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Vindicta
UN BRAQUAGE SOUS HAUTE TENSION
" On entre, on prend le fric, on ressort. Personne ne sera blessé. "
Leur plan est sans risque. Le bijoutier ne portera pas plainte pour le vol car son argent est d'origine illégale. Damien, Élie, Audrey et Driss s'imaginent avoir trouvé la réponse miracle à tous leurs problèmes.
UN FLIC EN CHUTE LIBRE
Fraîchement muté dans un groupe de surveillance, Olivier est loin d'imaginer que la planque qu'on lui a assignée fera de lui le témoin clé d'un cyclone meurtrier, dans le sillage d'un tueur glacial et méthodique que rien ne semble pouvoir arrêter. Des déserts du Moyen-Orient aux villes sombres et silencieuses du territoire français, quand la vindicte est en marche, plus rien ne peut vous sauver.
UNE TRAQUE HALETANTE SECOUÉE DE FAUSSES PISTES
Pur instrument de torture et de mort, il n'a pas de nom, pas de visage, l'habitude de tuer et un cimetière de cadavres derrière lui. Mais dans cette affaire, pas de contrat. Cette fois-ci
pour lui : c'est personnel.
Dans ce thriller crépusculaire, Cédric Sire joue comme jamais avec les nerfs du lecteur jusqu'à l'effroyable twist final et confirme son entrée tonitruante parmi les maîtres du thriller français.
" On entre, on prend le fric, on ressort. Personne ne sera blessé. "
Leur plan est sans risque. Le bijoutier ne portera pas plainte pour le vol car son argent est d'origine illégale. Damien, Élie, Audrey et Driss s'imaginent avoir trouvé la réponse miracle à tous leurs problèmes.
UN FLIC EN CHUTE LIBRE
Fraîchement muté dans un groupe de surveillance, Olivier est loin d'imaginer que la planque qu'on lui a assignée fera de lui le témoin clé d'un cyclone meurtrier, dans le sillage d'un tueur glacial et méthodique que rien ne semble pouvoir arrêter. Des déserts du Moyen-Orient aux villes sombres et silencieuses du territoire français, quand la vindicte est en marche, plus rien ne peut vous sauver.
UNE TRAQUE HALETANTE SECOUÉE DE FAUSSES PISTES
Pur instrument de torture et de mort, il n'a pas de nom, pas de visage, l'habitude de tuer et un cimetière de cadavres derrière lui. Mais dans cette affaire, pas de contrat. Cette fois-ci
pour lui : c'est personnel.
Dans ce thriller crépusculaire, Cédric Sire joue comme jamais avec les nerfs du lecteur jusqu'à l'effroyable twist final et confirme son entrée tonitruante parmi les maîtres du thriller français.
800 pages, Mass Market Paperback
Published May 19, 2021
13 people are currently reading
303 people want to read
About the author
Cédric Sire
13 books14 followersRomancier Toulousain né en 1974, Cédric Sire fait partie du cercle fermé des maîtres du thriller français contemporains.
Il est l’auteur de onze romans et de deux recueils de nouvelles, aux frontières du mystère et du frisson.
Lauréat du prix des lecteurs du Livre de Poche 2023 et du prix Méditerranée 2022 pour son thriller à suspense La Saignée.
Il a également reçu le prix Masterton pour L’enfant des cimetières, ainsi que le prestigieux prix Polar du festival de Cognac pour De fièvre et de sang.
Son thriller Survivantes est disponible aux éditions Michel Lafon et en version poche chez Le Livre de poche.
Ses livres sont traduits en plusieurs langues. Certains d'entre eux sont en cours d'adaptation télévisuelle. Ils remportent un grand succès critique comme public.
Cédric Sire est membre de La Ligue de l’Imaginaire, un collectif d’auteurs, scénaristes et réalisateurs.
Il est l’auteur de onze romans et de deux recueils de nouvelles, aux frontières du mystère et du frisson.
Lauréat du prix des lecteurs du Livre de Poche 2023 et du prix Méditerranée 2022 pour son thriller à suspense La Saignée.
Il a également reçu le prix Masterton pour L’enfant des cimetières, ainsi que le prestigieux prix Polar du festival de Cognac pour De fièvre et de sang.
Son thriller Survivantes est disponible aux éditions Michel Lafon et en version poche chez Le Livre de poche.
Ses livres sont traduits en plusieurs langues. Certains d'entre eux sont en cours d'adaptation télévisuelle. Ils remportent un grand succès critique comme public.
Cédric Sire est membre de La Ligue de l’Imaginaire, un collectif d’auteurs, scénaristes et réalisateurs.
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Community Reviews
Displaying 1 - 30 of 70 reviews
August 28, 2019
Globalement, c'est un bon thriller mais qui m'a un peu déçue. Je m'attendais à mieux de la part de l'auteur de "Du feu de l'enfer" qui a été un coup de cœur.
Ce qui a gâché mon plaisir de lecture c'est la présence de certains clichés, l'excès de violence, l'abondance d'hémoglobine et l’extrême endurance de certaines victimes, à tel point que certaines scènes en devenaient peu crédibles. Ce qui m'a le plus ennuyée c'est d'avoir deviné très vite qui était le "Slender Man", et la fin sans surprise du roman.
Ce qui a gâché mon plaisir de lecture c'est la présence de certains clichés, l'excès de violence, l'abondance d'hémoglobine et l’extrême endurance de certaines victimes, à tel point que certaines scènes en devenaient peu crédibles. Ce qui m'a le plus ennuyée c'est d'avoir deviné très vite qui était le "Slender Man", et la fin sans surprise du roman.
March 23, 2019
Impitoyable. Mémorable. Infernal.
Ce thriller est un gros coup de cœur scellé d’une main de maître par Cédric Sire ou Sire Cédric pour ceux, qui comme moi, le lisent depuis le début.
La scène du thriller français doit compter ce nom dans ses rangs.
Il confirme son talent.
Pour ceux qui hésite pas de fantastique dans ce livre.
Une spirale de destruction, un gouffre de vengeance toujours plus loin plus fort dans la violence.
Vindicta résonne comme un coup de tonnerre.
La grande faucheuse, le croque mitaine, le spectre est parmi nous.
Chronique à retrouver sur le blog dès la semaine prochaine.
Ce thriller est un gros coup de cœur scellé d’une main de maître par Cédric Sire ou Sire Cédric pour ceux, qui comme moi, le lisent depuis le début.
La scène du thriller français doit compter ce nom dans ses rangs.
Il confirme son talent.
Pour ceux qui hésite pas de fantastique dans ce livre.
Une spirale de destruction, un gouffre de vengeance toujours plus loin plus fort dans la violence.
Vindicta résonne comme un coup de tonnerre.
La grande faucheuse, le croque mitaine, le spectre est parmi nous.
Chronique à retrouver sur le blog dès la semaine prochaine.
July 24, 2023
Une intrigue addictif et surprenante ! L'enquête nous tient en haleine de bout en bout ! Nous donnant toutes les reponses sans même sans rendre compte !
March 21, 2019
Attendez-vous à un déferlement de chroniques sur le dernier livre de Cédric Sire. Son arrivée chez Métropolis, toute nouvelle maison d’édition annonce une programmation à faire pâlir certaines autres en recherche active de nouvelles têtes d’affiche. Pour un premier coup, c’est un coup de maître : ce roman est impossible à lâcher une fois ouvert. C’est vierge de toute attente que j’ai donc attaqué ce thriller, n’ayant jamais lu aucun livre de l’auteur avant celui-ci. Je ne vais donc pas vous parler de l’évolution de son écriture ni des raisons du changement de son patronyme, puisque je ne le connais pas.
Dans les grandes lignes, ce roman est l’histoire d’un braquage qui tourne mal. « On entre, on prend le fric, on ressort. Personne ne sera blessé ». Dès les premières pages, le lecteur sent que les choses ne vont se passer comme prévu. L’intrigue est conçue en entonnoir. Le roman commence dans plusieurs espaces temps, et dans différents lieux. J’ai aimé cette sensation d’être un peu perdue au milieu de nouveaux personnages qui apparaissent au gré des chapitres, puis disparaissent un certain temps, avant de revenir en force. Je trouve qu’ils sont très bien amenés et leur introduction progressive dans l’histoire permet un certain attachement. Ainsi, le duo de paumés Audrey/Damien, un peu losers fait pitié, mais suscite aussi beaucoup d’empathie en milieu de roman. Tous les chapitres mettant en scène « les assassins de la république », mercenaires d’une unité spéciale sont très réussis. L’écriture y est très cinématographique, le lecteur plonge dans un film de guerre, happé par le danger permanent de cette équipe en territoire hostile, dotée d’une furieuse envie de survivre. Enfin, le duo mère-fille est bien travaillé : Marie Drevoski et sa fille Valentine tentent de vivre une vie « normale » au milieu des mensonges et des secrets de famille. J’ai découvert cette figure du Slender Man, que je ne connaissais pas, qui ajoute une pointe contes et légendes au récit et qui vous fiche une peur bleue. Je me suis surprise à me retourner plusieurs fois croyant sentir une présence au-dessus de mon épaule… C’est vous dire à quel point j’étais à fond dans cette lecture, travaillant légèrement du chapeau.
Vous l’aurez compris, le roman tourne autour d’une enquête. Un braquage, puis des morts. Une question : Qui ? Réjouissez-vous les scènes de meurtres sont très créatives et fort bien décrites, vous n’allez rien rater, vous serez aux premières loges ! Vous penserez à moi en récitant votre Ave Maria : « et le fruit de vos entrailles est béni. » De quoi en rêver la nuit si vous parvenez encore à vous endormir. Au-delà d’une plongée vertigineuse dans le milieu de la police, une rivalité entre services, une critique assez acerbe du mode de fonctionnement des petits chefaillons qui ne voient que leur intérêt d’enquête ou leurs chiffres en fin de mois, Cédric Sire met en scène un flic, Olivier Salva, mis au placard, mais dont le sang bouillonne encore un peu. Il a un certain sens de l’éthique, une morale et la dose nécessaire de défiance qui manque aux autres pour braver les ordres de sa hiérarchie. Vous verrez c’est un personnage attachant. J’ai beaucoup aimé les apartés en zone de conflits et le développement du syndrome post-traumatique qui découle de cette équipe de tueurs professionnels, entraînés pour devenir des bêtes à exterminer, dénués de toute émotion, sans identité, se déplaçant comme des spectres.
