En un mundo arrasado por un viento constante, cada generación envía una horda ara que camine contraviento desde Aberlaas, la ciudad al extremo del mundo, hasta el Extremalto, el legendario origen de los vientos, para encontrar la forma de detenerlos y hacer prosperar el mundo.
Hasta ahora ninguna horda ha logrado cumplir su misión… ¿Lo logrará la 34a Horda?
ÉRIC HENNINOT est né en 1974 à Rouen et réside à Marseille. Son bac en poche, il fait maths sup et spé à Besançon. Il a envie de dessiner, mais a peur de ne pas gagner sa vie avec, alors à la place, il intègre une école d’ingénieur, à Marseille... De 1997 à 1999, il devient ingénieur, et travaille en tant que tel au CEMAGREF, puis à la SITA. Il fait également un court passage en tant qu’assistant méthode à Belfort. En 2000, l’envie de dessiner est trop forte. Alors il prend des cours de dessins, réalise des illustrations pour un livre d’enfants, fait quelques expos et participe au concours «jeunes talents» d’Angoulême, créant pour l’occasion sa toute première BD. S’en suit une participation au festival BD de Bordeaux, où ses travaux sont retenus et exposés. Lorsque que son projet Trauma, accepté par Pointe Noire, tombe à l’eau, il ne se laisse pas abbatre, il met ses dessins en ligne, et commence à se faire des contacts. Jusqu’au jour où Stéphane Betbeder repère son travail sur le net et le contacte. C’est la parution de son tout premier album De mémoire d’Hommes, qui lance la série Alister Kayne, chasseur de vampires. Publiée chez Albin Michel, le scénario est signé Stéphane Betbeder. Outre Alister Kayne qui se poursuit, paraît Le lagon de Fortuna, premier tome de la série Carthago, écrite par Christophe Bec. Un thriller écologique prévu en huit épisodes.
J’avais assez peur de lire la BD, puisque je viens de terminer le roman. Les adaptations, en général, c’est pas mon fort. Je trouve toujours quelque chose qui cloche. Évidemment, ce l’a été ici. Mais alors que je m’attendais à un fond totalement degueulasse et indigne du livre, pour le coup, c’est la forme qui m’a déçue. Ce qui n’est pas grave, au contraire, puisque la forme est entièrement subjective ici ! Non, je n’ai pas apprécié les dessins, les couleurs, la façon de représenter les personnages. MAIS LE FOND MES AÏEUX ! C’est une des premières véritables adaptations que je lis/vois depuis ... le seigneur des anneaux ? La BD n’est pas si fidèle au livre, et pour une fois... ce n’est pas grave. Du tout. Tout est clair, limpide. Les personnages sont campés avec la même force que le roman. L’intrigue est toute aussi puissante, et plus rapide en raison du support.
Bref. Cette bande dessinée est époustouflante. Elle ne nécessite pas forcément une lecture préalable de La Horde, même si c’est un plus. Et elle devrait être dans l’étagère de tous les lecteurs de ce merveilleux roman.
Mise en image splendide (même si on a un peu de mal à différencier certains hordiers) pour une scénario qui a su adapter (oui il y a du changement) tout en gardant l'essentiel du roman : la puissance de l'intrigue ; l'exaltation de ce but aussi essentiel qu'il semble absurde ; les personnages grandioses et la force de leurs liens. Là où Alain Damasio jouait sur l'énergie d'un mot, d'un phrasé, Eric Henninot jongle avec les traits, prouvant qu'une image fixe peut transposer à merveille le plus vivace des éléments, le vent, sans rien lui faire perdre de son souffle et sa vigueur.
Estamos ante un mundo asolado por un viento constante en el que la humanidad prepara y envía a un grupo de personas de cada generación, a la que llaman horda, para que partan caminando a contraviento con el fin de llegar al otro extremo del mundo, localizar el origen de los vientos y detenerlo. La horda protagonista de esta historia es la número 34, los veremos avanzar durante años y enfrentarse a los peligros de ir a contraviento. Ninguna horda lo ha conseguido y todo apunta a que ninguna lo hará jamás.
El cómic está basado en un libro de ciencia ficción de un autor francés llamado Alain Damasio, y quizá esa sea la única pega que le pongo a esta magnífica obra, que al estar basada en la novela hay huecos en la historia e información que se nos escapa, pero que espero que Eric Henninot solvente en los próximos números. Por lo demás, una gozada de cómic europeo con un dibujazo tan impresionante que puedes casi palpar el viento entre sus páginas. Quizá sea un poco denso, pero se le perdona por lo absorbente que llega a ser la historia y el dibujo que la acompaña.
