovne čelí odporu verejnosti a je tak nútený bojovať hneď na niekoľkých frontoch. Páčilo sa mi, ako autor zapracoval do deja porovnanie reakcií politikov či užívateľov sociálnych sietí na vyšetrovaný prípad a postoje voči polícii. Je smutným faktom, že ľudí viac vyburcuje kolektívny hnev než drastické vyčíňanie sériových vrahov...

"Dve autá zaparkované v tejto uličke oproti veľkému nádvoriu boli zámerne podpálené, a keď tam prišlo hasičské auto sprevádzané posádkou z protiteroristickej brigády, z horných terás sa na nich zosypala spŕška striel. Rýchlo pochopili, že to je ďalšia pasca. Posádku tvoril jeden policajt a jedna policajtka. Bol to nevyskúšaný a neosvedčený krok. Hneď po prvých strelách sa pokúšali cúvnuť, aby sa dostali z pasce, ale na rohu Avenue de la Reynerie sa vynorili útočníci a začali do nich hádzať dlažobné kocky a vzápätí aj zápalné fľaše." (str. 202)

Lov je vydarený triler, celkovým vyznením pripomínajúci minulú knihu Údolie. Tiež sme sa v nej ocitli obklopení lesmi, kde si nikto nemôže byť istý, komu sa dá veriť a či nemá náhodou na chrbte namaľovaný pomyselný terč. Nepredvídateľnosť je ďalším kladom tohto románu, ktorý pracuje s množstvom postáv. Zakaždým som zvedavý, koho zo Servazovej minulosti Bernard Minier privedie, aby sme sa dozvedeli, čo má po čase nové. Dynamickému deju napomáhajú aj krátke kapitoly, ako zvyčajne končiace v tom najlepšom. Z Martina už po takmer tridsiatich rokoch obetavej práce občas cítiť únavu, ale jeho zmysel pre spravodlivosť je neochvejný a pevný. Preto dúfam, že sa ešte nechystá do dôchodku a vyšetrí pre nás ešte niekoľko zamotaných prípadov.
Profile Image for Carlo Hublet.
731 reviews6 followers
May 5, 2024
Le commandant Servaz et ses deux adjoints en pleine crise sanitaire. Ambiance particulière plombée par toutes les privations. Une chasse aux chasseurs d'hommes.
Encore un tout bon thriller, très sombre, comme toujours, écrit par Bernard Minier
Profile Image for Claire.
19 reviews
September 11, 2022
Lecture arrêtée page 107.
Discours moralisateur et prétendument sociologique. Minier cherche à ancrer son récit dans son époque à tout prix grâce à moultes références et annecdotes. De là nait le sentiment qu'il cherche davantage à devenir un 'reporter du climat de son temps' à posteriori plutôt qu'un romancier de fiction.
De plus, l'auteur cherche à faire passer ses réflexions personnelles dans le discours de ses personnages et son lectorat se trouve obligé de se conformer à ce prisme de pensée. Difficile de poursuivre une lecture plaisante dès lors.
Enfin, malgré une intrigue qui s'annonce intéressante, l'atmosphère générale n'est pas aussi intense qu'on en a l'habitude avec Minier.

