Hatoko a vingt-cinq ans et la voici de retour à Kamakura, dans la petite papeterie que lui a léguée sa grand-mère. Le moment est venu pour elle de faire ses premiers pas comme écrivain public, car cette grand-mère, une femme exigeante et sévère, lui a enseigné l'art difficile d'écrire pour les autres.
Le choix des mots, mais aussi la calligraphie, le papier, l'encre, l'enveloppe, le timbre, tout est important dans une lettre. Hatoko répond aux souhaits même les plus surprenants de ceux qui viennent la voir?: elle calligraphie des cartes de vœux, rédige un mot de condoléances pour le décès d'un singe, des lettres d'adieu aussi bien que d'amour. A toutes les exigences elle se plie avec bonheur, pour résoudre un conflit, apaiser un chagrin.
Et c'est ainsi que, grâce à son talent, la papeterie Tsubaki devient bientôt un lieu de partage avec les autres et le théâtre de réconciliations inattendues."
Nie mogę uwierzyć, że nikt inny nie ogarnął wcześniej w Polsce, żeby to wydać! Idealne dla fanów „Ukochanego równania profesora” i w ogóle spokojnych (ale nie naiwnych) powieści. Czekam tylko, aż będzie mi dane kiedyś wędrować po Kamakurze z egzemplarzem „Kameliowego sklepu papierniczego” pod pachą ♡
C’est un roman bonbon, qu’on lit avec une tasse de thé et une grosse doudou par une journée où il neige à gros flocons. Si vous cherchez un roman plein de rebondissements, ce n’est pas un livre pour vous, bien qu’il se passe toujours quelque chose. C’est un livre qui se savoure et qui rend heureux. Ogawa Ito à vraiment un style merveilleux!
Hemos leído “La papelería Tsubaki” en una lectura conjunta organizada por La Librería Ambulante y justo antes del Marzo asiático, hemos viajado a Kamakura (Japón) para acompañar a Poppo en su día a día como escribiente en La papelería Tsubaki.
Verano, otoño, invierno y primavera. Durante las cuatro estaciones llegamos a conocer bien a Poppo, a su antecesora, a los clientes de la papelería y a su vecina, la señora Bárbara (qué grande es la señora Bárbara). Una historia muy tierna que pone el foco en la búsqueda de uno mismo y en cerrar heridas para poder avanzar.
Tengo mala letra, pero si tuviera que escribir estas tres frases de la novela me esmeraría al máximo:
"En realidad, el arte de escribir no se diferencia tanto del arte del trato cara a cara: la clave está en respetar al interlocutor y guardar las formas para evitar malentendidos. Como en casi cualquier ámbito, no hay formulas mágicas ni verdades absolutas".
"Tenía cierta maña para transformar mi caligrafía y adaptarla a la personalidad de mis clientes. Eso, en contrapartida, implicaba que no conocía mi propia letra".
“Deberíamos cuidar lo que conservamos en lugar de perseguir lo que hemos perdido”.
Bardzo kojąca to była historia, choć nie dołączy do moich ukochanych książek do przytulenia. Momentami była dla mnie zbyt infantylna, musiałam też siebie pilnować, by pamiętać, że to inna kultura i zachowania, które były dla mnie nieakceptowalne, w Japonii być może są czymś zwyczajnym. Ale kocham koncepcję pisania listów dla ludzi i właśnie te historie związane z nimi były dla mnie najlepszymi momentami „Kameliowego Sklepu Papierniczego”.
Abstrahując od fabuły, zachowania bohaterów itp, bardzo gryzło mi się jak często pojawia się tu wspomnienie o piciu alkoholu. Wiem, że akcja tej powieści dzieje się w przeciągu roku, więc i nie jest tak, że główna bohaterka pije codziennie, ale jednak ciągle jakieś wino, jakieś piwo, jakiś szampan. Miałam tu zgrzyt.
J'avais présenté cette lecture dans une de mes dernières vidéos YouTube comme un "livre ballade". On le lit comme on se promène par un temps doux : le coeur léger et le pas léger tout autant.
On y découvre l'histoire de cette jeune femme qui, à la mort de sa grand-mère, seule figure maternelle qu'elle a eue, prend la relève de sa papeterie et de son métier d'écrivain public. On y suit donc au travers des demandes des gens en tout genre : lettres de rupture, de divorce, d'amitié, d'amour, de travail ; ce que la calligraphie japonaise a de plus divers et précieux en son sein. Et puis on suit son histoire à elle, son lien complexe avec sa grand-mère, ses amitiés allant d'une vieille voisine de 80 ans à une petite fille de 5 ans qui écrit son prénom à l'envers.
