Quand l'amour se vit en 49 jours... 1... 2... 3... Chaque matin, depuis qu'elle a rencontré Sawyer Hall, Breen inscrit un nouveau chiffre dans sa paume. Le compte à rebours est lancé, comme la fuite inéluctable du temps qu'elle voudrait pourtant maîtriser. 15... 16... 17... Breen souhaiterait pouvoir retenir les jours qui filent pour profiter des sentiments qui refont enfin surface. Mais elle le sait, son coeur ne cesse jamais de compter. 47... 48... 49... Alors qu'elle ne sait pas aimer plus de 49 jours, Sawyer sera-t-il celui qui libérera son coeur ?
Très mim’s mais j’avoue que le début peut paraître long vu qu’on ne comprends pas tout ce qui se passe et vu que tout n’est pas expliqué. Mais le p’tit plot twist à la fin était sympaaaaaaaaaa dans l’ensemble j’ai bien aimé, ça a rien d’une romance traditionnelle et c’est ça qui était plaisant
Ce livre m'a beaucoup touchée. C'est vraiment une histoire émouvante entre Sawyer et Breen. C'est un livre vraiment particulier, intense et très loin des romans classiques que j'ai pu lire jusqu'à aujourd'hui. Les deux personnages m'ont fait rire et on s'attache très vite à eux. Il y a dès le début un grand mystère et je me suis posée énormément de questions sur ce fameux Will. Je l'avoue ce Will m'a beaucoup perturbée 😪😂 J'aime beaucoup ce livre car comme je l'ai dit, il est particulier en effet il n'y a aucuns chapitres, le rythme est bien maîtrisé car on ne s'ennuie pas du tout. Particulièrement à la fin car c'est un final explosif, pour ma part je ne m'attendais absolument pas à ça. 🤩
4,5/5 C’était beau, c’était douloureux, c’était touchant. Quand j’ai compris, l’histoire a pris tout son sens et j’ai eu le cœur brisé. Et Sawyer, quel homme, un personnage parfait qui a su s’adapter à chaque geste, chaque parole, chaque souffrance de Breen. Ce livre est bien plus qu’une simple romance 🤍
Je suis passé totalement à côté de ce roman. L'écriture avait beau être poétique, comme l'ont soulignés la majorité des lecteurs, je n'ai pas pu m'attacher aux personnages. Il y a des non-dits tout le long du livre et un grand mystère qui plane au sujet du blocage qu'a Breen. Ses réactions sont disproportionnées et surtout énervantes pour le lecteur qui ne comprend pas puisqu'il n'a pas les éléments. Les révélations surviennent seulement aux dernières pages du roman, et elles ne mont pas convaincues. J'ai relevé au moins 2 énormes incohérences qui ont eut lieu au milieu du roman.
Ça m'a vraiment frustrer d'attendre tout ce temps pour "ça"...
J'ai eu un semblant de sympathie pour Sawyer et Breen par moments... Sans que ça ne surpasse ma déception.
Cela faisait si longtemps que je n'avais pas pleuré pour un livre. Bien qu'au début j'ai eu du mal à mettre dedans (entre le passé et le présent.) J'ai complètement adoré ce roman. Il est si triste et si joyeux à la fois. Les sentiments d'amour et de deuil son tellement bien décrit. Un grand merci à C.S Quill pour ce roman qui m'a touché au plus profond.
Je remercie les Éditions Hugo & Cie pour l’envoi de cette lecture. Je tremble, réellement, je tremble. Je n’ai plus les mots pour décrire ce que je viens de vivre avec cette lecture. Dès les premières pages, dès les premiers mots j’ai eu le souffle coupé…
Breen ne sait pas aimer plus de 49 jours. Alors, quand elle rencontre Sawyer Hall, elle voit en lui l’espoir d’y arriver. Peut-être que cette fois-ci, elle arrivera à dépasser ce temps qui la guette, telle une épée de Damoclès.