Una maravilla visual y una historia de lo más interesante para aquel que disfrute de una buena historia de ciencia ficción y fantasía.
Les adaptations de La horde du contrevent d’Alain Damasio, c’est un peu du contre, comme dans le roman. La horde lyonnaise chargée du jeu vidéo s’est faite décimer par une tempête (coucou les copains), et l’équipe du projet d’animation est perdue dans les plaines du « on sait pas trop », on a jamais retrouvé leur scribe. Là-dessus, Eric Henninot il arrive et il balance « moi c’est bon, j’y vais solo pour le projet BD » (enfin presque, puisque Gaëtan Georges est là pour assurer la couleur). Couillu le bonhomme !
Le voilà parti avec son crayon et son couteau pour scénariser et illustrer le projet, et une armée de fans l’attendent au tournant. Le bouquin est tellement dense et « spécial » que c’est avec une certaine curiosité que j’ai ouvert ce premier tome, sorti le 18 Octobre. Nous y découvrons une bande d’enfants qui partent d’Aberlaas, cité de l’extrême-aval, pour remonter les vents terribles qui balayent le monde de l’extrême-amont toujours inexploré. Pendant des siècles, plusieurs hordes ont consacré leur vie à la recherche de l’origine des vents, nos héros sont la 34e à tenter le pèlerinage. Le lecteur assistera à leur départ pour très vite sauter dans le temps et les rejoindre sur la route, vingt-sept ans plus tard.
Ceux qui ont lu le roman tiquent déjà. Oui, il a changé des trucs ! Horreur, malheur, hérésie, qu’on l’enchaine à un rocher sous furvent. Henninot a pas mal remanié les choses, c’est quasiment indispensable pour rendre une adaptation BD digeste, qui ne peut compter que 74 planches et doit se passer de toute la densité du texte de Damasio, des jeux sur le rythme, les caractères et les points de vue. L’auteur a rendu l’entrée dans l’histoire beaucoup plus fluide, a diminué l’effectif de la horde tout en gardant les personnages emblématiques. Dès les premières pages on rentre dans la tronche du Golgoth qui braille et pousse tout le monde, on découvre la prose de Sov et on repose sur l’empathie du Prince. C’est bien là que la BD garde l’essentiel : la force des personnages, les prises de bec, les envolées de rage et de soutien, les hordiers qui font bloc. Et ce but, grandiose, ultime, absurde et essentiel en même temps : Vouer sa vie à l’exploration, à la cohésion ultime et la recherche de l’inconnu.
La mise en image de ce monde balayé par les vents est splendide. La bande dessinée comporte beaucoup de plans larges, de cases représentant les paysages taillés par les tempêtes, les plaines sculptées à sens unique par le flux. Le tout est appuyé par une colo pastel très légère, souvent quasi-monochrome, discrète mais parfaite pour son sujet. Eric Henninot arrive à donner un visuel à la menace du vent, tantôt fluide qui traverse la case de part en part, tantôt plein de turbulences et de chocs. Le trait est assez old-school, nerveux, fin, sec. Là où je suis (légèrement) moins enthousiaste c’est sur les character-designs qui manquent un poil de particularité. Si Caracole (superbe, d’ailleurs) et Golgoth sont toujours reconnaissables, on a parfois du mal à différencier au premier coup d’œil certains hordiers, et ils sont nombreux. Le contexte et les dialogues font le boulot et on s’y retrouve finalement, mais ça peut nuire un peu à la lisibilité.
Mais on va pas bouder son plaisir pour autant, cette adaptation de La horde du contrevent est une vraie réussite. Elle met le roman en pièces pour le réassembler, l’ajuster et le faire rentrer au poil dans son format. Le nouveau lecteur y découvrira cet univers atypique et mystérieux, et surtout une galerie de personnages inoubliables dans ce huis-clos en plein air. C’est simplement un chef-d’œuvre, en roman, et en BD (dont on attend maintenant la suite).
Що ж, "Орда Противітру" повністю, без залишку віддається своєму сеттінгу.
Маємо світ, де постійно дме вітер, зі сході на захід. Маємо кілька умовно кланів людей, які намагаються вижити у цьому світі. Світ постійно змінюється під силами вітру та ерозії. І маємо один з людських кланів, що мріє дійти до джерела того вітру, щоб при можливості припинити його (тільки поки не зрозуміло, чи це взагалі реально). Раз по раз до того джерела відправляються експедиції, і ми тепер слідкуємо за 34-ю, якій шлях дається нелегко. Йти треба особливим строєм проти вітру, у кожного учасника своя роль, треба інколи підстрахуватися одне одним, інколи зачепитися за щось крепке, бо вітер у цьому світі дуже мінливий, з поривами, які здатні підняти людину на раз-два.