Une déception en comparaison aux trois premiers romans de la saga Servaz, tous excellents.
"La Vallée", précédant "La Chasse", présentait déjà les signes du tournant qu'allait prendre l'auteur. L'écriture réactionnaire, le malaise face aux technologies et aux problématiques actuelles a pour cible un public au minimum cinquantenaire. À éviter, donc, si votre temps est précieux.
240 reviews2 followers
April 10, 2021
J'apprécie beaucoup le style de Bernard MINIER et tout particulièrement son héros récurent, le commandant Servaz.
Autant dire que j'attendais avec impatience ce nouvel opus. J'avoue avoir été un peu déçu... On est loin de la qualité de" Soeurs", ou de "Glacé".
Je n'ai pas retrouvé ce qui fait le sel de ces précédents romans et notamment une intrigue bien ficelée. Ici, l'histoire tient sur un papier de cigarette et on a un sentiment de déjà vu. Par ailleurs, les propos sociologique sont un peu simpliste.
Allez on pardonne et on attend le prochain Servaz avec, je l'espère, un peu plus de punch.
Profile Image for Inès Liminet.
22 reviews
June 7, 2021
Premier livre de Bernard Minier que je lis, pas besoin d’avoir lu les autres pour comprendre l’histoire et les grandes lignes de la vie de Martin Servaz. Très bon livre, même si il s’étire un peu en longueur parfois inutilement. Très bonne intrigue en plein dans ce qu’on vit actuellement en France.
Profile Image for Liane.
142 reviews11 followers
April 24, 2022
3 sterren. Vergeleken met voorgaande delen viel dit deel enigszins tegen. Er gebeurde niet zo veel.
134 reviews1 follower
July 24, 2023
Ijzersterk begin, daarna veel zijsporen, einde weer boeiend. Tussen de 4 en 5 sterren. Blijft een mooie serie met Martin Servaz.
Profile Image for Monica.
412 reviews29 followers
May 2, 2022
2,5/5
Veel politiek, weinig spanning en lijkt in niets op de vorige boeken. Niet qua sfeer, niet qua plot, niet qua schrijfstijl. Dit is een een saai politieprocedure verhaal afgewisseld met covid en politiek.
Wát een domper en ik ben enorm teleurgesteld.
Profile Image for Jade.
21 reviews1 follower
November 17, 2025
Un livre qui croise la dure réalité des problèmes sociaux dans notre pays mélangée à une enquête policière. 2 mondes distincts se croisent et amènent à nous poser de véritables questions sur la justice dans notre société et sur l’égalité des chances. Un poil trop sociologique à mon goût même si c’est toujours intéressant d’avoir de nouveaux points de vue. Le fil de l’enquête est stable et bien fait même si des petites questions se posent sur la logique complète du dénouement. Une très bonne histoire avec une superbe plume même si Bernard Minier aime un peu trop la description géographique qui n’est pas ma tasse de thé.
Profile Image for Sarah.
238 reviews25 followers
Read
June 27, 2022
Pas vraiment mon style.
Une vision de la société un peu trop boomer à mon goût, et surtout largement développée, dans les idées des personnages, les apartés sur tout un paragraphe, etc. Ça nuit au rythme de l'histoire.
Profile Image for Prodhomme Francois.
45 reviews
May 28, 2022
Polar rythmé mais trop convenu.... moins intéressant qu'un Thilliez ou un Grangé... pas essentiel.
Profile Image for Mieke Schepens.
1,725 reviews47 followers
January 24, 2023
Deze recensie werd eerder gepubliceerd op mijn blog GraagGelezen.

In de meedogenloze thriller Afrekening van Bernard Minier belandt Martin Servaz in een wereld vol demonstraties, complotdenkers en moord wanneer er een dode jongen in het bos wordt aangetroffen. Er ontstaat tegelijkertijd een groeiende kloof tussen inwoners van hetzelfde land.

Dit was mijn eerste kennismaking met het werk van Bernard Minier en ik was behoorlijk onder de indruk van de kracht van zijn woorden.
Voor in het boek lees je over een man die in moeilijkheden verkeert en nog geen beslissing heeft genomen over wat hij zal gaan doen…
Wel is duidelijk dat hij zwaar teleurgesteld is in de soort van beschaving waar hij nu in leeft.
Pas aan het einde van het boek valt het een en ander op zijn plaats en weet je pas écht wat er in deze man omging en waarom dat zo was.

Het verhaal start bij vollemaan in de bossen bij Toulouse.
Een naakte jongeman wordt dood aangetroffen na een botsing met een auto. Voor de bestuurder was het niet meteen duidelijk dat het hier om een mens ging; hij dacht dat hij een hert had aangereden.
Het hoofd van het slachtoffer was omhuld door een hertenkop. Hij werd blijkbaar als wild opgejaagd.

“Weer hoorde hij de mannenstemmen achter zich, onderdaan de helling, in de duisternis waar hij vandaan kwam. De angst kwam terug. Hij werd er bijna misselijk van…
...En hij wilde leven. Hij hield van het leven.”

Het was niet alleen vollemaan die nacht, maar deze maan werd ook de jachtmaan genoemd.
Samen met schouwarts Djellali ontdekt Servaz op de vindplaats van het stoffelijk overschot, dat het woord ‘gerechtigheid’ op diens borst was gebrand.

Hoofdinspecteur Martin Servaz en zijn team gaan aan het werk en al snel wordt duidelijk dat er meer jongens vermist worden. Is het toeval dat ze allemaal uit de buitenwijken van Toulouse komen? Ze vragen zich af wat hier aan de hand is.

Minier heeft een heel beeldende schrijfwijze; je ziet hierdoor ook Martin Servaz tot leven komen. Het wordt een mens van vlees en bloed en je leert hem steeds beter kennen naarmate het verhaal vordert. Servaz is een ruwe bolster met een blanke pit en ik vind het jammer dat ik hem niet eerder heb ontmoet.
Alle personages worden in ‘De afrekening’ goed neergezet en de dialogen zijn sterk. De beschrijvingen van situaties waarin de personages zich bevinden zijn levensecht.