Le temps passe, s’envole et elle ne peut rien y faire pour le contrôler. Inévitablement revient les jours, inévitablement se rapproche la fin de l’amour. Elle n’arrive pas à aimer. Mais peut-être que Sawyer sera celui qui réparera son cœur.
J’étais en apnée, j’étais en larmes, j’étais captivée. Rien qu’en repensant à l’histoire que je viens de lire, je suis subjuguée. Les mots sont au fond de moi, mais ne veulent pas sortir. D’un côté, mon ressenti exprime exactement l’effet qu’à eux cette histoire sur moi. On ressentait la détresse, la souffrance du personnage principal. Elle en disait beaucoup sans vraiment le dire. On ressentait la douleur, sans vraiment la connaître. On pleurait pour elle, sans même savoir ce qui la torture.
J’avais déjà adoré découvrir le style de l’autrice avec Campus drivers, mais ici, on la retrouve dans un univers très différent et c’est magnifique. Je n’ai jamais eu un coup de cœur aussi puissant pour un livre. Pourtant, je lis depuis gamine, mais ce livre m’a remué. Le personnage principal me fait énormément pensé à moi. Dans sa souffrance, sa manière de ressentir, dans ses pensées. C’est sans doute cette ressemblance avec elle qui m’a mis autant en empathie avec et m’a fait tant aimer cette histoire.
jamais de toute ma vie, je n'aurais pensé que je pourrais haïr un livre ou des personnages mais ce livre m'a démontré que si. Car RIEN absolument RIEN dans ce livre ne m'a plu. Pourtant quand j'ai lu le résumé du livre, j'étais grave tentée et je m'attendais à une histoire assez originale avec des personnages très attachants et tout car j'avais lu la saga "Campus Driver" de la même autrice et j'avais bien aimé. Et franchement au début de l'histoire, c'était plutôt pas mal et j'espérais que ça évoluerais au fur et à mesure. Mais déjà rien que la manière dont l'histoire est écrite, on se croirait dans un Wattpad de mauvais goût avec plein de clichés. Pour être sincère, je n'ai rien contre les clichés dans la romance quand ils sont bien faits et écrits mais dans ce livre c'était tout simplement GÊNANT ! Je n'ai jamais rien lu d'aussi gênant et embarrassant de ma vie. Et pour les personnages je dirais pour commencer que Breen est la fille la plus idiote qu'il m'ait été donné de lire, j'ai horreur des filles qui réfléchissent pas un minimum et pire on sent pas du tout qu'elle évolue au fur et à mesure du livre. Et son "secret" est pour moi l'un des plot twist les plus dérangeant que j'ai connus. Et Sawyer franchement éclaté. Bref j'ai pas aimé et je recommande pas. Je donne 1⭐️ pour la belle couverture et les arbres qui sont morts pour ça...
quel livre touchant, j’avoue j’ai pas d’avis mais le seul truc que je peux dire, c’est que sawyer est un homme capable et qu’heureusement qu’il était là
bon. on prend une inspiration, et on souffle ! ce roman, c’était quelque chose ! j’ai encore du mal à poser des mots sur ce que j’ai ressenti, mais on va quand même essayer de faire au mieux. dire que c’est ma meilleure lecture serait l’entité, mais dire que ce roman n’est pas un chef d’œuvre, ce serait aussi mentir. vous avez déjà connu cette sensation où tu n’as pas forcément aimé un film, une série ou un livre mais que ça traite de sujets si importants, et d’une manière si intéressante, que tu ne peux pas te permettre de dire que ce n’est pas un chef d’œuvre ? ça m’est arrivé pour un film (Tu ne tuera point) et pour ce livre. si vous cherchez du divertissement, ce n’est pas dans ce livre que vous le trouverez, parce que ce n’était pas le but. je pense qu’il faut aussi un certain âge, une certaine maturité, pour l’apprécier à sa juste valeur. j’avais été incapable de lire plus de 150 pages l’an dernier, et j’avais finis par le poser en le remettant à plus tard. et puis ce mois-ci, j’ai décidé de lui donner une seconde chance. et j’ai eu raison. c’est un livre sublime, magnifique, dans un environnement particulier, qui traite de choses qu’on ne peut pas imaginer exister tant c’est horrible. pour répondre à ta dédicace, Camille, oui, ce livre a su compté pour moi. infiniment, même. je le recommande, mais en ayez cette maturité d’esprit d’aller au bout pour le comprendre et l’apprécier, même si vous le trouvez ennuyant. il vaut le coup. il comptera pour vous, je l’espère.