Mais Vindicta c’est avant tout une histoire de vengeance, une victime qui se trouvait au mauvais endroit au mauvais moment, et l’escalade qui en découle impossible à arrêter. L’atmosphère oppressante qui s’en dégage ne vous laisse aucun instant de répit, provoque l’impossibilité de respirer, le besoin impératif de tourner les pages pour connaître le dénouement. Une belle progression de l’intrigue, une excellente maîtrise des scènes d’action et des éléments d’enquête vont ravir les adeptes de thrillers et devraient permettre aux amateurs du genre d’en tirer un grand plaisir de lecture.
Je remercie les éditions Métropolis et Giuliano Saldicco en particulier pour leur confiance et leur souhaite bon vent dans cette nouvelle aventure. C’est très bien parti, baptême du feu réussi !
Dans les grandes lignes, ce roman est l’histoire d’un braquage qui tourne mal. « On entre, on prend le fric, on ressort. Personne ne sera blessé ». Dès les premières pages, le lecteur sent que les choses ne vont se passer comme prévu. L’intrigue est conçue en entonnoir. Le roman commence dans plusieurs espaces temps, et dans différents lieux. J’ai aimé cette sensation d’être un peu perdue au milieu de nouveaux personnages qui apparaissent au gré des chapitres, puis disparaissent un certain temps, avant de revenir en force. Je trouve qu’ils sont très bien amenés et leur introduction progressive dans l’histoire permet un certain attachement. Ainsi, le duo de paumés Audrey/Damien, un peu losers fait pitié, mais suscite aussi beaucoup d’empathie en milieu de roman. Tous les chapitres mettant en scène « les assassins de la république », mercenaires d’une unité spéciale sont très réussis. L’écriture y est très cinématographique, le lecteur plonge dans un film de guerre, happé par le danger permanent de cette équipe en territoire hostile, dotée d’une furieuse envie de survivre. Enfin, le duo mère-fille est bien travaillé : Marie Drevoski et sa fille Valentine tentent de vivre une vie « normale » au milieu des mensonges et des secrets de famille. J’ai découvert cette figure du Slender Man, que je ne connaissais pas, qui ajoute une pointe contes et légendes au récit et qui vous fiche une peur bleue. Je me suis surprise à me retourner plusieurs fois croyant sentir une présence au-dessus de mon épaule… C’est vous dire à quel point j’étais à fond dans cette lecture, travaillant légèrement du chapeau.
Vous l’aurez compris, le roman tourne autour d’une enquête. Un braquage, puis des morts. Une question : Qui ? Réjouissez-vous les scènes de meurtres sont très créatives et fort bien décrites, vous n’allez rien rater, vous serez aux premières loges ! Vous penserez à moi en récitant votre Ave Maria : « et le fruit de vos entrailles est béni. » De quoi en rêver la nuit si vous parvenez encore à vous endormir. Au-delà d’une plongée vertigineuse dans le milieu de la police, une rivalité entre services, une critique assez acerbe du mode de fonctionnement des petits chefaillons qui ne voient que leur intérêt d’enquête ou leurs chiffres en fin de mois, Cédric Sire met en scène un flic, Olivier Salva, mis au placard, mais dont le sang bouillonne encore un peu. Il a un certain sens de l’éthique, une morale et la dose nécessaire de défiance qui manque aux autres pour braver les ordres de sa hiérarchie. Vous verrez c’est un personnage attachant. J’ai beaucoup aimé les apartés en zone de conflits et le développement du syndrome post-traumatique qui découle de cette équipe de tueurs professionnels, entraînés pour devenir des bêtes à exterminer, dénués de toute émotion, sans identité, se déplaçant comme des spectres.
Mais Vindicta c’est avant tout une histoire de vengeance, une victime qui se trouvait au mauvais endroit au mauvais moment, et l’escalade qui en découle impossible à arrêter. L’atmosphère oppressante qui s’en dégage ne vous laisse aucun instant de répit, provoque l’impossibilité de respirer, le besoin impératif de tourner les pages pour connaître le dénouement. Une belle progression de l’intrigue, une excellente maîtrise des scènes d’action et des éléments d’enquête vont ravir les adeptes de thrillers et devraient permettre aux amateurs du genre d’en tirer un grand plaisir de lecture.
Je remercie les éditions Métropolis et Giuliano Saldicco en particulier pour leur confiance et leur souhaite bon vent dans cette nouvelle aventure. C’est très bien parti, baptême du feu réussi !
September 26, 2019
On se retrouve aujourd’hui avec Vindicta, le dernier Cédric Sire, édité aux éditions Métropolis en mars dernier. Déjà dans son roman précédent, Du feu de l’enfer, l’auteur avait amorcé un certain virage en nous proposant un roman exempt de tout élément fantastique. Il confirme et il nous revient aujourd’hui avec un nouveau pseudo, Cédric Sire - cela ne change pas grand chose mais ça a l’air d’être important pour lui, alors ma foi... - et au sein d’une nouvelle maison d’édition.
Vindicta, c’est l’histoire d’un braquage qui a mal tourné. L’histoire d’une mère célibataire qui perd sa petite fille de sept ans sous les roues des braqueurs en cavale. L’histoire d’un tueur désaxé qui se met en tête de leur faire payer ce crime abominable et d’un flic véreux qui le pourchasse pour des raisons assez troubles. Ça commence comme un polar noir endiablé et ça se poursuit comme un de ces thrillers gores et violents dont l’auteur a le secret.
Le récit met en scène de nombreux personnages, à commencer par les quatre jeunes braqueurs, des gens un peu paumés qui croient faire fortune en un seul coup de maître. Vindicta, c’est leur descente aux enfers, tout simplement. On suit aussi Marie, la mère de la petite fille renversée, anéantie, sous le charme de laquelle Salva va tomber, au point de se lancer dans une enquête que personne ne lui a demandée, bien au contraire. Et puis le tueur, un spectre, un fantôme, presque une légende urbaine.
C’est une histoire très sombre, qui nous confronte à des personnages prêts à tout pour atteindre leurs objectifs : richesse, pouvoir, survie, vengeance aussi. Attention, âmes sensibles s’abstenir ! Je lis beaucoup de thriller et je suis habituée aux descriptions assez crues de ce qu’un tueur peut faire subir à un corps, mais il faut reconnaître que l’auteur s’est surpassé ! La plume est incisive, elle ne nous épargne rien. L’intrigue est dynamique, les retournements de situation nombreux et j’ai beaucoup aimé.
Pourtant, ce n’est pas un coup de cœur, pas même mon livre préféré de l’auteur. La raison en est simple : les personnages n’ont pas déclenché grande empathie en moi. Pas plus ces jeunes braqueurs qui croient au Père Noël, que cette mère étrange pourtant anéantie par la mort de sa fille ou ce flic véreux en quête de rédemption. Il m’a manqué quelque chose, une étincelle pour me raccrocher à cette histoire et me sentir vraiment concernée.
Un roman bluffant, dynamique et efficace mais dont les personnages n’ont malheureusement pas su réellement me toucher. Dans toute cette violence, il m’a quand même manqué une part d’humanité...
Vindicta, c’est l’histoire d’un braquage qui a mal tourné. L’histoire d’une mère célibataire qui perd sa petite fille de sept ans sous les roues des braqueurs en cavale. L’histoire d’un tueur désaxé qui se met en tête de leur faire payer ce crime abominable et d’un flic véreux qui le pourchasse pour des raisons assez troubles. Ça commence comme un polar noir endiablé et ça se poursuit comme un de ces thrillers gores et violents dont l’auteur a le secret.
Le récit met en scène de nombreux personnages, à commencer par les quatre jeunes braqueurs, des gens un peu paumés qui croient faire fortune en un seul coup de maître. Vindicta, c’est leur descente aux enfers, tout simplement. On suit aussi Marie, la mère de la petite fille renversée, anéantie, sous le charme de laquelle Salva va tomber, au point de se lancer dans une enquête que personne ne lui a demandée, bien au contraire. Et puis le tueur, un spectre, un fantôme, presque une légende urbaine.
C’est une histoire très sombre, qui nous confronte à des personnages prêts à tout pour atteindre leurs objectifs : richesse, pouvoir, survie, vengeance aussi. Attention, âmes sensibles s’abstenir ! Je lis beaucoup de thriller et je suis habituée aux descriptions assez crues de ce qu’un tueur peut faire subir à un corps, mais il faut reconnaître que l’auteur s’est surpassé ! La plume est incisive, elle ne nous épargne rien. L’intrigue est dynamique, les retournements de situation nombreux et j’ai beaucoup aimé.
Pourtant, ce n’est pas un coup de cœur, pas même mon livre préféré de l’auteur. La raison en est simple : les personnages n’ont pas déclenché grande empathie en moi. Pas plus ces jeunes braqueurs qui croient au Père Noël, que cette mère étrange pourtant anéantie par la mort de sa fille ou ce flic véreux en quête de rédemption. Il m’a manqué quelque chose, une étincelle pour me raccrocher à cette histoire et me sentir vraiment concernée.
Un roman bluffant, dynamique et efficace mais dont les personnages n’ont malheureusement pas su réellement me toucher. Dans toute cette violence, il m’a quand même manqué une part d’humanité...
December 13, 2021
Honnêtement... Je voulais laisser la lecture tout au milieu du livre. Il y avait une baisse de rhytme notable dans la première moitié, l'auteur voulait garder toutes les surprises pour la deuxième partie. Il a habilement assemblé les pièces de son puzzle, et dans les derniers chapitres je voulais revenir aux premiers pour mieux cerner les traits de caractère de chaque personnage.
Je suis tellement contente d'avoir continué jusqu'au bout. Cédric Sire a mis en vue des sujets très importants qui sont la pluspart du temps négligés, à savoir le destin des militaires entraînés pour des missions secrètes.
Ayant participé à des carnages les plus inhumains, quel est la place des militaires dans la société? Est-ce qu'ils peuvent continuer à vivre tranquillement sans causer des problèmes aux autres ?
