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Le poids de la neige #2
Les ombres filantes
Dans la forêt, un homme seul marche en direction du camp de chasse où sa famille s’est réfugiée pour fuir les bouleversements provoqués par une panne électrique généralisée. Il se sait menacé et s’enfonce dans les montagnes en suivant les sentiers et les ruisseaux. Un jour qu’il s'est égaré, un mystérieux garçon l’interpelle. Il a une douzaine d’années, semble n’avoir peur de rien et se joint à l’homme comme s’il l’avait toujours connu. L’insolite duo devra affronter l’hostilité des contrées sauvages et déjouer les manigances des groupes offensifs qui peuplent désormais les bois.
Après le succès international du Poids de la neige, traduit dans plus de quinze langues, Christian Guay-Poliquin revient avec un roman juste et astucieux. Incitant à l’aventure, Les ombres filantes questionnent le sens de la communauté et revisitent les classiques de la survie en nature.
Après le succès international du Poids de la neige, traduit dans plus de quinze langues, Christian Guay-Poliquin revient avec un roman juste et astucieux. Incitant à l’aventure, Les ombres filantes questionnent le sens de la communauté et revisitent les classiques de la survie en nature.
335 pages, Paperback
First published January 1, 2021
32 people are currently reading
1056 people want to read
About the author
Christian Guay-Poliquin
7 books123 followersNé à Saint-Armand en 1982, Christian Guay-Poliquin croit que les arts du récit sont intimement liés à la vie pratique et à une attention aux détails. Le fil des kilomètres (La Peuplade), son premier roman, a aussi été publié en France et en traduction anglaise.
Christian Guay-Poliquin was born in Saint-Armand in 1982. He is now developing a thesis project on the hunting narrative and also works in renovation. The pencil on his ear serves to mark his measures as much as it does to record his ideas. Le fil des kilometers (La Peuplade, 2013) is his first novel.
Christian Guay-Poliquin was born in Saint-Armand in 1982. He is now developing a thesis project on the hunting narrative and also works in renovation. The pencil on his ear serves to mark his measures as much as it does to record his ideas. Le fil des kilometers (La Peuplade, 2013) is his first novel.
Ratings & Reviews
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Community Reviews
Displaying 1 - 30 of 158 reviews
September 19, 2021
je ne veux pas l’avoir terminé.
August 30, 2021
Une impressionnante réactualisation du Petit Prince, en plus dark, bercée par la forêt et ses bruits insondables.
Un récit captivant; l’haleine se perd et se retrouve dans le même souffle au fil des pages qui se tournent.
Un récit captivant; l’haleine se perd et se retrouve dans le même souffle au fil des pages qui se tournent.
October 11, 2021
3,5/5. Je dois malheureusement avouer être un peu déçu. J’avais beaucoup aimé les deux livres précédents. Le style de cet auteur est bien maitrisé, sans flafla, presque sec même, mais très efficace. J’aime aussi les thèmes qui l’habite et l’évolution du monde est des personnages, d’un livre à l’autre, qui sans être des suites directes, sont profondément liés, je n’en dirai pas plus sur ce point pour ne rien divulgâcher.
Ceci étant dit, ce dernier roman manque d’originalité. Le style est efficace et j’ai bien aimé, adoré même, la première partie. Il y avait une atmosphère, un certain doute, un mystère, de l’étrangeté même. Puis, la deuxième partie, qui manque d’originalité, qui apporte peu, on se retrouve à tourner un peu en rond, l’ambiance n’y est plus tellement non plus et puis la dernière partie, rapide pour ne pas dire garoché et une fin qui force une suite, qui nous abandonne, ce n’est même pas vraiment une fin selon moi, ce qui vient un peu à l’encontre de l’œuvre de l’auteur, qui poursuivait oui d’un livre à l’autre, mais dont les livres avaient leur propre histoire, contenu dans un roman. Je m’explique difficilement ce choix narratif.
Je dirais donc que c’est un livre qui a sa place si on le place dans l’ensemble de l’œuvre de cet auteur et l’avenir nous dira jusqu’où ira cet œuvre, mais en tant que roman indépendant, par lui-même, cela tombe un peu à plat. Le style littéraire permet de sauver le tout, mais en termes d’histoire, il manque un petit quelque chose.