Ma première review a été effacé, mais je me souviens de l'essentiel : un coup de poker de l'auteur, une surprise énorme, des thématiques fortes. Un livre dont je me souviendrai longtemps !
Une histoire atrocement touchante, une intrigue inattendue, des personnages attachants. Je mets 5 étoiles pour cet œuvre magnifique. Je dois bien l'avouer, j'ai versé ma petite larme 😿💙
Hier, j’ai finis de lire « 49 jours, je compterai pour toi » de C.S. Quill et ce fut une surprise. Je ne m’attendais pas à lire ça ni à tomber amoureuse de la plume de l’auteure à travers ce roman. Je ne sais pas si tous ces romans sont écrit de la même façon, mais « 49 jours » m’a bouleversé, m’a serré le cœur et m’a fait rire. Une excellente romance, belle et mystérieuse, que je vous recommande de lire sans hésitation.
Le début fut relativement long à lire, j’avais du mal à accrocher, je posais le livre sans avoir réellement envie de le reprendre mais après avoir dépassé un certain nombre de pages, j’étais complétement happé dans l’histoire de Breen et ce mystérieux secret qui plane sur son histoire, son passé, la raison des 49 jours, et sa relation avec Sawyer. Au final, j’ai adoré ce roman et j’ai eu un coup de cœur pour la fin qui m’a bouleversé et m’a fait vibrer. C.S. Quill a fait de cette romance un véritable hymne à l’amour, à la vie et à toutes les épreuves qui se dressent sur notre chemin, que l’on se relève ou non.
C’est le premier roman que je lisais de C.S. Quill et je suis tombé sous le charme de sa plume, de sa façon de donner vie à ses personnages, la façon dont ils laissent une empreinte sur nous, éphémère ou permanente, de sa façon dont elle a imaginé cette histoire, de la façon qu’elle a d’en dire peu tout en révélant tout, de son résumé qui ne m’avais pas préparer à ce que j’allais lire, la façon dont je me suis attachée aux personnages et à leur vie qui m’a chamboulé… Une multitude de façon de nous faire tomber amoureux de ce roman puissant, qui lance un compte à rebours contre l’amour.
Breen est un mystère et une force de la nature qui m’a bouleversé et m’a fait aimer ce roman. Dès les premières pages, on est plongé dans son passé qui a forgé celle qu’elle est devenue et qui la hante jour et nuit sans répit. On est balloté entre passé et présent, comprenant progressivement l’origine des 49 jours, la douleur qui l’habite et qui est ancrée au plus profond de son âme. C’est un personnage fort qui nous fait passer de la joie, de l’amour, du bonheur, à l’angoisse, la peur et la souffrance au fur et à mesure que les jours passent et avec eux, le compte à rebours proche de la fin. On ressent la moindre émotion que vit Breen, chaque doute qui l’assaille, chaque petit espoir, chaque moment d’amour, tout est décrit à la perfection et la plume de l’auteure ne fait que renforcer cet attachement au personnage. Breen fait battre notre cœur et nous le brise à la fois. C’est un personnage torturé de l’intérieur. Elle est stupéfiante et son histoire percutante. J’admire le travail qu’à eu l’auteure à façonner Breen et le mystère qui plane au-dessus du roman jusqu’à la toute fin. Breen est un pêle-mêle d’émotions et de mystères qui nous intrigue et nous attache à elle, l’accompagnant main dans la main jusqu’à sa douce, tendre et brutale rédemption, jusqu’à la fin de sa damnation.