Est-ce que c'est juste et humain d'anéantir les militaires qui ne sont que des machines de guerres? Les gens qui se sont voués à leur pays...
Je suis tellement contente d'avoir continué jusqu'au bout. Cédric Sire a mis en vue des sujets très importants qui sont la pluspart du temps négligés, à savoir le destin des militaires entraînés pour des missions secrètes.
Ayant participé à des carnages les plus inhumains, quel est la place des militaires dans la société? Est-ce qu'ils peuvent continuer à vivre tranquillement sans causer des problèmes aux autres ?
Est-ce que c'est juste et humain d'anéantir les militaires qui ne sont que des machines de guerres? Les gens qui se sont voués à leur pays...
December 3, 2021
Mon premier Cédric Sire et j'ai beaucoup apprécié ! Je m'attendais pas à ce coupable donc j'ai aimé la surprise ^^
May 8, 2025
Cela se lit bien, c’est divertissant mais sans plus.
J’avais tout deviné quasiment au 1er quart du livre (sur 780 pages) …
J’avais tout deviné quasiment au 1er quart du livre (sur 780 pages) …
February 18, 2024
Incroyable livre, assez violent et gore mais impossible à lâcher. Je ne m’attendais pas une seule seconde au twist. Je recommande vraiment.
March 10, 2019
Palpitant. Haletant. Hautement addictif. Une descente aux enfers qu'on ne peut pas lâcher avant la dernière page. Un excellent Cédric Sire.
October 16, 2023
Incroyablement diabolique et sombre, ce thriller va vous retourner le cerveau en plus de l’estomac. Après ma panne de lecture j’avais besoin de retourner aux sources avec un bon thriller, autant vous dire que je n’ai pas été déçue.
Je me suis rabibochée avec l’auteur, dans celui ci pas de fantastique (quoiqu’un petit coucou au mythe du Slander Man). Les chapitres sont courts mais denses avec le style et la plume de Sire qui nous enivrent. Le récit commence calmement pour partir dans les tours de la cacophonie et du machiavélisme. C’est très gore et détaillé, à se demander si l’auteur n’a lui même pas pratiqué ces tortures pendant son temps libre.
On retrouve des personnages loin d’être parfaits oscillant entre dépendance, traumatisme et vice. C’est un regard sur la complexité de l’être humain, chaque protagoniste important est travaillé comme il faut, qu’on les aime ou qu’on les déteste on ne peut pas s’empêcher d’avoir un brin d’empathie pour eux.
En bref, nous voilà plongé dans une histoire haletante et angoissante. L’intrigue et les rebondissements vont vous faire tourner les pages, vous n’allez plus vouloir lâcher ce livre tant l’intensité de l’histoire va vous prendre aux tripes.
Je me suis rabibochée avec l’auteur, dans celui ci pas de fantastique (quoiqu’un petit coucou au mythe du Slander Man). Les chapitres sont courts mais denses avec le style et la plume de Sire qui nous enivrent. Le récit commence calmement pour partir dans les tours de la cacophonie et du machiavélisme. C’est très gore et détaillé, à se demander si l’auteur n’a lui même pas pratiqué ces tortures pendant son temps libre.
On retrouve des personnages loin d’être parfaits oscillant entre dépendance, traumatisme et vice. C’est un regard sur la complexité de l’être humain, chaque protagoniste important est travaillé comme il faut, qu’on les aime ou qu’on les déteste on ne peut pas s’empêcher d’avoir un brin d’empathie pour eux.
En bref, nous voilà plongé dans une histoire haletante et angoissante. L’intrigue et les rebondissements vont vous faire tourner les pages, vous n’allez plus vouloir lâcher ce livre tant l’intensité de l’histoire va vous prendre aux tripes.
April 10, 2019
Le début un peu lent et "sage", ne ressemble pas vraiment à ce à quoi Sire Cédric a habitué ses lecteurs. Soit, changement de pseudo, changement de maison d'édition donc changement de style. Pourquoi pas, après tout?
Aaaaahhh, femme de peu de foi que je suis! C'est bien mal connaître cet auteur que je lis pourtant depuis plusieurs années maintenant.
Ça commence par un braquage qui tourne mal, orchestré par une bande de jeunes inexpérimentés, ça se termine dans un bain de sang à la tête duquel se situe un tueur qui est la définition même du sociopathe.
Fan de Sire Cédric, vous retrouverez bien là votre auteur préféré qui nous a mitonné un thriller aux petits oignons. Pour les lecteurs qui découvrent son univers, j'espère que vous avez le cœur bien accroché et que vous aimez les crimes sanglants. Cédric Sire se surpasse à chaque nouveau livre pour trouver de nouveaux moyens pour torturer ses personnages (et ses lecteurs).
Avec toujours sa "patte", un personnage principal torturé, borderline, à la limite de la légalité, loin des héros lisses qu'on trouve souvent dans les livres.
Bref, aucun doute à avoir, c'est bien le dernier Sire Cédric (ou Cédric Sire maintenant) qu'on a entre les mains. Et c'est certain quel que soit son pseudo ou sa ME, je resterai fidèle au poste!
Aaaaahhh, femme de peu de foi que je suis! C'est bien mal connaître cet auteur que je lis pourtant depuis plusieurs années maintenant.
Ça commence par un braquage qui tourne mal, orchestré par une bande de jeunes inexpérimentés, ça se termine dans un bain de sang à la tête duquel se situe un tueur qui est la définition même du sociopathe.
Fan de Sire Cédric, vous retrouverez bien là votre auteur préféré qui nous a mitonné un thriller aux petits oignons. Pour les lecteurs qui découvrent son univers, j'espère que vous avez le cœur bien accroché et que vous aimez les crimes sanglants. Cédric Sire se surpasse à chaque nouveau livre pour trouver de nouveaux moyens pour torturer ses personnages (et ses lecteurs).
Avec toujours sa "patte", un personnage principal torturé, borderline, à la limite de la légalité, loin des héros lisses qu'on trouve souvent dans les livres.
Bref, aucun doute à avoir, c'est bien le dernier Sire Cédric (ou Cédric Sire maintenant) qu'on a entre les mains. Et c'est certain quel que soit son pseudo ou sa ME, je resterai fidèle au poste!
June 15, 2019
Résumé Vindicta de Cédric Sire
Quatre jeunes gens, dont Audrey et Damien se préparent à changer de vie. Ils pensent avoir toutes les cartes en main. Damien ne force pas Audrey mais elle aime le garçon et ils feront tout ensemble.
Valentine interroge, encore et toujours, sa mère sur son père. Mais la jeune femme est inflexible. Elle ne dit rien car elle avoue avoir énormément à cacher. Valentine doit être gardée par une jeune fille mais, pour une fois, elle ne veut pas y aller. Pourtant, elle partira.
Avis Vindicta de Cédric Sire
Un changement de pseudo ou plutôt un premier pseudo inversé. Fini Sire Cédric, place à Cédric Sire. Je n’avais pas fait attention, c’est ma fille qui s’en est aperçue. Comme quoi, je ne fais pas souvent attention. Mais en lisant la dernière page, j’ai eu mon explication. Qu’est-ce que cela change ? Pas grand chose. Sauf que Cédric Sire devient de plus en plus un des maîtres du thriller français. Ce roman est hautement addictif. Personnellement, je n’ai rien vu venir quant à l’identité de ce tueur qui se venge de la mort de cette petite fille, Valentine, qui assassine, avec des sévices incroyables, tous ceux qui sont en responsables. Des surprises à pratiquement chaque page, sur des chapitres très courts.
Une planque pour tenter d’avoir des informations quant à un avocat véreux, mais on doit juste prendre des photos et ne pas sortir du véhicule. Quatre jeunes qui se préparent pour tenter le coup du siècle pour eux. Mais voilà, tout ne se passe pas comme prévu. Le bijoutier agressé et même blessé, tire des coups de feu contre le conducteur des véhicules des jeunes gens. C’est donc la jeune fille qui prend le volant et pour échapper à la police, doit monter sur un trottoir à toute allure. L’accident survient. Une petite fille est fauchée. Salva, qui voit le drame se dérouler sous ses yeux, ne peut pas se résoudre à ne rien faire. Il se rend au chevet de la petite fille jusqu’à l’arrivée des secours. Et là, tout s’enchaine.
La souffrance, autant physique que psychologique, émaille ce roman et pour de nombreux personnages et il faut avoir le coeur bien accroché à certains moments, surtout pour ceux qui n’aiment pas le gore en matière d’assassinats. Le personnage de Marie qui, on le sait très vite, a de nombreuses choses à cacher. Mais lesquelles ? Je ne m’attendais pas à ce que va nous révéler Cédric Sire. Audrey a fui un père alcoolique et qui lui a infligé des sévices sexuels. Elle pense avoir trouvé l’amour avec Damien mais les conséquences de leur acte vont changer, au plus profond, cette jeune fille. Elle va culpabiliser. Elle veut prendre ses responsabilités face à de drame car elle en a trop sur la conscience. On pense de suite au suicide. On sent qu’elle n’a pas fini de subir ses actes, surtout que pour tenter de survivre, elle va devoir révéler une facette encore plus sombre. Salva peut comprendre sa mise au placard puisqu’il n’a pas été franc dans son métier de policier. Mais il ne comprend pas qu’on puisse cacher des indices aux autres forces de police pour tenter de gagner de la reconnaissance. Alors, oui, il se drogue. Alors, oui, il va faire cavalier seul, il va encore une fois mentir et ce plusieurs fois car il veut que les coupables soient arrêtés ou sauvés. Cédric Sire va en faire un sacré héros, tout de même.