Ceci étant dit, ce dernier roman manque d’originalité. Le style est efficace et j’ai bien aimé, adoré même, la première partie. Il y avait une atmosphère, un certain doute, un mystère, de l’étrangeté même. Puis, la deuxième partie, qui manque d’originalité, qui apporte peu, on se retrouve à tourner un peu en rond, l’ambiance n’y est plus tellement non plus et puis la dernière partie, rapide pour ne pas dire garoché et une fin qui force une suite, qui nous abandonne, ce n’est même pas vraiment une fin selon moi, ce qui vient un peu à l’encontre de l’œuvre de l’auteur, qui poursuivait oui d’un livre à l’autre, mais dont les livres avaient leur propre histoire, contenu dans un roman. Je m’explique difficilement ce choix narratif.
Je dirais donc que c’est un livre qui a sa place si on le place dans l’ensemble de l’œuvre de cet auteur et l’avenir nous dira jusqu’où ira cet œuvre, mais en tant que roman indépendant, par lui-même, cela tombe un peu à plat. Le style littéraire permet de sauver le tout, mais en termes d’histoire, il manque un petit quelque chose.
November 6, 2022
Et despertes enmig del bosc i no recordes com hi has arribat. Però sí recordes què deixes enrere: un llarg hivern de reclusió i neu, molta neu. L'accident ja només és un record, tot i que els genolls encara et fan la guitza. Però pots caminar, i això fas. Has d'anar a trobar el campament de caça on s'està la teva família, els oncles i les ties t'acolliran. Però no faràs el camí sol.
Després de "El pes de la neu", continua el periple del protagonista de la saga, de qui no coneixem el nom. Se'ns planteja un escenari post-apocalíptic en el que la "pana", una gran apagada sobtada, va deixar el món sense electricitat. I en aquest context sense recursos, on tothom sobreviu com pot, explorarem la naturalesa humana a través de diferents personatges que creuen els camins amb el nostre heroi i l'Olio, un nen assalvatjat i independent amb qui es troba i estableix un vincle molt especial, gairebé paternofilial.
Ja no hi ha neu, però Guay-Poliquin manté el seu estil descriptiu i detallat, reflexiu, amb capítols molt breus i una escriptura bonica i agradable. És una lectura de ritme lent per anar assaborint i captant tots els matisos, tot i que aquí, amb els protagonistes en moviment i interactuant amb altres actors, trobem més acció que en el llibre anterior.
Si soc honest, no recordava que l'univers d'aquesta saga s'emmarcava en un context post-apocalíptic, a "El pes de la neu" la trama se centra molt en la relació dels pràcticament dos únics personatges. Aquí tenim moltes respostes, cada trobada al bosc servirà per obtenir informació. Val a dir que és el tercer llibre, el primer no el tenim traduït al català. Personalment, m'ha agradat més que l'anterior. Gran ambientació i desenvolupament, i un desenllaç sorprenent. Continuarà? Només l'autor ho sap.
(SERGI)
Després de "El pes de la neu", continua el periple del protagonista de la saga, de qui no coneixem el nom. Se'ns planteja un escenari post-apocalíptic en el que la "pana", una gran apagada sobtada, va deixar el món sense electricitat. I en aquest context sense recursos, on tothom sobreviu com pot, explorarem la naturalesa humana a través de diferents personatges que creuen els camins amb el nostre heroi i l'Olio, un nen assalvatjat i independent amb qui es troba i estableix un vincle molt especial, gairebé paternofilial.
Ja no hi ha neu, però Guay-Poliquin manté el seu estil descriptiu i detallat, reflexiu, amb capítols molt breus i una escriptura bonica i agradable. És una lectura de ritme lent per anar assaborint i captant tots els matisos, tot i que aquí, amb els protagonistes en moviment i interactuant amb altres actors, trobem més acció que en el llibre anterior.