Quant à Sawyer, comment ne pas succomber à son charme ? Ayant également des ombres dans son passé qui continuent de le hanter dans son présent, on s’éprend de ce personnage incroyable. S’il est vrai que l’on suit en grande majorité à travers le regard de Breen, nous vivons aussi l’histoire de Sawyer et ses moments avec Breen au travers de lui. Et lire le point de vue de Sawyer à des moments clés m’a fait aimer ce personnage encore plus. Sawyer est un personnage que j’ai aimé découvrir et suivre. J’ai aimé sa personnalité, son attitude envers Breen, sa relation avec elle, sa patience, son dévouement, son histoire, sa scène finale qui m’a fait tomber amoureuse de lui. Un personnage masculin extrêmement bien fait. L’auteure a donner vie à Sawyer et Breen avec amour et des cicatrices les hantant de différentes façons.
La plume de C.S. Quill est poétique, douce, authentique, vraie, puissante, belle, entachée de souffrance et de douleur que nous ressentons au fil des pages. On se pose la question de savoir qui est ce mystérieux Will du début à la fin. On échafaude de petites théories, mais qui sont à des années-lumières de la dure réalité. Et j’ai adoré cela, le fait que l’auteure nous mène là où elle l’a toujours voulut, nous laissant croire à nos théories, sans se douter une seule seconde de la vérité.
Le scénario du roman est sensas, beau, touchant, bouleversant, énigmatique, intriguant, puissant, pour un résultat final dur, haletant, sublime et émouvant émotionnellement qui, à la fois, nous fait croire à l’amour en 49 jours et au-delà et qui nous brise le cœur en un claquement de doigts. Si au début, j’ai eu du mal à entrer dans le bouquin, je suis ensuite progressivement tomber amoureuse de l’histoire de l’énigmatique Breen, de ses cicatrices et de sa relation avec le charmant Sawyer. Un roman haletant, percutant et sublime qui va vous dérouter et vous éblouir en 49 jours top chrono.
Comme vous avez pu le voir par vous-même, les avis sur ce roman sont dithyrambiques. « Une pépite », « un bijou », « un coup de génie ». Les copinautes sont tombées sous le charme. Aussi, il était bien temps que je le lise à mon tour. Parce que comment, après ça, ne pas mourir d’envie de le lire !?! Il faut savoir que je referme tout juste le livre et que je suis dans un état de rare chamboulement. La douance ne s’invente pas, et l’auteure est vraiment très douée.
Au risque de décevoir, je vais faire l’impasse sur l’habituel résumé du livre. J’aimerais mais vous y perdriez, je vous le jure. Je pense que sur la blogosphère on est toutes d’accord : le pitch de ce roman est parfait. Laisser planer le flou est ce qui est le plus favorable au roman. J’ai presque envie de dire, tout simplement, que c’est le concept de ce livre – mais « concept », c’est si peu poétique… Mais je m’explique plus en détails ci-dessous dans la chronique la plus difficile à écrire de tous les temps, parce que je vais essayer de ne rien dire sur l’histoire.
J’aime beaucoup l’auteure, C.S. Quill nous a d’ailleurs déjà surpris.e.s. dans ses précédents romans. Mais avec 49 jours, je compterai pour toi, un autre pas est fait. Parce qu’il est vrai que ce roman est exceptionnel, on pourrait parler de maturité mais je trouve que 1/ ça laisse entendre que pour l’auteure le champ des possibles a atteint sa limite et 2/ c’est un qualificatif qui met toujours un peu la pression. De la pression pour l’auteure mais aussi pour les lecteurs. Les attentes deviennent excessives, dans une perspective d’élitisme, trop ; mais ce n’est que mon avis. Seulement, force est de constater qu’avec 49 jours, je compterai pour toi C.S Quill a tapé fort. Vraiment très fort.