C'est beau, c'est frais, c'est un baume au coeur, C'est une magnifique ballade. a lire pour s'évader un peu !
Ce livre fait sans aucun doute parti de mes coups de cœurs de cette année. Il est tout simplement magnifique plein de tendresse et de délicatesse, il me redonne foi en l’humanité. C’est une merveilleuse fable poétique nous suivons Poppo dans son quotidien écrivaine public dont le travail consiste à écrire des lettres pour de parfaits inconnus. Si vous aimez les romans à sensation forte passez votre chemin ce n’est pas un livre qu’on lit d’une traite mais plutôt qu’on savoure comme une bonne tasse de thé ☕️. Amateurs de papeterie et de bons sentiments foncez !!!!
Предсказуемо сентиментальная и милая книжка про любовь к семье, к буквам, к письмам; вам/нам, о, фанаты канцелярских товаров, открыток, марок и всего письменного!
Oh co za piękna i wzruszająca historia 🥹 otuliła mnie jak najmilszy kocyk świata i bardzo teraz pragnę wypić zieloną herbatę razem z Poppo, czuję się jakby była moją realną koleżanką. Cudowne zakończenie, popłakane.
Nos encontramos en Japón, concretamente en Kakamura, en la papeleria Tsubaki, donde Hatoko una joven licenciada en diseño y la narradora de la historia, regresa para hacerse cargo de la tienda tras la muerte de su abuela. (Muy presente durante toda la novela). En esta papelería no solo encontraremos lo típico de estas, como todos los instrumentos para escribir, todo tipo de papel etc.. sino que también puedes recurrir a Hatoko para que sea un “escritor” particular. Me explico, los visitantes de esta papelería podrán acudir a Hatoko para confiarle un mensaje para alguien, una carta, un mensaje que por ciertos motivos ellos no pueden escribir. Hatoko se convertirá en la mano, en el corazón y en la cabeza de estas personas, para componer el texto, elegir la caligrafía, incluso la tinta. Estos son los momentos que mas me han gustado de la historia, en los que conocemos a personajes, cuentan su historia y lo que necesitan decir a alguien. Pero también tendremos las reflexiones de Hatoko, el recuerdo de su abuela con la que tuvo una relación… diferente… y de telón de fondo visitaremos templos, las comidas típicas de las diferentes estaciones, festividades típicas… Una historia diferente, ágil y bonita que da paz cuando la lees y que sin duda te hará desconectar de todo.
To była najnudniejsza książka, jaką czytałam od bardzo dawna. Ja lubię powolne, niespieszne historie, bardzo mnie relaksują, ale ta była zbyt nudna, tak męcząca, że ledwo ją skończyłam, w pewnym momencie pomijałam całe strony, żeby szybciej mieć ją z głowy. Wyjątkowo infantylna, naiwna, a jednocześnie nadmuchana. Zupełnie nie dla mnie.
Probably one of the most comforting books I read. Everything was so soft and it was a delight to read it with a good cup of tea and the fresh smell of spring in the air.
Le titre, déjà, m’interpelle: moi qui aime me perdre dans les papeteries, qui collectionne les cahiers, qui est fascinée par les calligraphes de tous horizons, je sens que nous avons des atomes crochus, ce roman et moi.
De plus, j’ai découvert des petits bijoux de romans grâce aux éditions Philippe Picquier, qui m'ont ouvert l’univers des littératures asiatiques. Je me souviens encore du premier roman lu chez cet éditeur: c’était une œuvre bouleversant de Yan Lianke, un auteur chinois, qui s’est inspiré d’une réelle catastrophe: la contamination au HIV de centaines de milliers de personnes dans la province de Hunan. Pour les intéressés, il s’agit du roman Le rêve du village des Ding, aujourd’hui interdit de publication en Chine.
On est toutefois dans un univers tout en douceur et en légèreté dans ce roman. La papeterie Tsubaki se trouve au Japon. Hatoko, une jeune femme diplômée en design et la narratrice, revient à Kakamura pour reprendre la boutique à la mort de sa grand-mère. Non seulement est-il possible de se procurer des instruments d’écriture et de beaux papiers à la papeterie Tsubaki, mais il est également possible de recourir à l’écrivaine publique qui la gère. Sa grand-mère disparue, c’est à Hatoko de devenir le cœur, la tête et la main de celles et ceux qui lui confient un mandat d’écriture. Peu importe l’occasion, Hatoko compose le texte, choisit la calligraphie et le support qui touchera le cœur de la personne à qui le message est destiné. Car tout est pensé, de la qualité du papier au choix du timbre, en passant par la dilution de l’encre qui doit parfois donner l’impression d’avoir été mouillée par les larmes.