“Esther verstijfde. Ze voelde een schokgolf van ongerustheid door haar borst razen...
...Ze vond zichzelf ineens belachelijk, dat ze had geloofd dat hij haar versierde. Wat een stommeling was ze geweest… Tranen welden op in haar ogen, maar ze stroomden niet. En ze begreep het waarom van deze angstwekkende verandering. Ze begreep waarom hij er was...”

Servaz vermoedt een complot. Dit verhaal speelt zich af in een land dat op springen staat door de groeiende kloof tussen inwoners, tijdens corona, avondklok en een afkeer van het heersende gezag. De Franse elite speelt een grotere rol dan Servaz had vermoed, maar ook de interne politie-lijnen zijn niet even duidelijk voor iedereen. Bovendien heeft Martin Servaz geen hoge pet op van de rechtspraak in Frankrijk.
Hij moet aanpoten om voor gerechtigheid te kunnen zorgen.

De opgeroepen beklemmende sfeer zal me nog lang achtervolgen.
Ik heb dit zevende deel met Martin Servaz in de hoofdrol graag gelezen.
Profile Image for MadBookWorm.
111 reviews8 followers
December 4, 2021
Polowanko na młodzieńca z głową jelenia i wypalonym napisem na klacie „Sprawiedliwość” czy poza Kinder Bueno i Bajecznym Wedla może być coś lepszego? No może tylko rozwalone na chodniku ruskie pierogi, których na szczęście już nikt nie będzie musiał jeść.

Intryga w „Polowaniu” jest ciekawie rozbudowana i dość dobrze przemyślana co zawsze dobrze wpływa na mój odbiór, do tego ciekawe postacie no musiało to się ładnie zgrać i w zasadzie do pewnego momentu się zgrało.

Wyobraźmy sobie, że idziemy sobie na kebaba, no wiadomo kebsik zawsze na plus. No i zamawiacie sobie kebaba, ale ten turecki nicpoń zamiast mięsa ładuje Wam tam pomidorki, sałatę i inne śmieci no dramat jakiś. Taka właśnie sytuacja ma miejsce w tej książce, chcę kryminał, a dostałem ból duszy autora.
Zostałem zdewastowany intelektualnie, wyrzyg autora na wszelkie tematy społeczno-polityczne dotyczące Francji mnie zniszczył, bo ulało mu się za mocno. Nie wiem, jak wielka jest jego zadra do władzy czy poszczególnych osób i zupełnie mnie to nie interesuje, ale wplatanie w powieść kryminalną jakiejś swojej manifestacji i światopoglądu to nie jest to coś, co ja bym chciał czytać. Pewnie bym się na tym tak nie skupił, gdyby liczba tych mądrości nie była w takiej przytłaczającej ilości. Ja też mam swoje poglądy, ale to nie znaczy, że wszędzie muszę o nich pisać i wpychać ludziom moje myśli do ich głów. No nie tak to powinno wyglądać moi mili, nie tędy droga najmilsi…

Powieść mi się podobała, szczerze to gdyby nie te polityczne bzdury to spokojnie dałbym 7/10, ale nie będę tak oceniał książki, gdzie ktoś mi nawija makaron na uszy, bo manipulować to mogę ja, a nie mną.

Mimo wszystko dla intrygi polecam przeczytać.
Profile Image for Sydouce.
190 reviews4 followers
November 11, 2021
L’histoire débute, sans surprise, avec la mort d’un jeune homme, issu des quartiers populaires, sur une route des forêts d’Ariège. Que faisait-il là ? Pourquoi semblait-il chassé ? Et surtout pourquoi portait-il un masque de cerf sur la tête ? Autant de questions auxquelles vont devoir répondre le commandant Servat et son équipe.

Au vu des critiques sur les différents titres de l’auteur, je m’attendais à un thriller haletant et je n’ai, dans l’ensemble, pas été déçue. L’histoire démarre très vite et on est rapidement plongé au cœur d’une intrigue complexe. Malheureusement, le fait de savoir assez rapidement qui est à l’origine de toute cette affaire, m’ a fait perdre un peu de mon intérêt. Ce qui est dommage, car j’aurai aimé, au cours de ma lecture, trembler un peu plus pour la vie de nos protagonistes. Petite précision, pour ceux qui comme moi sont un peu sensibles aux passages un peu sanglants et qui se poseraient la question, je n’ai pas relevé de scène trop difficile à lire.