La plume n’est déjà plus à défendre, l’auteure a fait ses preuves. Mais c’est peu vous dire que d’admettre qu’ici un niveau est franchi. L’écriture est mi-mélancolique mi-emplie de modernité. L’histoire est touchante, mêlant passé et présent. Mais ce roman est aussi et surtout savamment élaboré. La construction est telle que le passé et le présent et le compte des jours que nous impose Breen nous maintiennent dans l’expectative. On veut savoir pourquoi, on veut savoir comment et on veut savoir vers où cela va aboutir. Ces trois questions nous poursuivent et nous entraînent à la fois. Au même titre que peut le faire cette alliance de passé et de présent. C’est une lecture difficile à lâcher. En plus de l’alternance du passé au présent, j’ai été ravie de voir que, contrairement à ce que je m’étais imaginée, l’auteure nous offre un double point de vue. Pour le coup, je ne m’y attendais pas du tout.
En bref, j’ai adoooré. Que d’émotions. J’ai beaucoup aimé le parcours mais, pour être honnête, j’avais anticipé la fin. Ok, ok, ce n’est pas tout à fait vrai, je mens. Parce que C.S Quill a vraiment apporté toutes les parenthèses et accolades possibles pour boucler les boucles et certaines sont merveilleusement bien trouvées. Et si belles. C’est presque incroyable d’être aussi brillante !
Je ne peux que vous pousser à lire ce roman. 49 jours, je compterai pour toi de C.S. Quill est un véritable trésor.
On commence l'histoire par la rencontre de Breen, une jeune femme hantée par le fantôme de son passé, et de Sawyer, photographe à la recherche d'une muse qui fera battre son cœur. Je ne vous en dirais pas plus sur l'histoire. Car il faut lire le livre pour comprendre... • Au début, on a l'impression de ne rien capter. L'auteur donne suffisamment d'éléments pour susciter notre curiosité et développer le suspens, et en même temps pas assez pour comprendre où est ce que l'on met les pieds. J'ai découvert l'auteure à travers la saga des CAMPUS DRIVER, et déjà sa plume m'avait conquise. Je découvre dans ce roman l'ampleur du taleur de cette auteur ! C'est une écriture chargée d'émotion qui rythme les chapitres, entre aller-retour dans le passé et le présent, si addictif. • Le thème abordé est dur, poignant, difficile. Je ne m'attendais pas à lire ça en ouvrant ce livre. Au fil des chapitres, on fait des suppositions... mais à aucun moment on ne s'attend à une telle révélation ! Et je me suis dis "mais comment je ne m'en suis pas rendu compte ?". J'ai été bluffé, chamboullé, boulversé par la justesse de certaines phrases, de certains mots... me renvoyant à ma propre blessure, s'imiscant dans la plaie encore ouverte de mon cœur... mes larmes ont coulé, à la fois libératrices et douloureuses. • Quand j'ai fermé ce roman, la première pensée qui m'a traversé c'est "comment je vais me remettre de cette lecture ?". Pendant les heures suivantes, j'avais qu'une chose en tête : un décompte. 1. 2. 3... 4. 5. 6... 7. 8. 9... 10. 11. 12... 13. 14... 15. Les quinze jours à l'issus desquels mon cœur a cessé de battre. • Ce roman, par son écriture, par son thème, par mon cœur brisé... c'est un coup de cœur. Une vérité, ma réalité...
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Depuis Will, Breen n’arrive à aimer personne plus de 49 jours. Lorsqu’elle rencontre Sawyer, elle se met à écrire les jours qui défilent sur la paume de sa main… Le compte à rebours est lancé, Sawyer arrivera-t-il à libérer son cœur?