C’est très séduisant, n’est-ce pas? Les plus beaux moments du roman se déroulent, selon moi, entre les murs de la boutique, où Hatoko installe le cérémonial associé à l’accueil de ses clients. On la suit dans ses réflexions sensibles pour ne rien laisser au hasard. Autour de sa nouvelle fonction, la vie s’organise doucement pour la jeune femme. Les saisons passent, les cérémonials aussi. Des connaissances gravitent autour de la boutique et Hatoko tente de faire la paix avec la mémoire de sa grand-mère, avec laquelle elle avait une relation explosive. En filigrane, on mange, on visite des temples, on regarde passer les saisons. On comprend que tout est important dans la vie de la jeune femme. Les saveurs, les textures, les couleurs et les odeurs: cette grande sensualité nourrit son art d’écrivaine publique.
C'est doux, c’est léger et tendre et poétique. J’ai maintenant envie d’ouvrir une petite boutique de toutes petites choses dénichées au petit bonheur la chance et d’écrire pour les autres. Une autrice à découvrir si vous avez le cafard.
seguramente es uno de los libros más aburridos que leeréis jamás pero es que esconde tantas cosas preciosas…. es una oda a las cosas pequeñas de cada día, a lo bonito que es ir formando hogar en un sitio nuevo, y tiene cosas preciosas sobre el lenguaje japonés y el arte de la redacción y envío de cartas tradicionales.
he aprendido mucho y me ha obligado a respirar y descansar cuando lo cogía para leer. normalmente siempre busco El Mejor Libro, el más rápido, el más popular, el más perspicaz, así que leer esto se ha sentido casi revolucionario
Jestem ostatnio na fali, jeśli chodzi o świetne książki, ale ta zdecydowanie plasuje się w top 3 tego roku - cudowna, przytulna opowieść, takie otulenie kocykiem (lub zimnym ręcznikiem biorąc pod uwagę, że mamy lato) i odpuszczenie. Serio, to książka o odpuszczeniu sobie i innym, radości z tego, co się otrzymało i dało innym, a przy tym estetycznie ciesząca oko - przepiękne przedruki oryginalnych (tak zakładam) listów napisanych na zlecenie przez główną bohaterkę.
To była jedna z tych książek od których nie można się oderwać, ale jednocześnie wcale nie chce się kończyć ich czytać, bo historia jest tak poruszająca i przyjemna, że można by było czytać ją bez końca.
Napisałam na Instagramie, że ta książka przynosi całkowite ukojenie i trzymam się tych słów, było tak do samego końca. Koniecznie muszę sobie kupić własny egzemplarz, pokochałam ten świat, chciałabym się do niego przenieść 🌸
Spokojna, niespieszna. Pozwala się odprężyć i docenić małe chwile. Książka bez wątpienia miała bardzo dobrą tłumaczkę. Jako osoba, która niekoniecznie siedzi w kulturze japońskiej, byłam w stanie wychwycić wszystkie niuanse i zrozumieć intencje oraz zabiegi Ogawy.
Zdecydowanie ta pozycja nauczy Was myśleć z czułością o listach, ale też samej kaligrafii i o znaczeniach, jakie ze sobą mogą nieść drobne gesty.
Troszkę infantylna, ale temat kaligrafii i epistolografii japońskiej - przeciekawy. Urocza w tej swojej naiwnej prostocie, nasuwa mi się słowo - "ładna", jakoś łatwiej doceniać małe rzeczy przy tej lekturze
"Todos nos culpamos por algo: es inevitable pensar en lo que deberíamos haber dicho o hecho en algún momento. No sé cómo se las arregla la gente, pero yo no me lo quitaba de la cabeza. Hasta que un buen día QP me dijo que deberíamos cuidar lo que conservamos en lugar de perseguir lo que hemos perdido. Si alguien te ha sostenido en alguna ocasión, hazlo tú por otra persona la próxima vez. Mi mujer cargó conmigo muchas veces, por eso puedo sostenerte yo ahora. No hay más".
Primera gran lectura del año: 'La papelería Tsubaki' de Ito Ogawa, una autora que se convertirá en favorita cuando traduzcan más libros suyos. He disfrutado acompañando a la protagonista en su día a día en Kamakura, con sus pequeñas tradiciones, sus comidas deliciosas, sus amistades excéntricas y sus encargos de caligrafía en los que pone toda su alma.