En ce moment, je lis des romans qui ont des références à ce que j’ai pu lire ou voir auparavant. C’est le cas de Slender Man pour évoquer ce tueur de l’ombre, qui se venge. Slender Man est à l’origine de la tentative de meurtre d’une jeune écolière par deux de ses camarades. Cette affaire a fait grand bruit aux Etats-Unis, il y a quelques années. Je ne sais pas si cette référence à Henri Loevenbruck et J’irai tuer pour vous va plaire à Cédric Sire. Mais cette faction de l’armée, imaginée par l’auteur, qui va aller tuer dans des pays en guerre, sans que le gouvernement français ne soit au courant, m’a fait penser au roman, plutôt biographie romancée, de Loevenbruck. Mais cela s’arrête là. Un homme, un officier gradé est à l’origine de cette faction. Il les a formés, a révélé le plus sombre d’eux, sans toutefois les accompagner réellement dans leurs actes répréhensibles, qui ont viré au carnage. Ils étaient seuls mêmes s’ils ont tenté de se serrer les coudes.
Les grands chapitres de ce roman sont, eux aussi, toute une histoire et sont un avant-goût de ce qui va se passer : Passage(s) à l’acte, Irréversible, Un par un, Précipice, Des noeuds de vipères, Crépuscule, Châtiments, Face à face. Quant aux autres chapitres, ils sont courts, ils démontrent l’urgence, les révélations. Le rythme est haletant. Les mots sont durs, bruts, abrupts. Cédric Sire joue avec les mots car ils ont une réelle signification au fil des pages. Ce que l’on croit, au fil de la lecture, sera contrebalancé par les dernières pages qui vont tout révéler.
Même si je donne la note maximale à ce livre, je tiens à mettre un petit bémol quant aux quelques fautes, peu nombreuses toutefois, qui n’ont pas été corrigées après les nombreuses relectures et avant l’impression.
Quatre jeunes gens, dont Audrey et Damien se préparent à changer de vie. Ils pensent avoir toutes les cartes en main. Damien ne force pas Audrey mais elle aime le garçon et ils feront tout ensemble.
Valentine interroge, encore et toujours, sa mère sur son père. Mais la jeune femme est inflexible. Elle ne dit rien car elle avoue avoir énormément à cacher. Valentine doit être gardée par une jeune fille mais, pour une fois, elle ne veut pas y aller. Pourtant, elle partira.
Avis Vindicta de Cédric Sire
Un changement de pseudo ou plutôt un premier pseudo inversé. Fini Sire Cédric, place à Cédric Sire. Je n’avais pas fait attention, c’est ma fille qui s’en est aperçue. Comme quoi, je ne fais pas souvent attention. Mais en lisant la dernière page, j’ai eu mon explication. Qu’est-ce que cela change ? Pas grand chose. Sauf que Cédric Sire devient de plus en plus un des maîtres du thriller français. Ce roman est hautement addictif. Personnellement, je n’ai rien vu venir quant à l’identité de ce tueur qui se venge de la mort de cette petite fille, Valentine, qui assassine, avec des sévices incroyables, tous ceux qui sont en responsables. Des surprises à pratiquement chaque page, sur des chapitres très courts.
Une planque pour tenter d’avoir des informations quant à un avocat véreux, mais on doit juste prendre des photos et ne pas sortir du véhicule. Quatre jeunes qui se préparent pour tenter le coup du siècle pour eux. Mais voilà, tout ne se passe pas comme prévu. Le bijoutier agressé et même blessé, tire des coups de feu contre le conducteur des véhicules des jeunes gens. C’est donc la jeune fille qui prend le volant et pour échapper à la police, doit monter sur un trottoir à toute allure. L’accident survient. Une petite fille est fauchée. Salva, qui voit le drame se dérouler sous ses yeux, ne peut pas se résoudre à ne rien faire. Il se rend au chevet de la petite fille jusqu’à l’arrivée des secours. Et là, tout s’enchaine.
La souffrance, autant physique que psychologique, émaille ce roman et pour de nombreux personnages et il faut avoir le coeur bien accroché à certains moments, surtout pour ceux qui n’aiment pas le gore en matière d’assassinats. Le personnage de Marie qui, on le sait très vite, a de nombreuses choses à cacher. Mais lesquelles ? Je ne m’attendais pas à ce que va nous révéler Cédric Sire. Audrey a fui un père alcoolique et qui lui a infligé des sévices sexuels. Elle pense avoir trouvé l’amour avec Damien mais les conséquences de leur acte vont changer, au plus profond, cette jeune fille. Elle va culpabiliser. Elle veut prendre ses responsabilités face à de drame car elle en a trop sur la conscience. On pense de suite au suicide. On sent qu’elle n’a pas fini de subir ses actes, surtout que pour tenter de survivre, elle va devoir révéler une facette encore plus sombre. Salva peut comprendre sa mise au placard puisqu’il n’a pas été franc dans son métier de policier. Mais il ne comprend pas qu’on puisse cacher des indices aux autres forces de police pour tenter de gagner de la reconnaissance. Alors, oui, il se drogue. Alors, oui, il va faire cavalier seul, il va encore une fois mentir et ce plusieurs fois car il veut que les coupables soient arrêtés ou sauvés. Cédric Sire va en faire un sacré héros, tout de même.
En ce moment, je lis des romans qui ont des références à ce que j’ai pu lire ou voir auparavant. C’est le cas de Slender Man pour évoquer ce tueur de l’ombre, qui se venge. Slender Man est à l’origine de la tentative de meurtre d’une jeune écolière par deux de ses camarades. Cette affaire a fait grand bruit aux Etats-Unis, il y a quelques années. Je ne sais pas si cette référence à Henri Loevenbruck et J’irai tuer pour vous va plaire à Cédric Sire. Mais cette faction de l’armée, imaginée par l’auteur, qui va aller tuer dans des pays en guerre, sans que le gouvernement français ne soit au courant, m’a fait penser au roman, plutôt biographie romancée, de Loevenbruck. Mais cela s’arrête là. Un homme, un officier gradé est à l’origine de cette faction. Il les a formés, a révélé le plus sombre d’eux, sans toutefois les accompagner réellement dans leurs actes répréhensibles, qui ont viré au carnage. Ils étaient seuls mêmes s’ils ont tenté de se serrer les coudes.
Les grands chapitres de ce roman sont, eux aussi, toute une histoire et sont un avant-goût de ce qui va se passer : Passage(s) à l’acte, Irréversible, Un par un, Précipice, Des noeuds de vipères, Crépuscule, Châtiments, Face à face. Quant aux autres chapitres, ils sont courts, ils démontrent l’urgence, les révélations. Le rythme est haletant. Les mots sont durs, bruts, abrupts. Cédric Sire joue avec les mots car ils ont une réelle signification au fil des pages. Ce que l’on croit, au fil de la lecture, sera contrebalancé par les dernières pages qui vont tout révéler.
Même si je donne la note maximale à ce livre, je tiens à mettre un petit bémol quant aux quelques fautes, peu nombreuses toutefois, qui n’ont pas été corrigées après les nombreuses relectures et avant l’impression.
April 2, 2025
2ème relecture de ce roman après la lecture intiale à l'achat de ce roman "poche".
Concernant l'histoire.
Je n'ai rien à reprocher à Mr Sire. Sa plume franche, directe, assassine, sanglante, cruelle et crue.
L'histoire est bien construite entre ce qu'il se passe "maintenant" et les flashbacks pour mieux se mettre dans la tête du tueur.
On a qu'une envie, tourner les pages pour connaître la suite.
Le thème principal est la vengeance.
Il est vrai qu'au regard de certains actes, la justice venant du monde judiciaire est clairement insuffisante pour certains crimes. Les victimes prennent toujours perpet' alors que les accusés partent à l’hôtel, pardon en prison (et encore ...).
Les "hautes têtes" vivent dans leurs pays de Bisounours sans penser à ceux qui restent.
De nos jours et dans le monde réel, avec tous les faits divers, le sentiment d'absence de justice se ressent de plus en plus. On donne des "peines" illusoires et les juges pensent que les criminels en tirent des leçons. Si c'était le cas, la "récidive" ne serait pas au programme du code pénal.
"La vengeance est un plat qui se mange froid .. et plus, il est glacial, meilleur il est".
Un thème rencontré: la trahison.
Je pense qu'humainement parlant, avec les mensonges, ce sont les pires que l'on peut encaisser.
- Quelques personnages:
J'avais oublié que c'était un des rares livres de Cédric Sire pour lequel mon empathie ne vole pas toujours très haut envers les personnages. Contrairement à "Manon" dans le roman "Du feu de l'enfer" où elle s'est retrouvée dans une situation catastrophique meurtrière à cause de son écervelé/égoïste de frère.
** Les 4 imbéciles à l'origine de l'accident qui a tué Valentine => J'ai beau me forcer, je n'y arrive pas beaucoup.
Audrey, pour ne citer qu'elle, n'est clairement pas bien entourée. Certes, fille battue/maltraitée par ses parents et ses mauvais choix d'entourage extra-familial => Elle n'est pas très maligne non plus.
L'auteur ne l'a pas ratée lol.
En revanche et paradoxalement, elle est la seule du groupe à mesurer la portée/les conséquences de leurs actes.
Les garçons => pas spécialement envie de m'étendre sur eux tellement leur niveau de crétinerie est "High level" mais de là à "mériter ce qui leur arrive", je n'irai pas jusqu'à là quand même.
- Olivier Salva.
C'est dommage car c'est un bon policier qui a de bonnes intuitions et bonnes capacités de déductions, il ne fait que de mauvais choix en bien comme en mal.
Stupidité? naïveté? Cupidité?
Ce qui l'a poussé à être "mis au placard". C'est triste même.
(En même temps, il aurait fait une bonne action au début du roman, l'histoire se terminait au bout de 30 pages lol).
Même si son but est honorable => prévenir et sauver les 4 abrutis, il n'emprunte pas toujours le bon chemin.
- Le collègue direct de Salva et leur supérieur dans le service
De véritables policiers ratés et incompétents (contrairement à Salva). A la lecture du roman, je n'ai pu m'empêcher de me délecter les passages où ils sont bien remis à leurs places.
Leur bêtise est sans limite quitte à court-circuiter le travail de leurs collègues, beaucoup plus efficaces qu'eux.
- Valentine (7ans) :
Elle est la véritable victime de l'histoire.
Elle vit, sans le savoir, dans une vie mensongère depuis sa naissance.
Dans un sens, elle est partie (certes beaucoup trop tôt) en ignorant quel monstre est sa mère.
- Marie/Le Spectre/Uriel/slender Man.
Ancienne membre d'un commandement de mercenaires français.
