Notre Avant-Guerre, c’est aussi les mémoires de Robert Brasillach, un livre d’histoire sur la période d’entre-deux-guerres, écrit par un témoin, et qui nous permet de mieux comprendre les positions de chacun pendant la deuxième guerre mondiale. Essayiste et romancier, Robert Brasillach (1909-1945) fit ses études au lycée Louis-le-Grand à Paris puis à l’Ecole Normale Supérieure. Très jeune, il devint le responsable de la chronique littéraire de L’Action française et l’auteur de plusieurs chef-d’œuvres littéraires. En 1939, il succédera à Pierre Gaxotte à la tête de l’hebdomadaire Je suis partout. En 1945, victime des drames de l’épuration, il fut condamné à mort par une cour de justice et exécuté malgré une pétition signée et adressée au général De Gaulle par les plus grands écrivains français dont François Mauriac.
Brasillach wrote both fiction and non-fiction. While his fiction dealt with love, life and politics in his era, his non-fiction dealt with a great variety of themes, ranging from drama, great literary figures and contemporary world events. His work in the realm of cinema history was particularly influential.
He became an editor of Je suis partout, a paper led by Pierre Gaxotte.
After the liberation of France in 1944 he was executed following a trial and Charles de Gaulle's express refusal to grant him a pardon. Brasillach was executed for advocating collaborationism, denunciation and incitement to murder.
Intéressera quiconque voulant savoir ce qu'était la jeunesse parisienne de Bob et son cercle d'amis intellos (Maurice Bardèche, Henri Massis, Thierry Maulnier, Lucien Rebatet et d'autres) dans les années 20 jusqu'au début de la drôle de guerre. On passe aussi par quelques voyages en Espagne, pays qu'il admire tant, l'Allemagne (Nazi of course), la Belgique et même un pèlerinage vers Chartres à la manière de Péguy.