Poppo es una joven de veintitantos años que vuelve a Kamakura, su pueblo natal, tras la muerte de su abuela. Allí regenta el que ha sido durante diez generaciones de mujeres el negocio familiar.
En la papelería de Tsubaki no solo se venden útiles de escritura, si no que Poppo, experta en caligrafía, se encarga de escribir las cartas más importantes de los habitantes del Kamakura y pone en ellas todo su amor, empeño y cuidado.
El libro está dividido en las primeras cuatro estaciones que Poppo pasa en Kamakura tras su vuelta de la gran ciudad. Durante este año, explora su relación con su propio pasado, sus raíces y con la vida tranquila, relajada y en comunidad de un pueblo pequeño. Y por suerte, con el paso de los días logrará reconciliarse y sanar heridas que no era capaz de admitir que tenía.
Este libro está lleno de calma y detalles que te invitan a parar para descansar y disfrutarlos. En un mundo donde todo va deprisa y ya nadie disfruta de la magia de los pequeños detalles, esta novela, un tanto nostálgica, logrará hacerse un hueco en tu corazón.
Une très belle lecture encore une fois (décidément la littérature japonaise...). J'ai adoré suivre Hatoko durant les 4 saisons d'une année. Partager sa vie d'écrivain public, ses renconres...mais aussi apprendre des choses sur la culture japonaise. L'histoire est très calme, il n'y a pas de drame ni de grande révélation (je m'attendais d'ailleurs à en savoir plus sur sa mère mais non...) et c'est ce qui rend ce roman très poétique et reposant. Pour ne rien gâcher, la couverture est splendide et j'ai apprécié trouvé une petite carte de Kamakura (la ville où vit Hatoko) au début du roman, ainsi que les lettres écrites en japonais. Ça apporte un plus non négligeable.
Główną bohaterką książki Ito Ogawy jest Hatako, nazywana Poppo, która prowadzi odziedziczony sklep papierniczy. Poza tym, zgodnie z tradycją, zajmuje się pisaniem listów na zlecenie. Historia ukazuje rok z życia właścicielki sklepiku oraz osób z jej najbliższego otoczenia - starszej sąsiadki nazywanej panią Barbarą, nauczycielki Panty, dość ekscentrycznego hrabiego oraz uroczej małej QP. Mimo, że ludzi tych dzieli wiele, wytwarza się między nimi cudowna więź a napotkani przypadkowo ludzie zastępują Poppo rodzinę.
Choć książka jest niezwykle ciepła i pokrzepiająca, wątek relacji Poppo z wychowującą ją babcią dodaje do historii nieco goryczy. Po latach bohaterka musi skonfrontować się ze swoją przeszłością i krzywdami, których jej zdaniem doświadczyła. Otrzymany przypadkowo zbiór listów pozwala nabrać jej dystansu i spojrzeć na swoje doświadczenia i przeżycia nieco łagodniej.
,,Kameliowy sklep papierniczy" jest książką niezywkle wyciszającą, ale z pewnością nie nudną. Odnajdziecie się w niej jeśli lubicie szelest papieru, akcesoria do kaligarfii i przybory do pisania. Opisy procesu przygotowywania listów są opisane niezwykle skrupulatnie, ma się wręcz wrażenie, że przebywamy z bohaterką w jednym pomieszczeniu i towarzyszymy jej w czasie pisania listu.
Książka bardzo mi się podobała, ale czuję po niej niedosyt. Chciałabym dowiedzieć się jak potoczyły się losy nadawców i odbiorców napisanych przez Poppo listów, na jakie wycieczki pojedzie pani Barbara oraz jak ułożą się kiełkujące związki między bohaterami.
Przyznam szczerze, że choć bardzo czekałam na tę książkę, miałam obawy, że się nią rozczaruję. Spodziewałam się, że może być ona podobna do książek w stylu ,,Zanim wystygnie kawa", których fabuły są schematyczne i powtarzalne. Na szczęście otrzymałam coś zupełnie innego, w klimacie podobnym do ,,Lasu z wełny i stali", którą uwielbiam.
Une ode à l'écriture. Je referme ce petit bijou en n'ayant qu'une seule envie : me procurer un beau stylo plume et écrire des lettres. Mais quel dommage que la traduction soit si mauvaise ! J'aurais dû mettre un petit bâton à chaque fois que la traductrice a utilisé l'expression "du coup". Cela a vraiment gâché ma lecture. Je n'ai jamais été autant gênée par une traduction aussi médiocre. "Du coup" est déjà un défaut de langage qui m'oripile à l'oral ... mais alors à l'écrit !!!! Vraiment insupportable.