Quatre ans après avoir ruiné l’histoire de l’aviation avec Les premiers aviateurs, Alexandre Fontaine Rousseau et Francis Desharnais unissent à nouveau leurs forces pour faire la passe à la course à l’espace. La conquête du cosmos relate cette lutte scientifique ayant opposé l’URSS aux États-Unis à l’apogée de la guerre froide. Tous les événements marquants de cette aventure extraordinaire sont ici présentés dans leur plus factuelle réalité, à l’aide d’effets spéciaux de pointe.
C'était cute, les dessins sont beaux, pis c'était drôle d'appliquer un langage québécois aux Russes et aux Américains, mais c'était rien d'extraordinaire non plus.
Un pur régal. J’ai ri à presque toutes les pages. Les dialogues sont pissants, particulièrement ceux liés au complotisme. Ces gars-là, Francis Desharnais et Alexandre Fontaine-Rousseau, sont fort talentueux.
J'ai adoré cette BD malgré le sujet qui ne m'inspirait pas vraiment! Je ne suis pourtant pas fan d'humour absurde, mais ici c'est tellement efficace ; j'ai rigolé tout le long! Les dialogues sont savoureux. Une belle réussite!
Absolument PAR-FAIT comme description de la conquête de l’espace (« pow! Pow! ») et de toute l’absurdité qui entoure — quand même si on se l’avoue — cette « grande » entreprise humaine.
A retelling of the moon landing! Super short read (under two hours!) despite the page count, also light and very funny, definitely got quite a few laughs in!
Si vous aimez l’humour absurde et le cynisme, vous avez trouvé votre prochaine lecture! Une BD vraiment très drôle où tout est dans les dialogues, car les illustrations, bien qu’efficaces, sont très simples et on répète souvent la même case avec de très légères variations, mais les dialogues sont franchement drôles et bien rythmés. Je recommande!
Au travers des blocs d’illustrations identiques, on suit surtout le dialogue entre les personnages. Certains petits détails se modifient, mais comme le reste est statique il est facile de voir ce qui est différent. J’ai bien aimé le travail dans les illustrations.
L’histoire se déroule autour de la compétition pour savoir qui enverra le premier homme sur la lune. Ce sont les réflexions que les scientifiques ont eu et ce que le peuple en pense, mais dans un format comique et super efficace. Ça se lit ultra facilement et ça fait réfléchir!
Bande dessinée très humoristique, cynique et sarcastique. En plein l'humour que j'aime et que j'ai apprécié dans cette histoire spatiale dans les confins de l'univers, là où la main de l'homme n'avait encore jamais mis les pieds. 🌎
En lisant ça jtrouvais que ça me faisais beaucoup penser a la BD des premiers aviateurs, un autre projet de Fontaine-Rousseau & Desharnais que j'ai pas beaucoup aimé. I guess que les BD qu'ils font ensemble sont pas vraiment dans mon style.
Très décevant. Pas du tout ce que je m’attendais lire. Des jokes plates et répétitifs. Des dessins pas du tout inspirant ou intéressants. Vers le milieu, je commençais à feuilleter, mais je lisais un peu quand même au cas où ça devenait drôle mais non, rien. Plate.
Fontaine Rousseau et Desharnais, après leur réinterprétation créative de l’histoire de l’aviation, reviennent à la charge avec la course à l’espace. En une série de bd cyniques truffés de québécismes, ils y racontent des épisodes marquants des années 50 et 60, où on en apprend de bien bonnes. Des problèmes de communication de la chienne Laïka aux questions pertinentes de Youri Gagarine, du discours déjanté de J.F. Kennedy aux douchebags de l’espace, on sourit souvent et on rigole quelques fois devant les dialogues absurdes et les illustrations aux subtils détails.
La dernière BD est d’un cynisme: rire fait mal dans ces dernières planches. Bien pensé, nono à l’occasion mais toujours caustique, je ne me lasse pas de cette collaboration qui fait des étincelles.
“Pensez à toutes ces soirées-quiz
Où il faudra nommer les trois membres de cette mission
Une sympathique BD québécoise qui revisite de manière humoristique la course à l'espace entre les Russes et les Américains, depuis le lancement du premier spoutnik jusqu'à l'alunissage d'Apollo 11, en passant par Laïka et Youri Gagarine.
Le trait de dessin est assez simple et pour chaque histoire, la même case est répétée quasiment à l'identique pendant plusieurs pages - à quelques détails près qui peuvent être amusants à repérer. Si vous aimez l’humour absurde, la satire sociale et les scientifiques soviétiques ou américains qui parlent avec l’accent québécois, vous vous régalerez. L'ensemble finit par devenir un peu répétitif, mais c’est assez court et ça se lit assez vite pour ne pas saturer.
Sardonic humor and simple, cute drawings to match!
The dialogue is so Québécois. Phrases I learned:
Pis = et puis Ben = eh bien Tsé = Tu sais Blood = nice Niaiser = kidding, fool around Pantoute = du tout C’t’ = c’est Plat(e)= boring Maudit = damned Cave = idiot Marde = merde Tata = idiot Sacre son camp = get the hell out of here Le gros = buddy, bro Char = car Pogner = to catch Je m’en sacre = I don’t care Estie/ostie = sacre swear word Enweille = c’mon Quessé = qu’est ce que c’est Astheur = à cette heure Crinquer = pump up, fire up Coudonc = expression of surprise C’est capoté = it’s amazing!
BD lu très (voire trop) rapidement portant sur des interprétations humoristiques des faits saillants de la course à l'espace effectuée entre les Soviets et les Américains dans les années 1950-60. L'humour est toujours sujet au sens de l'humour du lecteur et de sa compatibilité avec l'humour de l'auteur, et pour ma part cette compatibilité était complète! Jamais je n'aurais cru autant sourire et rire avec ces gags absurdes dans un contexte historique revisité.
Après Les premiers aviateurs, le retour des rois québécois qui nous causent c'te fois-ci d'espace. Toujours hilarant, anachronique dans son lexique, parfait dans son rythme. A offrir à tour de bras.
«[Les auteurs] tiennent […] à s’excuser auprès de toutes les pionnières et de tous les pionniers de cette grande épopée pour toutes les niaiseries qu’ils s’apprêtent à leur faire dire.»
Spoutnik. Laïka. Youri Gagarine. Neil Armstrong. Buzz Aldrin. URSS. USA.
Retrouver le ton et la forme singulière de «Les premiers aviateurs» et de «La guerre des arts» avec très grand bonheur. Éclats de rire. Délicieusement niaiseux et décalé.
Ouf…La Conquête du Cosmos ne m’a malheureusement pas impressionnée. L’humour absurde et les blagues répétitives n’ont pas réussi à m’arracher un sourire. Les dessins, bien que simples, manquent de variété et de profondeur. Bref, je dois admettre que j’ai trouvé le livre ennuyeux et que je n’ai pas appris grand chose.