І, оскільки і вітер становить загрозу, і місцеві рейдери спокою не дають, у експедиції-орді поступово змінюється склад. Хтось гине, хтось приходить новий та непідготовлений, комусь конче треба з цього приводу влаштувати скандал, драму та бійку.
Вся логіка сюжету побудована на ось цьому протистоянню вітру. Але є ще один фронт, де треба теж мати міцні нерви - конфлікти всередині орди. І інколи вони сильніші за вітер, бо мають вагомі наслідки.
Намальовано за мотивами популярного у Франції фантастичного роману. Атмосфера забиває все, кожен кадр нагадує нам про неспокійні маси повітря, про мінливість погоди, про нависаючу небезпеку, бо ось-ось може задути так, що друзів не дорахуєшся.
I read the black and white version and the line art was everything. It’s so perfectly illustrated, the creator was instantly added to my favourite artists list.
On a barren world beset by constant violent winds, generation after generation produces a horde of men and women who’s mission is to brave the wind until they get to the source of it. We follow the 34th horde, will they be the first to make it?
Great world building and character work, I believe this adapts a series of French novels, it’s really good stuff!
Je vais être obligée de noter cette BD pas incroyablement. Objectivement, l’album est assez bien fait, mais puisque je viens de terminer le roman, et de passer plus de 700 pages à me familiariser avec tous les personnages, je ne peux que être déçue quand il y a des changements dans la narrative, bien que je comprenne pourquoi ils ont été fait. De plus, encore une conséquence des 700 pages lues dans le bouquin, j’avais une image mentale assez définie de tout les personnages, et qui ne ressemble pas à leurs représentations dans la BD. Dommage.
Fantastic sci-fantasy comic adaptation about a group of survivors living in a rural land plagued by larger-than-life, ultra-fierce winds. The children of the community are sent to a multiple decade-long journey to where the source of the strong winds allegedly springs from.
The drawing style is superb; earthly colors outlined by a semi-realistic Franco-Belgian drawing style with elegant lines. The artist-writer also creates an incredible world where the stylish and practical, retro-sci fantasy houses, settlements and suits are adapted to the harsh winds of the world. Especially the minimal dresses and function-based yet stylish suits remind me of Dune.
If you dig sci-fantasy a la Star Wars and especially Dune with similar philosophical takes, you will love the Horde of the Wind.
Je n'ai pas lu le pavé original aux 23 narrateurs différents mais je trouve cette adaptation BD très réussie. Le lecteur est immergé rapidement dans l'univers de Damasio. L'histoire est claire et les personnages bien distincts. D'ailleurs j'apprécie tout particulièrement les choix esthétiques du dessinateur (décors, costumes, etc.) mélangeant différentes cultures. Je me réjouis de lire la suite.
Comme beaucoup avant moi, et je l'espère beaucoup après moi, la lecture du roman de La Horde du contrevent a été une expérience mémorable, une expérience littéraire, mais aussi une expérience émotionnelle, artistique dans son sens le plus large. Dans ma vie de lecteur, et dans ma vie tout court, il y a eu un avant et un après "la Horde". Au fil des relectures qui ne faisait que raviver en moi la flamme de cette passion presque aveugle pour histoire et ces personnages, j'ai construit une représentation interne très forte de cet univers, du physique des personnages, de la forme du monde, sa structure. Si fort que c'était l'unique, la "vraie", et les autres avaient forcément tort, leur vision n'était que faussée. Je me disais que toute représentation de cet univers irai forcément en contradiction avec ma représentation, et que ça me déplairai, malgré toutes les qualités qu'on aurai pu lui trouver. Et quand j'ai aperçu ici et là sur internet des images, certes de travaux préparatoires, des adaptations en jeu-vidéo ou animation du livre, ça ne me rassurai pas.
C'est alors que vient mon frère, qui m'a initié à la Horde et partage avec moi cette passion, et qui m'offre cette bande dessinée. La couverture en jette, ça c'est sûr. Mais je commence à discuter avec lui de cette représentation, et de la crainte de l'adaptation de cet univers qui me tenait tant à coeur. "Lit la préface, c'est Alain Damasio qui l'a écrite, je la trouve très belle" qu'il me dit. Alors entre deux repas des fêtes de fin d'année, quand une partie de la famille fait la sieste, et l'autre se prélasse au coin du feu, je prends ma BD à deux mains et commence l'aventure.