Les personnages sont très réussis, surtout le commandant Servat et son équipe. J’ai aimé les suivre durant l’enquête et découvrir leurs caractères. J’ai maintenant très envie de lire les premiers livres de l’auteur afin de voir leurs évolutions. Car oui, même s’il s’agit d’enquêtes indépendantes les unes des autres, il y a quand même une sorte de fil rouge avec le suivi des personnages. Mais rassurez-vous, il n’est, néanmoins, pas nécessaire d’avoir lu les titres précédents pour profiter pleinement de « La chasse ».

Le titre est très ancré dans la réalité, peut-être un peu trop. Comme l’histoire se déroule en 2020, les personnages portent des masques, on parle de confinement et je dois avouer qu’au premier abord, cela m’a fait bizarre. Il traite également de sujets assez sensibles tels que la politique, la condition policière, la justice ou encore les banlieues. Une photographie, un peu clichée, de notre société actuelle qui pourrait, je le crains, gêner certaines personnes.

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Profile Image for VickDsn.
72 reviews4 followers
December 28, 2022
Un très bon thriller policier. Il m'a particulièrement plus puisqu'il se déroule dans des lieux qui me sont proches, Toulouse et l'Ariège. C'était mon premier roman de Bernard Minier, et j'ai beaucoup aimé son écriture. L'histoire commence fort dès le début et ne s'essouffle pas, il y a des rebondissements surprenants et tout semble cohérent. Les personnages, eux aussi, sont intéressants et bien écrits.
J'ai aussi bien aimé que le récit se déroule "maintenant", à l'aire du covid, avec le confinement, sur une seule semaine, et que plusieurs faits réels soient évoqués, ce qui le rend plus réaliste.
J'ai enlevé un étoile parce que je trouve néanmoins que certaines scènes traînaient en longueur, on en tout cas l'intrigue.
Profile Image for Isabelle.
134 reviews
August 22, 2021
Ca faisait longtemps que je n'avais pas lu un aussi bon polar.
Je n'ai pas pu le lâcher.

Si la police ne fait pas justice, d'autres s'en chargeront :

"Sous le halo de la pleine lune, un cerf surgit de la forêt.
L'animal a des yeux humains.
Ce n'est pas une bête sauvage qui a été chassée dans les forêts de l'Ariège…

Dans ce thriller implacable au final renversant, Bernard Minier s'empare des dérives de notre époque.
Manipulations, violences, règlements de comptes, un roman d'une actualité brûlante sur les sentiers de la peur".

Profile Image for Nathalie Ziegler.
693 reviews11 followers
March 7, 2025
La justice n'est pas la même pour chacun de nous , chacun met le curseur sur la position qui lui paraît correspondre à ce que son éducation, son milieu social, sa profession, son engagement sociétal ou sa morale lui ont créé comme échelle. Et c'est comme cela qu'au nom de la justice, certains tombent dans l'extrémisme, et c'est là qu'interviennent Servaz et son groupe. C'est par une image spectaculaire que commence ce roman et l'image finale de la chasse l'est tout autant, et pourtant la bête n'est pas morte.
J'ai aimé retrouver Servaz, un Servaz moins tourmenté, moins extrême, sans doute parce que dans cette enquête son adversaire en est la plus parfaite représentation.
Profile Image for Charlotte .
262 reviews2 followers
August 17, 2021
Je ne lis pas les romans de Bernard Minier dans l'ordre, et il n'est pas nécessaire d'avoir lu les précédents pour comprendre qui est qui. J'ai aimé retrouvé le commandant Servae ainsi qu'Esperandieu et Samira dans cette nouvelle enquête qui mêle très souvent fiction et réalité.
Profile Image for Cleym.
530 reviews21 followers
February 26, 2022
Un récit effroyable mêlant réalité et fiction.
La ligne est toujours fine et parfois difficile à tracer.
Je ne connaissais pas la série avec le commandant Servaz, mais j'ai bien envie de la découvrir.
Profile Image for Chicky Poo.
1,027 reviews25 followers
May 16, 2022
Bon, après un arrêt de lecture parce que j'avais du mal avec le côté fort politique (un poil trop démagogique à mon sens), j'ai finalement repris le roman. Je l'ai apprécié, sans retrouver la fougue que j'avais au début de la série. Ça reste un bon thriller, le groupe est agréable à retrouver même si la fin m'a un peu déçue.
7 reviews
October 10, 2022
J'ai lu tous les romans de cet auteur et j'avoue que Minier devient de moins en moins inspiré et de plus en plus décevant. J'attends de lire le dernier roman en date et déciderai si je continue à le suivre...
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