Dressée, entrainée à tuer sans remord.
Véritable psychopathe en puissance .. Elle était déjà bien tordue à l'époque où elle était dans l'armée.
Et encore, "tordue", elle était mauvaise disons le clairement, il n'y a pas d'autre mot. Au début, elle a été couverte par sa hiérarchie mais cette dernière n'a pas pu "occulter" les actes barbaries commis par Marie sur le long terme. D'où, entre autre, la destruction d'une partie du commando.
Elle se cache derrière la profession honorable d'écrivain pour enfants .. et en activité accessoire, tueuse à gages ...
En la tuant, la liste des victimes des contrats de tueurs à gages s'arrête d'augmenter.
Est-ce que Valentine était réellement " une bouée de sauvetage"? ou elle se mentait à elle-même? Les personnes dénuée d'empathie ne fonctionnent pas à la carte.
Concernant l'histoire.
Je n'ai rien à reprocher à Mr Sire. Sa plume franche, directe, assassine, sanglante, cruelle et crue.
L'histoire est bien construite entre ce qu'il se passe "maintenant" et les flashbacks pour mieux se mettre dans la tête du tueur.
On a qu'une envie, tourner les pages pour connaître la suite.
Le thème principal est la vengeance.
Il est vrai qu'au regard de certains actes, la justice venant du monde judiciaire est clairement insuffisante pour certains crimes. Les victimes prennent toujours perpet' alors que les accusés partent à l’hôtel, pardon en prison (et encore ...).
Les "hautes têtes" vivent dans leurs pays de Bisounours sans penser à ceux qui restent.
De nos jours et dans le monde réel, avec tous les faits divers, le sentiment d'absence de justice se ressent de plus en plus. On donne des "peines" illusoires et les juges pensent que les criminels en tirent des leçons. Si c'était le cas, la "récidive" ne serait pas au programme du code pénal.
"La vengeance est un plat qui se mange froid .. et plus, il est glacial, meilleur il est".
Un thème rencontré: la trahison.
Je pense qu'humainement parlant, avec les mensonges, ce sont les pires que l'on peut encaisser.
- Quelques personnages:
J'avais oublié que c'était un des rares livres de Cédric Sire pour lequel mon empathie ne vole pas toujours très haut envers les personnages. Contrairement à "Manon" dans le roman "Du feu de l'enfer" où elle s'est retrouvée dans une situation catastrophique meurtrière à cause de son écervelé/égoïste de frère.
** Les 4 imbéciles à l'origine de l'accident qui a tué Valentine => J'ai beau me forcer, je n'y arrive pas beaucoup.
Audrey, pour ne citer qu'elle, n'est clairement pas bien entourée. Certes, fille battue/maltraitée par ses parents et ses mauvais choix d'entourage extra-familial => Elle n'est pas très maligne non plus.
L'auteur ne l'a pas ratée lol.
En revanche et paradoxalement, elle est la seule du groupe à mesurer la portée/les conséquences de leurs actes.
Les garçons => pas spécialement envie de m'étendre sur eux tellement leur niveau de crétinerie est "High level" mais de là à "mériter ce qui leur arrive", je n'irai pas jusqu'à là quand même.
- Olivier Salva.
C'est dommage car c'est un bon policier qui a de bonnes intuitions et bonnes capacités de déductions, il ne fait que de mauvais choix en bien comme en mal.
Stupidité? naïveté? Cupidité?
Ce qui l'a poussé à être "mis au placard". C'est triste même.
(En même temps, il aurait fait une bonne action au début du roman, l'histoire se terminait au bout de 30 pages lol).
Même si son but est honorable => prévenir et sauver les 4 abrutis, il n'emprunte pas toujours le bon chemin.
- Le collègue direct de Salva et leur supérieur dans le service
De véritables policiers ratés et incompétents (contrairement à Salva). A la lecture du roman, je n'ai pu m'empêcher de me délecter les passages où ils sont bien remis à leurs places.
Leur bêtise est sans limite quitte à court-circuiter le travail de leurs collègues, beaucoup plus efficaces qu'eux.
- Valentine (7ans) :
Elle est la véritable victime de l'histoire.
Elle vit, sans le savoir, dans une vie mensongère depuis sa naissance.
Dans un sens, elle est partie (certes beaucoup trop tôt) en ignorant quel monstre est sa mère.
- Marie/Le Spectre/Uriel/slender Man.
Ancienne membre d'un commandement de mercenaires français.
Dressée, entrainée à tuer sans remord.
Véritable psychopathe en puissance .. Elle était déjà bien tordue à l'époque où elle était dans l'armée.
Et encore, "tordue", elle était mauvaise disons le clairement, il n'y a pas d'autre mot. Au début, elle a été couverte par sa hiérarchie mais cette dernière n'a pas pu "occulter" les actes barbaries commis par Marie sur le long terme. D'où, entre autre, la destruction d'une partie du commando.
Elle se cache derrière la profession honorable d'écrivain pour enfants .. et en activité accessoire, tueuse à gages ...
En la tuant, la liste des victimes des contrats de tueurs à gages s'arrête d'augmenter.
Est-ce que Valentine était réellement " une bouée de sauvetage"? ou elle se mentait à elle-même? Les personnes dénuée d'empathie ne fonctionnent pas à la carte.
This entire review has been hidden because of spoilers.
March 28, 2020
Bam ! La claque !!!! Une fois encore, Cédric a su m’accrocher du début à la fin et me retourner la tête !
On alterne entre l’histoire de ces quatre jeunes qui veulent braquer un bijoutier ripoux, une femme célibataire qui semble fuir son passé et ne vit que pour sa fille, un tueur sans visage et sans pitié, un flic perdu et sur le point de finir au placard, et quelques sauts dans le passé gore et douloureux de militaires membres d’une unité plus que secrète. Quel sera le lien entre tous ces personnages ?
J’adore ce genre d’histoires avec des destins croisés et où l’on se demande à chaque moment quand est-ce qu’ils vont se croiser, et surtout : comment ça va finir !!!
Chaque personnage est travaillé et l’auteur nous attire sans problème dans son univers, même lorsqu’il ne dévoile pas grand chose. Je me suis attachée autant à ces gamins qui ont fait une connerie, qu’à cette femme désespérée, ce flic pas très net et même ce tueur complètement taré.
Il y a des scènes douloureuses et d’autres difficilement soutenable pour l’estomac. Comme toujours c’est hyper visuel, je pouvais presque sentir l’odeur métallique du sang. J’ADORE !!! C’est un auteur qui n’a pas peur d’aller au bout de ses idées. J’ai envie de dire qu’avec Cédric Sire, on sait qu’on en aura pour notre argent ! (façon de parler) Donc âmes sensibles s’abstenir !
Quand j’en avais parlé avec lui, il était très fier et pensait que c’était le meilleur de ses romans. Je ne peux pas le contredire. Même si je n’arrive pas à avoir de favori puisque, à chaque lecture, je ressors accro et perturbée ! Ah Ah ! Mais oui, dans ce genre thriller pur, il est clairement au sommet de son art. J’ai vraiment hâte de savoir ce qu’il va nous offrir ensuite ^^
Fan de thriller ? Même pas peur ? Alors, foncez !!! Vous n’allez plus pouvoir vous arrêter ! Et cette fin… la vache !!! BRAVO !!!
Bisous les p’tits biscuits ! Prenez soin de vous ♥ https://lireoudormir.wordpress.com/20...
On alterne entre l’histoire de ces quatre jeunes qui veulent braquer un bijoutier ripoux, une femme célibataire qui semble fuir son passé et ne vit que pour sa fille, un tueur sans visage et sans pitié, un flic perdu et sur le point de finir au placard, et quelques sauts dans le passé gore et douloureux de militaires membres d’une unité plus que secrète. Quel sera le lien entre tous ces personnages ?
J’adore ce genre d’histoires avec des destins croisés et où l’on se demande à chaque moment quand est-ce qu’ils vont se croiser, et surtout : comment ça va finir !!!
Chaque personnage est travaillé et l’auteur nous attire sans problème dans son univers, même lorsqu’il ne dévoile pas grand chose. Je me suis attachée autant à ces gamins qui ont fait une connerie, qu’à cette femme désespérée, ce flic pas très net et même ce tueur complètement taré.
Il y a des scènes douloureuses et d’autres difficilement soutenable pour l’estomac. Comme toujours c’est hyper visuel, je pouvais presque sentir l’odeur métallique du sang. J’ADORE !!! C’est un auteur qui n’a pas peur d’aller au bout de ses idées. J’ai envie de dire qu’avec Cédric Sire, on sait qu’on en aura pour notre argent ! (façon de parler) Donc âmes sensibles s’abstenir !
Quand j’en avais parlé avec lui, il était très fier et pensait que c’était le meilleur de ses romans. Je ne peux pas le contredire. Même si je n’arrive pas à avoir de favori puisque, à chaque lecture, je ressors accro et perturbée ! Ah Ah ! Mais oui, dans ce genre thriller pur, il est clairement au sommet de son art. J’ai vraiment hâte de savoir ce qu’il va nous offrir ensuite ^^
Fan de thriller ? Même pas peur ? Alors, foncez !!! Vous n’allez plus pouvoir vous arrêter ! Et cette fin… la vache !!! BRAVO !!!
Bisous les p’tits biscuits ! Prenez soin de vous ♥ https://lireoudormir.wordpress.com/20...
September 9, 2024
Ce roman tient haleine du début à la fin . Pour ma part j'ai eu du mal avec le début de ce roman. C'est une première pour moi dans le thriller, le roman policier. Je me suis accrochée afin de lire ce roman jusqu'au bout et j'ai eu raison. Que dire des personnages ? Ils ont tous un rôle très important au sein de cette histoire. L'histoire en elle-même est bien tissée et surtout elle devient addictive car on veut absolument connaître la suite ainsi que le dénouement de l'histoire.
!!! Spoiler !!!