Une fois cette fabuleuse préface lu, que je vous laisserai le plaisir de découvrir, je me retrouve excité par cette lecture qui s'annonce, parce qu'Alain Damasio, non content de balayer tous mes doutes et mes craintes, se permet en plus de me donner envie de découvrir la représentation de la Horde de quelqu'un d'autre, moi qui était si attaché à la mienne. En seulement 3 pages, Alain Damasio m'a enlevé toute jalousie que je gardais face à cet univers, je n'étais plus sur la défensive, j'étais prêt à partager, et comprendre la vision que cet auteur talentueux allait me donner.
Et quelle vision! Rien de particulier sur l'histoire si on est déjà lecteur du roman, si ce n'est ce chapitre introductif bonus qui est le bienvenu. En revanche le style visuel claque, comme la première de couverture. Les environnements sont à la fois fournis, détaillés, et lisibles, le vent est ici tout à son honneur tant ça fuse de tous les sens, les cases sont dynamiques, on sent le mouvement dont étais sûrement infusé Alain Damasio lors de l'écriture de son roman, et duquel Eric Henninot a su s'emparer pour nous en livrer sa version a lui. On connaît l'histoire, on connaît les personnages, pourtant la tension est présente, et on dévore les pages les unes après les autres, et on arrive vite à la fin de ce déjà épais tome, avec une envie de plus.
Réticent à l'idée d'une adaptation, Eric Henninot m'a donné envie d'en voir plus en développant un style qui finalement est différent de ma représentation interne, et ça m'a rassuré. Ma vision a moi n'a pas été trahie, corrompue, modifiée par quelqu'un d'autre. Eric a la sienne, elle est magnifique, mais la mienne reste intouchée, intouchable, au fond de mon cœur. Et je me suis alors pris à me perdre dans mes pensées, sur les différentes représentations qui pouvaient exister de la Horde, probablement une par lecteur, et de tous ces univers mentaux qui naissent à chaque instant dans l'esprit des lecteurs du monde entier...
Il y a de ces BD qui vous marquent à jamais. Des œuvres qui définissent bien pourquoi la BD est le neuvième art. La Horde du contrevent 1, de Eric Henninot en est une.
En partant, je connais le roman qui a servi d'inspiration que par le nom. Le livre de Alain Damasio est considéré comme culte dans le domaine de la SF française. Donc, je suis comme dit l'auteur dans sa préface, innocent et je me suis laisser guider dans ce monde furieux par l'auteur de la BD! Ce premier tome est rythmé et efficace. L'histoire de cette conquête de l'extrême amont pour découvrir la provenance du vent est haletante et à chaque planche nous ressentons la tension du combat perpétuelle de la horde avec le vent. Ici, le vent fait parti intégrale de l'histoire. Il est présent dans chaque recoin de cette BD.
Visuellement, c'est la claque! On ressent très bien tout ce que les personnages vivent. Le personnage de Golgoth est fabuleux dans sa rage de réussir sa mission. Il est colérique, hargneux, mais c'est cette rage qui permet à la horde de continuer à avancer. Que dire du personnage de Sov, le scribe de la horde. Effacé au début, il prend de plus grandes responsabilité par la suite. On sent son importance à chaque mot qu'il écrit dans son carnet. Ici, les décors sont criants de vérité et ce monde balayé par le vent est tout simplement magnifiquement représentés par les dessins. Et la couleur! Les couleurs terrestres sont à l'honneur avec des teints orangés qui ternissent ces terres désolées.
Une grande réussite cette BD!
Cette horde est celle d'Eric Henninot. Après lecture, elle devient aussi la nôtre!
Contrairement à plusieurs, je découvre la Horde avec cette B.D. Certes, j’avais déjà vu le titre du livre à la libraire, titre qui évoquait beaucoup de belles promesses et que je me promettais de lire éventuellement. Une promesse toujours repoussée, jusqu’à ce que je tombe sur cette B.D. C’est donc sans attente sauf celle de découvrir de quoi il s’agissait que j’ai entamé la lecture.
Le choc a été aussi violent qu’un survent! Tout m’a donné envie de poursuivre les B.D. et le livre est dorénavant premier dans ma PAL.
L’intrigue est puissante, les personnages sont grandioses, j’ai trouvé les dessins géniaux, même si parfois il est dur de reconnaître tel ou tel hordier. Il n’est pas difficile de comprendre que j’ai été charmé par l’ensemble. Le seul problème maintenant, c’est que j’hésite à lire les deux autres B.D. pour ne pas me divulgâcher le roman!