Si soc honest, no recordava que l'univers d'aquesta saga s'emmarcava en un context post-apocalíptic, a "El pes de la neu" la trama se centra molt en la relació dels pràcticament dos únics personatges. Aquí tenim moltes respostes, cada trobada al bosc servirà per obtenir informació. Val a dir que és el tercer llibre, el primer no el tenim traduït al català. Personalment, m'ha agradat més que l'anterior. Gran ambientació i desenvolupament, i un desenllaç sorprenent. Continuarà? Només l'autor ho sap.
(SERGI)
December 14, 2025
3,75 🌟
десь з 2/3 стає непогано, а остання третина прям цікава.
десь з 2/3 стає непогано, а остання третина прям цікава.
This entire review has been hidden because of spoilers.
March 22, 2022
J'ai acheté ce livre sur un coup de tête. Sa couverture et son titre m'interpellaient, sans compter que le quatrième de couverture laissait présager une sorte de suspense angoissant aux saveurs de survivalisme. Son auteur était décoré de plusieurs prix et sa prémisse, attrayante. Quelle mauvaise surprise aurais-je donc pu rencontrer ? Malheureusement, mon optimisme s'est essouflé aussi vite qu'un asthmatique qui se claque un sprint en pleine canicule.
Commençons par l'aspect positif : la prose de Christian Guay-Poliquin se démarque par son lyrisme parfaitement dosé. Ses descriptions sont efficaces, tangibles et témoignent d'une connaissance approfondie du paysage forestier. Cette première partie du livre donc, où le protagoniste avance dans la forêt, croise d'autres voyageurs et dévoile aux lecteurs quelques miettes d'informations sur son quotidien depuis la panne d'électricité, je l'ai lu avec fluidité. Je n'étais pas captivé, mais j'avais la certitude que les 200 prochaines renfermeraient quelque chose qui en vaudrait la peine.
J'ai eu tort. Il ne se passe... rien. La trame narrative stagne. Les personnages vivent dans leur routine.
On chasse, on pêche, on dort, on marche, on se dispute un peu - mais pas assez pour affecter les relations - puis on recommence. Encore et encore. Une menace plane dans la forêt. Un autre groupe viendra-t-il tout chambouler ? ( c'est pourtant ce qu'on sous-entend en quatrième de couverture) Eh bien, pas vraiment. Pas assez pour qu'on s'inquiète une seule seconde pour la survie de qui que ce soit.
Le livre est majoritairement axé sur la relation père-fils qui se développe entre le protagoniste et l'orphelin Olio. Hélas, j'ai trouvé celle-ci assez platement dépeinte. Olio est difficile à aimer. Bien que débrouillard et marqué par un passé tragique, il est sournois, menteur, voleur et surtout, incroyablement prévisible. Pourtant, sa nouvelle figure paternelle n'en fait rien. Il n'essai pas d'aller au fond du problème ou changer son comportement qui met en péril sa relation avec les autres personnages. Il proteste passivement et prend sa défense en bloc à chaque mauvais coup. On aurait pu remplacer Olio par un Golden-retriever et le livre ne s'en serait que mieux porté.
Finalement on en connaît très (trop) peu sur ce protagoniste. Difficile de s'attacher à quelqu'un dont les seuls traits de caractères sont d'être prudent et protecteurs. Sa relation avec Olio et les "aventures" qu'il traverse dans le roman le changent peu. Apprend-il quelque chose sur lui-même ? Va-t-il vaincre des démons enfouis dans son passé ? Modifier sa façon de voir les choses ? Boff. 350 pages plus tard, je ne le connais pas.
Bref, il s'agit ici d'un livre où les personnages marchent mais où l'histoire fait du surplace.
Commençons par l'aspect positif : la prose de Christian Guay-Poliquin se démarque par son lyrisme parfaitement dosé. Ses descriptions sont efficaces, tangibles et témoignent d'une connaissance approfondie du paysage forestier. Cette première partie du livre donc, où le protagoniste avance dans la forêt, croise d'autres voyageurs et dévoile aux lecteurs quelques miettes d'informations sur son quotidien depuis la panne d'électricité, je l'ai lu avec fluidité. Je n'étais pas captivé, mais j'avais la certitude que les 200 prochaines renfermeraient quelque chose qui en vaudrait la peine.
J'ai eu tort. Il ne se passe... rien. La trame narrative stagne. Les personnages vivent dans leur routine.