J'ai eu beaucoup de compassion pour la mère de la pauvre Valentine a qui la vie fut enlevée sans savoir que cette dernière était en réalité ravagée par les conséquences psychologiques dues à son passé dans l'armée. On a fait d'elle une machine à tuer et jusqu'au bout cette femme l'a été. Qui aurait pu prédire à n'importe quel moment que c'était sa mère qui l'a venger. J'ai cru tout au long que c'était son géniteur mais malheureusement non car il est mort bien trop tôt. Il est une des raisons de la diablerie qu'est devenue Marie la mère de Valentine alias Rose-Marie Roger ou encore Uriel . J'ai eu moins de compassion pour Audrey qui va vivre le plus bel enfer sur terre qui aurait pu lui arriver . Elle sera tourmentée à vie d'avoir écourté celle de Valentine. Elle devra apprendre à vivre avec ça et le fait qu'elle soit passée très près de la mort avec son compagnon Damien. Quand à Elie , Driss , Olivier et tous les gendarmes et innocents exterminés par cette femme que l'on surnomme le spectre ou encore le fantôme voir même le Slenderman sont tous des dommages collatéraux. Cette femme est l'empreinte même de la démence humaine, de la cruauté humaine .
Je recommande ce roman malgré un début chaotique car il tient vraiment haleine jusqu'au bout .
!!! Spoiler !!!
J'ai eu beaucoup de compassion pour la mère de la pauvre Valentine a qui la vie fut enlevée sans savoir que cette dernière était en réalité ravagée par les conséquences psychologiques dues à son passé dans l'armée. On a fait d'elle une machine à tuer et jusqu'au bout cette femme l'a été. Qui aurait pu prédire à n'importe quel moment que c'était sa mère qui l'a venger. J'ai cru tout au long que c'était son géniteur mais malheureusement non car il est mort bien trop tôt. Il est une des raisons de la diablerie qu'est devenue Marie la mère de Valentine alias Rose-Marie Roger ou encore Uriel . J'ai eu moins de compassion pour Audrey qui va vivre le plus bel enfer sur terre qui aurait pu lui arriver . Elle sera tourmentée à vie d'avoir écourté celle de Valentine. Elle devra apprendre à vivre avec ça et le fait qu'elle soit passée très près de la mort avec son compagnon Damien. Quand à Elie , Driss , Olivier et tous les gendarmes et innocents exterminés par cette femme que l'on surnomme le spectre ou encore le fantôme voir même le Slenderman sont tous des dommages collatéraux. Cette femme est l'empreinte même de la démence humaine, de la cruauté humaine .
Je recommande ce roman malgré un début chaotique car il tient vraiment haleine jusqu'au bout .
April 12, 2019
Un tour de force d'une main de maître !
Quelle histoire ! Comme à chaque fois, Cédric Sire ne déçoit pas et propose une histoire très rythmée et macabre. Ce sont les deux atouts qu'il réunit souvent et qui font que j'adore ses livres. Grâce à des chapitres courts, on est toujours tenté d'en lire un de plus, puis un de plus.... avant de se rendre compte que ça défile à une vitesse incroyable!
Il parvient toujours à s'approprier et à faire résonner mythes et légendes urbaines (ici celle du Slender Man) dans ses histoires originales où la cruauté humaine est à son apogée. Il écrit devant nous la (triste?) réalité : "All monsters are human".
C'est toujours une critique sans ménagement de notre société (qui en a bien besoin). Jusqu'où peut-on aller au nom de la vengeance mais surtout au nom de la justice? Olivier Sarla, figure récurrente du flic à la dérive, est un pied de nez à ces hiérarchies embourbées dans leur incompétence et leur ego. Il est aussi une belle preuve de la seconde chance.
Le cadre policier et militaire de ce roman est très crédible et ce qui fait toute sa force c'est qu'un méfait plutôt banal prend des proportions cauchemardesques.
Les détails sont très graphiques et on se représente les scènes sans aucune difficulté. C'est aussi ça le talent de Cédric Sire, qui se dépasse un peu plus à chaque livre, pour s'enfoncer dans l'abîme de l'âme humaine...
L'archange Uriel est-il un enfant de la génération "Full Metal Jacket"? We can be sure of one thing : Born to kill.
Quelle histoire ! Comme à chaque fois, Cédric Sire ne déçoit pas et propose une histoire très rythmée et macabre. Ce sont les deux atouts qu'il réunit souvent et qui font que j'adore ses livres. Grâce à des chapitres courts, on est toujours tenté d'en lire un de plus, puis un de plus.... avant de se rendre compte que ça défile à une vitesse incroyable!
Il parvient toujours à s'approprier et à faire résonner mythes et légendes urbaines (ici celle du Slender Man) dans ses histoires originales où la cruauté humaine est à son apogée. Il écrit devant nous la (triste?) réalité : "All monsters are human".
C'est toujours une critique sans ménagement de notre société (qui en a bien besoin). Jusqu'où peut-on aller au nom de la vengeance mais surtout au nom de la justice? Olivier Sarla, figure récurrente du flic à la dérive, est un pied de nez à ces hiérarchies embourbées dans leur incompétence et leur ego. Il est aussi une belle preuve de la seconde chance.
Le cadre policier et militaire de ce roman est très crédible et ce qui fait toute sa force c'est qu'un méfait plutôt banal prend des proportions cauchemardesques.
Les détails sont très graphiques et on se représente les scènes sans aucune difficulté. C'est aussi ça le talent de Cédric Sire, qui se dépasse un peu plus à chaque livre, pour s'enfoncer dans l'abîme de l'âme humaine...
L'archange Uriel est-il un enfant de la génération "Full Metal Jacket"? We can be sure of one thing : Born to kill.
February 27, 2024
Vindicta est plus le produit de la maison Ring/Cosmopolis/Metropolis que l'œuvre de Sire Cedric car toute la méthode est là : des persos burinés ou même les femmes ont des couilles pris dans un déchainement de violence bourrine à grands renforts de scènes choc et de mises à mort graphiques bien explicites.
En l'état, il n'y a pas grand chose à reprocher à Vindicta, qui a le mérite d'annoncer la couleur d'emblée. L'auteur réussit le tour de force de maintenir un rythme constant au fil des (nombreuses) pages tout en multipliant les points de vue et en laissant chaque personnage exister de façon satisfaisante à défaut d'être totalement convaincante.
Le problème vient justement de cette méthode NoLimit qui, à force de vouloir faire sensation, se vautre dans le ridicule sur toute la dernière ligne. Et si l'on peut pardonner ce twist final que les plus attentifs auront décelé très tôt dans le récit, l'on sera en revanche plus sceptiques vis-à-vis de ce final bourrin à souhait et qui s'étire en longueur pour le simple plaisir d'en faire des caisses.
En somme, "Vindicta" est un roman qui, tout en respectant les codes du thriller, ne manque ni de rythme ni d'ambition. Il ravira sans doute les amateurs de sensations fortes, tout en suscitant chez certains une réflexion sur les limites de la surenchère narrative qui semble frapper de plus en plus les production du genre.
Ps: j'ai "lu" ce livre dans la superbe version audio Harper Collins dont la production est tout bonnement stellaire !
En l'état, il n'y a pas grand chose à reprocher à Vindicta, qui a le mérite d'annoncer la couleur d'emblée. L'auteur réussit le tour de force de maintenir un rythme constant au fil des (nombreuses) pages tout en multipliant les points de vue et en laissant chaque personnage exister de façon satisfaisante à défaut d'être totalement convaincante.
Le problème vient justement de cette méthode NoLimit qui, à force de vouloir faire sensation, se vautre dans le ridicule sur toute la dernière ligne. Et si l'on peut pardonner ce twist final que les plus attentifs auront décelé très tôt dans le récit, l'on sera en revanche plus sceptiques vis-à-vis de ce final bourrin à souhait et qui s'étire en longueur pour le simple plaisir d'en faire des caisses.
En somme, "Vindicta" est un roman qui, tout en respectant les codes du thriller, ne manque ni de rythme ni d'ambition. Il ravira sans doute les amateurs de sensations fortes, tout en suscitant chez certains une réflexion sur les limites de la surenchère narrative qui semble frapper de plus en plus les production du genre.
Ps: j'ai "lu" ce livre dans la superbe version audio Harper Collins dont la production est tout bonnement stellaire !
May 19, 2019
Envie de vous prendre une claque monumentale ? Le dernier opus de Sire Cédric (enfin de Cédric Sire maintenant) est un sacré coup de maître comme on en lit peu. L'auteur sait prendre son lecteur à revers, lui assénant des haut-le-cœur à chaque scène de torture, puis le jetant sans ménagement sur des fausses pistes : bref le manipulant, tout au long du livre, avec un plaisir non dissimulé.
L'intrigue est soigneusement élaborée. Sans trop en révéler, ça commence par un braquage qui tourne mal. Olivier Salva, un flic à problèmes, participe à l'enquête. Mais voilà qu'un psychopathe, une véritable machine à massacrer, vient s'en prendre à tout ce petit monde. Inexorablement. Impitoyablement. Pourquoi ? Qui est-il ? Et surtout... comment lui échapper ?
Les chapitres s'enchaînent à toute vitesse, toujours aussi courts, mais distillant ainsi par leur structure, un suspense insoutenable qui vous laissera le bras endolori ; car il s'avère quasi impossible de lâcher ces 600 pages jusqu'à la révélation finale. Les phrases sont brèves, efficaces, glaçantes. Le présent actualise les actions pour mieux nous plonger au cœur de celles-ci.
Ici, point de fantastique, même si l'auteur s'amuse à jouer avec les motifs d'une légende urbaine, celle du Slender Man. Mais la peur et le doute n'en sont pas moins au rendez-vous.
Dans la lignée de ses précédents thrillers, "Vindicta" est un pur page-turner, et sans doute l'un des meilleurs polars horrifiques du moment.
L'intrigue est soigneusement élaborée. Sans trop en révéler, ça commence par un braquage qui tourne mal. Olivier Salva, un flic à problèmes, participe à l'enquête. Mais voilà qu'un psychopathe, une véritable machine à massacrer, vient s'en prendre à tout ce petit monde. Inexorablement. Impitoyablement. Pourquoi ? Qui est-il ? Et surtout... comment lui échapper ?