Très belle histoire d’amour. Laissez-vous emporter à Camaret par C.S. Quill qui a une façon unique de voir la vie, de la célébrer, et de la décrire. On alterne entre le point de vue passé et présent avec une fluidité étonnante. Ce roman est une aventure pleine d’émotions qui nous submerge aux côtés des personnages. Très belle facon d’écrire également, qui laisse transparaître à merveille la souffrance, l’amour (et la colère aussi). La plume mature est juste splendide, bien plus belle que dans ses autres romans. On suit le compte à rebours avec eux et on se laisse émouvoir… Après le plot twist j’ai relu les passages dans le passé, et je tiens à souligner à quel point c’est monstrueusement bien pensé et bien écrit pour nous faire plonger dans le piège, c’est incroyable ! J’avais une théorie plutôt claire sur ce qu’il s’était passé, et je me suis trompée sur toute la ligne… Foncez!
« Je dois ravaler ces larmes jusqu’à boire la tasse. Même si ça noie mon cœur chaque fois. » « Nous formons chacun la moitié d’un sablier et chaque petit grain de lui qui tombe dans ma main, je le lui offre quand vient mon tour. C’est donc ça, l’amour. Un sablier que l’on retourne à l’infini. » « Je suis assaillie, coincée entre deux mots : hier et maintenant. Coincée entre deux maux : la souffrance et l’abattement. »
J'ai lu ce livre en lecture commune avec des copines, je dois dire qu'on me l'avait fortement conseillé de le découvrir auparavant. L'occasion était parfaite. Ainsi, je me lance, je traîne un peu à cause de mes études mais j'ai pu le dévorer. Ce livre est poignant, très prenant d'un point de vue sentimental. Si vous vous attendez à un livre avec des actions, des évènements, etc. Passez votre chemin car tout est dans la sensibilité, on se focalise sur les sentiments. Effectivement, on suit Breen qui doit réapprendre à aimer et à vivre normalement mais tout n'est pas simple. Il est vrai que plusieurs fois, je ne la comprenais pas car je n'ai pas vécu la même chose qu'elle. C'est pourquoi j'étais par moment un peu dure dans mon jugement. Je me disais que c'était immature, etc. Or, rien n'est facile. Quant à Sawyer, j'ai eu un coup de cœur pour lui à cause de sa bonne humeur, sa détermination, sa gentillesse. Tout me plaît malgré ses fêlures, il est fort et jovial. Concernant la structure du livre, je dois dire que c'est intéressant l'organisation en journée : 1 chapitre = 1 jour à peu près et nous avons droit à 2 points de vue interne dans le livre : celui de Breen et celui de Sawyer. En tout cas, derrière l'émotion, le côté triste du livre, c'est surtout l'espoir, l'amour qui sont prônées. J'aime beaucoup les thèmes abordés comme la notion d'amour, de se reconstruire...
Pour conclure, une plume sublime qui montre bien la complexité des sentiments mais aussi l'histoire. Les protagonistes sont touchants et on se prend d'affection pour eux. Je dois dire que le livre est original et assez surprenant même pour les habitué(e)s de romances. Une pépite à découvrir.
breen mon bébé d’amour…. je me suis attachée à elle dès le début du livre même si j’ai eu du mal à m’y mettre (je le trouvais lent et je ne comprenais pas son comportement) mais une fois que l’on sait, on ne peut que l’aimer et avoir de la peine pour elle. j’ai les larmes aux yeux rien que d’écrire ça….. je suis tellement heureuse qu’elle ait réussie à surmonter son traumatisme et à reprendre sa vie là où elle s’est arrêtée. Will, i survive <3
sawyer est un green flag ambulant, je l’ai aimé du début à la fin pour son caractère tout mimi et compréhensif + sa persévérance pour la fille qu’il aime.