On chasse, on pêche, on dort, on marche, on se dispute un peu - mais pas assez pour affecter les relations - puis on recommence. Encore et encore. Une menace plane dans la forêt. Un autre groupe viendra-t-il tout chambouler ? ( c'est pourtant ce qu'on sous-entend en quatrième de couverture) Eh bien, pas vraiment. Pas assez pour qu'on s'inquiète une seule seconde pour la survie de qui que ce soit.
Le livre est majoritairement axé sur la relation père-fils qui se développe entre le protagoniste et l'orphelin Olio. Hélas, j'ai trouvé celle-ci assez platement dépeinte. Olio est difficile à aimer. Bien que débrouillard et marqué par un passé tragique, il est sournois, menteur, voleur et surtout, incroyablement prévisible. Pourtant, sa nouvelle figure paternelle n'en fait rien. Il n'essai pas d'aller au fond du problème ou changer son comportement qui met en péril sa relation avec les autres personnages. Il proteste passivement et prend sa défense en bloc à chaque mauvais coup. On aurait pu remplacer Olio par un Golden-retriever et le livre ne s'en serait que mieux porté.
Finalement on en connaît très (trop) peu sur ce protagoniste. Difficile de s'attacher à quelqu'un dont les seuls traits de caractères sont d'être prudent et protecteurs. Sa relation avec Olio et les "aventures" qu'il traverse dans le roman le changent peu. Apprend-il quelque chose sur lui-même ? Va-t-il vaincre des démons enfouis dans son passé ? Modifier sa façon de voir les choses ? Boff. 350 pages plus tard, je ne le connais pas.
Bref, il s'agit ici d'un livre où les personnages marchent mais où l'histoire fait du surplace.
September 9, 2021
Chaque fois que je lis ou relis un roman de Christian Guay-Poliquin, je suis fascinée par l'efficacité de son écriture. Les phrases n'ont pas toujours besoin d'être compliquées, sinueuses et interminables pour avoir un effet sur la personne lectrice. Ce roman en est la preuve. Il est rempli de phrases courtes et simples qui vont droit au coeur.
Les ombres filantes, c'est un récit de survie. De survie en forêt, où chaque pas compte, où chaque geste peut être l'étincelle qui met feu à la forêt entière. Ainsi, tout est pensé, méthodique, chaque geste est pensé pour être le plus efficace possible.
On ne retrouve pas dans ce roman l'angoisse propre à plusieurs romans survivalistes post-apocalyptiques. Le lien se fait facilement avec The Road de McCarthy, à cause du duo "père-fils" (appelons-le ainsi). Les deux personnages comptent sur l'un l'autre, ont besoin de cette complicité pour survivre. Les rencontres sont aussi périlleuses, on se méfie des autres, mais il y a aussi cet esprit de communauté. Il y a une dimension étrangement optimiste aux Ombres filantes. On ne manque de rien et on savoure ce fait.
Ce roman est une incursion subtile dans la psychologie des personnages. On rencontre tour à tour le naïf, l'optimiste, le profiteur, l'illuminé, le pragmatique. Les lectrices et lecteurs sont poussés à réfléchir sur la psychologie des chacun des personnages, guidé.e.s par la poésie de l'écriture de Christian Guay-Poliquin. Des parts du récit restent délicieusement dans l'ombre et rendront une relecture agréable et pleine de nouvelles réflexions.
Les ombres filantes, c'est un récit de survie. De survie en forêt, où chaque pas compte, où chaque geste peut être l'étincelle qui met feu à la forêt entière. Ainsi, tout est pensé, méthodique, chaque geste est pensé pour être le plus efficace possible.
On ne retrouve pas dans ce roman l'angoisse propre à plusieurs romans survivalistes post-apocalyptiques. Le lien se fait facilement avec The Road de McCarthy, à cause du duo "père-fils" (appelons-le ainsi). Les deux personnages comptent sur l'un l'autre, ont besoin de cette complicité pour survivre. Les rencontres sont aussi périlleuses, on se méfie des autres, mais il y a aussi cet esprit de communauté. Il y a une dimension étrangement optimiste aux Ombres filantes. On ne manque de rien et on savoure ce fait.