Les chapitres s'enchaînent à toute vitesse, toujours aussi courts, mais distillant ainsi par leur structure, un suspense insoutenable qui vous laissera le bras endolori ; car il s'avère quasi impossible de lâcher ces 600 pages jusqu'à la révélation finale. Les phrases sont brèves, efficaces, glaçantes. Le présent actualise les actions pour mieux nous plonger au cœur de celles-ci.
Ici, point de fantastique, même si l'auteur s'amuse à jouer avec les motifs d'une légende urbaine, celle du Slender Man. Mais la peur et le doute n'en sont pas moins au rendez-vous.
Dans la lignée de ses précédents thrillers, "Vindicta" est un pur page-turner, et sans doute l'un des meilleurs polars horrifiques du moment.
July 28, 2019
Bien que bénéficiant d'une forte communauté de lecteurs fans, mes premières expériences de lecture de Sire Cédric m'avait laissé en demi-teinte. Avec Vindicta, Sire Cédric, ou plus exactement Cédric Sire à partir de ce roman, entre dans le clan fermé des grands du thriller.
Si pour vos vacances, ou pour faire oublier que malheureusement vous ne pouvez en prendre, vous cherchez un roman qui vous prenne aux tripes, Vindicta est fait pour vous.
Ce roman a toutes les composantes d'un grand roman à suspense : des morts à la pelle, des personnages, attachants de par leur fragilité et leur humanité, ou bien avec de fortes personnalités, une intrigue bien ficelée, et un rythme de go fast littéraire, le tout saupoudré de conflits entre services des forces de l'ordre, d'un psychopathe fantomatique et insaisissable.
Là où le sorcier Cédric Sire (jeu de noms avec son ancien nom Sire Cédric, Sire C., Circée) est d'une très grande habileté et devient un nouveau maître du thriller, il nous charme de son chant de conteur meurtrier comme son homonyme homérien. Peu d'indices sont déposés tout au long du roman (en fait il n'y en a que deux), mais pris dans l'ambiance du roman, tout comme moi, vous risquez de passer à côté sans les remarquer, et alors de profiter d'un formidable final.
Donc c'est avec un grand oui que nous anoblissons Sire Cédric, Cédric Sire, dans le cénacle des maîtres du suspense.
https://quoilire.wordpress.com/2019/0...
Si pour vos vacances, ou pour faire oublier que malheureusement vous ne pouvez en prendre, vous cherchez un roman qui vous prenne aux tripes, Vindicta est fait pour vous.
Ce roman a toutes les composantes d'un grand roman à suspense : des morts à la pelle, des personnages, attachants de par leur fragilité et leur humanité, ou bien avec de fortes personnalités, une intrigue bien ficelée, et un rythme de go fast littéraire, le tout saupoudré de conflits entre services des forces de l'ordre, d'un psychopathe fantomatique et insaisissable.
Là où le sorcier Cédric Sire (jeu de noms avec son ancien nom Sire Cédric, Sire C., Circée) est d'une très grande habileté et devient un nouveau maître du thriller, il nous charme de son chant de conteur meurtrier comme son homonyme homérien. Peu d'indices sont déposés tout au long du roman (en fait il n'y en a que deux), mais pris dans l'ambiance du roman, tout comme moi, vous risquez de passer à côté sans les remarquer, et alors de profiter d'un formidable final.
Donc c'est avec un grand oui que nous anoblissons Sire Cédric, Cédric Sire, dans le cénacle des maîtres du suspense.
https://quoilire.wordpress.com/2019/0...
February 13, 2025
Après avoir refermé le livre, je me suis surprise à enfin respirer, tant la tension accumulée tout au long de ma lecture m’avait laissée en apnée. Franck Thilliez ne plaisantait pas en qualifiant Vindicta de « histoire à cent à l’heure ». Dès les premières pages, Cédric Sire nous plonge dans une atmosphère oppressante, où chaque élément de l’intrigue aux personnages en passant par les rebondissements est minutieusement orchestré pour maintenir une tension palpable. L’auteur nous pousse à nous interroger sur les limites de la morale, sur la nature de la vengeance et sur ce qui nous définit en tant qu’individus face à des choix extrêmes.
Ce que j’apprécie particulièrement dans son écriture, c’est son audace. il n’hésite pas à s’attaquer à des sujets dérangeants, ce qui confère à ce thriller une profondeur qui va bien au-delà du simple divertissement. Loin de se contenter de simples effets de suspense, l’auteur nous invite à une réflexion intime et complexe sur la justice, la culpabilité et les conséquences de nos actions.
La plume de l’auteur est fluide et percutante. Le plot twist final, aussi surprenant qu’inattendu, confirme le talent de l’auteur pour manipuler le suspense et les attentes du lecteur. Ce roman est un thriller captivant, soigneusement construit, et psychologiquement intense, où l’intrigue et les émotions se nouent à la perfection. Il devient évident que Sire s’impose, une fois de plus, comme un maître du genre.
Ce que j’apprécie particulièrement dans son écriture, c’est son audace. il n’hésite pas à s’attaquer à des sujets dérangeants, ce qui confère à ce thriller une profondeur qui va bien au-delà du simple divertissement. Loin de se contenter de simples effets de suspense, l’auteur nous invite à une réflexion intime et complexe sur la justice, la culpabilité et les conséquences de nos actions.
La plume de l’auteur est fluide et percutante. Le plot twist final, aussi surprenant qu’inattendu, confirme le talent de l’auteur pour manipuler le suspense et les attentes du lecteur. Ce roman est un thriller captivant, soigneusement construit, et psychologiquement intense, où l’intrigue et les émotions se nouent à la perfection. Il devient évident que Sire s’impose, une fois de plus, comme un maître du genre.
April 20, 2019
Ma-gis-tral! C'est une claque monumentale que je me suis prise en pleine poire.
Certes, il faut aimer le thriller noir, très noir, glauque même. Mais quelle puissance dans l'écriture! Quelle maestria!
Cédric l'avait déjà, ce talent particulier de l'écriture, apte à décrire les pires horreurs du genre humain sans pour autant sombrer dans un style grossier. Non, il a le talent pour mêler la poésie dans l'horreur.
Histoire sans faille, sans temps mort, à la chronologie et la cohérence impeccable, qui nous emmène dans un tourbillon de personnages dont on se demande quel lien les unit entre eux. Ne vous inquiétez pas, vous le saurez. De la victime, au mauvais endroit au mauvais moment, à l'ange exterminateur qui veut la venger. Certains attachants, d'autres pathétiques, mais justes, si justes, dans leur détermination, leurs doutes, leurs peurs et leurs traumatismes et leur souhait de mener une vie "ordinaire".
L’atmosphère qui se dégage du livre ne laisse aucun répit et il vous sera difficile de lâcher le livre, parce que vous serez animé(e) d'un besoin quasi vital de tourner les pages, encore et encore, à mesure que l’intrigue se noue.
Du grand Sire Cédric, quoi! Oups, Cédric Sire, pardon. Le nom a changé, pas le talent. Ni sa gentillesse toute naturelle lors des séances de dédicaces.
Certes, il faut aimer le thriller noir, très noir, glauque même. Mais quelle puissance dans l'écriture! Quelle maestria!
Cédric l'avait déjà, ce talent particulier de l'écriture, apte à décrire les pires horreurs du genre humain sans pour autant sombrer dans un style grossier. Non, il a le talent pour mêler la poésie dans l'horreur.
Histoire sans faille, sans temps mort, à la chronologie et la cohérence impeccable, qui nous emmène dans un tourbillon de personnages dont on se demande quel lien les unit entre eux. Ne vous inquiétez pas, vous le saurez. De la victime, au mauvais endroit au mauvais moment, à l'ange exterminateur qui veut la venger. Certains attachants, d'autres pathétiques, mais justes, si justes, dans leur détermination, leurs doutes, leurs peurs et leurs traumatismes et leur souhait de mener une vie "ordinaire".
L’atmosphère qui se dégage du livre ne laisse aucun répit et il vous sera difficile de lâcher le livre, parce que vous serez animé(e) d'un besoin quasi vital de tourner les pages, encore et encore, à mesure que l’intrigue se noue.
Du grand Sire Cédric, quoi! Oups, Cédric Sire, pardon. Le nom a changé, pas le talent. Ni sa gentillesse toute naturelle lors des séances de dédicaces.
November 16, 2022
L’être humain dans toute sa beauté et tous ses ténèbres.
Débuter la lecture de Vindicta, c'est ne plus pouvoir la quitter avant la fin. Quitte à n'en plus dormir. Préparez-vous de toutes manières à en perdre le sommeil.
C'est à un rythme qui ne ralentit jamais que @sirecedric emmène le lecteur au travers de cet enchevêtrement de destins tragiques.
Un braquage destiné à être raté, des policiers au placard en mal de reconnaissance, un avocat véreux, d'anciennes opérations militaires secrètes... voici les ingrédients de base.
On suit des anti-héros, des personnages blessés par la vie, mis à l'épreuve, qui sont en décrochage avec les normes sociales.
Tous ont souffert, tous d'une façon différente, et à leur façon, réclament leur revanche sur la vie... ou leur vengeance... Vindicta.
Ce livre est une pure merveille ! Le récit est parfaitement rythmé. La poésie de l'écriture contrebalance la cruauté du tueur. La construction psychologique de chacun des personnages et de toute leur complexité respective est un régal.
Chaque personnage a ses enjeux, ses motivations, son histoire, si bien que cela rend complètement crédible leur existence.
Les passages horrifiques/gores ne conviendront pas à tous les publics (ni sensible, ni jeune public). Cela dit ils sont justifiés par le récit, donc à mon sens pas "gratuits" car ils servent au développement d'un thème abordé dans le livre, et avec beaucoup d'intelligence.
Débuter la lecture de Vindicta, c'est ne plus pouvoir la quitter avant la fin. Quitte à n'en plus dormir. Préparez-vous de toutes manières à en perdre le sommeil.
C'est à un rythme qui ne ralentit jamais que @sirecedric emmène le lecteur au travers de cet enchevêtrement de destins tragiques.
Un braquage destiné à être raté, des policiers au placard en mal de reconnaissance, un avocat véreux, d'anciennes opérations militaires secrètes... voici les ingrédients de base.
On suit des anti-héros, des personnages blessés par la vie, mis à l'épreuve, qui sont en décrochage avec les normes sociales.