J’ai beaucoup apprécié cette lecture. Elle fait beaucoup réfléchir aux différentes façon d’aimer et au temps que cela peut prendre. Ce n’est pas le genre de livre que je lis d’habitude mais ce livre m’a fait beaucoup de bien. Il était profond, avec des personnages attachants. Breen est vraiment une femme très forte car elle a vécu beaucoup de chose et ça l’a fragilisé mais aussi rendu plus forte en créant une carapace solide mais pas indestructible. Et Sawyer est vraiment un personnage incroyable il a été un énorme soutien pour Breen et ne l’a jamais jugé, ne lui a rien imposé j’ai trouvé leur relation vraiment très belle ❤️🩹
Il est rare que je ne parvienne pas à trouver tout de suite des mots pour écrire ma chronique juste après avoir tourné la toute dernière page. C'est pourtant ce qui est arrivé hier soir après avoir terminé ce roman qui m'a tenu en haleine chapitre après chapitre, jour après jour. La couverture était sublime et le résumé m'avait intrigué dès le début. Je vais tenter de vous parler de ce roman sans ne rien spoiler car toute la magie de la lecture réside dans le fait de ne rien savoir , de se poser mille questions , de se torturer l'esprit et de chercher encore la clé de l'énigme. Je me suis pris une sacrée claque et c'est un coup de coeur immense pour ce roman.
"Ne pas pleurer, ce n'est pas si grave. Il y a eu pire. Il y a eu Will. J'ai la poitrine en feu, mais il y a des incendies que les larmes n'éteignent jamais. L'eau continue de se déverser sur mon crâne, dégoulinant sur mes joues. L'encre refuse de disparaître et je perds mes derniers moyens. Je ressens tout si fort que, au bout d'un moment, je ne ressens finalement plus rien. Et si je pleure, la pluie m'empêche de le remarquer. Et si je pleure, la brûlure sur mon âme n'en est pas plus soulagée. "
ce fut une superbe lecture. Je ne saurais pas dire si cela a été un coup de cœur pour l’instant car je me suis tapé une panne de lecture en plein milieu je n’arrivais plus à lire >_<. donc j’ai mis quelques semaines à le lire… mais rien à voir avec le livre, simplement quelques événements dans ma vie qui ont fait que ça n’allais pas trop et que je n’arrivais plus à lire… Mais du coup, quand j’ai repris, je l’ai trouvé très très addictif, j’avais très envie de savoir la suite ! C’est très bien écrit, j’ai été transportée par l’histoire et j’ai adoré <333
Une lecture très touchante... Il faut être patient avec ce livre car tout au long du roman, le suspense est palpable et les questions sont nombreuses. L'auteure a tout de même su nous donner l'envie de connaître le dénouement.
Une histoire assez répétitive qui ne m’a pas transporté. J’ai trouvé l’écriture un peu niaise sûrement plus adaptée pour des jeunes adolescents. Je mets 2 étoiles pour le plot twist final que je n’ai pas vu venir.
Une histoire qui m'a appelé dès le titre. A la fois drôle mais surtout très touchant ! J'ai l'habitude de deviner les plots twists mais alors celui là je l'avais pas vu venir 😳
"C'est mon coeur qui commande, toujours. Il ignore les bons usages, il est intenable, intransigeant, pressé d'aimer."
J’ai eu beaucoup de mal à accrocher au début, surtout avec l’alternance des chapitres selon les époques et personnages principaux ; puis beaucoup de questions qui restent longtemps sans réponse. J’ai été très surprise par tout le mystère qui entoure Will. L’histoire reste malgré tout touchante.
J’ai soufflée à la fin VREUMEEEEEEENT. Je lui met un 3 parce que je pense que beaucoup de personne peuvent aimer mais c’était vraiment pas pour moi. Breen m’a tapé sur le système du début à la fin. J’étais prise dans l’histoire et partir de la page 300 (c’est long déjà) et la révélation m’a fait exploser de rire