Ce roman est une incursion subtile dans la psychologie des personnages. On rencontre tour à tour le naïf, l'optimiste, le profiteur, l'illuminé, le pragmatique. Les lectrices et lecteurs sont poussés à réfléchir sur la psychologie des chacun des personnages, guidé.e.s par la poésie de l'écriture de Christian Guay-Poliquin. Des parts du récit restent délicieusement dans l'ombre et rendront une relecture agréable et pleine de nouvelles réflexions.
September 18, 2021
S’imprégnant d’un univers post-apocalyptique se déroulant dans les profondeurs des bois, l’auteur, l’un des plus remarquables de sa génération, revisite le thème de la survie en forêt. Il poursuit une démarche dans les lieux sombres de la solitude et de l’hostilité entre les humains en temps de crise. Aussi, il y a dans ce troisième roman, cette réflexion sur les lieux où l’on cherche à se retrouver. Implacable réussite à nouveau, dans un voyage entamé avec le “Fil des kilomètres” et le “Poids de la neige” ; que je vous suggère de lire pour apprécier encore plus ce huis clos semi-post apocalyptique. Une pierre de plus dans un parcours sans faute !
January 11, 2022
Un roman super sensoriel, parfois apaisant, parfois très angoissant, on sent la forêt sans effort. Avec des personnages vraiment attachants, des dynamiques familiales qui sonnent vraies, et une part de mystère qu’on découvre petit à petit. Beaucoup aimé!
September 11, 2021
Le genre de livre que je n'avais pas envie de refermer. Un voyage au coeur de la forêt, tout en lenteur, mais au coeur de soi aussi en un sens.
May 8, 2025
Seguim el viatge d’un home i un nen en un món post apocalíptic després d’una gran apagada mundial (LOL). El plantejament sembla una mica The last of us. Una història en 3 actes que ens mostra que quan el món s’ensorra, només queda la natura, i en aquest context, l’ésser humà també és capaç del millor i del pitjor.
L’he gaudit molt, perquè el llibre no et posa presses, i poc a poc, vas entrant en aquesta calma tensa que sembla tenir el final dels temps.
L’he gaudit molt, perquè el llibre no et posa presses, i poc a poc, vas entrant en aquesta calma tensa que sembla tenir el final dels temps.
January 7, 2022
4,5 - J'ai vraiment beaucoup aimé. Une prose très bien maîtrisée, un récit hors du temps, des personnages attachants et un beau portrait de l'humain face à la nature. Je veux lire les autres livres!
November 14, 2021
Christian Guay-Poliquin poursuit en qualité avec ce 3e ouvrage. J'ai appris en le lisant que C'ÉTAIT UNE SÉRIE. Beaucoup de choses se sont ainsi expliquées. Son écriture est encore plus habile puisque les livres se lisent individuellement ou comme une série sans qu'on s'en rende nécessairement compte.
À lire jusqu'au bout.
À lire jusqu'au bout.
July 31, 2021
Mon préféré de la rentrée pour le moment.
Un roman de survie post-apo.
Une belle histoire de filiation.
Un roman de survie post-apo.
Une belle histoire de filiation.
September 22, 2022
Un mix de survie en forêt, d’histoires de famille et de personnages inusités! C’était bon bon bon!
September 12, 2024
J’ai adoré. L’écriture est sublime, on sent, on goûte, on ressent tout ce qu’il se passe. Vraiment magnifique roman!
August 5, 2025
Una oda salvatge. Un relat impressionant i brillant. Però fosc alhora. Un llibre que fa pensar sobre el futur de la nostra comunitat humana!!
[ ressenya aviat]
[ ressenya aviat]
January 15, 2022
Le triptyque amorcé par l’auteur avec Le fils des kilomètres ainsi que Le poids de la neige prend fin avec ce tout nouveau roman. (Se lit indépendamment des autres, mais ça rajoute quand même un petit quelque chose de les avoir lus!)
Je me suis encore laissé glisser naturellement à l’intérieur de ce récit. L’auteur a une plume reposante, mais qui invite à tourner les pages rapidement. Même si objectivement, il n’y a pas énormément d’action et que le suspense est assez modéré, Christian Guay-Poliquin a su insuffler un rythme soutenu à son histoire. Vraiment, j’ai adoré cette lecture!