Tous ont souffert, tous d'une façon différente, et à leur façon, réclament leur revanche sur la vie... ou leur vengeance... Vindicta.
Ce livre est une pure merveille ! Le récit est parfaitement rythmé. La poésie de l'écriture contrebalance la cruauté du tueur. La construction psychologique de chacun des personnages et de toute leur complexité respective est un régal.
Chaque personnage a ses enjeux, ses motivations, son histoire, si bien que cela rend complètement crédible leur existence.
Les passages horrifiques/gores ne conviendront pas à tous les publics (ni sensible, ni jeune public). Cela dit ils sont justifiés par le récit, donc à mon sens pas "gratuits" car ils servent au développement d'un thème abordé dans le livre, et avec beaucoup d'intelligence.
March 21, 2019
Il est enfin en librairie ! « Vindicta » de Cédric Sire publié aux éditions Metropolis Noir est une véritable claque !
Je ne rajouterai rien au résumé et à la très mystérieuse bande annonce savamment préparés par l’éditeur. Il ne faut surtout pas en ajouter plus pour préserver la surprise… Et quelle surprise !
Ce que je peux dire par contre, c’est que l’auteur ne nous laisse pas le temps de souffler, la tension est permanente. Vous serez toujours aux aguets à l’entame de chaque page, de chaque chapitre dévoilant toujours un peu plus de noirceur. Le rythme est tellement soutenu, l’horreur ne faisant que croître jusqu’à laisser le lecteur exsangue…Je l’ai véritablement dévoré !
Ses lecteurs de longue date, dont je fais partie, ne me contrediront pas si je dis que Cédric Sire ne nous a pas habitué à y aller par quatre chemins par le passé et il le confirme encore cette fois-ci avec ce roman d’une noirceur extrême parfaitement maîtrisée. Un roman encore plus abouti ! Pas de référence au fantastique pour ce dernier opus mais un ancrage bien profond dans la réalité.
Alors, si vous aimez les romans 100% thrillers, 100% diaboliques, 100% noirs et 100% machiavéliques, foncez !!!
Chapeau bas Cédric Sire pour ce nouvel opus !
Chapeau bas Metropolis pour cette entrée en matière !
Cela promet pour la suite 😉
Je ne rajouterai rien au résumé et à la très mystérieuse bande annonce savamment préparés par l’éditeur. Il ne faut surtout pas en ajouter plus pour préserver la surprise… Et quelle surprise !
Ce que je peux dire par contre, c’est que l’auteur ne nous laisse pas le temps de souffler, la tension est permanente. Vous serez toujours aux aguets à l’entame de chaque page, de chaque chapitre dévoilant toujours un peu plus de noirceur. Le rythme est tellement soutenu, l’horreur ne faisant que croître jusqu’à laisser le lecteur exsangue…Je l’ai véritablement dévoré !
Ses lecteurs de longue date, dont je fais partie, ne me contrediront pas si je dis que Cédric Sire ne nous a pas habitué à y aller par quatre chemins par le passé et il le confirme encore cette fois-ci avec ce roman d’une noirceur extrême parfaitement maîtrisée. Un roman encore plus abouti ! Pas de référence au fantastique pour ce dernier opus mais un ancrage bien profond dans la réalité.
Alors, si vous aimez les romans 100% thrillers, 100% diaboliques, 100% noirs et 100% machiavéliques, foncez !!!
Chapeau bas Cédric Sire pour ce nouvel opus !
Chapeau bas Metropolis pour cette entrée en matière !
Cela promet pour la suite 😉
October 4, 2022
C’est le premier roman de Cédric Sire que je lis. C’est grâce au Pikiti papote de où elle a interviewé l’auteur que j’ai emprunté Vindicta à la bibliothèque.
Je suis souvent maintenant assez déçue par les thriller et les policiers qui sont trop caricaturaux dans leur scénario et leurs personnages. Sans parler de la psychophobie quasiment systématique. C’est avec appréhension que j’ai commencé ma lecture.
J’ai été assez surprise de découvrir une écriture agréable et fluide, le suspense est mis en place dès les premières pages et ne se tarit jamais. Les chapitres sont courts et se lisent très facilement. Je n’ai pas été surprise par le twist au final que j’avais deviné à peu près au milieu du roman, mais il en reste pas moins que la narration et l’action sur vitaminée du roman m’a permis enfin d’apprécier un thriller, ce qui ne m’était pas arrivée depuis un paquet de temps.
Si vous avez d’autres titres de Cédric Sire à me conseiller, vous pouvez me le dire dans les commentaires.
Je suis souvent maintenant assez déçue par les thriller et les policiers qui sont trop caricaturaux dans leur scénario et leurs personnages. Sans parler de la psychophobie quasiment systématique. C’est avec appréhension que j’ai commencé ma lecture.
J’ai été assez surprise de découvrir une écriture agréable et fluide, le suspense est mis en place dès les premières pages et ne se tarit jamais. Les chapitres sont courts et se lisent très facilement. Je n’ai pas été surprise par le twist au final que j’avais deviné à peu près au milieu du roman, mais il en reste pas moins que la narration et l’action sur vitaminée du roman m’a permis enfin d’apprécier un thriller, ce qui ne m’était pas arrivée depuis un paquet de temps.
Si vous avez d’autres titres de Cédric Sire à me conseiller, vous pouvez me le dire dans les commentaires.
August 9, 2019
Franchement, en somme, l'histoire est vraiment pas mal. Evidemment, il y a beaucoup de supsens et oui, on n'a pas envie de refermer le livre tant qu'on ne sait pas.
Mais! Mais.... je trouve dommage qu'on sache rapidement pourquoi Le Spectre tue même si on ne sait pas qui il est. D'ailleurs, même si ça m'avait traversé l'esprit, je ne me suis pas vraiment doutée de qui c'était. Ca c'est très réussi.
En revanche, il y a quand même des moment qui sont un poil tirés par les cheveux. Certaines personnes ont quand même un seuil de tolérance de douleur très élevé. Bref...
Le pompon c'est quand-même l'avenir de ceux qui restent. Le dernier chapitre fini un peu trop facilement. Par contre, l'épilogue est top!!
En gros: j'ai pas mal aimé mais je m'attendais à une écriture plus développée, plus "mature".
Mais! Mais.... je trouve dommage qu'on sache rapidement pourquoi Le Spectre tue même si on ne sait pas qui il est. D'ailleurs, même si ça m'avait traversé l'esprit, je ne me suis pas vraiment doutée de qui c'était. Ca c'est très réussi.
En revanche, il y a quand même des moment qui sont un poil tirés par les cheveux. Certaines personnes ont quand même un seuil de tolérance de douleur très élevé. Bref...
Le pompon c'est quand-même l'avenir de ceux qui restent. Le dernier chapitre fini un peu trop facilement. Par contre, l'épilogue est top!!
En gros: j'ai pas mal aimé mais je m'attendais à une écriture plus développée, plus "mature".
January 2, 2022
e ne vais pas en écrire beaucoup sur ce roman, car suis sacrément embêtée et déçue, en effet habituellement, j’aime beaucoup ce que fait Cédric Sire.
J’ai été jusqu’au bout de ma lecture, je l’avoue uniquement par rapport à l’avis de Franck Thilliez qui est plus que positif.
Tout au long du, roman, j’ai attendu les fameux moments à cent à l’heure, le suspense et quasi-inexistant pour moi, on comprend assez vite une partie de l’intrigue et ce qui va se passer. Les personnages sont de pures stéréotypes, sans âmes, quelconques, je ne me suis attachée à aucun d’eux.
Fort heureusement pour l’auteur, son roman à beaucoup plus d’avis positif, que négatif. Cette lecture ne me correspondait juste pas. Dommage de finir 2021 avec ce roman.
J’ai été jusqu’au bout de ma lecture, je l’avoue uniquement par rapport à l’avis de Franck Thilliez qui est plus que positif.
Tout au long du, roman, j’ai attendu les fameux moments à cent à l’heure, le suspense et quasi-inexistant pour moi, on comprend assez vite une partie de l’intrigue et ce qui va se passer. Les personnages sont de pures stéréotypes, sans âmes, quelconques, je ne me suis attachée à aucun d’eux.
Fort heureusement pour l’auteur, son roman à beaucoup plus d’avis positif, que négatif. Cette lecture ne me correspondait juste pas. Dommage de finir 2021 avec ce roman.
March 21, 2019
Cédric Sire est un auteur génial qui parvient à nous accrocher de bout en bout à ses intrigues sans jamais nous laisser de temps morts malgré la longueur (physique) de ses romans. En effet, Vindicta est un joli pavé de presque 600 pages mais il se dévore en un rien de temps tant on est pris par l’histoire et entraîné par son rythme à 100 à l’heure. La recette est diablement efficace: des chapitres très courts, des phrases coup de poing, une tension savamment dosée et des révélations chocs. Impossible de se lasser dans cette histoire qui de pages en pages gagne en intensité et en richesse jusqu’à nous [...]
Pour lire la suite de cette critique, rendez-vous sur yuyine.be!
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August 7, 2021
Per fi l'he llegit! Des que vaig començar a mirar quins llibres de novel·la negra eren tops a França, aquest m'anava sortint a les llistes, blogs i comentaris... I per fi li ha tocat el torn.
Tal i com diu la frase de Frank Thilliez a la portada, la novel·la és ràpida i addictiva. Capítols curts i acció contundent. Per això es llegeix molt de pressa.
M'ha agradat? Sí. Potser he trobat el final... nusé. És l'únic retret. Un final, no se com dir-ho. Amb trucs de pel·lícula, potser. A banda d'això, bé.
Fins al punt que vaig a buscar més llibres d'aquest home, es digui Cédric Sire, o al revés!
Tal i com diu la frase de Frank Thilliez a la portada, la novel·la és ràpida i addictiva. Capítols curts i acció contundent. Per això es llegeix molt de pressa.
M'ha agradat? Sí. Potser he trobat el final... nusé. És l'únic retret. Un final, no se com dir-ho. Amb trucs de pel·lícula, potser. A banda d'això, bé.
Fins al punt que vaig a buscar més llibres d'aquest home, es digui Cédric Sire, o al revés!
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