J'ai pas du tout accrochée à cette histoire... Je suis contente de l'avoir découvert en BD et pas en roman (je pense que j'aurais abandonné) ! J'ai pas apprécié l'ambiance : la horde passe son temps à se disputer... J'ai pas trouvé le scénario particulièrement intéressant pourtant l'idée de départ est originale. Les personnages sont pas ouf non plus. Entre ceux qui accusent tout le monde, ceux qui essaient désespérément de garder la horde unie (ceux-là étaient cools) et Golgoth qui ne l'ouvre que pour dire qu'il n'est pas content... Mouais, je me passerais du reste de cette histoire...
Une adaptation réussie avec brio ! La préface nous fait renouer avec l'élégance et le phrasé de Damasio, qu'Éric Henninot reprend avec justesse durant toute la BD. On prend plaisir à renouer avec la Horde et à découvrir celle d'Henninot, qui nous surprend et nous ravit par sa prise de liberté. La BD est très fidèle au roman, je n'ai pu qu'adorer ; pour ne rien gâcher, les planches sont splendides.
Je ne peux pas mettre cinq étoiles car pour moi le roman et les mots originaux restent plus forts que les images de cette bande dessinée.
L’angle choisi et les décors sont dans un univers cohérent et l’ensemble est maîtrisé. Rien n’est parfait dans une réécriture mais j’ai pris du plaisir à découvrir cette transformation du vent-mot en vent-image, cette interprétation du récit original vaut le coup d’œil.
J'ai eu du mal � entrer dans ce premier tome de la B.D. adapt�e du roman d'Alain Damasio. Je n'ai pas r�ussi � m'accrocher � l'histoire et les graphismes, pourtant assez classiques, ne m'ont pas captiv�e. J'ai eu des difficult�s � lire les dialogues (typographie tr�s condens�e) et je suis arriv�e au bout de l'album avec peine... Je tenterai de d�couvrir Damasio par le biais de ses ouvrages plut�t qu'avec cette s�rie de bandes dessin�es.
Si vous avez eu (comme moi) du mal à lire le roman... qui n'est quand même pas simple à aborder ! Mais que vous aviez quand même envie de savoir... cette bd est pour vous. Ce qui n'était pas clair le deviendra forcément ! Les personnages sont vachement plus facile à repérer quand on a un visage (au lieu d'un symbole...) Une adaptation qui a été validée par Damasio donc qui devrait être pas mal !
Nachdem es fragwürdig ist ob die Romanvorlage jemals ins Deutsche übersetzt wird - und mein Französisch definitiv nicht gut genug ist - dürfte diese Bildergeschichte meine einzige Chance sein, die einzigartige Geschichte kennenzulernen.
Der erste Band hat mich schon mal überzeugt und neugierig gemacht - grafisch, wie auch die Welt und ihre Charaktere.
"Quand elle passe, tu ne penses plus. Seul le corps répond, et il répond ce qu'il peut. Il brûle ses tendons à crisper la sangle. Il bave. Il se pisse dessus. Après ? Après, chacun dit ce qu'il veut. Il introduit des mots. Il fend ce qui n'est qu'un roc de peur brute. Sous furvent il n'y a rien à dire. Juste tenir. Tenir, quand ça frappe à coups de merlin dans les fissures des os..."
I read the book first, and was expecting the comic to be an interesting visualisation of the events happening in the book. The landscapes are certainly beautiful and the world was very well transcribed from words to drawings. Where it exceeded my expectations is in the writing and how the various characters were represented, all on point. Great adaptation!
Une BD magnifique et de bons partis pris dans la narration qui montre que plutôt que de faire une adaptation plate et sans réflexion les auteurs ont fait le travail nécessaire pour qu'elle soit une œuvre a part entière. Les décors sont magnifiques, on ressent le vent qui balaye ces terres waw. Seul bémol pour les personnages, je me suis un peu perdu sur qui était qui par moment.
Un joli travail d'adaptation, porté par un très beau dessin. Maintenant, on ne ressent pas forcément toute la richesse de l'oeuvre originale. Cela reste une bonne BD, mais qui manque d'intensité et d'enjeux dans cette première partie.
Bien que cette BD ne peut pas concurrencer le chef d'oeuvre de Damasio, elle a réussi à me plonger de nouveau dans son monde mystérieux et fascinant. Ça m'a fait plaisir de le lire et je pense m'attaquer au 2ème tome
Très beau dessin, intéressante reinterpretation mais je ne suis pas sure de continuer les autres tomes car l’éloignement par rapport à la VO me pose souci. Ma lecture du livre est encore trop récente, je régenterai dans quelques années