Seul bémol, la fin… Je n’ai pas pu m’empêcher de me dire: tout ça pour ça?
Je me suis encore laissé glisser naturellement à l’intérieur de ce récit. L’auteur a une plume reposante, mais qui invite à tourner les pages rapidement. Même si objectivement, il n’y a pas énormément d’action et que le suspense est assez modéré, Christian Guay-Poliquin a su insuffler un rythme soutenu à son histoire. Vraiment, j’ai adoré cette lecture!
Seul bémol, la fin… Je n’ai pas pu m’empêcher de me dire: tout ça pour ça?
July 2, 2023
Ostres, quina segona part...
Malgrat no explorar tant la psicologia dels personatges com a El pes de la neu, tot el llibre està imbuit d'una sensació que, més enllà de l'apocalipsi real que se'ns dibuixa, està a punt de passar alguna cosa fatídica. La tensió narrativa està molt ben portada. I l'Olio, la pedra angular de la història, està impregnat des de bon principi d'aquesta catàstrofe, d'aquest dubte permanent sobre els seus orígens i les seves intencions.
Amb un final que, tot i que bo, et deixa esperant la pàgina següent, espero retrobar-me en un futur amb els personatges i les descripcions i tensions de Guay-Poliquin.
Malgrat no explorar tant la psicologia dels personatges com a El pes de la neu, tot el llibre està imbuit d'una sensació que, més enllà de l'apocalipsi real que se'ns dibuixa, està a punt de passar alguna cosa fatídica. La tensió narrativa està molt ben portada. I l'Olio, la pedra angular de la història, està impregnat des de bon principi d'aquesta catàstrofe, d'aquest dubte permanent sobre els seus orígens i les seves intencions.
Amb un final que, tot i que bo, et deixa esperant la pàgina següent, espero retrobar-me en un futur amb els personatges i les descripcions i tensions de Guay-Poliquin.
December 7, 2025
L’écriture est incroyable; je me laissais emporter dans ce monde grâce à l’auteur.
Un bon portrait de l’humain face à la nature et la survie. C’était intéressant de voir les différentes façons que les individus et les communautés ont survécus.
Je ne sais pas comment je me sens après l’avoir fini.
Une chose est certaine : je ne suis pas prête à avoir des enfants …
Un bon portrait de l’humain face à la nature et la survie. C’était intéressant de voir les différentes façons que les individus et les communautés ont survécus.
Je ne sais pas comment je me sens après l’avoir fini.
Une chose est certaine : je ne suis pas prête à avoir des enfants …
January 10, 2023
À part m'être sentie abandonnée/laissée en plan par la fin, j'ai beaucoup apprécié, Christian G.P. est un as des atmosphères, toujours très prenantes, palpables.
August 26, 2022
Je l'ai adoré/dévoré! Le retour aux sources, la nature, la survie, j'étais plongée dans l'histoire et je me retenais pour en garder un peu chaque jour.
August 28, 2021
Suite à une panne d'électricité généralisée, un homme tente de rejoindre le camp de chasse de sa famille en marchant à travers la forêt. Il s'applique à éviter tout contact avec le monde extérieur, jusqu'à ce qu'il se perde et tombe sur un jeune garçon énigmatique qui lui vient en aide.
On est alors plongé dans cette nature luxuriante, à la météo pas toujours facile, où nos deux héros essaient de survivre et d'avancer toujours plus loin. C'est vraiment un récit palpitant dont je n'ai pas décroché avant la dernière page (et quelles dernières pages!).
Mon roman québécois de l'année sans hésitation !
On est alors plongé dans cette nature luxuriante, à la météo pas toujours facile, où nos deux héros essaient de survivre et d'avancer toujours plus loin. C'est vraiment un récit palpitant dont je n'ai pas décroché avant la dernière page (et quelles dernières pages!).
Mon roman québécois de l'année sans hésitation !
November 17, 2025
2nd read through
Je suis déçue d'avoir oublié de prendre des notes, parce que le style d'écriture et les tournures de phrases sont du bonbon.
J'avais réussi à oublier la fin, qu'Olio était blessé, qu'ils étaient dans un hydravion aussi mourant, l'ambiguïté de leur futur. C'est difficile de voir une issue positive à cette histoire, mais je fini quand même avec un léger sourire du dénouement de la quête du personnage principal; "C'est lui ma destination."
Je suis encore autant démolie de la dernière ligne.
"Et je serre mon fils contre moi de toutes mes forces."
Je suis déçue d'avoir oublié de prendre des notes, parce que le style d'écriture et les tournures de phrases sont du bonbon.
J'avais réussi à oublier la fin, qu'Olio était blessé, qu'ils étaient dans un hydravion aussi mourant, l'ambiguïté de leur futur. C'est difficile de voir une issue positive à cette histoire, mais je fini quand même avec un léger sourire du dénouement de la quête du personnage principal; "C'est lui ma destination."
Je suis encore autant démolie de la dernière ligne.
"Et je serre mon fils contre moi de toutes mes forces."
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Read
April 27, 2023Guay-Poliquin retorna al món d''El pes de la neu':
https://elbiblionauta.com/ca/2023/04/...
https://elbiblionauta.com/ca/2023/04/...
November 11, 2025
Franchement, une histoire fascinante qui, malgré quelques longueurs, nous garde captivés jusqu'à la dernière page. On referme le livre en se disant: Déjà fini?
Olio est parfois agaçant, mais impossible de ne pas s'y attacher. Le lien qu'il noue avec son compagnon, presque comme un père et son fils, est vraiment touchant.
Et Sylvia...? 👀
Ce livre rappelle que l'on ne choisit pas sa famille. La fin te serre le cœur, te laisse un peu perdu, mais d'une façon incroyablement belle et poignante.
"Elle est le commencement et la fin. Elle précède les regards, elle leur succédera. Elle est l'épicentre, le nœud, le refuge et la geôle. Elle fascine autant qu'elle effraie."
Olio est parfois agaçant, mais impossible de ne pas s'y attacher. Le lien qu'il noue avec son compagnon, presque comme un père et son fils, est vraiment touchant.
Et Sylvia...? 👀
Ce livre rappelle que l'on ne choisit pas sa famille. La fin te serre le cœur, te laisse un peu perdu, mais d'une façon incroyablement belle et poignante.
"Elle est le commencement et la fin. Elle précède les regards, elle leur succédera. Elle est l'épicentre, le nœud, le refuge et la geôle. Elle fascine autant qu'elle effraie."
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November 20, 2022
À la fois le roman le plus poignant de Christian Guay-Poliquin, à la fois le plus bavard. 3 1/2 ⭐️
November 2, 2022
Le plus abouti de la trilogie, j’ai adoré 👌
January 26, 2023
Una catàstrofe ha planat sobre els homes i tots els que han sobreviscut, han fugit de la ciutat per endinsar-se en altres indrets on la caça i la pesca seran la primera font d’alimentació. Tampoc existeix ja l’electricitat.
És en aquest entorn distòpic on coneixerem a un jove que amagat en un bosc, tot caminant per la neu, cerca l’aixopluc de la seva família que ara viu en el que abans havia estat una segona residència, prop d’un llac.
Pels camins, el jove es trobarà amb un nen errant, l’Olio, que l’acompanyarà en la seva expedició. Tots dos iniciaran un camí ple de perills on la cautela del jove i les ganes d’aventures del nen, contrastaran ben aviat.
L’amenaça constant... https://obrirunllibre.cat/les-ombres-...
És en aquest entorn distòpic on coneixerem a un jove que amagat en un bosc, tot caminant per la neu, cerca l’aixopluc de la seva família que ara viu en el que abans havia estat una segona residència, prop d’un llac.
Pels camins, el jove es trobarà amb un nen errant, l’Olio, que l’acompanyarà en la seva expedició. Tots dos iniciaran un camí ple de perills on la cautela del jove i les ganes d’aventures del nen, contrastaran ben aviat.
L’amenaça constant... https://obrirunllibre.cat/les-ombres-...
October 28, 2025
Le petit prince version post apocalyptique. Je l’ai dévoré
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